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EAN : 9782754807494
56 pages
Futuropolis (08/03/2012)
3.72/5   27 notes
Résumé :
S'il est vrai que le monde est un théatre et que chacun y joue un rôle, Léonid Miller, lui, s'est choisi la place de spectateur.
Cinéphile, passionné par les histoires qui défilent sur les écrans des salles obscures, il découvrira bientôt qu'on ne peut se détourner impunément de la réalité.
De fait, un soir, il disparaît littéralement...
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Cette bande dessinée est un joli conte, avec une pincée de fantastique, qui propose à la fois un petit voyage cinématographique et sociologique des plus intéressant.

Le héros, Leonid Miller, est un solitaire, lassé du tumulte de la compagnie de ses semblables, cinéphile, discret, effacé, à tel point qu'à la sortie d'une séance de cinéma, dès les premières pages, il devient invisible, inaudible, avec petit atout sympathique, celui de pouvoir traverser les portes sans les ouvrir, et même les murs.

L'histoire enchaîne diverses péripéties qui vont le conduire sur les plateaux de cinéma où il fera une rencontre inattendue... pour un gentil dénouement qui ne tombe pas du tout dans la mièvrerie et que j'ai personnellement bien apprécié, notamment par la richesse des couleurs des dernières pages.

D'ailleurs, c'est l'ensemble qui est présenté dans des teintes orangées ou bleutées et les dernières pages en accentuent la lumière pour donner une image de ce qui pourrait bien devenir un bonheur simple très agréable à imaginer.

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Cinéphile passionné, passant son temps dans les salles obscures, Leonid Miller va peu à peu perdre sa corporéité. ● En s'investissant trop dans des oeuvres immatérielles, Leonid devient une sorte d'ectoplasme qui passe à travers les murs et les gens et n'est plus visible. ● La trame narrative est simple et si les dessins sont beaux et le code des couleurs bien choisi, je n'ai pas été emballé plus que ça par cette oeuvre qui se lit agréablement et vite mais manque de profondeur. Il me semble que le thème principal aurait pu donner lieu à des développements plus intéressants et plus complexes.
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"L'homme qui n'existait pas" est un one-shot BD paru en 2012 aux Ed. Futuropolis. Il est signé Cyril Bonin.

Tout du long de la soixantaine de pages que compte l'album se déroule le destin singulier d'un anti-héros dans la force de l'age: Léonid Miller. C'est un homme lambda, falot et solitaire, désabusé de lui-même, des autres et du monde. Il n'est plus en phase avec les fréquences humaines qui l'entourent, ne vibre plus à l'unisson d'une société qui file sans lui vers des horizons qui ne sont plus les siens.

La 4 de couverture le propose en outre:

"Cinéphile, passionné par les histoires qui défilent sur les écrans des salles obscures,...[qui]...découvrira bientôt qu'on ne peut se détourner impunément de la réalité.
De fait, un soir, il disparaît littéralement..."

Seuls comptaient le 25 images/seconde, la réalité virtuelle trompeuse de ce qui s'anime sur la toile blanche des ciné-clubs de quartier. le voici maintenant et désormais: silhouette mobile en flaque de lumière verdâtre, plaquée en 2D sur le décor de son quotidien, fantôme tremblotant au bout du cône lumineux d'un projecteur magique.

"Il lui semblait...[ ]... que les personnages de fiction avaient une présence bien plus dense et plus profonde que la plupart des gens...que la sienne en tout cas."

Personne ne le voit ni ne l'entend, ses mains passent au travers des choses et des gens. Ni vivant, ni mort; juste dans l'entre-deux, au coeur de l'inexistence, il ne manque à personne, se sent désormais assigné au néant ... si ce n'est que quelqu'un l'attend, un être qui... mais la suite appartient au récit.

Dans les bacs du bouquiniste, sans le titre qui déjà promettait de coller à merveille au propos de la 4 de couverture, sans les pages feuilletées à la hâte qui montraient que j'étais en pays du "Passe-muraille" de Marcel Aymé (que j'avais tant apprécié), je serai passé à côté. le pitch onirico-fantastique, par résurgence mémorielle, a fait remonter des récits similaires déjà lus et aimés. J'en ai voulu retrouver l'ambiance. Bien m'en a pris. Un autre Garou-Garou m'attendait au creux de dessins attirants et sur le fil d'un scénario précis.

Vous souvenez-vous du "Passe-muraille" (1941), une nouvelle célèbre, teintée du Fantastique soft typique de Marcel Aymé ? Pour mémoire, elle décrit le destin étrange et tragi-comique d'un Monsieur-Tout-Le-Monde à qui est accordé subitement le pouvoir surnaturel de traverser les murs. le don offert et finalement repris, oscillant entre bienfait et malédiction, lui permet de transgresser son morne quotidien, d'améliorer l'ordinaire par le vol. Etrange itinéraire de voyeur vite désabusé jusqu'à un épilogue pour le moins logique et définitif.

La nouvelle d'Aymé et le roman graphique de Bonin ont les mêmes qualités: la facilité de lecture et de compréhension, un style d'écriture de qualité, un Fantastique classique lentement et habilement mené à conclusion, sans hâte ni précipitation excessive. Bonin, en nos temps modernes où le Fantastique se déguise de Gore et d'Horrifique brutal, se montre au culot en décalage doux et poétique, presque romantique. A près de 80 ans de distance, l'écrivain et le dessinateur-scénariste usent des mêmes armes: celles de la douceur de contes faussement simples, comme racontés à de vieux enfants à deux doigts du sommeil; celles de deux thèmes voisins en empreintes fortes sur la banalité du quotidien; celles de la nouvelle littéraire qui va à l'essentiel et ne s'embarrasse pas de digressions. Les récits plongent le lecteur dans des atmosphères d'essence identique, douces et intrigantes, oscillant sans cesse entre rêve et réalité, entre conte et étude psychologique serrée d'anti-héros inattendus. La nouvelle donne de leurs existences les font osciller entre attirance et désespoir.

Les deux récits se posent au plus près du lecteur, les messages portent et marquent. Au final, le souvenir d'avoir lu et apprécié l'un et l'autre s'incruste durablement en mémoire. Bonin use de l'hommage et ne s'en cache pas: il a déjà adapté "La belle étoile" d'Aymé en BD chez le même éditeur.

Le parallélisme avec Aymé coexiste avec un rapprochement à établir avec un auteur US de Fantastique (1917-1994): Robert Bloch* (le scénariste de Psychose d'Hitchcock). Passionné et professionnel de cinéma, une de ses nouvelles est en rapport direct avec notre propos: il y imagine que son héros immatériel peut, à volonté, se déplacer d'une pellicule ciné à l'autre, d'une scène hollywoodienne mythique à l'autre. On le voit à l'écran, toujours en arrière-plan, dans la foule anonyme des figurants, jamais à la même place d'un visionnage à l'autre, toujours enclin à induire une uchronie cinématographique dans les milliers de films qu'il squatte temporairement. Il est peut-être aussi là, face à nous, au coeur du recueil de Marcel Aymé, entre les pages colorées de l'album de Cyril Bonin. Jamais, d'une lecture à l'autre, dans les mêmes phrases de l'écrivain, au sein des mêmes vignettes de Bonin, toujours enclin au clin d'oeil souriant à nous adressé.

*: peut-être est-ce Robert Matheson, après tout ? Quelle importance..? Je les confond toujours, tous les deux, dans les mêmes intentions fantastiques (peu les sépare), au creux de la même époque (ou presque), dans leurs penchants immodérés et obsessionnels pour le cinéma, dans la supériorité de l'un et l'intérêt presque fanique que je porte à l'autre...?

PS: Je viens de vérifier. C'était bel et bien Robert Bloch. Le titre de la nouvelle est "Le monde de l'écran"; elle est parue dans le recueil "La boite à maléfices" (Autres temps autres mondes,Casterman ed.)
Lien : https://laconvergenceparalle..
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Dans cet album, Cyril Bonin met en scène Léonid Miller, un informaticien et cinéphile solitaire ne sortant de son appartement que pour fréquenter les salles obscures. En vivant ainsi, en marge de la société, Léonid tente d'échapper à "cette mascarade" où selon lui, chaque individu est "programmé par la société". Mais à force de se tenir à l'écart du fourmillement de la ville et de la vie qui en émane, Léonid finit par s'effacer, se dématérialiser. Son esprit est toujours là, actif, vivant, mais son enveloppe charnelle n'est plus... Commence alors l'errance de Léonid à travers la ville ; une errance marquée par sa rencontre avec une jeune actrice dans laquelle il reconnaît les symptômes de son propre mal . Parviendra-t-il à la sauver à temps ?

Avec "L'homme qui n'existait pas", Cyril Bonin nous livre un très bel hommage au septième art. On retrouve d'ailleurs au fil des pages, quelques scènes tirées de grands classiques du cinéma comme "La mort aux trousses" d'Alfred Hitchcock. le cinéma est au coeur de son récit et lui permet d'aborder notre rapport au monde et à ceux qui l'habitent avec beaucoup de finesse et de sensibilité.

Je tiens à dire quelques mots sur l'une des dernières planches (page 54 pour être précise). Sur celle-ci, Léonid murmure à l'oreille de Françoise, tentant de dissiper ses doutes et la convaincre de son talent. En tenant ce discours empli d'une confiance et d'une assurance nouvelles, Léonid leur permet à tous deux de redevenir des êtres vivants en chair et en os.
Cette scène m'en a rappelé une similaire dans le dernier album de Cyril Bonin intitulé "Amorostasia". Tandis que Léonid et Françoise regagnent leur enveloppe corporelle et acceptent finalement de vivre dans le monde qui est le leur, Olag et Kiran, eux, disparaissent volontairement du monde réel pour ne plus vivre qu'exclusivement dans le regard de l'autre... Ce parallèle m'a frappé dès ma première lecture.

Une très belle lecture, introspective, mélancolique, pleine de sensibilité mais aussi d'optimisme.
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Récit plus puissant qu'il n'en a l'air : c'est un conte de notre époque.
M. Cyril Bonnin nous raconte une aventure imaginaire à fortes résonnances émotionnelles, mais pas que...

Vouloir s'isoler des autres, ce n'est pas nouveau. Actuellement c'est si facile : rester derrière son écran, pour travailler, s'approvisionner ; plus besoin d'entrer en contact avec ses contemporains. Mais plus on s'isole, plus il devient difficile (même pas d'aller vers l'autre puisqu'on en a de moins en moins envie) de croiser l'autre. Et on croit se suffire à soi-même.

Le personnage a organisé sa vie pour se complaire (?) dans sa solitude. Sa passion pour le cinéma, pas l'actuel, les grands films américains de l'après-guerre, (ce qui est aussi un décrochage par rapport à sa temporalité) le font tout de même sortir de sa tanière pour le plaisir des salles obscures. Et se sera sa chance. Sinon, il ne se serait pas rendu compte qu'il devenait...un ectoplasme. Passion salvatrice, qui lui fera inverser le phénomène en réveillant une jeune actrice, qui, sans lui, aurait subit le même sort.

Le trait, comme le récit est élégant et léger avec une palette réduite aux ocres, verts et gris-bleus, utilisée avec maestria. Les rais de lumière, les faisceaux sont ceux du cinéma. Et quel passion pour ce cinéma !

L'auteur, au fond, parle de lui et donc de nous, quand nous nous laissons immerger dans ces univers de rêve.

Ce récit m'a évoqué le très beau film de Visconti "Violence et passion" : un vieux professeur isolé dans sa maison entre ses livres d'art et sa musique, se retrouve envahit par une famille turbulente, dérangeante, qui lui fera reprendre contact avec la vie, mais un peu tard pour lui.

Encore une belle BD à offrir, à faire circuler, puisque les contes, en douceur, nous permettent de réfléchir à notre existence, au lieu de la laisser s'écouler, comme de l'eau, du sable qui file entre les doigts
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critiques presse (7)
BDSphere
01 juin 2012
->Retrouvez ce coup de coeur dans le n°13 de BDSphère publié le 17 avril 2012.
Cyril Bonin avait montré son goût pour la littérature en adaptant La Belle image, un roman méconnu de Marcel Aymé. Peut-être en clin d’oeil à l’auteur du Passe-Muraille, ce nouveau récit dédié au 7ème art, L’homme qui n’existait pas, qu’il réalise seul, transporte le lecteur dans un conte fantastique où le principal héros se dématérialise littéralement. En rendant un hommage graphique délicat et nostalgique au cinéma des années 50, l’auteur sonde les errements de la solitude et du repli sur soi. Cinéphile passionné, Leonid Miller est informaticien et célibataire. Son activité lui permet de travailler chez lui et d’éviter tout contact avec la société qu’il ne fréquente qu’à travers les salles obscures. Car “les personnages de fiction ont une présence bien plus dense et plus profonde que celle de la plupart des gens”. Invisible aux yeux des autres, il disparaît, rendu à la transparence de sa vie insipide. La douceur de ce récit aux couleurs chaudes, les contrastes entre des verts fantasmagoriques et les ocres de la réalité soutiennent le trait élégant et la fluidité de la narration. Sans être tout à fait mort, errant comme un fantôme, la seule sensation de la faim lui rappelle qu’il est toujours vivant jusqu’au jour où il devient sensible au charme de Françoise Angelli, une jeune et belle actrice au cœur mélancolique qui menace à son tour de disparaître. En devenant l’acteur de sa propre vie, il réincarne son rôle dans le réel. Une fable poétique sur l’inconstance d’une vie qui s’efface à oublier les autres et sur l’importance d’exister dans les yeux d’autrui.
Lucie Servin
L’homme qui n’existait pas, Cyril Bonin, Futuropolis, 56 pages Couleurs 16 euros.
ISBN-13: 978-2754807494
Lire la critique sur le site : BDSphere
BoDoi
26 avril 2012
L’Homme qui n’existait pas bénéficie d’une construction nerveuse et intelligente, de personnages forts et attachants. Et d’un dessin délicat, baignant dans une ambiance un brin mélancolique.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDSelection
23 avril 2012
Si l'idée au centre de ce nouvel album est intéressante et que la réalisation (découpage, dessin, couleurs) est de belle facture, cet album souffre de sa trop grande ressemblance avec La belle image.
Lire la critique sur le site : BDSelection
BulledEncre
04 avril 2012
Cet album déborde à la fois de détresse et de chaleur humaine. […] Le graphisme est très beau avec ses tons chauds, et la distinction entre Léonid et le reste des planches est très originale.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
26 mars 2012
Un très beau récit tout en sensibilité à porter au crédit d'un auteur complet qui fait preuve d'un talent montant.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Auracan
19 mars 2012
L'Homme qui n'existait pas est un récit magnifique qui va à l'essentiel, un récit fantastique où l'imaginaire de la situation se mêle au quotidien, une sorte de conte magique plein de références cinématographiques.
Lire la critique sur le site : Auracan
BDGest
14 mars 2012
L’homme qui n’existait pas est le nouvel album, très personnel, de Cyril Bonin qui, une fois encore, cumule les rôles de dessinateur, scénariste et coloriste.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Vous savez, vos questions et vos doutes sont votre richesse. Ce sont eux qui font que vous n'êtes pas une enveloppe vide.
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- Vous savez, vos questions et vos doutes sont votre richesse. Ce sont eux qui font que vous n'êtes pas qu'une enveloppe vide. Le public ne s'y trompe pas. Et si les acteurs sont comme des étoiles... vous en êtes l'une des plus brillantes.
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Léonid Miller en était persuadé : la vie était une mascarade... où chaque individu était programmé par la société pour tenir son rôle et tenter de donner un sens à ce grand bazar...
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J'y ai tellement cru que j'ai longtemps souhaité que ma vie ressemble à un film hollywoodien. A un film de Capra ou de Billy Wilder...
Je me voyais comme James Stewart dans "La vie est belle" ou Gary Cooper dans "L'homme de la Rue". Fasciné par le spectacle des salles obscures, je me suis détourné du monde et j'ai oublié de vivre.
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Devant le néant de son existence, une seule attitude lui paraissait désormais raisonnable : le détachement.
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