Je crois que, de la situation de marasme où nous sommes, il est non seulement possible mais même assez facile de sortir (…) C’est vrai qu’il est fréquent pour qui voit à peu près juste de n’être point entendu, Fréquent et désagréable. (…) C’est souvent quand tout paraît compromis que les choses commencent à se redresser (…) Je ne les ai jamais craintes et même j’ai du goût pour le parfum de la poudre (…) pour la première fois depuis longtemps, un projet cohérent et construit, qui ne ruse pas avec la réalité, qui s’explique franchement, peut se faire entendre (…) Je crois que tout peut changer, à condition de savoir ce qui doit changer (…) Les enfants sont pour la nation le meilleur des investissements (…) Je pense qu’il est une manière d’entraîner le peuple, défend-il. C’est de partager avec lui, non pas les programmes détaillés, prétendument mis au point par des groupes d’experts tous issus du même moule de la haute fonction publique, qui confondent gouverner et administrer, mais partager une volonté et une vision. (…) la clé de voûte de nos institutions, c’est la fonction présidentielle…
Fondamentalement, l'ordinateur et l'homme sont les deux opposés les plus intégraux qui existent . L'homme est lent, peu rigoureux et très intuitif .L'ordinateur est super-rapide, très rigoureux et complètement con .Faire coïncider les deux, le but est louable. Mais de là à y arriver ...
[Déclaration de Gérard Berry, professeur au Collège de France, titulaire de la chaire "Algorithmes, machines et langages", cité par François Bayrou au chapitre "Un nouveau monde", page 236 ] .
Un fragile qui marche va toujours plus loin qu'un fort qui reste assis.
Ce moment est venu : nos résolutions sont prises. Il convient de boucler notre sac, de ne pas oublier la bousolle et la carte.
François Bayrou répond aux questions de Jean-François Achilli (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Michel Dumoret (I>Télé) dans Dimanche soir politique (18h10 - 20 février 2011)