Juan Gómez-JuradoReine rouge (Juan Gómez-Jurado) tome 3 sur 3
Judith Vernant (Traducteur)
Judith Vernant (Traducteur)
EAN : 9782265155367
Fleuve Editions (07/03/2024)
/5
47 notesFleuve Editions (07/03/2024)
Résumé :
Le grand final de la trilogie phénomène espagnole après les thrillers best sellers: Reine Rouge et Roi Blanc !
" J'espère que tu ne m'as pas oublié. On joue ? "
Lorsqu'Antonia Scott reçoit ce message, elle sait parfaitement qui le lui a envoyé. Elle sait aussi que la partie qui se profile est presque impossible à gagner. Mais Antonia n'aime pas perdre. Et elle renoncera d'autant moins que si elle perd cette bataille, elle les aura toutes perdue... >Voir plus
" J'espère que tu ne m'as pas oublié. On joue ? "
Lorsqu'Antonia Scott reçoit ce message, elle sait parfaitement qui le lui a envoyé. Elle sait aussi que la partie qui se profile est presque impossible à gagner. Mais Antonia n'aime pas perdre. Et elle renoncera d'autant moins que si elle perd cette bataille, elle les aura toutes perdue... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16)
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Si j'avais été super emballée par les deux premiers tomes, je suis plus mitigée par ce dernier opus.
Le roman se lit tout seul, on retrouve nos personnages préférés.egaux a eux même.
Néanmoins, j'ai trouvé l'intrigue moins prenante.
Le roman reste bon, les personnages atypiques sont vraiment bien travaillés. Je pense que le rythme était un peu moins soutenu. Quelques raccourcis ont été pris. Néanmoins, même si certaines choses sont peu crédibles, l'histoire reste t intéressante, peut être moins aboutie que les précédentes.
J'ai eu le sentiment que l'auteur cherchait une fin.
Néanmoins, peut être que ce n'est pas réellement une fin. Deux, trois éléments laissent penser que... Seul l'avenir nous le dira d'ailleurs.
Allez, disons que nous sommes arrivés au bout d'un cycle juste pour se dire que peut être u. Jour je croiserai a un nouveau le chemin des ces personnages que j'aime beaucoup.
Malgré cette lecture un peu moins palpitante que les précédentes, si il y a une "suite", je la lirai assurément.
Le roman se lit tout seul, on retrouve nos personnages préférés.egaux a eux même.
Néanmoins, j'ai trouvé l'intrigue moins prenante.
Le roman reste bon, les personnages atypiques sont vraiment bien travaillés. Je pense que le rythme était un peu moins soutenu. Quelques raccourcis ont été pris. Néanmoins, même si certaines choses sont peu crédibles, l'histoire reste t intéressante, peut être moins aboutie que les précédentes.
J'ai eu le sentiment que l'auteur cherchait une fin.
Néanmoins, peut être que ce n'est pas réellement une fin. Deux, trois éléments laissent penser que... Seul l'avenir nous le dira d'ailleurs.
Allez, disons que nous sommes arrivés au bout d'un cycle juste pour se dire que peut être u. Jour je croiserai a un nouveau le chemin des ces personnages que j'aime beaucoup.
Malgré cette lecture un peu moins palpitante que les précédentes, si il y a une "suite", je la lirai assurément.
Alors que Jon vient d'être kidnappé sous ses yeux, Antonia reçoit une message de M. White, qui va la lancer dans un jeu qui va tout résoudre ou lui faire tout perdre.
Ce troisième tome, qui clôt la trilogie de la reine rouge est toujours aussi haletant que les précédents. Mais l'intrigue, très dense semble vouloir résoudre absolument toutes les questions laissées en suspens jusqu'ici, au risque de rendre le tout un peu précipité. Rien de bien grave, tant le plaisir de suivre Antonia et Jon est là, mais l'auteur aurait pu laisser quelques pistes sans réponse.
C'est d'autant plus dommage, que le personnage de M. White, grand méchant de la trilogie, Némésis d'Antonia, semble bien fade, avec des motivations finalement peu convaincante. Reste une intrigue haletante et des personnages toujours aussi attachants.
Si ce tome est annoncé comme le dernier, la fin ouverte et les remerciements laissent entrevoir la possibilité d'une suite. A voir, donc, si l'auteur trouvera l'inspiration pour une suite.
Ce troisième tome, qui clôt la trilogie de la reine rouge est toujours aussi haletant que les précédents. Mais l'intrigue, très dense semble vouloir résoudre absolument toutes les questions laissées en suspens jusqu'ici, au risque de rendre le tout un peu précipité. Rien de bien grave, tant le plaisir de suivre Antonia et Jon est là, mais l'auteur aurait pu laisser quelques pistes sans réponse.
C'est d'autant plus dommage, que le personnage de M. White, grand méchant de la trilogie, Némésis d'Antonia, semble bien fade, avec des motivations finalement peu convaincante. Reste une intrigue haletante et des personnages toujours aussi attachants.
Si ce tome est annoncé comme le dernier, la fin ouverte et les remerciements laissent entrevoir la possibilité d'une suite. A voir, donc, si l'auteur trouvera l'inspiration pour une suite.
Dire que ce dernier tome était attendu et qu'il est à la hauteur de mes attentes est un euphémisme!
Je ne vais pas pouvoir vous en dire trop car qui dit dernier tome suppose que tout un tas d'éléments présentés dans les premiers sont révélés dans ce final et je peux vous dire qu'il est explosif, que Juan Gomez Jurado nous a mené en bateau dès la première ligne car tout était sous notre nez depuis le début mais que c'était bien!
Le projet Reine Rouge a pour but de recruter celle qui sera conditionné pour être la femme la plus intelligente d'Espagne, chaque pays ayant son élue assorti d'un écuyer censé la protéger, le tout dirigé par un certain Mentor dont les ressources semblent illimitées . En Espagne c'est Antonia Scott qui est choisie. Sur une scène de crime, Antonia est capable de tout comprendre, de tout analyser en quelques secondes, son cerveau entraîné ne laisse passer aucun détails et elle est redoutable et tellement redoutée que sa vie est en danger à chaque seconde.
Nous avions dans Reine Rouge puis dans Louve noire compris que l'ennemi était lui aussi entraîné et que sa férocité n'avait pas de limites, mais dans Roi blanc se dessine et se révèle l'ampleur du danger et j'ai tremblé chaque minute pour Antonia et Jon. le duo est improbable mais fonctionne à merveille et avec @mybookimique on peut vous dire qu'on a eu du mal à les quitter. Il semble que l'auteur à en réserve la suite de leurs aventures, @juangomezjurado on vous le dit on VEUT les revoir!
Cette saga est absolument dingue et je remercie vivement Amandine (si vous passez une tête par là) de m'avoir fait découvrir cette trilogie.
Je ne vais pas pouvoir vous en dire trop car qui dit dernier tome suppose que tout un tas d'éléments présentés dans les premiers sont révélés dans ce final et je peux vous dire qu'il est explosif, que Juan Gomez Jurado nous a mené en bateau dès la première ligne car tout était sous notre nez depuis le début mais que c'était bien!
Le projet Reine Rouge a pour but de recruter celle qui sera conditionné pour être la femme la plus intelligente d'Espagne, chaque pays ayant son élue assorti d'un écuyer censé la protéger, le tout dirigé par un certain Mentor dont les ressources semblent illimitées . En Espagne c'est Antonia Scott qui est choisie. Sur une scène de crime, Antonia est capable de tout comprendre, de tout analyser en quelques secondes, son cerveau entraîné ne laisse passer aucun détails et elle est redoutable et tellement redoutée que sa vie est en danger à chaque seconde.
Nous avions dans Reine Rouge puis dans Louve noire compris que l'ennemi était lui aussi entraîné et que sa férocité n'avait pas de limites, mais dans Roi blanc se dessine et se révèle l'ampleur du danger et j'ai tremblé chaque minute pour Antonia et Jon. le duo est improbable mais fonctionne à merveille et avec @mybookimique on peut vous dire qu'on a eu du mal à les quitter. Il semble que l'auteur à en réserve la suite de leurs aventures, @juangomezjurado on vous le dit on VEUT les revoir!
Cette saga est absolument dingue et je remercie vivement Amandine (si vous passez une tête par là) de m'avoir fait découvrir cette trilogie.
26//2024
Clap de fin magistral pour une saga extraordinaire :)
Nous sommes ici dans la conclusion de cette trilogie marquante, dans la continuité directe du tome 2 et l'enlèvement de Jon.
La première partie du livre s'achève sur un thriller en mode une journée en enfer, avec pour notre duo inoubliable et inclassable une série d'énigmes à résoudre sur des durées très courtes.
Les points forts de la saga sont évidemment présents, entre les phrases dans des langues étrangères, les capacités d'Antonia poussées au max sous stress mais sans gélules rouges, Jon et son flegme légendaire mis à rude épreuve, mais aussi un gros zoom sur les méchants de la saga, Sandra et M. White.
Ce livre est beaucoup plus direct et moins labyrinthique que le précédent, rendant la lecture addictive et impossible à lâcher :)
Les rebondissements sont nombreux, les scènes d'action et de tension encore plus, et que dire du dénouement qui est un coup de coeur visuel tellement la scène est facilement imaginable en mode série sur Amazon ;)
Une saga vraiment incroyable, moderne, tendue, avec un final extraordinaire de par son suspense, on est immergé comme dans la série 24h chrono pour le style minuté et sous pression :)
Jon et Antonia resteront un duo marquant dans la littérature policière, et il n'y a plus qu'à croiser fort les doigts et les orteils pour que l'auteur ose ne pas clore sa saga et reparte sur un tome 4 🙏🙏
Clap de fin magistral pour une saga extraordinaire :)
Nous sommes ici dans la conclusion de cette trilogie marquante, dans la continuité directe du tome 2 et l'enlèvement de Jon.
La première partie du livre s'achève sur un thriller en mode une journée en enfer, avec pour notre duo inoubliable et inclassable une série d'énigmes à résoudre sur des durées très courtes.
Les points forts de la saga sont évidemment présents, entre les phrases dans des langues étrangères, les capacités d'Antonia poussées au max sous stress mais sans gélules rouges, Jon et son flegme légendaire mis à rude épreuve, mais aussi un gros zoom sur les méchants de la saga, Sandra et M. White.
Ce livre est beaucoup plus direct et moins labyrinthique que le précédent, rendant la lecture addictive et impossible à lâcher :)
Les rebondissements sont nombreux, les scènes d'action et de tension encore plus, et que dire du dénouement qui est un coup de coeur visuel tellement la scène est facilement imaginable en mode série sur Amazon ;)
Une saga vraiment incroyable, moderne, tendue, avec un final extraordinaire de par son suspense, on est immergé comme dans la série 24h chrono pour le style minuté et sous pression :)
Jon et Antonia resteront un duo marquant dans la littérature policière, et il n'y a plus qu'à croiser fort les doigts et les orteils pour que l'auteur ose ne pas clore sa saga et reparte sur un tome 4 🙏🙏
Après avoir lu et dévoré et adoré les deux premiers tomes, il était évident que j'allais faire de même avec ce troisième opus (d'une longue série ? laissez-moi y croire) !
Mon seul point négatif, et bien que mes lectures du tome 1 et 2 ne soient pas si anciennes que ça, l'expérience de lecture aurait été encore plus divine si j'avais pu les lire tous à la suite (parce que bon ma mémoire de grande lectrice étant ce qu'elle est....c'est pas très agréable de ne pas se souvenir des petites lignes, celles qui donnent le plus de saveur à l'intrigue). Mais bon c'est pas grave, ça ne m'a pas empêché d'adorer cette lecture.
Parce que j'ai retrouvé ce duo que j'aime énormément : Antonia et Jon. Il fonctionne tellement bien, je les adore, c'est pourquoi j'espère qu'on pourra continuer à les suivre !
L'intrigue fait effectivement des clins d'oeils réponses aux énigmes du premier tome, et c'est de suite plus captivant.
On assiste à un jeu d'échec croisé avec un jeu du chat et de la souris, c'est très prenant, enfin moi, ça me prend aux tripes, ça excite mon intérêt et ça me rend addict.
Je conviens que ce n'est pas un polar qui révolutionne le genre, et pourtant il apporte son lot de singularité, d'originalité, de par les personnages d'Antonia, Jon, les méchants, le projet Reine Rouge, qu'à la fois, ça change (en plus ça se passe en Espagne, ça dépayse agréablement).
La plume. La plume est fluide, elle est drôle, elle peut être émouvante, psychologique, sérieuse, elle est très cinématographique. Les chapitres ont la bonne durée et la bonne construction classique d'un excellent page-turner.
Bref, encore un tome qui se dévore vite (et qui, contrairement au dernier Joël Dicker - pardon Joël, j'adore aussi tes livres et je serai toujours une de tes clientes fidèles - la forme ET le fond sont captivants et marquants) et qui laisse un goût de "encore" !
Mon seul point négatif, et bien que mes lectures du tome 1 et 2 ne soient pas si anciennes que ça, l'expérience de lecture aurait été encore plus divine si j'avais pu les lire tous à la suite (parce que bon ma mémoire de grande lectrice étant ce qu'elle est....c'est pas très agréable de ne pas se souvenir des petites lignes, celles qui donnent le plus de saveur à l'intrigue). Mais bon c'est pas grave, ça ne m'a pas empêché d'adorer cette lecture.
Parce que j'ai retrouvé ce duo que j'aime énormément : Antonia et Jon. Il fonctionne tellement bien, je les adore, c'est pourquoi j'espère qu'on pourra continuer à les suivre !
L'intrigue fait effectivement des clins d'oeils réponses aux énigmes du premier tome, et c'est de suite plus captivant.
On assiste à un jeu d'échec croisé avec un jeu du chat et de la souris, c'est très prenant, enfin moi, ça me prend aux tripes, ça excite mon intérêt et ça me rend addict.
Je conviens que ce n'est pas un polar qui révolutionne le genre, et pourtant il apporte son lot de singularité, d'originalité, de par les personnages d'Antonia, Jon, les méchants, le projet Reine Rouge, qu'à la fois, ça change (en plus ça se passe en Espagne, ça dépayse agréablement).
La plume. La plume est fluide, elle est drôle, elle peut être émouvante, psychologique, sérieuse, elle est très cinématographique. Les chapitres ont la bonne durée et la bonne construction classique d'un excellent page-turner.
Bref, encore un tome qui se dévore vite (et qui, contrairement au dernier Joël Dicker - pardon Joël, j'adore aussi tes livres et je serai toujours une de tes clientes fidèles - la forme ET le fond sont captivants et marquants) et qui laisse un goût de "encore" !
critiques presse (1)
Polar très bien mené (traduction de Judith Vernant), Roi blanc fourmille de faux-semblants et de pièges : seule cette relation professionnelle intense permet aux enquêteurs de ne pas vriller, face aux secrets qu’ils découvrent au fil des pages.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (2)
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Dans la vie, il y a des troupeaux de crétins persuadés de tout savoir sur tout, et mieux que tout le monde. Qui se croient capables d'entraîner l'équipe nationale de football, d'opérer à cœur ouvert ou de régler le problème de l'immigration. Et qui balancent des jugements définitifs sur toutes ces questions en trois minutes chrono. Les gens véritablement intelligents doutent de tout et de tous, mais surtout d'eux-mêmes.
La vie est bien plus facile pour les cons, car ils ont l’avantage de ne pas savoir qu’ils le sont.
Roi Blanc page 119
Roi Blanc page 119
Videos de Juan Gómez-Jurado (8)
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Attention !!! Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donnent rendez-vous chaque samedi à 14h00 pour vous faire découvrir leurs passions du moment !
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Flic guérisseur: Servir et soigner de Robert Martin aux éditions Mama
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Les Gosses de Valérie Clo aux éditions Livre de Poche
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La gosse de Nadia Daam aux éditions Grasset
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Mes nuits sans Bardot de Simonetta Greggio aux éditions Albin Michel
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le Livre, c'est... De Collectif aux éditions Fleuve
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Trois femmes de la Baltique - Jenny de Ann-Christin Antell aux éditions Hachette Fictions
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Toilettes pour femmes de Marilyn French, Philippe Guilhon, Sarah Idrissi aux éditions Robert Laffont
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Beyrouth-sur-Seine de Sabyl Ghoussoubaux éditions Points
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Louve Noire de Juan Gomez-Jurado, Judith Vernant aux éditions Pocket
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Roi blanc de Juan Gomez-Jurado, Judith Vernant aux éditions Fleuve Noir
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Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado, Judith Vernant aux éditions Pocket
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Fille, 1983 de Linn Ullmann, Jean-Baptiste Coursaud aux éditions Bourgeois
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Les Oracles de Margaret Kennedy et Anne-Sylvie Homassel aux éditions de la Table Ronde
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