Ella, jeune institutrice tombe dans sa classe et ressent des malaises inexpliqués. Elle a l'impression de ne pas aimer son métier, que les enfants détestent l'école.
Rose fait partie d'une lignée de femmes accoucheuses qui portent le même prénom avec une particularité ajoutée à chaque prénom commun. Elle décide de réinventer cet avenir qui lui est tout tracé.
Survient alors cette tragédie.
Deux femmes qui ont décidé de prendre leur vie en mains.
Comme dans
Mademoiselle Papillon ou
Archie, la maternité , l'école, la place de l'enfant sont présentes avec ce désir comme dans
Archie de changer l'école afin qu'elle soit moins formatée, plus adaptée à chaque enfant.
J'ai rencontré un problème dans ma lecture car
Alia Cardyn a une écriture poétique mais les thèmes développés sont presque techniques. La différence entre les deux a rendu la compréhension difficile pour moi, m'a empêché de capter l'histoire à fond. mon esprit s'évadait sans cesse.
J'ajoute que les citations en début de chapitre concernant Ella sont courtes et extrêmement bien choisies.
Je ne peux pas passer à côté de mon passage préféré, celui où Joséphine , institutrice plus ancienne dans l'école , dépasse les bornes en réunion et se fait recadrer par le directeur. elle représente le symbole de l'ancienne école.
À la fin du livre, on découvre la documentation que l'auteure a rassemblée et une liste d'extraits musicaux qui, on dirait , suivent une mode demandée par les éditeurs peut-être.
J'ai donc relevé des défauts, des qualités et mon avis reste mitigé.