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Robert Kopp (Éditeur scientifique)
EAN : 9782070370245
352 pages
Gallimard (21/04/1978)
  Existe en édition audio
3.85/5   119 notes
Résumé :
Dans une petite ville de province, Rose-Marie Cormon, vieille fille de quarante-deux ans, riche héritière, cherche à tout prix à se marier avant qu’il soit trop tard. Hésitant entre deux prétendants, incarnations politiques de l’ancienne France – le chevalier de Valois (vieux royaliste, coquet, sans le sou) et du Bousquier (libéral enrichi sous la République comme sous la Restauration) –, elle ignore qu’ils en veulent davantage à sa fortune qu’à sa vertu. Toute la v... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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" La vieille fille " est un roman d' Honoré de Balzac , roman qui fait partie de la série de la Comédie humaine . Sa parution date de l' année 1837 . le récit se déroule dans la ville d ' Alençon . l'' auteur nous laisse voir les rivalités sociales , politiques et financières dans les différentes couches de la société . Balzac , dresse ici un tableau noir , satirique , caricatural et ironique de cette société provinciale de l' époque . Il n' est pas tendre envers elle et c' est le moins qu' on puisse dire
Nous sommes , en l' année 1816 , Rose Cormon femme de quarante-deux ans commence à désespérer car jusque là aucun homme ne s' est présenté à elle pour la demander en mariage . Cette femme issue de la bonne bourgeoisie , est disgracieuse pour ne pas dire qu ' elle est laide .Elle est ,aussi , l' une des plus riches personnes de la ville .
Une des tares de cette société est que les gens n'agissent que selon leurs intérêts , intérêts matériels et
financiers bien sûr.Alors cette vieille fille attend le prince
charmant qui voudrait bien d' elle .Deux hommes âgés ,
rusés, avides et cupides vont se lancer dans la compétition
pour soi-disant prétendre à la main de Rose .
le premier prétendant est le chevalier de Valois , royaliste dans le sang .
le deuxième prétendant est un homme rustre . Il est
républicain . Il s ' agit de monsieur du Bousquier .
Les deux prétendants sont l' antithèse entre passé et futur et se livrent une sourde lutte .
Mais il y a un troisième prétendant : il s' agit du jeune
homme , Athanase . Ce dernier est plus jeune que Rose .
Il n ' est guidé par aucun calcul ni intérêt . Il aime Rose
pour elle-même . C est un jeune homme probe et désire
se marier avec la vieille fille .
Rose , la vieille fille , a un grand désir , un rêve : c' est
se marier et surtout enfanter , avoir des enfants !
Son rêve se réalisera-t-il ?
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Ce livre forme avec le cabinet des antiques, un ensemble.
Le récit se situe à Alençon où l'on devine que se passe également le cabinet des Antiques. Certains personnages sont communs aux deux, bien que les noms soient différents.
Le titre est un peu trompeur, car l'on y fait plutôt le portrait de certaines figures locales comme le Chevalier de Valois royaliste, et du Bousquier, libéral. Tous les deux espèrent épouser Mademoiselle Cormon déjà quadragénaire, à laquelle le célibat pèse, mais qui ne se décide pas.
Monsieur de Valois, homme charmant mais très attaché à ses aises « Si quelqu'un venait prier monsieur de Valois de lui rendre un petit service qui l'eût dérangé, ce quelqu'un ne s'en allait pas de chez le bon chevalier sans être épris de lui, sans être surtout convaincu qu'il ne pouvait rien à l'affaire ou qu'il la gâterait en s'en mêlant. » veut épouser Rose Corman pour redorer son blason. Tandis que du Bousquet, déjà riche, beaucoup plus vulgaire d'apparence et de comportement, espère s'élever grâce à l'argent de la demoiselle.
Il existe un troisième prétendant, jeune homme pauvre mais éduqué, pourtant plus jeune que celle qu'il admire, réellement épris mais espérant tout de même pourvoir mettre ainsi sa vieille mère à l'abri du besoin.
Pas facile pour cette femme de vivre seule, de chercher un mari sans se couvrir de ridicule. Un épisode où elle s'empresse auprès d'un homme qu'elle croit célibataire l'oblige à quelques mensonges pour couvrir son comportement.
Le choix de Rose Corman, que je vous laisse découvrir sera malheureux.
On trouve dans ce roman le charme qu'y mettent un certain nombre de mots oubliés aujourd'hui tels eustache, godan,…
Ce titre ne fait pas partie des plus connus mais mérite qu'on s'y arrête.

Challenge 19ème siècle

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En ce début de 19ème siècle Alençon est une petite ville de province plutôt calme, à peine troublée par quelques tensions politiques, lointains échos de la vie parisienne. Mademoiselle Cormon, riche femme célibataire, y reçoit chaque soir une partie de la bonne société et organise chaque semaine un dîner. Vieille fille de 42 ans dont l'embonpoint lui a permis de conserver la fraîcheur de la jeunesse, elle vit avec son oncle, l'abbé de Sponde. Partagée entre sa piété et les tourments de la chair, elle souhaite se marier et avoir des héritiers mais la période est compliquée et l'âge avance…

Courtisée par un aristocrate libertin décati, le chevalier de Valois, et un bourgeois libéral, plus ambitieux que viril, du Bousquier, le coeur de la vieille demoiselle balance. Son troisième prétendant, Anathase, un jeune poète pauvre qui vit avec sa mère, est le plus désintéressé de tous mais son amour incompris finit en tragédie...Bref de quoi nourrir les commérages et les débats politiques et religieux d'une bourgade épargnée par les grandes crises de l'histoire mais pas par l'ennui…

"La Vieille fille" est parue en feuilletons dans "La Presse" qu'Emile de Girardin venait tout juste de fonder. Les critiques de la presse concurrente se sont acharnées contre le texte De Balzac jugé osé et scandaleux mais visaient surtout leur confrère qui accusait ses rivaux de propager de fausses nouvelles...la politique et la presse, deux domaines de lutte pour le pouvoir dont Balzac a décrit l'effroyable cynisme.
Bien des années plus tard, on se régale de l'ironie mordante de ce texte et on ne peut que constater l'erreur fatale de la pauvre Rose Cormon, peu préparée à affronter la réalité du monde, dans le choix de son mari.
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"La Vieille fille" est un roman, assez court d'ailleurs, d'Honoré de Balzac.
L'auteur du "Cabinet des antiques" y parle avec le brio qu'on lui connaît de la vie en province et des ambitions avortées.
L'histoire est simple, typique du XIXème siècle ; car c'est l'histoire d'un jeune homme, n'ayant pas conscience de la cruauté de la société, qui va se rendre compte de la cruauté des rapports sociaux…
Ici, tout est cruel, tout est arriviste, tout est froid, jusqu'à notre jeune homme ; avant Maupassant, Balzac avait déjà peint les vices et les cruautés de l'homme.
Comme souvent chez Balzac, la fin est sombre, dramatique, noire ; seuls les pires triomphent.
Comme souvent aussi chez Balzac, il y a dans ce texte un crescendo magistral, du début à la fin tragique.
Toutes les qualités de style, d'intelligence et de sensibilité de l'auteur du "Père Goriot" sont dans ce roman magnifique.
Il n'y a rien à redire, nous avons là un superbe roman !...
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Ah que j'ai aimé ce roman ! Il entre sans aucun doute dans mes favoris. J'ai eu envie de le lire parce qu'il traite du sujet du mariage et c'est un sujet que j'aime tout particulièrement chez Balzac car chaque fois il le traite avec une justesse passionnante (Eugénie Grandet, La maison du chat qui pelote, le bal de Sceaux, La vendetta, La bourse)
Ici on va découvrir Mademoiselle de Cormon, car la vieille fille c'est elle. Elle est issue de la bourgeoise, elle est riche, mais elle a 42 ans et est célibataire, et ça pour l'époque ce n'est rien de moins qu'une anomalie. Si au moins elle habitait Paris peut-être aurait-elle pu passer inaperçue, se fondre dans la masse, mais elle habite une petite ville de province, Alençon, alors c'est peu dire que tous les regards sont braqués sur elle.
Néanmoins elle est appréciée, elle connaît tous les habitants et tous les habitants la connaissent, elle est pieuse, aimable et elle reçoit chez elle régulièrement, bref elle est la châtelaine de la ville, et en tant que telle sa situation maritale anime bien évidemment le village. Mais ce que le village guette surtout c'est le choix qu'elle fera entre les deux prétendants qui s'agitent pour elle : le chevalier de Valois et Monsieur du Bousquier. Deux hommes autant aux antipodes que l'on puisse être ; le premier est un vieil aristocrate au style suranné hérité de l'ancien régime, le second est un républicain opportuniste et rustre. Mais il n'y pas qu'eux dans cette histoire, autour de la célibataire et des deux hommes, gravitent également d'autres personnages que l'on va découvrir car tous ensemble forment le tissu social et humain de cette scène de théâtre.
En fait ce roman c'est le roman du portrait. Portrait d'une ville de province, portrait d'une femme, portrait d'hommes, portrait d'oppositions, portrait de moeurs. Pour chacun des pans de cette histoire Balzac nous livre une présentation si précise qu'elle en est presque chirurgicale.
Et en même temps c'est un roman qui possède un formidable souffle romanesque, bourré de dialogues, d'évènements, et même pas mal de rebondissements, de l'humour et du drame. Mais ce que l'on constate le plus intensément, comme avec les romans cité plus haut, c'est ce terrible dilemme que le mariage implique pour les femmes. Choix à faire, choix difficile, choix impossible, choix d'amour ou choix de raison, même l'absence de choix est un choix. Et il semble que pour chaque choix ou non-choix la désillusion soit au bout du chemin, toujours.
Bref, un roman qui contient tout ce que Balzac sait faire de mieux. Un gros coup de coeur !
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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Monsieur de Valois se rapprocha de mademoiselle Cormon pour pouvoir lui donner le bras en la conduisant à la salle à manger. La vieille fille avait pour le chevalier une considération respectueuse ; car certes son nom et la place qu’il occupait parmi les constellations aristocratiques du Département en faisaient le plus brillant ornement de son salon. Dans son for intérieur, depuis douze ans, mademoiselle Cormon désirait devenir madame de Valois. Ce nom était comme une branche à laquelle s’attachaient les idées qui essaimaient de sa cervelle touchant la noblesse, le rang et les qualités extérieures d’un parti ; mais si le chevalier de Valois était l’homme choisi par le cœur, par l’esprit, par l’ambition, cette vieille ruine, quoique peignée comme le saint Jean d’une procession, effrayait mademoiselle Cormon : si elle voyait un gentilhomme en lui, la fille ne voyait pas de mari. [… ] Sans qu’elle s’en doutât, les pensées de mademoiselle Cormon sur le trop sage chevalier pouvaient se traduire par ce mot : – Quel dommage qu’il ne soit pas un peu libertin !
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Les époques déteignent sur les hommes qui les traversent. Ces deux personnages prouvaient la vérité de cet axiome par l'opposition des teintes historiques empreintes dans leurs physionomies, dans leurs discours, dans leurs idées et leurs costumes. L'un, abrupt, énergique, à manières larges et saccadées, à parole brève et rude, noir de ton, de chevelure, de regard, terrible en apparence, impuissant en réalité comme une insurrection, représentait bien la République. L'autre, doux et poli, élégant, soigné, atteignant à son but par les lents mais infaillibles moyens de la diplomatie, fidèle au goût, était une image de l'ancienne courtisanerie.
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* Ces deux vieux garçons étaient rivaux. Tous deux blottis dans leur idée, caparaçonnés d’indifférence, attendaient le moment où quelque hasard leur livrerait cette vieille fille (…/…) Les époques déteignent sur 1es hommes qui les traversent. Ces deux personnages prouvaient la vérité de cet axiome par l’opposition des teintes historiques empreintes dans leurs physionomies, dans leurs discours, dans leurs idées et leurs costumes. L’un, abrupt, énergique, à manières larges et saccadées, à parole brève et rude, noir de ton, de chevelure, de regard, terrible en apparence, impuissant en réalité comme une insurrection, représentait bien la République. L’autre, doux et poli, élégant, soigné, atteignant à son but par les lents mais infaillibles moyens de la diplomatie, fidèle au goût, était une image de l’ancienne courtisanerie. Ces deux ennemis se rencontraient presque tous les soirs sur le même terrain. La guerre était courtoise et bénigne chez le chevalier, mais du Bousquier y mettait moins de formes, tout en gardant les convenances voulues par la société, car il ne voulait pas se faire chasser de la place. Eux seuls, ils se comprenaient bien.

* Chacun des deux vieux garçons avait compris la situation dans laquelle allait être la vieille fille. Aussi tous deux s’étaient-ils promis de venir dans la matinée savoir de ses nouvelles, et, en style de garçon, pousser sa pointe. Monsieur de Valois jugea que la circonstance exigeait une toilette minutieuse, il prit un bain, il se pansa extraordinairement. Pour la première et dernière fois, Césarine le vit mettant avec une incroyable adresse un soupçon de rouge. Du Bousquier, lui, ce grossier républicain, animé par volonté drue, ne fit pas la moindre attention à sa toilette, il accourut le premier. Ces petites choses décident de la fortune des hommes comme de celle des empires…/… Un soupçon de rouge à mettre tua les espérances du chevalier de Valois, ce gentilhomme ne pouvait périr que de cette manière : il avait vécu par les Grâces, il devait mourir de leur main. Pendant que le chevalier donnait un dernier coup d’œil à sa toilette, le gros du Bousquier entrait au salon de la fille désolée. Cette entrée se combina avec une pensée favorable au républicain, à travers une délibération où le chevalier avait néanmoins tous les avantages. «Dieu le veut » se dit la vieille fille en voyant du Bousquier.
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En ce moment même, une jeune fille de seize ans, qui n'aurait pas encore ouvert un seul roman, aurait lu cent chapitres d'amour dans les regards d'Athanase ; tandis que mademoiselle Cormon n'y voyait rien, elle ne reconnaissait pas dans les tremblements de sa parole la force d'un sentiment qui n'osait se produire. Honteuse elle-même, elle ne devinait pas la honte d'autrui. Capable d'inventer les raffinements de grandeur sentimentale qui l'avaient primitivement perdue, elle ne les reconnaissait pas chez Athanase. Ce phénomène moral ne paraîtra pas extraordinaire aux gens qui savent que les qualités du cœur sont aussi indépendantes de celles de l'esprit que les facultés du génie le sont des noblesses de l'âme.

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* Elle était héroïque et immobile dans ses guimpes comme un soldat dans sa guérite.

* Mademoiselle Cormon marchait dans la voie du salut, en préférant les malheurs de sa virginité infiniment trop prolongée au malheur d’un mensonge, au péché d une ruse. Chez une fille armée de la discipline, la vertu ne pouvait transiger.

* Outre sa prédilection pour la noblesse, mademoiselle Cormon eut la manie très excusable de vouloir être aimée pour elle. Vous ne sauriez croire jusqu’où l’avait menée ce désir. Elle avait employé son esprit à tendre mille pièges à ses adorateurs afin d’éprouver leurs sentiments. Ses chausse-trappes furent si bien tendues que les infortunés s’y prirent et succombèrent dans les épreuves baroques qu’elle leur imposait à leur insu. Mademoiselle Cormon ne les étudiait pas, elle les espionnait.

* Elle avait eu recours à la religion, cette grande consolatrice des virginités bien gardées !

* Tous les soirs, en se retrouvant seule, elle songeait à sa jeunesse perdue, à sa fraîcheur fanée, aux vœux de la nature trompée ; et, tout en immolant au pied de la croix ses passions, poésies condamnées à rester en portefeuille, elle promettait bien, si par hasard un homme de bonne volonté se présentait, de ne le soumettre à aucune épreuve et de l’accepter tel qu’il serait. En sondant ses bonnes dispositions, par certaines soirées plus âpres que les autres, elle allait jusqu’à épouser en pensée un sous-lieutenant, un fumeur qu’elle se proposait de rendre, à force de soins, de complaisance et de douceur, le meilleur sujet de la terre ; elle allait jusqu’à le prendre criblé de dettes. Mais il fallait le silence de la nuit pour ces mariages fantastiques où elle se plaisait à jouer le sublime rôle des anges gardiens. Le lendemain, si Pérotte trouvait le lit de sa maîtresse c’en dessus dessous, mademoiselle avait repris sa dignité ; le lendemain, après déjeuner, elle voulait un homme de quarante ans, un bon propriétaire, bien conservé, un quasi jeune homme.

* Quoique son mariage fût essentiellement négatif, Mme du Bousquier y vit des avantages : ne valait-il pas mieux encore s’intéresser à l’homme le plus remarquable de la ville, que de vivre seule ? Du Bousquier était encore préférable aux chiens, aux chats, aux serins qu’adorent les célibataires.

* Les contrariétés de cette existence ainsi tiraillée finirent par hébéter madame du Bousquier, qui trouva plus simple et plus digne de concentrer son intelligence sans la produire au dehors, en se résignant à mener une vie purement animale.
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Vidéo de Honoré de Balzac
Deuxième épisode de notre podcast avec Sylvain Tesson.
L'écrivain-voyageur, de passage à la librairie pour nous présenter son récit, Avec les fées, nous parle, au fil d'un entretien, des joies de l'écriture et des peines de la vie, mais aussi l'inverse, et de la façon dont elles se nourrissent l'une l'autre. Une conversation émaillée de conseils de lecture, de passages lus à haute voix et d'extraits de la rencontre qui a eu lieu à la librairie.
Voici les livres évoqués dans ce second épisode :
Avec les fées, de Sylvain Tesson (éd. des Équateurs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23127390-avec-les-fees-sylvain-tesson-equateurs ;
Blanc, de Sylvain Tesson (éd. Gallimard) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310016-blanc-une-traversee-des-alpes-a-ski-sylvain-tesson-gallimard ;
Une vie à coucher dehors, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774064-une-vie-a-coucher-dehors-sylvain-tesson-folio ;
Sur les chemins noirs, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774075-sur-les-chemins-noirs-sylvain-tesson-folio ;
Le Lys dans la vallée, d'Honoré de Balzac (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/769377-le-lys-dans-la-vallee-honore-de-balzac-le-livre-de-poche.
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Conseil de lecture de : Pauline le Meur, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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