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Aristophania tome 2 sur 4
EAN : 9782505086055
64 pages
Dargaud (31/10/2019)
4.01/5   127 notes
Résumé :
Basile, Victor et Calixte ont enfin retrouvé leur mère, Adèle Francoeur, mais dans un état très inquiétant. Le Roi banni l'a privée de son Azur et l'a recouverte de Calamyrhs, catalyseur puissant empêchant l'énergie de regagner son corps. L'état d'Adèle n'est cependant pas l'unique préoccupation d'Aristophania : la puissance des Calamyrhs inquiète le royaume d'Azur. Avec une telle arme en sa possession, le Roi banni pourrait aisément gagner la guerre qui se profile.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (29) Voir plus Ajouter une critique
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Deuxième tome de la série Aristophania, Progredientes, comme son titre obscur le montre pourtant, décrit les progrès que vont faire ou ne pas faire, Basile, Victor et Callixte, pris malgré eux dans une guerre de magicien entre le royaume Azur et le roi banni.
Les deux frères et la soeur sont sous la protection d'Aristophania depuis le premier opus, et alors que les forces obscures du roi banni se montrent de plus en plus puissantes, elle doit absolument permettre à ces trois enfants de découvrir leurs part d'Azur en eux. C'est à dire devenir de vrais magiciens. Mais cela ne s'apprend pas, cela se découvre. Et les enfants ne comprennent pas pourquoi elle leur donne des énigmes à percer et des travaux absurdes à réaliser. Comme si les enseignements de Monsieur Miyagi dans Karaté Kid rejoignaient celui de maître Yoda de l'Empire contre attaque.
Mais élevé dans un monde humain jusque-là, les trois enfants sont-ils réellement les derniers espoirs de l'Azur comme le pense Aristophania ?
Pendant qu'ils semblent inaccessibles à la magie, les sbires du roi banni paraissent eux de plus en plus forts. le temps presse. L'espoir s'effrite.
Le scénario de Xavier Dorison est toujours aussi bon.
Après un premier tome d'exposition mais déjà sacrément addictif, le deuxième nous plonge dans le vif du sujet. Une sorte de roman d'apprentissage fantasy - belle époque - provençal.
La comparaison avec la guerre des étoiles faite par Alfaric est très juste. On peut aussi penser aux X-men ou aux Chroniques du Grimnoir de Larry Correia.
Aristophania, le personnage qui donne son titre à la série, prend elle aussi un peu plus d'épaisseur. de figure un peu lointaine, elle devient plus humaine (ce qui pour une sorte de sorcière est un peu paradoxal). Les trois enfants, eux, sont en train de venir plus adultes. Leur compréhension du monde très compliqué dont ils découvrent quelques bribes au fur et à mesure de leur apprentissage accélère ce passage, mais ne les rend pas pour autant sensibles à l'Azur. A moins que …
Joël Parnotte est encore une fois très à l'aise dans cette histoire sombre et magique à la fois. Il passe de planches lumineuses sous le soleil de Provence à des moments plus sombres et parfois glauques avec une aisance absolue. Les décors sont fouillés et détaillés, les personnages ont tous du caractère et ce roi banni représenté comme un Jean Valjean sortit des Misérables, réussit à nous inquiéter pour le sort des enfants et celui du royaume d'Azur.
Nous sommes maintenant à la moitié de l'histoire, à l'aube de la guerre et une fois n'est pas coutume, le clan maléfique semble avoir une longueur d'avance sur les héros. Vite le prochain épisode !
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Dans ce tome 2 intitulé "Progredientes", « ceux qui vont faire des progrès », tout commence par une mère qui tente de mettre fin à ses jours pour sauver ses enfants. Si elle échappe à la mort, c'est pour subir un sort pire que la mort. Transformée en monstre, ses enfants doivent à tout prix trouver la légendaire Source Aurore non pour sauver le monde mais pour la sauver elle… C'est ainsi que sous l'égide d'Aristophania Bolt, ils commencent leur apprentissage de Chevaliers Jedis !

Cela aurait pu se passer il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine, mais cela se passe à la Belle Époque dans la Provence de Marcel Pagnol ! Après l'assassinant de l'un d'entre eux, le Conseil Jedi décide de partir en guerre contre Dark Sidious et ses sbires du Côté Obscur. Les affrontements sont donc imminents entre « herculéens », « cuirassés », « passe-murailles », « pourrisseurs », « sourciers », « feux-follets », « soigneurs » et tutti quanti (OMG on est dans la version française des "Chroniques du Grimnoir" de Larry Correia), mais le Roi Banni attend chevaliers et fées de pied ferme car il domine les hommes grâce l'argent du capitalisme et peut tarir les sources de la magie grâce à la pollution de l'industrie (remember Sauron et Saroumane du "SdA")...
Aristophania Bolt n'a pas le temps nécessaire pour mener à bien son projet, et d'Obi-wan Kenobi elle passe à Maître Yoda pour apprendre l'utilisation de la Force à ses protégés qui sont les derniers espoirs de l'humanité : ils ne peuvent essayer, ils doivent résoudre ou ne pas résoudre les énigmes qu'elle leur propose car si elle peut transmettre la connaissance elle ne peut pas transmettre l'expérience (OMG si ses explications dans le tome 1 étaient exactement celle d'Obi-wan Kenobi sur la Force dans "Star Wars", ses explications dans ce tome 2 sont exactement les mêmes que celles de Mû du Bélier sur le Septième Sens dans "Saint Seiya"). Mais que peuvent les changelins qui ont été élevés en humains dans le monde des humains pour sauver le monde des magiciens, oui que peut le bouillant et pessimiste Basile, que peut le cartésien et peureux Victor, et que peut la jeune et naïve Callixte… (oui mais non, affronter leurs peurs dans la caverne des terreurs ils peuvent !)


A la dernière page nous voyons le Roi Banni et ses lieutenants jubiler (OMG c'est Victor Hugo et les Misérables passés du Côté Obscur de la Force !) : leur piège a fonctionné et ils ont obtenu le moyen de traquer l'un des derniers espoirs, et donc ils comptent bien remonter sa piste pour donner l'assaut sur le Royaume d'Azur… Mais ils ne savent pas qu'un autre espoir a déjà découvert leur repaire secret, et qu'un autre espoir a déjà passé toutes les épreuves pour passer de padawan à chevalier jedi ! Oh oui ce n'est pas la fin, mais le commencement !!!

Xavier Dorison est au top de sa forme, Joël Parnotte est au top de sa forme, et les deux auteurs se ménagent pas leurs efforts pour mettre en scène l'opposition de deux visions antinomiques du monde : pour résumer les altruistes qui sont « un pour tous » et qui veulent juste profiter des joies simples certes mais belles et bonnes qu'offre la vie, et les égoïstes pour ne pas dire les pervers narcissiques qui sont « tous pour un » et qui en veulent toujours plus pour toujours plus écraser les autres… A cet égard la scène de la gare plus qu'emblématique est une véritable déclaration de guerre aux homines crevarices : là où les suppôts de Celui-qu'il-ne-faut-pas-nommer voient « un lieu où se croisent les gens qui ont réussi et les gens qui ne sont rien » (comment le président de tous les Français a-t-il pu ainsi insulter toute l'humanité ? Rien que pour cela il sera maudit pour toute l'éternité !), les véritables être humains eux voient un lieu où se croisent toutes les émotions qui n'ont pas besoin de mots pour toucher le coeur des gens qui ne sont ne sont pas rien mais qui au contraire sont tout, et ce quel que soit leur compte en banque... Nous pouvons ainsi rajouter le nom des auteurs à la liste de plus en plus longue d'artistes dégoûtés et écoeurés par le thatchéro-reagano-macronisme : tout cela va mal finir ! (d'ailleurs je crois que ce n'est pas un hasard si on voit fleurir sur la Toile des rageux qui hurlent sur tous les toits que Xavier Dorison, l'un des auteurs de BD les plus talentueux de sa génération, n'est qu'un tâcheron sans ambition qui ne doit sa réputation et sa réussite que grâce qu'aux gauchistes antifa des réseaux sociaux)
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Le monde de l'Azur est de plus e plus menacé et un seul nom reparaît sans cesse : "Le roi des banni" mais qui est-il exactement et quels sont ses sujets (ou les sbires à sa solde si vous préférez) ? le lecteur l'ignore encore, tout comme il ignore (ais les voiles commencent à tomber) qui servent les cause de l'Azur. Toujours logés chez la comtesse Aristophania, Basile, Victor et Calixte, les enfants de feu Clément Francoeur craignent non plus pour la liberté de leur mère mais pour sa survie. Privée de son azur (il paraîtrait que nous en ayons tous une petite part en nos, ce qui correspondrait peut-être à la part de notre humanité), celle-ci végète dans un état entre la vie et la mort et les trois enfants vous tout mettre en oeuvre pour trouver le moyen de l'en délivrer. Une chose est sûre, sans l'aide de la comtesse, leur bienfaitrice, ils n'y arriveront pas mais lorsque la reine et les membres de son conseil (sorciers, fées et autre créatures fantastiques en tous genres) estiment que leur place n'est plus ici, Aristophania va devoir faire un choix. Bien que persuadée que la source d'aurore est la clé de tous les maux et que les trois enfants pourraient très bien être ceux qui la trouveraient enfin, elle va devoir prendre une décision rapidement...

Un second tome à la hauteur du premier, avec un suspense toujours aussi prenant et un graphisme toujours aussi bien travaillé ! A découvrir ! Quant à moi, il me tarde de découvrit le troisième tome que j'ai à ma disposition en attendant la suite !
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Je mets trop de temps entre le moment où je termine une BD et celui où j'écris le billet. du coup, les impressions à chaud s'effacent.
Mais je peux dire que je me suis encore régalé. Cet épisode est essentiellement consacré à l'éducation de nos trois jeunes « des bas quartiers » à la magie de l'Azur. Une éducation qui doit être rapide. Aristophania n'a que quelques jours pour révéler leur potentiel, après quoi les jeunes seront jetés dehors, ordre de la reine d'Azur.

Et c'est pas de la tarte. C'est une éducation façon « énigme asiatique » : ils doivent résoudre des problèmes avec un minimum d'indices. Et la logique n'est pas vraiment l'outil idoine pour atteindre les solutions. On le sait, la magie c'est brumeux. Ça ne s'explique pas, ça se comprend par les tripes. J'ai vraiment ressenti leur frustration provoquée par leurs échecs successifs comme si c'était la mienne (surtout que le seul amateur des méthodes analytiques et rationnelles se fait renvoyer sur le banc de touche, non mais oh !).

Les méchants, surtout le Roi Banni, sont nettement plus développés que dans le tome 1. Ce gars a, en plus de ses dons, une sacrée dose de ruse perverse dans sa besace, et une excellente intelligence stratégique. Il y a une ressemblance avec le Palpatine de Star Wars – et d'ailleurs la naïveté d'Azur me fait penser à celle des Jedi.

J'ai tiqué sur de petites choses quand même, comme la vitesse de résolution des énigmes par les trois jeunes après des jours de galère. Mais c'est vraiment négligeable.

Pas facile de dire qui est le mieux placé à la fin, des héros ou des autres. Donc le suspense reste entier.
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Aristophania continue de protéger les enfants de Clément, l'un des membres de l'Azur décédé. Elle pense que les trois enfants ont hérité des dons de leur père. Mais la maman des protégés est capturée par le « Roi Banni ». Ce dernier lui vole son Azur car il paraît que nous en avons tous en nous, sauf ceux de la Cour Sombre, dont est membre le Roi Banni. Il a ensuite enrobé la mère des enfant dans le Calamyrh, ce qui empêchera la mère de retrouver sa part d'Azur et de guérir. Il ne reste en elle que sa part d'ombre et c'est la comtesse, Aristophania, qui la maintient tranquille grâce à son Azur à elle. Pour guérir la maman des enfants, il faut trouver la solution de débarrasser la jeune femme du Alamyrh et les enfants doivent découvrir leur Azur. La reine de la Cour d'Azur déconseille à Aristophania de s'occuper des enfants et de les abandonnés. Mais la comtesse est persuadé qu'ils ont des prédispositions pour un jour devenir membre de la Cour d'Azur et insiste pour les élever. La reine lui donne sept jours pour y arriver. Aristophania va alors leur donner d'étranges devoirs, en forme d'énigme pour qu'ils puissent ensuite attirer l'Azur. Mais les solutions aux problèmes sont presque inaccessibles. Les enfants sont confrontés à un ésotérisme qu'ils ne comprennent et ne maîtrisent pas. Pendant ce temps là, la Cour Sombre gagne en puissance et arrive à pénétrer dans un des châteaux de la Cour d'Azur et tue l'un de leur puissants membres…

Cette bande dessinée n'en est qu'à ses débuts et pourtant elle est déjà terriblement complexe. le scénario s'inspire de certaines mythologies sans vraiment en préciser une. J'ai le sentiment qu'avec ce deuxième opus, si cette fois nous savons qui sont ennemis et amis, nous n'avons pas avancé d'un iota. le sort des enfants est toujours incertain et c'est par petites touches que nous progressons. Qui est vraiment Aristophania, qu'elles sont les vrais pouvoirs de la Cour d'Azur et son influence sur notre monde et l'humanité. le graphisme est assez chargé, classique. Les paysages urbains, les usines, les véhicules, les tenus vestimentaires nous plongent et nous situent bien dans cette époque de révolution industrielle qu'est le début du vingtième siècle. Les dialogues sont aussi riches et chargés. Les bulles ont tendance à dévorer les cases. Il y a aussi beaucoup de nouveaux personnages qui apparaissent sans que l'on sache si il sont du bon ou du mauvais côté. D'ailleurs, depuis le début, nous ne pouvons pas affirmer que la Cour d'Azur soit les gentils ou les méchants, ils sont simplement les ennemis de la Cour Sombre qui ne leur veut pas beaucoup de bien. Il semblerait que l'ultime quête qui pourrait aider à vaincre définitivement la Cour Sombre soit la découverte de la Source Aurore. Mais elle n'est peut-être que légende. Elle est racontée dans l'histoire et les débuts de la Cour d'Azur mais personne ne l'a jamais découverte. Aristophania est persuadée que les enfants, s'ils découvrent et rencontrent leur Azur seront capable de la trouver. La reine et les membres de la Cour d'Azur pensent qu'il ne faut pas compter sur cette découverte car elle ne serait que légende et ordonnent à nouveau à Aristophania d'abandonner les gosses qui la mette en danger ainsi que la Cour d'Azur. Aristophania insiste au risque de devenir pariât, pour continuer de protéger les enfants. Ensuite, nous nous égarons et ne savons absolument pas dans quelle direction nous allons. Je crois qu'il va encore falloir un épisode supplémentaire pour démêler les cartes d'une histoire qui me parait bien complexe, à moins que le tome suivant nous égare encore d'avantage. J'ai lu cette bande dessinée sans vraiment de passion et d'émotion. J'espère la voir se clarifier et peut-être s'épurer pour atteindre l'essentiel, m'émouvoir. Lu en numérique en format KINDLE avec une très belle numérisation.

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critiques presse (4)
LesComics
21 janvier 2021
Après un premier top qui a correctement posé les bases, le second opus devait concrétiser tout ça et maintenir le récit ! Celui ci y parvient sans fausses notes.
Lire la critique sur le site : LesComics
Sceneario
13 novembre 2019
L'intrigue avance bien, le lecteur est ensorcelé. Ce tome réserve bien des surprises et les rebondissements sont très bien amenés. Quand à Joel Parnotte, son graphisme s'impose à nouveau. C'est tout simplement magnifique. Il amène de la poésie et de la magie dans ce récit où la noirceur et le drame ne sont pas loin.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Auracan
05 novembre 2019
Xavier Dorison construit son scénario avec finesse et intelligence. Rien n'y est gratuit. [...] Le dessin de Joël Parnotte constitue l'écho idéal du scénario et démontre une remarquable justesse tant dans des scènes spectaculaires, de grands décors, que dans des séquences plus intimistes dans lesquelles l'association du trait et de l'histoire offre une place de choix aux émotions et sentiments.
Lire la critique sur le site : Auracan
BDZoom
28 octobre 2019
Une petite merveille de french fantasy concoctée avec la complicité talentueuse de Joël Parnotte. Un album de conte fascinant qui fera rêver petits et grands.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
- Il y a un intrus chez vous, Victor. Il est entré dans votre maison, s’est installé à votre place près du feu et vous a demandé de lui donner votre assiette. Vous avez obéi. Après, il vous a demandé de courbé l’échine et de dormir dehors, sans rien en échange. Vous avez encore obéi. Il pourrait partir, bien sûr, mais pourquoi voudriez-vous qu’il le fasse ?… Vous ne lui avez même pas demandé !
- Je… Je ne sais pas de qui vous parler ?!
- Bien sûr que si, Victor, mais vous êtes tellement habitué à lui qu’il vous arrive de le confondre avec vous-mêmes, vous êtes trop intelligent pour ignorer son nom. Il s’appelle… « peur ».
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_Il y a un intrus chez vous, Victor. Il est entré dans votre maison, s'est installé à votre place près de votre feu et vous a demandé de lui donner votre assiette. Vous avez obéi. Après, il vous a demandé de courber l'échine et de dormir dehors, sans rien offrir en échange. Vous avez encore obéi. Il pourrait partir, bien sûr mais pourquoi voudriez-vous qu'il le fasse ? Vous ne lui avez même pas demandé !
_Je...Je ne sais pas de qui vous parlez ?
_Bien sûr que si, Victor. Mais vous vous êtes tellement habitué à lui qu'il vous arrive de le confondre avec vous-même. Vous êtes trop intelligent pour ignorer son nom...Il s'appelle..."Peur".
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Il ne faut rien faire. C’est même tout le contraire. Il faut observer pour permettre à ce qui est là d’être là. Renoncer à obtenir quelque chose de précis. Se rendre juste présent à ce qui se passe ici et maintenant. Renoncer à choisir. Accepter d’accueillir l’agréable sans repousser le désagréable, s’efforcer de tout accueillir en soi. Renoncer à juger le bien et le mal… La réussite et l’échec.
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-Monsieur, pourquoi vous avez abandonné la chimie pour être juste... boulanger?
- Pour me faciliter la vie! Le chimiste passe sa vie à se poser des questions que le sage ne se pose pas!
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"_Aux yeux de la population, nous avons un immense défaut...
_Lequel ?
_Nous sommes différents."
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