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EAN : 978B00PKHUG0C
(12/11/2014)
3.04/5   34 notes
Résumé :
Quentin vit avec sa fiancée en banlieue parisienne. La vie est morose, tous deux décident de revenir vivre à la propriété familiale, une vaste bâtisse située dans le sud de la France, perdue dans la forêt. Paul, le frère de Quentin, veille sur la demeure en attendant l'arrivée du couple. Bûcheron de métier, il vit loin de la société, à l’abri de ses dangers. Il est en communion avec la nature, car il y trouve le calme dont il a besoin.

Mais Paul se mo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (32) Voir plus Ajouter une critique
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Le crime ne paie pas pourrait - on dire à la fin du livre .
Quand Mathieu Meriguet m'a proposé son troisième roman , je n'ai pas hésité une seconde , j'adore découvrir des nouveaux auteurs , lire un roman avant ( presque ) tout le monde , envoyer mon avis à l'auteur .
Ici deux univers bien distincts Paris, où rien ne va plus pour Quentin et son amie Caroline et puis la campagne , l'endroit où Quentin espère recommencer une autre vie , une vie apaisée dans la nature , en compagnie de son frère Paul .
Mais comme Quentin va vite l'apprendre , le passé nous suit partout et ce passé va le rattraper .
Le passé c'est la mort tragique des parents de Quentin , la justice rendue soi même , les cicatrices d'une rupture amoureuse encore bien douloureuse .
Caroline contre toute attente semble mieux s'adapter à cette nouvelle vie , elle est plus sereine , plus les jours passent et plus elle se sent revivre , elle va commencer à ressentir les choses différemment , à apercevoir les mensonges de Quentin .
Quentin qui lui s'enfonce plus en plus , ses mensonges , tergiversations ne le laisseront pas en paix .
Difficile de donner mon avis sur cette lecture , ce n'est pas le genre de livres que je lis habituellement , j'ai été étonnée par le choix de certains mots , je ressentais l'effort , et peu de fluidité .
Et pourtant j'ai tourné les pages fébrilement , je n'arrivais pas à m'arrêter .
J'ai pensé que les personnages manquaient d'épaisseur , que l'auteur devait persévérer , et que finalement j'avais eu ce que je voulais , être dépaysée pendant quelques heures .
Un auteur qui doit s'améliorer mais un auteur à suivre .
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Quentin et Paul sont deux frères très proches dont les parents ont été tués lors d'une sortie de route provoquée par Gaby, ivre, qui s'est caché jusqu'au lendemain. Quentin fou de douleur, pour venger ses parents, tire dans la jambe de Gaby mais c'est Paul qui se laissera accuser et sera condamné à deux ans de prison. Quentin, le narrateur vit quelques années à Paris où il est professeur, métier qu'il partage avec sa compagne Caroline. Déçus par leur vie à la capitale, ils décident de rentrer au domaine familial, une vaste bâtisse au milieu de la forêt, où vit Paul, bûcheron sur leur terre. Quentin raconte, leurs vies quotidiennes, leurs sentiments ... et aussi Marina.
Toutes les situations que Quentin va provoquer, les mystères et une fin inattendue font de Pour Une Liberté un bon thriller psychologique. Mathieu Mériguet, un auteur à découvrir.
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« Que pourrais-je souhaiter d'autre à présent que d'être libre ? Ou peut-être dois-je simplement accepter ma condition de captive ? »


Le personnage principal et narrateur, Quentin, habite à Paris avec sa fiancée Caroline. Il a fui son village natal de province quelques années plus tôt, pour des raisons que le lecteur ignore encore mais qui lui seront révélées tout au long du roman… En attendant, ces deux jeunes professeurs trentenaires tentent de se construire un avenir commun. Mais la vie parisienne n'est pas facile pour le jeune couple : leurs finances ne leur permettent d'habiter qu'en banlieue, les élèves malmènent Caroline dont le moral faiblit, l'ex-fiancée de Quentin ressurgit soudainement dans sa vie et se révèle dangereusement manipulatrice, menaçant son couple ; Enfin, pour couronner le tout, Caroline se fait agresser par des racailles en rentrant chez elle, entérinant son état dépressif qui met son couple en danger.


Quentin, qui pensait avoir trouvé une stabilité rassurante auprès de Caroline, veut tenter de sauver son couple en s'offrant un nouveau départ : Il propose à Caroline d'aller vivre un temps dans son village natal en province. Il y a hérité avec son frère de la maison de ses parents, morts dans un accident encore mystérieux pour le lecteur et qui a profondément affecté Quentin. Mais ce que l'on fuit finit souvent par nous rattraper : Une fois à la propriété, en même temps que le passé de Quentin se révèle au lecteur, son avenir s'obscurcit. Son frère semble lui cacher un drôle de secret tandis que ses actes de jeunesse le poursuivent et le hantent. Lui qui a pour principe de se faire justice à lui-même lorsque la justice étatique fait défaut, pourrait en faire les frais… Quel sombre passé les deux frères dissimulent-ils ? Quentin obtiendra-t-il son nouveau départ ou court-il à l'échec en se jetant dans la gueule du loup ?


*****

Dans ce troisième roman, Mathieu MERIGUET revient avec une plume plus fluide et assurée que dans « Engrenage », un scenario et des personnages plus travaillés qui m'ont fait passer un très bon moment de lecture. le personnage principal nous livre son passé et son présent au gré des événements qui se déroulent dans sa vie : C'est donc par bribes que nous reconstituons l'histoire, conservant le suspense jusqu'à la fin même si l'on peut se douter de certaines réponses. Si ce mode de narration entraîne quelques répétitions dans le récit, ça n'entrave pas la lecture car il n'y a pas de longueurs : L'auteur sait où il va et conserve sa destination mystérieuse au lecteur intrigué.


Il y a beaucoup de prisonniers, dans ce roman : Des prisonniers de leur amour, de leur maison, de leurs erreurs ou de leur routine, mais aussi de leurs peurs et de leurs vies. de leurs actes, enfin. On y trouve également des éléments de vie quotidienne, du mystère, et même un petit côté « La Belle et la Bête » ! Cette fois encore, l'auteur nous présente un héros assez réaliste car complexe, pris dans l'engrenage de ses actes mais aussi de circonstances sur lesquelles il ne parvient pas à avoir d'emprise. C'est ce sentiment d'impuissance, mêlé à la volonté farouche de reprendre le contrôle de sa vie pour s'en sortir, qui le poussent à agir et pas toujours de manière raisonnable.


Ce qui est sûr, c'est qu'il y a quelque chose dans les romans de Mathieu MERIGUET qui fait que je m'attache à ses personnages même quand je ne pense ou n'agirais pas comme eux. C'est probablement dû à la narration à la première personne, mais pas uniquement. Il se dégage de son écriture une belle sensibilité, quelque chose d'à la fois naïf et tendre qui nous fait rencontrer intimement ses personnages : Ca rend la lecture agréable et me fait conserver un bon souvenir du livre après l'avoir refermé. Il nous expose les faiblesses de ses personnages, leurs travers, défauts, déviances, fantasmes. Ca les rend humains et vivants, assez proches de nous et surtout attachants malgré leurs imperfections.


Voici donc un roman sûrement plus abouti que le précédent, une sorte de conte des temps moderne dont j'ai en tous cas préféré l'ambiance ; un jeune auteur dont l'écriture mûrit et que je vous invite à découvrir si vous avez envie d'un peu de fraîcheur : Merci à Mathieu pour ce bon moment de lecture !

Lien : http://onee-chan-a-lu.public..
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Je n'accepte pas toujours de découvrir les ouvrages que l'on me propose, par manque de temps essentiellement mais aussi parce que je ne lis pas tout et n'importe quoi : le sujet doit m'intriguer et me tenter un minimum. Je ne suis pas toujours conquise par les livres publiés par de « petites » maisons d'édition ou de « petits » auteurs mais je prends généralement beaucoup de plaisir à découvrir ceux-ci, consciente que ma lecture et mon regard extérieur importeront vraiment. J'ai parfois eu de véritables coups de coeur grâce aux « petits » acteurs de la chaîne du livre et continue donc d'accepter régulièrement les propositions.
Pour être tout à fait franche, ce n'est pas l'illustration de couverture de Pour une liberté qui m'a intriguée mais plutôt le synopsis. La gentillesse de Mathieu Mériguet a fait le reste (se vendre sur les réseaux sociaux n'a rien d'évident, j'en suis bien consciente, mais certains auteurs devraient revoir leur approche… car après cinq mails publicitaires intempestifs copiés-collés, recevoir un mail poli, personnalisé et surtout qui montre un intérêt minime et sincère pour notre travail de blogueur… généralement, il ne manque plus grand chose pour que j'accepte la proposition !).

A mon sens, Pour une liberté ne possède pas vraiment les caractéristiques du thriller, je ne lui donnerais donc pas cette étiquette. Certes, il y a un peu de suspens et une sorte de petite « enquête » autour d'un ou deux mystères familiaux, mais on est loin d'un Thilliez ou d'un Chattam pour ne citer que ces deux auteurs français. Certes, on pourrait le classer dans le thriller psychologique mais, à mon sens, Mathieu Mériguet n'utilise pas assez les codes du genre, ne va pas assez en profondeur pour qu'on puisse vraiment choisir ces termes.
Je pense qu'on peut plutôt parler de drame familial, sorte de huis-clos un peu oppressant ne mettant en scène que 4 ou 5 figures intimement liées les unes aux autres. Ce n'est qu'une appellation qui n'enlève rien au fond et à ses qualités scénaristiques mais qui peut surprendre le lecteur qui s'attend à un show à l'américaine avec meurtre, médecine légale et serial killer. Même si c'est réducteur, c'est généralement ce qu'on s'attend à trouver dans un thriller, moi en tout cas.

Bref. Une fois cela admis, on peut se plonger dans cette histoire assez dramatique et plutôt glauque. Contée par Quentin, narrateur trentenaire principal et exclusif, le lecteur découvre petit à petit ses secrets et cex entourant son entourage. Grâce à l'utilisation régulière de sauts dans le passé, on comprend progressivement l'ampleur des problèmes et surtout l'ampleur des troubles des personnages qui, il faut bien l'avouer, ont tous plus ou moins une pathologie sociale assez préoccupante ! Entre l'ivrogne, l'ours des bois et le faux-calme violent, il y a du lourd dans ce livre !
A commencer évidemment par le narrateur lui-même, anti-héros antipathique par excellence. le parti pris du héros que l'on déteste est une bonne idée en soi mais j'avoue préférer quand un auteur joue avec moi et ma sensibilité, réussissant le pari de me faire aimer un salaud (ou au moins d'être touchée par lui et de mieux le comprendre) ; je pense notamment à Humbert Humbert dans le Lolita de Nabokov, pédophile que l'on devrait haïr et pour lequel on se surprend finalement à avoir de l'empathie. Ici, Quentin est détestable, mais la balance ne penche jamais de son côté. Il trompe et fait souffrir son entourage, est le pire égoïste de la création et ce, du début à la fin ! Je n'ai jamais ressenti la moindre compassion pour lui et encore moins le moindre attachement.
Les autres personnages ne sont pas mal croqués eux aussi, ils sont même assez bien dépeints… mais quelle noirceur ! quel pessimisme ! Je sais bien que l'humanité n'est pas toute rose à paillettes mais voir évoluer des figures qui se noient (dans l'alcool), qui dépriment, qui manipulent les autres… c'est certes tout à fait plausible mais ça manque tout de même d'une lueur d'espoir. L'avenir semble s'éclaircir pour deux d'entre eux à la fin du roman mais l'ensemble reste particulièrement dramatique. Ce n'est pas du tout un défaut mais il est évident que les lecteurs qui aiment s'identifier aux héros des livres qu'ils lisent, auront du mal à y trouver leur compte. Une barrière se met automatiquement en place entre les personnages et nous, une distance s'instaure, ce qui peut dérouter. Tout dépend si on apprécie et si on s'attend, ou non, à une identification forte aux personnages, lorsque l'on ouvre un livre.

Côté intrigue, j'ai tantôt été totalement captivée et tournais donc les pages assez avidement, tantôt été un peu ennuyée par certains passages répétitifs et donc un peu longuets. le suspens n'est pas ultra présent mais les quelques mystères mis en place apportent juste ce qu'il faut de curiosité. On se doute de certaines révélations mais ça n'enlève pas le plaisir de la découverte. La chute est quant à elle plutôt bien amenée. Mathieu Mériguet l'amorce et l'annonce en amont et pour le coup, c'est bien travaillé.
Encore une fois, on peut s'en douter facilement, mais ça fonctionne bien. Dans l'ensemble, les bases de l'intrigue sont bien posées et c'est une histoire qui roule. Il aurait malgré tout été bienvenu, à mon goût, de corser et complexifier un peu les choses pour apporter un poil plus de peps et de surprises à la lecture. On peut regretter une certaine simplicité.

Ce que je retiendrai également de cette lecture, c'est le style de Mathieu. On sent que l'auteur a voulu apporter un soin – presque excessif – à son texte. de ce fait, le trait semble un peu forcé, artificiel… ça manque de naturel et, comme ont pu le signaler plusieurs autres blogueurs avant moi, cela se ressent surtout dans les dialogues parfois un peu pompeux et donc finalement trop peu crédibles.
La narration au passé simple souffre moins de ce petit défaut du « je veux trop bien faire » et glisse beaucoup plus facilement. Je salue d'ailleurs le choix de Mathieu Mériguet qui a voulu déséquilibrer un peu son schéma narratif et éviter la ligne plate et fade en insérant des « flash-backs ». L'idée est très bonne, elle mériterait juste d'être un poil plus travaillée pour que ces retours en arrière s'intègrent encore mieux dans le texte et surtout, évitent trop de répétitions.

Pour une liberté a été une lecture plutôt agréable pour moi, et parfois même haletante. Les bases sont bonnes et l'auteur va au bout de son idée ; ça fonctionne. Il manque juste quelques ajustements au niveau de la forme et peut-être quelques ajouts pour dynamiser le fond… J'encourage Mathieu Mériguet à continuer à travailler car il y a du potentiel !
Lien : http://bazardelalitterature...
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Mathieu Mériguet m'avait déjà demandé de lire son précédent ouvrage, Engrenage, que je n'avais pas beaucoup aimé et il n'a cependant pas hésité à me proposer de lire son dernier livre. Je l'en remercie car il n'est pas toujours aisé de se soumettre à la critique après un avis négatif. Et je suis peinée car je n'ai pas plus aimé Pour une liberté, essentiellement pour les mêmes raisons que celles que j'avais exprimées à propos d' Engrenage.

J'ai vraiment été étonnée de retrouver les mêmes défauts que ceux qui m'avaient marqués dans son précédent livre et j'ai même trouvé que certains étaient encore plus forts. Celui qui a le plus retenu mon attention est le manque d'oralité dans les dialogues, l'absence d'émotion dans l'écriture, qui reste scolaire voire clinique. J'aurais aimé plus de naturel, d'authenticité. Je me suis sentie plus déconcentrée qu'autre chose dans le parcours de ce texte. le langage est trop ampoulé entre les personnages par moments, ça ne rend pas le récit vivant. Deuxième point ressenti qui est à mon sens vraiment dommage : le peu d'attachement à ces derniers. Déjà, j'ai trouvé trop de points de ressemblances avec ceux d' Engrenage donc je n'ai pas eu d'effet de surprise. Mais ça, passe encore. J'ai trouvé qu'aucun d'entre eux ne réussissait à susciter mon attention, ils sont soit trop clichés, soit mal décrits ou insignifiants dans ce qu'on nous en dit. Comme repéré dans l'ouvrage précédent, on sent que les passages visant à mieux nous les faire connaître tombent comme un cheveu dans la soupe. Troisième point qui fait que je n'ai pas accroché : l'envie de créer le suspens ne prend pas. On en vient même à trouver certaines évolutions du récit grotesques ou trop attendues. Enfin, j'ai trouvé qu'il y avait des répétitions agaçantes par moments ou encore pire, des contradictions et incohérences dans le caractère ou les habitudes des personnages.

Encore une fois, le thème est plutôt intéressant mais la rédaction ne m'a pas plu, je n'ai à aucun moment été happée par l'histoire. le fait de retrouver les mêmes faiblesses que dans le précédent fait que mon jugement est assez sec et que je suis un peu déçue. Cette lecture ne m'a apportée aucune émotion, pas de réflexion, je l'ai trouvé très lisse...
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Nous aurions pourtant juré que les plaques de plâtre n’étaient pas en carton, et que les appartements étaient délimités par des murs porteurs en béton. En vérité, le cloisonnement n’arrêtait pas le bruit, il ne servait qu’à répartir l’espace de vie entre chacun des voisins. Par ce constat, je démontrai l’évidence même : l’immeuble entier rassemblait une unique communauté d’individus qui se retrouvaient privés de leur pudeur, et contraints de révéler leur quotidien à l’inconnu du dessous, du dessus, et du palier voisin.
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Car l’homme menait une lutte acharnée contre son ennemi intime : le temps. Inlassablement, ce dernier s’attaquait à ce qui était bâti, désireux d’en venir à bout. L’éphémère était son œuvre, l’être humain n’était que de passage, et la vieillesse se chargeait de l’emporter une fois qu’il avait suffisamment vécu. Le temps, lui, n’était en revanche pas soumis à cette contrainte, il détenait en effet un pouvoir divin, celui de ne jamais être altéré, et de perdurer au-delà de la mort. Le temps était une valeur précieuse, immortelle, que personne ne pouvait contrôler. La seule échappatoire existante était de s’y soumettre en acceptant sa suprématie. Mais si le vieillissement était une réalité inéluctable, il était néanmoins possible de mener sa vie de la meilleure manière qui soit.
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Car plongé dans une lecture, le lecteur oubliait ce qui l’entourait, l’esprit accaparé par l’intrigue. C’était cela, la magie des livres : faire passer la réalité au second plan. L’histoire échafaudait autour de lui son propre univers, avec précision et amour du détail. La beauté des phrases offrait le rare privilège de rêver éveillé, tout en octroyant la possibilité de mettre un terme à son escapade, dès lors qu’il choisissait de fermer le livre.
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Car plongé dans une lecture, le lecteur oubliait ce qui l'entourait, l'esprit accaparé par l'intrigue. C'était cela, la magie des livres : faire passer la réalité au second plan.
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Souvent, les hommes commettaient l’erreur de me sous-estimer. La plupart ne jurait que par le gabarit, et en oubliait son importance secondaire. Car l’apparence ne servait qu’à susciter un préjugé, et ne révélait pas la nature de l’âme.
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