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Les chroniques d'Edward Holmes e... tome 5 sur 16
EAN : 9782264073242
576 pages
10-18 (16/05/2018)
4.04/5   42 notes
Résumé :
Au printemps de l’an de grâce 1424, la noblesse française lance sur la Normandie une grande offensive qui permettra au jeune Charles VII de bouter les Anglais hors de son royaume. C’est à ce moment qu’on tente d’empoisonner Jean de Lancastre, duc de Bedford et régent de France. Appelé à Évreux pour enquêter sur cette criminelle entreprise, semble-t-il ourdie par Yolande d’Aragon, belle-mère du jeune roi, Edward Holmes comprend vite qu’elle est liée à l’assassinat de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Quatrième tome de la saga Edward Holmes et Gower Watson.⚔️


Après la mort d'Henri, Jean de Lancastre, duc de Bedford assure la régence du trône de France au nom de Henri VI, un bébé de quelques mois. Seulement les félonies ne tardent pas et Edward Holmes est convoqué auprès du duc afin de faire toute la lumière sur une tentative d'empoisonnement. Pour se faire, Edward Holmes accompagné de son fidèle ami Gower Watson doivent se rendre à Évreux. Entourés de Chabridel, un mercenaire à la solde d'Isabeau, d'une apothicaire, Coline maîtrisant l'art des poisons, les voilà sur les routes dangereuses. Leur périple les conduira à s'allier avec l'ennemi et même à devoir aider l'ennemi, dont Yolande d'Aragon et Jeanne de Barbazan...
Rapidement, Edward Holmes comprend que l'enquête menée est liée à l'assassinat de Jean sans Peur quelques années auparavant à Montereau...


Après Une étude en écarlate ; le chien des Basqueville et La ville de la peur, quel plaisir de retrouver notre duo intrépide dans une nouvelle aventure. Dès les premières pages, le lecteur est prévenu du changement de cadre : on quitte Paris pour se lancer sur les routes de France, dont celles conduisant à Évreux, Orléans et Montereau. Inutile de penser à savourer le voyage, les dangers sont partout. Entre les troupes ennemies, les écorcheurs, les dissidents, les pauvres prêts à tout pour gagner quelques sous pour survivre, le voyage n'a rien de bucolique. Au contraire, ce roman nous relate une épopée sanglante et périlleuse, où la moindre inattention peut conduire au drame.



Côté intrigue... je suis malheureusement quelque peu déçue. 😥 Entre l'enquête pour le duc de Bedford, celle pour Yolande d'Aragon puis les sous enquêtes ... je m'y perdais un peu, voire je ne savais plus où focaliser mon attention. Un récit trop alambiqué avec une multitude d'intrigues, de détails et de récits qui perdent le lecteur. de plus, l'épopée est tellement longue et croise tant de personnages amis ou ennemis qu'on s'y perd un peu si on ne maîtrise pas un tant soit peu L Histoire. Entre les alliances avec des Bourguignons, des Anglais, des Armagnacs... et les personnages de précédentes aventures faisant leur apparition... il y a de quoi être attentif.
L'action est également très lente et molle avec énormément de temps sur les routes, des échauffourées, des discussions variées... mais peu de réel suspens. Heureusement, l'arrivée à Montereau plonge nos personnages dans un final plutôt sympathique et effrayant.😈



Par contre, un grand merci à Jean d'Aillon pour la maîtrise du côté historique et son rendu dans le livre. 😃
Cette série permet d'une part de découvrir et de comprendre un pan de l'histoire de France, peu connue et étudiée, à savoir un pays sous l'autorité anglaise. D'autres parts, les descriptions des dangers sur les chemins, des contrastes entre les villes sous l'autorité anglaise croulant sous la pauvreté et la famine et les villes françaises riche et prospère est saisissant. Ne parlons pas non plus des pillages et trésors de guerre qui sont monnaie courante. Jean d'Aillon décrit les demandes de rançon, les fortunes qui se font et se défont en une bataille de manière passionnante.


Ce quatrième opus n'est pas mon préféré de la série. Je trouve l'intrigue trop lourde et lente. Par contre, ce roman annonce un grand changement dans les jeux de pouvoir et la fin de la mainmise des Anglais en France.


Un grand merci à Jean d'Aillon d'avoir eu l'idée d'un clin d'oeil à l'oeuvre de Conan Doyle avec son duo de détective connu et de happer ainsi le lecteur dans une bulle historique passionnante. Certes, les fans de Sherlock Holmes risquent de ne pas y trouver leur compte... mais ils pourront ainsi découvrir une autre époque.


Vivement le prochain volet des aventures d'Edward Holmes.🤩
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Le pont de Montereau doit être lu après La ville de la peur et le recueil de nouvelles consacré aux Exploits d'Edward Holmes. Outre les révélations (devenues une habitude), l'intrigue offre ici une continuité et il serait dommage de ne pas en profiter.

Cette fois-ci, Edward et Gower vont devoir quitter Paris. L'objectif pour eux est d'atteindre Bourges. Et cela tombe bien car le régent va leur offrir une mission qui va leur permettre de se rapprocher du dauphin. Cette mission, même si elle ne sert que de prétexte va servir l'essentiel de l'intrigue. L'enquête initiale de Holmes va passer au second plan avant d'être plus au moins oubliée... car probablement exploitée plus tard. Une troisième quête, opportune (peut-être trop même) viendra encore complexifier l'histoire.

Il s'agira ici moins d'une enquête se déroulant dans un contexte historique que d'une aventure. Holmes va être confronté à bien plus fort que lui. Outre les puissants déjà évoqués, d'autres seront également de la partie. Dommage que la quatrième de couverture en dise aussi long. Il s'agit assurément d'un bon roman historique, malgré les libertés prises.

Il va être question de gens de pouvoirs, de trahisons, de coup fourrés... mais aussi de sorcellerie et de liens avec le malin. le tout est habilement mené ne laissant pas le temps au lecteur de se reposer ne serait-ce que quelques instants.

Les personnages sont l'autre force du volume. Certains habitués seront laissés de côté au profit d'autres têtes, bien connues ou nouvellement arrivées. En tout cas, ils ne seront pas épargnés et le lecteur non plus.

Voici un très bon cru, qui donnera envie de continuer avec cette série, même si le rapport avec le grand détective semble de plus en plus lointain.
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Été 1428. La guerre de Cent ans. Passionnés d'Histoire,  ce livre est pour vous ! Attention, Jean d'Aillon est un méticuleux,  un expert.  Son livre est extrêmement documenté,  cela peut rendre un peu ardue la lecture à certains moments.  En effet,  la situation politique en 1428 est particulièrement compliquée. Entre Armagnacs et Bourguignons,  entre ceux qui ont choisi le camp du Dauphin futur Charles VII (sacré un peu plus tard par Jeanne d'Arc) et ceux qui sont du côté du duc de Bourgogne et de l'Angleterre...  Je ne vais pas vous faire la liste des provinces françaises occupées par les Anglais, mais sachez que c'est plutôt complexe.  En outre, Jean d'Aillon utilise le vocabulaire précis quant aux vêtements,  armes et lieux. Il restitue ainsi parfaitement l'époque,  l'ambiance et la violence permanente qui règne dans la "doulce France" de Jeanne la Pucelle. On y est trucidé chez soi ou lors du moindre déplacement d'une ville à l'autre. Joyeuse ambiance !  
Cela dit, de quoi s'agit-il ici? On est dans la collection Grands Détectives,  mais les enquêtes de frère Cadfael (Ellis Peters) ou le nom de la Rose  (Umberto Eco) sont plus près du polar que cette histoire. Les héros Holmes et Watson (oui, Jean d'Aillon s'amuse, il y a même un volume intitulé le chien des Basqueville, et je vous laisse deviner les autres références)... Les héros donc vont sillonner la France pour résoudre 3 mystères plus ou moins liés : qui est responsable de l'assassinat du duc Jean sans peur à Montereau, qui cherche à empoisonner le britannique duc de Bedford régent de France et qui est cette enfant mise en nourrice à... Domrémy !  On mélange faits historiques et roman avec un vrai savoir faire. On croisera aussi Gilles de Rais ( l'effroyable mais réel assassin d'enfants à l'origine du mythe de Barbe-Bleue), Lucifer, une sorcière,  des comédiens ambulants, de preux chevaliers et de gentes damoiselles.
Je ne vous cache pas que j'ai trouvé cela un peu longuet, il faut lire à peu près 400 pages pour que cela commence réellement à devenir palpitant. Mais Jean d'Aillon réussit la performance de rendre ses personnages attachants et on finit par avoir envie de les fréquenter encore en lisant la suite de cette histoire ou leurs précentes aventures. On peut cependant lire celui-ci sans avoir lu les autres  (l'auteur est prolifique,  plus de 45 volumes ). Alors, si cette période précise  vous passionne, allez-y, sinon mieux vaut vous abstenir il y a tant à découvrir de par ailleurs. 😊 et pourquoi pas cet auteur sur d'autres périodes de notre Histoire... 
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Printemps 1424. le clerc Edward Holmes accompagné de son fidèle Gower Watson sont solliciter pour découvrir qui a voulu empoisonner Jean de Lancastre (également appelé duc de Bedford, c'est le 3ème fils d'Henri IV): un anglais et actuel régent de France.
Edward Holmes découvre que cette tentative est liée à l'assassinat de Jean sans Peur à Montereau, cinq ans auparavant.
Il part en quête de la vérité avec Watson mais aussi une troupe héréroclite :
- Jeanne de Barbazan, la fille d'Arnault Guilhem de Barbazan "le chevalier sans reproches" : un "Armagnac" qui se retrouve accusé du meurtre de Jean sans peur et enfermé à Château-Gaillard,
- Chabridel, un mercenaire dévoué à Isabeau (l'épuse du roi dou Charles VII : c'est lui qui a assisiné Jean sans peur dans le roman)
- de Coline, une apothicaire maîtrisant l'art des poisons,
et de bien d'autres compagnons de routes et d'infortune...

Au gré de ses multiples enquêtes (sur l'empoisonnement, puis l'interrogatoire avec le chevalier de Barbazan qui était présent lors de la mort de Jean sans peur), Holmes, toujours muni de lettres de passage et de sauf-conduits car il doit faire face soit aux Bourguignons, soit aux Armagnac durant ses trajets, finit par découvrir les véritables investigateurs de la mort de Jean sans peur.

********************


Avec une écriture fluide, ajoutant de nombreuses descriptions (parfois horribles) mais non dénuée d'humour, Jean d'Aillon mène une nouvelle fois, tambour battant, une enquête (presque policière) dans une France en désarroi face aux seigneurs les plus puissants qui désirent toujours s'enrichir au détriment de la bonne marche de la société (pillage, meurtres, etc...).
L'occasion pour le lecteur de remettre à jour ses souvenirs d'histoire de France (classe de CM1 autant dire un bail !).
Je suggère dés le début, une petite prise de notes afin de faciliter la suite et de savoir "qui est avec qui" car, avec les nombreuses factions, j'avoue que l'on s'y perd.
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J'ai eu tellement de mal à rentrer dedans. Obligée de le poser un (long) moment et, du coup, impossible de dire si c'est l'entame qui est trop molle ou si c'est moi qui avais la tête ailleurs. Mais j'y suis revenue et tant mieux parce qu'avec l'assassinat de Jean Sans Peur comme pivot, ce volume est un des plus intéressant. Quand on arrive à bien suivre qui est bourguignon, armagnac, repenti, traître, et tout le tintouin ; ça aussi, ça m'a pris un moment. Mais loin de ses lettres de rémission et de l'administration pesante de la Reine Isabeau, Holmes nous gratifie enfin d'un peu d'action. Même beaucoup. Il y a du sang et des pleurs. Des amis qui changent de camp, des ennemis qui se rallient. Bref, le temps ne change rien à l'affaire, Jean Sans Peur ne sort pas de son cercueil, mais une guest star démoniaque vaut sacrément le détour !
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
[La troupe après un long périple arrive à Orléans]

Progressant lentement, Edward avait le loisir d'observer les maisons. La plupart étaient construites en pierre avec des façades aux pans de bois peints et sculptés de façon raffinée. Poteaux et encadrements de fenêtres étaient également ciselés. Toutes disposaient de boutiques aux étals bien approvisionnés et dont les marchands n'hésitaient pas à interpeller le chaland. Le clerc [Holmes] songeait au prodigieux contraste entre cette riche cité et Paris. Dans la capitale régnaient la misère et la famine, tandis qu'ici, ville armagnaque, la prospérité s'affichait avec insolence. Cette dissemblance prouvait que la guerre avait surtout ruiné le Parisis, la Picardie, la Champagne et la Normandie, où la présence anglaise ne provoquait que ravages et malheur. L'Angleterre ne profitait en rien de son occupation. Pis, en constatant cette opulence, Edward concluait que le roi de France trouverait toujours des ressources pour lever de nouvelles troupes, et qu'une défaite comme celle de Verneuil serait vite surmontée.
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[...] Quitter Paris impliquait de présenter à la garde des portes un laissez-passer du duc de Bedford, lequel assiégeait Gaillon. Au demeurant, le duc ne leur accorderait jamais un tel passeport et les ferait même emprisonner pour trahison s'ils le demandaient. Plusieurs Parisiens qui avaient essayé de se rendre au-delà de la Loire étaient désormais suspendus par le col à Montfaucon. En outre, un laissez-passer anglais ou le sauf-conduit de Yolande d'Aragon ne rendraient pas le périple moins périlleux. Entre la Seine et la Loire, toutes sortes de compagnies d'Armagnacs, de Bourguignons ou d'Anglais faisaient la loi. Les plus redoutables ne vivaient que des rapines et de pillages. L'indiscipline, la fureur, la méchanceté et le brigandage les commandaient. Quand ces fredains rencontraient des voyageurs, ils les dépouillaient jusqu'à la chemise et, quand ils ne les branchaient pas, ils les écorchaient pour s'amuser. Ne les nommait-on pas les écorcheurs ?
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Toute la nuit , d'âpres débats animèrent les occupants et les habitants de la ville . Ces derniers ne voulaient plus des Armagnacs qui les condamnaient inéluctablement à la famine ou à la mort . Car , nul doute qu'un siège serait épouvantable : Les Anglais étaient passés maîtres dans ce genre d'entreprise et chacun se souvenait de celui de Rouen conduit par Henri V : les habitants affamés avaient fait sortir femmes et enfants en suppliant le roi anglais d'être miséricordieux envers eux , mais le Lancastre n'avait pas cédé et les pauvres gens étaient tous morts de froid et de faim , ou tués par les flèches anglaises lorsqu'ils tentaient de gagner le camps des assiégeants .
Quant aux défenseurs , une fois la ville prise , ils avaient dû payer une énorme rançon et nombre d'entre eux pourrissaient toujours dans des cachots . P. 299
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- Maitre Holmes, messire Watson, je vous dois la vie et ma fortune. Vous m'avez sauvé en me prévenant des poursuites contre moi, il y a deux ans, et vous m'avez permis de revenir à Paris. Je crois être un homme fidèle et de parole, et vous me trouverez à votre service en toutes circonstances.
- Serez-vous fidèle au duc de Bedford ? s'ensuit sévèrement Watson.
- J'ai juré de l'être et je n'ai jamais failli à mes serments.
- Alors nous pourrons être amis, conclut Holmes en lui tendant un verre. Nous sommes anglais, et si nous souhaitons comme vous que cette guerre se termine, nous sommes avant tout des sujets de notre bon roi Henri VI.
- Comme roi de France ou comme roi d'Angleterre ? s'enquit Lallier.
Holmes n’hésita pas :
- D'Angleterre.
Le silence s'installa car le bourgeois mesurait l'importance de l'affirmation qu'il venait d'entendre.
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_ Mon frère était maréchal d'Angleterre . Il a été tué à Baugé , et ,mon père , baron de Roos , était un compagnon de Henri IV avant même que que ce dernier ne devienne roi . Mais je ne suis qu'un bâtard et , à la mort de mon frère , des membres de ma famille m'ont rejeté . Je me suis retrouvé seul et sans ressources à Paris .
Heureusement que j'avais Gower Watson , un ami fidèle ( il le désigna ) . P. 335
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Vidéo de Jean d` Aillon
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