Portier de nuit, réalisé par Liliana Cavani en 1974, est un film que tous ceux qui l'auront vu à l'époque ont forcément en mémoire: Des souvenirs de
Charlotte Rampling, vêtue d'un uniforme nazi, qui y chante du
Marlene Dietrich seins nus, jeune femme juive provocante, à la merci des officiers S.S.
Un long métrage très controversé film dont le scandale vient notamment de l'alliance forcément sulfureuse entre nazisme et mise en scène sado-masochiste.
Le film a donné lieu à sa sortie en 1974 à une série de jugements scandalisés, générant de violentes controverses. et fit l'objet d'une censure en Italie.
Dans un récent essai autour de ce film, la philsophe Véronique Bergen analyse, plus de 40 ans après sa sortie et alors que le puritanisme et le conservatisme ambiant refont largement surface le point de vue de la réalisatrice italienne autant sur un plan autant politique que cinématographique.
Son livre a également pour dessin de réhabiliter largement le travail d'une réalisatrice trop sous estimée, alors même qu'elle était une des très rares femmes cinéastes de l'âge d'or du cinéma italien (la génération de Bertolucci ou Bellochio), et qui faut une cinéaste qualifiée par
Pasolini lui même de 'révolutionnaire et d'hérétique.'
Cet essai prouve à quel point sa caméra épousait les forces du désir, de la transgression et des soubresaults historiques. Portier de nuit, réalisé par Liliana Cavani en 1974, est un film que tous ceux qui l'auront vu à l'époque ont forcément en mémoire: Des souvenirs de
Charlotte Rampling, vêtue d'un uniforme nazi, qui y chante du
Marlene Dietrich seins nus, jeune femme juive provocante, à la merci des officiers S.S.
Un long métrage très controversé film dont le scandale vient notamment de l'alliance forcément sulfureuse entre nazisme et mise en scène sado-masochiste.
Le film a donné lieu à sa sortie en 1974 à une série de jugements scandalisés, générant de violentes controverses. et fit l'objet d'une censure en Italie.
Dans un récent essai autour de ce film, la philsophe Véronique Bergen analyse, plus de 40 ans après sa sortie et alors que le puritanisme et le conservatisme ambiant refont largement surface le point de vue de la réalisatrice italienne autant sur un plan autant politique que cinématographique.
Son livre a également pour dessin de réhabiliter largement le travail d'une réalisatrice trop sous estimée, alors même qu'elle était une des très rares femmes cinéastes de l'âge d'or du cinéma italien (la génération de Bertolucci ou Bellochio), et qui faut une cinéaste qualifiée par
Pasolini lui même de 'révolutionnaire et d'hérétique.'
Cet essai prouve à quel point sa caméra épousait les forces du désir, de la transgression et des soubresauts historiques.
Lien :
http://www.baz-art.org/archi..