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EAN : 9782749129426
400 pages
Le Cherche midi (14/08/2014)
2.95/5   62 notes
Résumé :
300 mots. C'est ce que le rédacteur en chef de Nick Stella, journaliste criblé de dettes et en mal de reconnaissance, lui concède pour évoquer une étrange affaire. Une prostituée et son client ont été retrouvés morts. Fait divers apparemment banal, sauf que le client en question est un prêtre. Et qu'il n'est que la première victime d'un tueur particulièrement pervers.
Dans l'ombre, celui-ci observe cinq proies, prêt à faire basculer leur existence bien tranqu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai lu les précédents romans de Richard Montanari, je les ai partagé autour de moi. Celui-ci est encore un bon cru de l'auteur. Cependant je dois ajouter un Bémol, en effet, j'ai trouvé que la série de meurtres et les motivations du tueur perdaient en intérêt à cause de Ce journaliste, Nicky, dont nous suivons les pérégrinations tout au long de l'histoire.
Heureusement que le dernier quart du roman est là pour rattraper tout cela.
En résumé, un bon roman de de serial killer, mais l'auteur a fait bien mieux par le passé avec Cérémonie ou 7.
Cependant, je lui donne malgré tout la note de 4/5, car j'aime Mr Montanari et je reconnais bien volontiers son talent.
Lien : http://livresque78.over-blog..
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Je remercie "Le cherche-midi éditeur" et Babelio de m'avoir fait connaître ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique.

300 mots maximum c'est ce que doit contenir la pige de Nick Stella, journaliste indépendant mais fauché, qui pense décrocher le gros lot suite à la découverte du cadavre d'un prêtre shooté à l'héroïne et de celui d'une prostituée.

Voici donc le point de départ de ce roman qui conduit le lecteur sur diverses pistes jusqu'au dénouement final.

Si j'ai été séduite par le style simple et entraînant de l'auteur, j'ai été nettement moins convaincue par la construction du récit allant dans tous les sens. A force de brouiller les pistes, de promener le lecteur, l'auteur offre un roman superficiel ponctué de scènes chocs et crues. Si le final est plutôt surprenant, j'avoue être, malgré tout,restée sur ma faim.

Une lecture facile mais pas convaincante.




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Depuis le début des histoires de Richard Montanari, j'attends avec impatience les prochains romans de cet auteur. Malheureusement lorsque que l'on se retrouve avec les histoires qui ne s'apparentent pas avec ceux de ses deux détectives les romans perdent un peu d'intérêts.

Cette histoire avait pourtant tout pour être un superbe roman policier ou tout du moins un bon suspense toutefois même avec un début assez surprenant la moitie restante du livre est un peu lente, les meurtres perpétrés ici sont souvent décrits à la va-vite ce qui laisse le lecteur sur sa faim. On suit les péripéties de Nick Stella qui est supposé selon le titre du livre en tout cas de remettre un papier qui contient 300 mots ..... que nous verrons jamais dans ce livre parce que le titre est choisi selon je ne sais quel critère, mais surement pas celui de nous faire comprendre quelque chose. Nous suivons donc ce journaliste qui n'a qu'un seul but trouver l'histoire du siècle et qui par conséquent et ce qui est parfois frustrant nous emmène dans des lieux qui non parfois aucun lien avec l'histoire.

Par chance, les derniers milles de cette histoire est bien ficellé et le dénouement est correct bien qu'a mon avis les motivations du tueur sont un peu excessive, mais a vous d'en juger

est ce un livre que je vais relire dans ma vie, surement pas, mais citais un bon divertissement.
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300 mots maximum pour faire une appréciation de ce titre. Je ne crois pas qu'il m'en faille autant. Hum, pour ce faire, je ne dois partir en tout sens comme l'auteur. Quelque peu déçue par cette lecture. On dirait le premier brouillon du récit demandé au cours d'écriture auquel s'inscrit notre narrateur-journaliste, Nicky. Une intrigue déjà vue, des personnages intéressants mais mal exploités, trop grossiers à mon goût. Malgré une fin étonnante, on devine pratiquement tout, zéro suspense. Quelquefois, à trop vouloir complexifier les choses...Bref, une lecture rapide, sans grand intérêt et qui ne me restera pas en mémoire. Désolée. (105 mots)
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Mon avis :
La quatrième de couverture reproduit des extraits de presse plutôt aguichants… Jugez donc :
« Un des meilleurs thrillers qu'il nous ait été donné a lire ces dernières années. » le Figaro Magazine
« Un suspense impeccable. » L'Express
« Des chapitres court, intense, qui ne laissent aucun répit. Lecteurs insomniaques, vous en aurez pour votre argent ! » ELLE
D'accord, les chapitres sont courts. D'accord aussi, côté suspense, c'est assez réussi. Je sais aussi que la frontière entre thriller et policier est assez floue, mais pour moi, ce roman penche nettement vers les polars. Pour le reste, je ne suis pas certain que 300 mots mérite autant d'éloges…
C'est vrai que la construction à trois narrateurs est bien équilibrée. On passe successivement du point de vue du journaliste-enquêteur à celui du tueur, puis d'une femme indirectement mêlée à l'affaire. Mais ça, c'est juste une astuce d'écrivain (utilisée par quasiment tous les auteurs) pour ne pas dévoiler trop d'un coup… Rien de nouveau sous le soleil, donc ! Il reste que si le criminel et la femme sont des personnages qui accrochent le lecteur, le journaliste, qui devrait théoriquement être le personnage central du récit, ne trouve son épaisseur que dans les derniers chapitres. Avant cela, il manque cruellement de charisme…
De la même façon, les chapitres courts et la succession de personnages permettent de maintenir l'intérêt, mais, à mon goût, on sent trop le côté artificiel de la procédure littéraire, et comme son personnage principal, le roman ne prend véritablement son envol que dans le dernier tiers où les choses s'accélèrent. À partir de là, effectivement, le lecteur retient son souffle en passant sur le versant « thriller ». Un bon point aussi pour le « méchant » de l'histoire : on pense plusieurs fois découvrir son identité, mais le final est vraiment surprenant.
Dans l'ensemble, 300 mots est un bon polar, assez prenant et plutôt agréable à lire, mais on s'attendait à mieux. La mise en avant des phrases les plus élogieuses de la presse nuit finalement à la satisfaction du lecteur.
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Je ne peux pas commencer une histoire tant que la précédente n’est pas terminée. Pour de bon, je veux dire. Et je ne parle pas de cette période où l’on continue à s’envoyer des cartes ou à s’appeler en pleine nuit pour entendre la voix de l’autre. Je veux dire terminée, terminée. Croyez-moi si vous voulez, mais certaines de mes copines ne peuvent pas quitter leur mec tant qu’elles n’en ont pas un autre. Pas moi. Impossible. Hors de question.
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Cinq pages de charabia. Des chiffres et des symboles et des caractères bizarres.
Au début, elle se dit que c’était peut-être du russe. Puis, après réflexion, elle se dit que même les Russes n’avaient pas un alphabet aussi étrange. Ou si ? Peut-être que c’était de l’arabe ? Ou de l’hébreu. Ou du grec. Elle n’avait jamais rien vu de ressemblant.
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Les Italiens et les Noirs se mettaient dans tous leurs états, vas-y que j’agite les bras dans tous les sens, que je pousse des gémissements, que je me jette sur le cercueil. Les Irlandais se bourraient la gueule. Les juifs retournaient leurs miroirs, observaient la shiv’ah. Les protestants, de toute évidence, se taisaient.
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Elle ne possédait pas de téléphone portable ou de iBidule, et admettait volontiers – non sans une certaine fierté – que la grande fête de la révolution numérique s’était faite sans elle. Des mots comme Yahoo, Google, MySpace et Facebook auraient tout aussi bien pu être du swahili.
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Il s’agenouilla derrière Kathleen Holt, se balançant à son rythme, au rythme de la musique, désormais nu lui aussi, son érection à quelques centimètres des pans lisses, miroitants de sueur, de son dos. Il observa, un instant, captivé par les contractions des muscles de ses reins, par les rotations régulières de son bassin, et sentit le sang circuler dans ses veines, entendit le cri-cri-cri des armatures rouillées du lit, sentit la fragrance crue du sexe, vit la pièce complètement éclairée par la lumière bleu carbone de la stéréo…
« Julia », murmura-t-il.
La femme se redressa.
Et il attaqua.
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The Killing Room Book Trailer by Richard Montanari
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