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EAN : 9782371140714
171 pages
Envolume (06/01/2020)
3.96/5   14 notes
Résumé :
Les mensonges laissent leurs traces sur nos histoires de vie, comme l'écume sur la mer. Lorsque Fabienne demande à ses quatre enfants d'accompagner le corps de leur père vers son dernier voyage, de Marseille à sa Corse natale, l'un d'eux n'est pas au rendez-vous. Peut-on en finir avec les tricheries de l'existence ? Comment se délester du poids du secret ? Un roman désarmant sur une famille corse, ses paradoxes, ses déchirures. Un livre inoubliable et universel sur ... >Voir plus
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Je remercie François des éditions Envolume pour l'envoi du roman » La traversée des mensonges « de Joseph AGOSTINI paru en ce tout début d'année 2020.

Joseph AGOSTINI est psychologue clinicien, chroniqueur sur RTL et au Huffington Post. Il traque l'inconscient à travers ses différents essais littéraires et ses pièces de théâtre. Il est l'auteur de Dalida sur le divan, Gainsbourg sur le divan, Manuel d'un psy décomplexé et Manuel pour en finir avec la mort aux éditions Envolume.

La famille Santini se retrouve à la morgue de Marseille suite au décès de Claude, le père. Fabienne a une dernière faveur à demander à ses quatre grands enfants : accompagner le corps de leur père dans une ultime traversée vers Ajaccio. Mais en ces instants si propices à la solennité et au recueillement, ce voyage devient le terrain des règlements de comptes. Les langues se délient, comme trop longtemps contenues.
p. 11 : » Je m'appelle Thomas Santini, j'ai trente-six ans et je suis cardiologue à Bastia. J'ai deux enfants, Maé et Virginie, de respectivement trois et six ans. Je les ai eus avec une femme formidable, Chloé, gynécologue à Pietranera, à deux pas du centre-ville. Nous nous sommes connus pendant nos études, je suis resté avec elle dix-sept ans de ma vie. Et puis, un beau jour, je suis tombé amoureux de sa meilleure amie, Véronique. «
Or, voilà, quoi de plus embarrassant et de plus culpabilisant que de s'envoyer en l'air avec sa maîtresse lorsque l'on apprend le décès de son père ? A priori, pas grand chose, si ce n'est que ça n'est que la partie émergée de l'iceberg ! Lui qui a été si longtemps la fierté de ses parents, le fils prodigue, on peut dire qu'il a fait voler en éclats cette image !
p. 13 : » Véronique n'a plus voulu me revoir pendant six mois. Elle ne m'a donné aucune nouvelle. Pas un texto, rien. Je me disais qu'elle me tenait pour responsable de la mort de Jean-Christophe. Et j'avais fini par me persuader qu'elle avait raison. J'avais honte, je me sentais comme la dernière des merdes. «
C'est Nina qui retrouve en premier Fabienne et Thomas à la morgue.
p. 17 : » Je m'appelle Nina Santini, j'ai trente-trois ans, je suis professeure des écoles à Lyon, je roule en MiniCooper et j'écoute Chérie . La veille de la mort de mon père j'étais allée au théâtre avec ma femme Samira, voir La Cantatrice Chauve d'Eugène Ionesco. «
Lesbienne, mariée à Samira, arabe, philosophe et aveugle ! Il n'en fallait pas moins pour bousculer cette famille corse raciste et homophobe ! Mais cet éloignement n'a pas été sans conséquences…
p. 17 : » Les pensées de Nina s'enchaînent sans qu'elle puisse les arrêter, comme si elles étaient prises dans un noeud logique implacable. Elle prend conscience qu'elle a, tout au long de ces mois, donné tout pouvoir à Thomas, en lui laissant la mission de sauver leur père et ne doutant absolument pas de sa capacité à y parvenir ! «
C'est dans un état d'esprit empli d'une grande contrariété que la famille se résout finalement à prévenir Georges, l'aîné de la famille, parti vivre en Inde.
p. 33 : » – Tu as raison, murmure Fabienne. Préviens Georges, dis-lui de nous rejoindre. Moi, je n'ai pas la force de l'appeler. Quand on se fâche avec quelqu'un, c'est vrai qu'on ne va pas à ses obsèques. Mais quand ce quelqu'un est son père, c'est différent. Il faut qu'il vienne. Sinon, il risque de le regretter toute sa vie. «
Mis à la porte de la maison à l'âge de dix-sept ans par son père, Georges n'a cessé de revendiquer son appartenance au nationalisme corse.
p. 89 : » On avait tous un grain dans cette famille. Moi, le premier. Je ne m'en étais jamais caché. le nationalisme, c'est quoi ? Juste un truc pour vous dire merde ! «
Le dernier a rejoindre la fratrie est Francescu, schizophrène.
p. 103 : » […] avoir eu un enfant schizophrène, ça n'a pas été simple. Ils ont dû être déçus. C'était même peut-être à cause de moi que mon père, il préférait les plantes. »
Alors, entre les dernières formalités administratives et l'embarquement pour cet ultime voyage avec leur père vers sa Corse natale, le lecteur assiste à des échanges particulièrement houleux. Entre le franc parlé de Nina, l'instabilité psychologique de Fabienne, la psychorigidité de Thomas qui éprouve le besoin de tout contrôler et l'imprévisibilité du fils schizophrène, on a là un cocktail explosif de retrouvailles familiales corses. Une vraie psychothérapie familiale!
Toute l'ingéniosité de Joseph AGOSTINI réside dans le fait que le lecteur se retrouve malgré lui propulsé dans ce huit-clos familial, sous haute tension. Impossible de ne pas se retrouver dans certaines scènes ou situations et cela prête franchement à sourire. Très rythmé par des dialogues percutants, presque théâtraux, l'auteur met en avant tout le paradoxe de l'entité familiale, capable du meilleur comme du pire.
Lien : https://missbook85.wordpress..
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Un homme de soixante douze ans meurt d'un cancer généralisé à l'hôpital de la Timone. Sa femme, la mère de ses quatre enfants, l'a accompagné pendant les douloureuses journées précédant sa mort. Très affectée par cette perte, elle se tourne vers ses enfants pour trouver du réconfort, préparer les obsèques et le rapatriement du défunt en Corse.

Rien de choquant ou d'inhabituel dans ce scénario, somme toute plutôt banal.
Reste donc à trouver les ingrédients qui vont venir pimenter le récit. Il faut que le lecteur en ait pour ses sous. Il faut rajouter une bonne dose d'hystérie maternelle, de jalousie fraternelle, des vieilles rancunes, de l'adultère et quelques actes criminels, le tout assaisonné de folklore corse, en version originale dans le texte.
Pour cette recette, prenez un fils nationaliste et caractériel, misanthrope et vindicatif. Un deuxième fils, brillant cardiologue, rongé par la culpabilité, responsable du suicide de son meilleur ami. Une fille lesbienne, mariée à une philosophe non-voyante. Un petit dernier obèse et schizophrène, probablement adultérin.
Secouez bien le mélange, ajoutez une louche de cynisme, une bonne dose de vulgarité et trois doigts de misogynie bien lourde. Voilà pour l'histoire.

Parlons maintenant du style, tout aussi affligeant. Un exemple au hasard: "En apprenant les circonstances de la mort de Jean-Christophe (le suicidé), Fabienne et Claude (les parents) furent immédiatement convoqués dans la stupeur et la colère." Autre extrait: "Elle n'est pas conne, Chloé. Mais allez savoir...Elle ne voulait pas ouvrir la boite de Pandore et regarder dedans, par peur sans doute d'y trouver la chatte de Véronique et un speculum."
La concordance des temps est passée par pertes et profits, et certains paragraphes sont construits à la va comme j'te pousse. Sans parler des incongruités qui émaillent le texte.

Il a fallu m'armer de courage pour poursuivre cette lecture jusqu'au bout. Cherchant en vain une raison de m'émouvoir et de compatir avec ces personnages hautement antipathiques, je les ai laissés partir vers leur cimetière Corse en souhaitant qu'ils y restent en famille.

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"La traversée des mensonges" est un huis clos familial assez pesant, mais qui ne ferme pas la lecture : la construction de l'histoire avec le décès du patriarche au début du livre jusqu'à la fin, le fil conducteur étant d'emmener le corps du défunt Claude depuis Marseille jusqu'en Corse, donne la voix à différents protagonistes. L'épouse, Fabienne, les enfants Thomas Nina Georges et Francescu, ou encore leurs épouses/compagnes, prennent tour à tour la parole pour raconter leur vérité, ce qu'ils ressentent et comment ils voient les choses. Les chapitres sont entrecoupés des moments de cette journée où le lecteur observe alors le jeu des vérités et des mensonges. 

J'ai découvert Joseph Agostini avec ses essais : sur la maladie mentale, la mort, sur un entretien ou encore Gainsbourg. Ce qui est confirmé par ce premier roman, c'est cette plume précise, qui prend le lecteur et nous empêche de poser le livre. Pas de superflus, mais un vrai plaisir de lire, égrenant les pages sans même s'en rendre compte.

La construction en chapitre entre la présentation de la journée marathon depuis la mise en bière et les témoignages, donne un rythme à la lecture. La formation en psychologie de l'auteur apporte un plus aux personnages : ils sont entiers, très bien décrit avec leur force et leur faiblesse. En très peu de pages, on arrive à cerner leurs personnalités, leurs souffrances.

Et il y a l'ensemble de ces non-dits, ces demis mensonges et/ou vengeances. Je vais jusqu'à utiliser ce terme même s'il n'est pas évident au premier abord, mais à la dernière page, on a quand même la gorge serrée d'une décision prise par l'un des protagonistes.

Un personnage très présent est cette île, la Corse. Elle est un lien, une terre d'identité pour certains dont le nationalisme a joué un rôle important. 

Dans nos familles, il existe des secrets ou des choses qui ne sont pas forcément partagées ou omises à raison. On se prend quand même l'histoire en pleine figure, elle réveille des souvenirs, et au final nous fait même réfléchir... Nous ne sommes que des êtres humains et la vie est si courte...

En bref : un premier roman réussi, avec un rythme soutenu et qui donne à réfléchir sur nos propres non dits familiaux 
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Crissures sur les vitres gercées de givre. Clairvoyant, subtil « La traversée des mensonges » est un huis-clos familial, relevé, intuitif. L'aérienne posture de la trame est un enchantement. Ciselée, maîtrisée, légère, elle rend grâce au lecteur. Affirme un auteur Joseph Agostini, digne d'un génie évident. Sans lourdeurs, lassitudes, l'histoire est une envolée polyphonique, unique. Pourtant, ce jeu des 7 familles est commun à beaucoup. Chacun (e) trouvera sa propre carte. Cette traversée des mensonges est un saut dans les flaques des non-dits. Des portes qui claquent sous un courant d'air vif. Des règlements de compte, et plus que tout, des protagonistes en proie aux névroses. Les verres volent en éclat. Cette fratrie dont la fierté est dans une contemporanéité de renom. « La traversée des mensonges » pointe du doigt là où ça fait mal. Ce nectar familial se déguste comme du petit lait. Joseph Agostini est doué, très. On ressent cette ampleur d'orfèvre qui se donne. Délivre des mots sur maux. Cette traversée des mensonges est calme et trompeuse. Nous sommes dans une histoire intime où les voix résonnent en nous. le père, Claude décède. Détonateur d'une traversée existentielle. Cet homme au caractère bien trempé, un peu réactionnaire voire beaucoup, est intransigeant et dur. Sous cette paroi aride où se cache la forêt aux feuillages de tendresse. Il faudra attendre l'arrivée des petits-enfants, l'attrait d'un jardin nourricier pour découvrir sous les écorces, ce père corse, altier mais fissuré. Un père de tous les drames, emblème d'une Corse qui s'entredéchire, rude, aux mystères de plénitude. Dans la famille je demande la mère, Fabienne. Névrosée, au passé lourd d'un drame accouché de l'enfance, caricature d'une femme en proie aux angoisses, perdue. Elle aura toute sa vie durant essayé de raccommoder les trous dans la nappe du faux-semblant. Peine perdue. Les enfants ne sont plus. Adultes devenus, affirmés, cabossés. Portant sur leurs dos les affres d'une éducation rigide. Eaux troubles d'une traversée ultime. Les vérités vont éclater. L'enfance a disparu. La mère n'a plus de prise. Et, c'est là, le drame de toutes vies. La séparation avec la matrice, avec ce générationnel bafoué qui ne sera jamais le sceau d'une glorieuse famille. On reste accroché à la rive de ce sublime récit. de ce fils Georges, fil rouge de l'histoire. Mon préféré. Invisible sur le bateau. Fantôme présent, avocat à la ville, le mouton noir des Santini. « Pendant mes études de droit à Corte, j'ai hébergé des fugitifs, ceux que vous appelez les terroristes, en oubliant que le terrorisme, le vrai, c'est celui de cet Etat français qui vole, qui meurtrit. Car en famille ou en politique, il n'y a pas plus grand crime que le paradoxe. Mettre sous perfusion une île et la traiter d'assistée dans un même mouvement. » On cherche Georges dans notre moi le plus profond. « La traversée des mensonges » éloigne les mirages, approuve l'adversité. Ce kaléidoscope d'une fratrie corse dans son apogée est une fine analyse psychologique, où persiste les flots des rancoeurs. le déni d'une enfance castratrice, les douleurs assassines, le lâcher-prise avec les souvenirs heureux qui font que le pardon ne peut advenir. « La traversée des mensonges » est un antidote, son pouvoir est immense. D'un réalisme fou, il est une histoire pour les grandes personnes. Et c'est là le magnifié d'un voyage qui emporte tout sur son passage. Il incite à l'ouverture et donne les clefs. Publié par les majeures Editions Envolume, ce premier roman d'un maître des essais : (« Dalida sur le divan », « Gainsbourg sur le divan » et « Manuel d'un psy pour en finir avec la mort », psychologue clinicien et chroniqueur sur RTL et au Huffington Post, nous offre une belle leçon de vie.
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Bof bof bof... autant j'ai aimé Gainsbourg sur le divan que ce court roman sur le deuil d'une famille m'a laissé de marbre.
Il est vrai que l'écriture de Joseph Agostini est belle et agréable à lire. Que la maison d'édition Envolume (que je remercie de nouveau pour cette lecture) fait un super beau travail avec ce livre qui est très beau esthétiquement comme d'habitude.
Mais pour le contenu, l'histoire et les protagonistes... non! ça ne m'a pas vraiment plu.
Aucuns personnages ne m'a plus accroché qu'un autre... hormis le malheureux défunt et la pauvre maman qui doit se coltiner des enfants aussi idiots les uns que les autres. Je ne comprends pas comment on peut se retrouver dans ce genre de personnages... Leurs idées fantaisistes et déplacées, leurs façons de se regarder le nombril... c'est peut être la volonté de l'auteur d'ailleurs de montrer des gens tête à claque ? Peut être, mais pour moi, ce n'est pas ce que j'attends d'une lecture! Ne serais-ce qu'un minimum de possibilité pour s'identifier à untel, à compatir pour lui, à m'insurger contre elle, ou même à détester celui là. Mais là, je n'ai eu que de la pitié pour leurs tristes vies qui me semblent vide de sens...
Une chose que j'ai aussi eu en horreur! C'est l'impression que l'auteur balançait ses connaissances dans les dialogues avec des citations ou des anecdotes qui tombaient sans vraiment de logique en plein milieu d'un discours.
Bref, pas un coup de coeur pour ma part.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Elle m'a écrit: "J'ai besoin de te voir." Un truc tout con, laconique. J'ai couru. Il était vingt-deux heures deux. Je suis arrivé chez elle treize minutes plus tard. Ses enfants étaient chez leur grand mère, on a fait l'amour comme la première fois dans mon cabinet. Comme si tous ces jours d'attente trouvaient leur finalité dans cet acte au fond de sa cuisine, au milieu du lait, de la farine et des casseroles (elle venait de manger une purée). On a baisé trois, quatre fois dans la nuit. Elle en redemandait. Mon portable était sur silencieux. Il est resté sur une petite table en inox jusqu'au matin. Vers sept heures, j'ai vu les sept appels manqués de ma mère. J'ai entendu sa voix chevrotante sur la messagerie. J'ai compris direct. J'ai appelé, elle m'a dit que papa était mort.
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Fabienne pensait alors aux blagues salaces au sujet d'Auschwitz ou du petit Grégory. Elle eut un mouvement d'effroi. Le temps passant, l'événement le plus monstrueux, le plus aberrant, devenait communicable. Parodiable même. Les mots prenaient l'horreur dans leur sillage. Ils la relativisaient, la tanaient, la rendaient comestible.
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Qui t'as tué, Papa ? Thomas, qui fait se jeter les autres par la fenêtre ? Nina, qui se prenait pour Zidane quand elle avait douze ans ? Francescu, qui égorgeait tes canaris et tes peluches ? Ou ta femme, qui n'a eu que deux grands amours : la mort et Daniel ? quelle importance ? J'avais passé ma vie à vouloir qu'on me donne raisonner désormais, j'avais raison. Raison d'avoir tort.
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- C’est quoi le soleil ? demande Nina à Samira.

- Le soleil, c’est la chose qui t’aveugle quand tu t’en approches mais qui te rend sourd quand tu t’en éloignes.
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L’amour, c’est donner ce qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas.
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