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EAN : 9782205089813
144 pages
Dargaud (25/11/2022)
3.66/5   218 notes
Résumé :
1998, Teresa, brillante étudiante en archéologie, décroche une bourse et un poste à Berlin pour participer à la préparation d'une grande exposition sur la découverte du tombeau de Toutankhamon. Sa bible de travail, le journal d'Howard Carter. Elle rencontre Ruben, un jeune Italien rêveur et fantasque, venu s'éclater à Berlin. Parallèlement aux crises de couple dues aux insomnies chroniques de la jeune femme et à leurs moments intimes d'un amour passionné, leur histo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
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En 1998, Teresa Guerrero, étudiante brillante en archéologie, décroche une bourse et un poste d'assistant scientifique en préparation d'une exposition sur le trésor de Toutânkhamon, qui se tiendra à Berlin. Arrivée à l'hôtel où elle pensait avoir réservé une chambre jusqu'au dimanche et non jusqu'au mercredi comme l'a noté l'hôtesse, elle se plonge, après un bon bain, dans le journal d'Howard Carter, le fameux archéologue et égyptologue qui a découvert la tombe de Toutânkhamon, en novembre 1922. Une lecture apaisante et bienvenue pour elle qui souffre d'insomnie. Peu après, dans le bus, elle fait la rencontre de Ruben, un pseudo-punk issu d'une famille riche qui travaille pour des magazines people en retouchant les rides des célébrités. Après une balade dans la ville, le jeune homme ne manque pas de lui donner sa carte de visite, l'informant au passage que dans le squat où il habite, elle serait la bienvenue. Quand, le mercredi, Teresa se rend compte qu'aucune chambre n'est libre dans la résidence des étudiants, elle se décide à appeler Ruben...

Ce roman graphique met, judicieusement, en parallèle, la vie aussi bien sociale, étudiante qu'amoureuse de Teresa, à Berlin et les recherches d'Howard Carter dans la vallée des Rois. Un parallèle entre le début et la fin du XXième siècle qui, dès lors, montre que L Histoire n'est qu'un éternel recommencement... de son arrivée à Berlin à l'exposition qui attirera beaucoup de monde, en passant par sa rencontre puis son histoire d'amour chaotique avec Ruben, son travail, ses insomnies qui la rongent, ses lecture, l'on suit avec tendresse et passion les quelques mois passés hors de son Italie natale. Une histoire d'amour chaotique, certes, mais très belle entre deux personnages qui semblent n'avoir que peu en commun. Si Teresa est une solitaire, déterminée, prisonnière de ses angoisses et brillante, Ruben est libre, sans réel but dans la vie, à la fois gai et mélancolique. Des personnages forts, tout comme Howard Carter dont on suit l'exploration grâce à la lecture, le plus souvent nocturne, de Teresa. Et des contextes historiques qui le sont tout autant (la découverte de la tombe, la chute du mur de Berlin ou le 11-Septembre) qui rendent alors cet album tout aussi passionnant, singulier que touchant. Graphiquement, Manuele Fior nous offre de très belles planches au pinceau et à la gouache. Les décors sont magnifiques, que ce soit la ville de Berlin ou la vallée des Rois, aveuglante, les personnages expressifs et une palette de couleurs à la fois douce et lumineuse.
Un album sensible et envoûtant...
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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Hypericon de Manuele Fior, découverte grâce aux éditions Dargaud, que je remercie.
1998, Odile, brillante étudiante en archéologie, décroche une bourse et un poste à Berlin pour participer à la préparation d'une grande exposition sur la découverte du tombeau de Toutankhamon. Sa bible de travail, le journal d'Howard Carter.
Elle rencontre Ruben, un jeune Italien rêveur et fantasque, venu s'éclater à Berlin.
Parallèlement aux crises de couple dues aux insomnies chroniques de la jeune femme et à leurs moments intimes d'un amour passionné, leur histoire se révèle entre la Vallée des Rois et la folie berlinoise de la fin du XXème siècle.
Qu'adviendra-t-il de leur futur ?
Hypericon est une très belle bande dessinée autant au niveau des textes que des illustrations, qui sont vraiment magnifiques. Quand à la colorisation, elle est parfaite :)
Nous suivons d'un coté le journal d'Howard Carter, et sa découverte du tombeau de Toutankhamon.
Et de l'autre coté, nous suivons en 1998 Odile, brillante étudiante en archéologie. Elle arrive à Berlin pour participer à la préparation d'une grande exposition sur la découverte du tombeau de Toutankhamon. En plus de son travail, nous découvrons sa vie en Allemagne, sa rencontre avec Ruben, un jeune italien fantasque.
J'ai trouvé très intéressant de suivre leur romance, sur fond de la découverte du tombeau de Toutankhamon et de l'expo qui lui est consacré. C'est original, bien trouvé et très intéressant.
J'aime beaucoup l'Egypte,
Les deux époques se confrontent et s'entremêlent, sans pour autant ne m'avoir perdu une seule seconde. Au contraire, j'ai été captivée par ce roman graphique. Et j'ai aimé l'idée que ces deux époques soient unies par le motif de l'hypéricon, une fleur aux mille vertus.
Hypericon est une très belle BD adulte dont j'ai aimé l'ambiance, les deux époques, les personnages.
Une bien jolie surprise qui mérite un énorme cinq étoiles :)

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Hypéricon, c'est le nom d'une plante de la famille du millepertuis ; une plante qui chasse les démons selon les croyances de l'Egypte Antique et une plante utilisée en phytothérapie pour lutter contre l'anxiété et l'insomnie.
C'est aussi l'un des traits d'union entre les deux histoires que nous raconte Manuele Fior dans cette B.D. :
- la découverte du tombeau de Toutankhamon par Howard Carter à l'aube du 20ème siècle.
- le séjour de Teresa, étudiante italienne, à Berlin en 1998 pour participer à la préparation d'une exposition sur cette fabuleuse découverte archéologique.

J'ai bien aimé la bande-dessinée même si les personnages conservent une grande part de leur mystère : on en apprend très peu sur eux, sur leur passé, etc (ce qui cause les insomnies de Teresa par exemple)

J'ai aussi beaucoup aimé le travail sur les dessins et les couleurs qui rend l'ambiance légèrement éthérée et qui m'a donné envie de découvrir les autres livres de Manuele Fior.
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Une étudiante italienne se rend à Berlin pour travailler sur un projet en égyptologie.
Souvent avec Manuele Fior, on ne sait jamais trop où il veut nous amener : une romance, un parallèle historique, le déracinement, la perte des repères, une quête, un désir d'avancer dans la vie malgré les angoisses, la découverte de l'indépendance ? À vrai dire, je cherche encore. Pourtant j'ai beaucoup aimé cette lecture.
Le graphisme est toujours élégant, simple, il a un aspect instantané avec son trait brut, ses couleurs épurées, et il possède une douceur. Cela donne un côté familier, quotidien, on s'immerge, on y reconnaît des faits, des situations, des évènements, l'aveuglement devant l'avenir, on est entre 2000 et 2001. Manuele Fior nous offre des moments à partager, simples, ordinaires, parfois plus fous, plus insouciants, et même érotiques. Les grands évènements du monde, la découverte du tombeau de Toutankhamon, les attentats du 11 septembre 2001 sont mis face à la vie de tous les jours : arriver dans une ville qu'on ne connaît pas, rencontrer quelqu'un, vivre une aventure, prendre des décisions, faire des choix de vie.
Une très belle bande dessinée dans laquelle on est bien.
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• « ӇƳƤЄƦƖƇƠƝ » ƊЄ MƛƝƲЄԼЄ ƑƖƠƦ, ƤƲƁԼƖé ƇӇЄȤ ƊƛƦƓƛƲƊ.

• 𝘊𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘣𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘥𝘦𝘴𝘴𝘪𝘯é𝘦 𝘮'𝘢 é𝘵é 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘰𝘴é𝘦 à 𝘭'𝘰𝘤𝘤𝘢𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦 𝘔𝘢𝘴𝘴𝘦 𝘊𝘳𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘥é𝘤𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦 2022. 𝘑𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘪𝘵𝘦 𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘥𝘦 𝘭'𝘰𝘤𝘤𝘢𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘳𝘦𝘮𝘦𝘳𝘤𝘪𝘦𝘳 𝘶𝘯𝘦 é𝘯𝘪è𝘮𝘦 𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘉𝘢𝘣𝘦𝘭𝘪𝘰 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦, 𝘮𝘢𝘪𝘴 é𝘨𝘢𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘋𝘢𝘳𝘨𝘢𝘶𝘥 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘥𝘰𝘯, 𝘦𝘯 é𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨𝘦 𝘥'𝘶𝘯𝘦 𝘤𝘳𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘣𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘥𝘦𝘴𝘴𝘪𝘯é𝘦 .

[La bande dessinée]

• Il faut croire que j'ai été sage cette année, puisque j'ai eu le plaisir de recevoir cette bande dessinée plus tôt que prévu ! Cela faisait environ deux ans que je n'avais pas lu une bande dessinée estampillé Dargaud, et même si cette lecture n'aura pas été un coup de coeur, elle restera une bonne découverte.

• Nous avons ici deux histoires racontées en parallèle, celle de la découverte du tombeau de Toutankhamon par Howard Carter en 1922 et celle de la jeune Teresa, étudiante en archéologie qui prend un poste à Berlin consistant en la tenue d'une exposition sur cette fameuse découverte. La transition entre chacune de ces aventures est parfaitement orchestrée par l'auteur, celui-ci nous distillant petit à petit des informations, informations qu'il faudra parfois décoder pour en mieux interpréter le sens. J'ai été sublimé par les passages relatant les faits de la découverte du tombeau, offrant des images laissant rêveur.

• Les personnages et le contexte historique dans lequel ils vivent sont très intéressants à suivre. L'image nous parle, du moins dans mon cas, elle m'a susurré ces mots tout au long de la lecture. le jeune couple récemment réuni se perd totalement dans l'abîme de leur relation.. La solution se trouve peut-être sous leur nez, qui sait ? Un petit écart pour préciser que cette bande dessinée n'est pas destinée aux enfants, déjà pour son histoire qui ne leur correspondra aucunement, mais aussi pour les scènes dont le sexe fait parfois partie.

• Pour ce qui est du style graphique, je dois avouer avoir été surpris.. La couverture laissait envisager des traits plus précis. L'aspect de la couverture ne reflète pas réellement le contenu intérieur de la bande dessinée, et c'est à mon sens une grosse erreur qu'il faut éviter dans le genre du récit graphique. Ce n'est pas laid, bien loin de là, mais cela déçoit de voir d'autres traits, moins fins, que ceux de la couverture. Au niveau des couleurs, c'est irréprochable, très proche de la peinture et on se perd régulièrement dans la simple contemplation des pages tant elles sont chatoyantes à l'oeil.

• Il faut évidemment que je parle aussi de l'objet livre qui est d'une très grande qualité. Une couverture solide, avec des pages qui le sont tout autant, un contact manuel très agréable.. Cela fait très plaisir et complète le joli tableau de Manuele Fior.

[La petite voix de la fin]

• Un commentaire intéressant du Berlin de l'époque, un double contexte historique bien orchestré, une romance loin d'être cul-cul, et le tout illustré de façon magistrale. Oui, je vous la conseille.

𝘗𝘦𝘳𝘥𝘶 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘧𝘭𝘦𝘵𝘴 𝘧𝘭𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘯𝘶𝘪𝘵, 𝘭'𝘦𝘴𝘱𝘳𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘷𝘢𝘨𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘦𝘳𝘥 𝘱𝘪𝘦𝘥 𝘭𝘦 𝘫𝘰𝘶𝘳. 𝘐𝘭 𝘴𝘶𝘧𝘧𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘥'𝘢𝘳𝘳ê𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘭𝘰𝘪𝘳 𝘧𝘦𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘺𝘦𝘶𝘹, 𝘦𝘵 𝘥'𝘰𝘶𝘷𝘳𝘪𝘳 𝘴𝘰𝘯 𝘳𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥 à 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘦 𝘱𝘳é𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦 à 𝘯𝘰𝘶𝘴.
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critiques presse (7)
BoDoi
03 février 2023
Hypericon confronte différentes visions de l’existence, relie l’espace et le temps, entre romance et dévotion, sexe et universalité, dans une douce nostalgique où la solitude et l’amour rencontrent l’éternité.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Telerama
09 janvier 2023
Dans le très beau Hypericon (éd. Dargaud), Manuele Fior noue un fil entre cette histoire berlinoise et la découverte de la tombe de Toutânkhamon par l’archéologue Howard Carter, en 1922. Un récit original qui ausculte le quotidien amoureux, dans une veine à la fois poétique et naturaliste.
Lire la critique sur le site : Telerama
Sceneario
30 décembre 2022
Une bien belle histoire d’amour sur fonds de découverte historique qui a le privilège d’être temporellement épanouissante.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Bedeo
19 décembre 2022
Comme à l’accoutumée, Manuele Fior propose un album brillant, extrêmement vivant, ce qui n’empêche nullement les personnages d’être sujets à une certaine amertume, celle-ci étant quelque peu atténuée par les découvertes effectuées (un trésor antique, les ressources d’un être humain).
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDGest
06 décembre 2022
À travers l’histoire d’une génération qui voit ses illusions naître sur les ruines de la guerre froide puis disparaitre précipitamment dans les décombres du World Trade Center, Hypericon est une belle et riche métaphore sur le temps échu et ses odeurs de madeleines.
Lire la critique sur le site : BDGest
ActuaBD
29 novembre 2022
Dans ce récit où se mêlent passé, présent, rêves, fantasmes et réalité, nous nous retrouvons face aux buts et aux traces de notre propre existence dans la grande fresque de l’histoire globale.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
LigneClaire
25 novembre 2022
Le dessin est parfait, tout en finesse. L’intrigue est belle, le découpage clair, les plans supportés par des choix de couleurs, des teintes qui collent au trait. Hypericon est tout en douceur, jongle avec les sentiments des acteurs mais aussi des lecteurs sur fond de fleurs de millepertuis.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
- Je n'ai jamais compris ces gens qui s'amusent à déposer des cailloux sur les tombes...
- C'est une vieille tradition hébraïque. En hébreu, pierre se dit 'Even'. Qui s'écrit avec les lettres Aleph, Beth et Nun. Qui correspondent aussi à Ani-Bikarti-Niftar. Que l'on pourrait traduire par : "J'ai rendu visite au défunt."
(p. 29)
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L'expression de tristesse qui émane si délicatement de ce visage [de Toutankhamon] suscite notre compassion face à une douleur ancienne.
Ces émotions nous parviennent par le biais de canaux ancestraux et le fait de constater que l'âme humaine a si peu changé en plusieurs milliers d'années éveille en nous un sentiment d'émerveillement.
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L'expression de tristesse qui émane si délicatement de ce visage suscite notre compassion face à une douleur ancienne.
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Le sommeil, vous savez ce que c'est ? Une invention de l'homme pour qu'on ne remarque pas la durée de la nuit. Un couloir sécurisé qui préserve nos sens du temps qui passe.
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- Un téléphone cellulaire… Va savoir peut-être que dans quelques années, tout le monde en aura un.
- Moi je ne crois pas… Tu connais quelqu’un de sensé qui voudrait être joignable n’importe quand et n’importe où ?!?
P74
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