Étonnants voyageurs
Cicéron végète à la terrasse de son troquet favori et observe les manoeuvres de
René qui recrute une intérimaire en haranguant la ménagère de moins de cinquante. Mais son attention est détournée par l'arrivée de Saint-Antoine qui a besoin de passer ses nerfs et aussi d'une aide en-dehors des clous de son administration.
Mauvaise nouvelle Gwendal a disparu de Saint-Malo, c'est le neveu de Mireille sa femme qui va lui mettre la pression. En effet le commissaire malouin
Hugo Buan n'est pas très déterminé à ouvrir le dossier, ce fils d'ostréiculteur aurait fait une escapade amoureuse avec Jordan disparu lui aussi, selon le patron du bar L'Univers, au coeur de la vieille ville.
Les accords passés avec le père,
Loïc le Goff, permet au détective de partir pour Saint-Malo avec Vaness' qui a droit à un congé exceptionnel et Momo. Ils seront hébergés chez le Goff.
Notre trio arrive à bon port et commence à engranger le plus d'éléments possibles et entre en contact avec le commissaire local, pas question de ne pas respecter les autorités.
Cicéron est un peu en retrait, très occupé à veiller sur sa compagne, limite, nous ferait-il une petite couvade ?
Mais pas d'inquiétude, lecteur vous arpenterez les lieux en long en large et en travers, et ce périple n'a rien de touristique, vous aurez droit à votre grand bol d'air iodé et à toutes les particularités malouines.
Ce qui devait être une enquête presque de routine, devient hors normes lorsque
René débarque avec tambour et trompette.
Ce bougre qui a quelques jours de vacances sans sa Paulette a bien l'intention d'en profiter et de se rendre indispensable.
Les Malouins ont beaucoup d'humour, la première émotion de la découverte passée, je les ai trouvés très adaptables au style particulier de notre zigoto.
Seul point commun avec le lieu le prénom, avec le plus célèbre des Malouins
Chateaubriand, mais en creusant
René n'est pas dépourvu de poésie, à sa manière très particulière et pleine de fantaisie, il a l'art de faire croire qu'à lui seul il possède tout le sel de la Bretagne.
Croyez-moi sur parole il n'y a pas que
Chateaubriand qui, de son tombeau, semble poursuivre la conversation.
Si vous voulez vivre la grande aventure ce tome 17 vous dépaysera mais la saveur est toujours aussi indéfinissable sauf pour les véritables gourmets.
« Les moments de crise produisent un redoublement de vie chez les hommes. »
Chateaubriand
©Chantal Lafon
Cicéron végète à la terrasse de son troquet favori et observe les manoeuvres de
René qui recrute une intérimaire en haranguant la ménagère de moins de cinquante. Mais son attention est détournée par l'arrivée de Saint-Antoine qui a besoin de passer ses nerfs et aussi d'une aide en-dehors des clous de son administration.
Mauvaise nouvelle Gwendal a disparu de Saint-Malo, c'est le neveu de Mireille sa femme qui va lui mettre la pression. En effet le commissaire malouin
Hugo Buan n'est pas très déterminé à ouvrir le dossier, ce fils d'ostréiculteur aurait fait une escapade amoureuse avec Jordan disparu lui aussi, selon le patron du bar L'Univers, au coeur de la vieille ville.
Les accords passés avec le père,
Loïc le Goff, permet au détective de partir pour Saint-Malo avec Vaness' qui a droit à un congé exceptionnel et Momo. Ils seront hébergés chez le Goff.
Notre trio arrive à bon port et commence à engranger le plus d'éléments possibles et entre en contact avec le commissaire local, pas question de ne pas respecter les autorités.
Cicéron est un peu en retrait, très occupé à veiller sur sa compagne, limite, nous ferait-il une petite couvade ?
Mais pas d'inquiétude, lecteur vous arpenterez les lieux en long en large et en travers, et ce périple n'a rien de touristique, vous aurez droit à votre grand bol d'air iodé et à toutes les particularités malouines.
Ce qui devait être une enquête presque de routine, devient hors normes lorsque
René débarque avec tambour et trompette.
Ce bougre qui a quelques jours de vacances sans sa Paulette a bien l'intention d'en profiter et de se rendre indispensable.
Les Malouins ont beaucoup d'humour, la première émotion de la découverte passée, je les ai trouvés très adaptables au style particulier de notre zigoto.
Seul point commun avec le lieu le prénom, avec le plus célèbre des Malouins
Chateaubriand, mais en creusant
René n'est pas dépourvu de poésie, à sa manière très particulière et pleine de fantaisie, il a l'art de faire croire qu'à lui seul il possède tout le sel de la Bretagne.
Croyez-moi sur parole il n'y a pas que
Chateaubriand qui, de son tombeau, semble poursuivre la conversation.
Si vous voulez vivre la grande aventure ce tome 17 vous dépaysera mais la saveur est toujours aussi indéfinissable sauf pour les véritables gourmets.
« Les moments de crise produisent un redoublement de vie chez les hommes. »
Chateaubriand
©Chantal Lafon
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