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EAN : 9782080704375
185 pages
Flammarion (07/01/1993)
3.77/5   26 notes
Résumé :
Au Moyen Age, dans le burg de Heppenheff, sur le Rhin, des vassaux arrogants ont usurpé le pouvoir du burgrave Job, centenaire sage et bon, et font régner la tyrannie sur la contrée. Les victimes de ce despotisme emprisonnées au fond des souterrains du château, gardent l'espoir que l'empereur Frédéric Barberousse, pourtant donné pour mort, viendra les délivrer... Dans cette pièce empreinte d'un idéal de fraternité, Victor Hugo aspirait à faire " briser la fatalité p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Ahhh ! Frédéric Barberousse ! Un pirate ? Non, l'empereur du Saint Empire Romain Germanique de 1155 à 1190....
Nous sommes en Allemagne, vers 1214, sous Otton IV, pendant que notre roi français Philippe-Auguste défait les Anglais, les Hollandais et les Allemands à Bouvines.
Mais, dites moi, Barberousse est déjà mort, noyé en Turquie pendant la 3è croisade qu'il a entrepris avec Richard Coeur de Lion et Philippe-Auguste ? Ah-ah... Mystère !
.
Ce court drame en 3 actes joué en 1843, Les Burgraves (Burg Graf en Allemand, comte du château ) met en scène, un peu comme dans Ruy Blas, une "prise d'otage". La douce comtesse Régina, malade, est sous l'emprise de la maléfique vieille Guanhamara, qui veut se venger de la mort de son homme, Donato. Guanhamara annonce au capitaine Otbert, qui aime Régina, qu'elle laissera mourir celle-ci, s'il ne la venge pas. Il faut tuer Fosco. Arrive un mendiant....
.
Ce drame, malgré ses vers, et sa lecture "pièce de théâtre", m'a nettement plus intéressé que Ruy Blas. Pourquoi ?
Parce que je retrouve mon Victor Hugo conteur, parce que, pour la première fois, je "sens" le rythme des vers, et enfin et surtout, parce qu'à chaque ouvrage, Victor nous embarque dans une région inconnue, que ce soit en Vendée, à Guernesey, dans les bas-fonds de Paris, ou au sommet de Notre-Dame, sur les barricades de 1848, ou dans les manipulations de Napoléon le Petit, parmi les Grands d'Espagne ou en Allemagne du moyen âge, il nous fait découvrir un lieu et une époque !
.
Surtout qu'ici, bien que Normand, j'ai des origines Alsaciennes, et que cette région, jusqu'au règne de Louis XV, fut sous domination allemande !
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C'est la dernière pièce de Hugo créée de son vivant, en 1843 à la Comédie Française. Cinq ans se sont écoulés depuis la création de Ruy Blas. C'est qu'entre temps, le théâtre de la Renaissance, censé donner une scène aux Romantiques a rapidement fermé, n'ayant jamais trouvé la rentabilité financière nécessaire.

La chute de la pièce est un autre mythe littéraire qui a la vie dure. La pièce eut en fait 33 représentations, ce qui est un bon chiffre pour l'époque (et on n'hésitait pas à enlever une pièce de l'affiche au bout d'une ou deux représentations) et le registre de la Comédie Française note le jour de la création « succès contesté » (il y aurait eu une tentative de cabale pour faire tomber la pièce). C'est donc un succès raisonnable, pas un triomphe non plus. Et la réception n'a pas provoqué l'arrêt de la production dramatique de Hugo : l'année 1843 est celle de la mort de sa fille, Léopoldine, qui a eu pour conséquence de tarir toute la production littéraire de Hugo pour un temps. Et ensuite les événements politiques s'en sont mêlés. Banni en 1852 de France, ses pièces interdites de scène, il n'arrête pourtant pas d'écrire pour le théâtre : ce sera « Le théâtre en liberté » publié après sa mort.

Enfin, 1843 ne marque certainement pas la fin du théâtre romantique ni la fin du théâtre de Hugo : après 1870 (chute du second empire) il s'impose définitivement au répertoire, notamment avec Sarah Bernhardt. Les Burgraves ont quand même gardé une très mauvaise réputation, et la pièce est très peu jouée. Mais il faut dire que sa longueur, le nombre de personnages, et des monologues très nombreux et très développés ne la rendent pas très facile à mettre en scène.

Nous sommes en Allemagne, vers la fin du XIIe ou début du XIIIe siècle (la date n'est pas donnée avec précision). Dans un vieux château, quatre générations de burgraves (maîtres de l'endroit) se côtoient). le vieil Job, une sorte de centenaire, se survit dans l'ombre, accompagné de son fils , pendant que les plus jeunes pensent avoir pris les rênes en main. Une mystérieuse vieille femme, Guanhumara quelque peu sorcière ourdit dans l'ombre des complots, et semble vouloir se venger d'injures passées. L'arrivée d'un étrange vieillard bouleverse tout : c'est l'empereur Frédéric Barberousse, que tout le monde croyait mort, mais qui revient pour essayer de remettre de l'ordre dans le Saint Empire germanique, bien mal en point après sa mort annoncée. D'étranges liens semblent l'unir au vieux Job.

Cette pièce est très différente des pièces antérieures de Hugo. Déjà par le fait de placer au centre des personnages âgées, et dont l'âge est vraiment souligné à plusieurs reprises. Nous sommes loin des fougueux jeunes gens prêts à renverser les valeurs établies, à questionner l'ordre social. Non, ici les jeunes sont dégénérés, indignes comme le fils et petits fils de Job et ses amis, ou impuissants comme Régina et Otbert. C'est le centenaire empereur Barberousse qui doit venir restaurer son pays, rétablir l'ordre ancien, meilleur que celui qui est venu se substituer à lui. On pourrait presque trouver du coup Hugo quelque peu réactionnaire à, glorifier le passé au détriment du présent, et si on veut se montrer un brin caustique, se rappeler qu'il est entré à l'Académie Française en 1841 et qu'en 1845 il deviendra pair de France. Un artiste établi en quelque sorte…

Mais peut-être la plus grande spécificité de la pièce est son écriture, extrêmement poétique, qui se déploie dans de longs monologues, qui plus que faire avancer l'action, expriment des sentiments, des points de vue, créent un climat onirique et trouble. Les événements sont presque au second plan, il s'agit plus de créer un climat, et faire parler le verbe. Il y a une dimension épique, un choc des Titans entre Job et Barberousse. Il y a des références mythiques et bibliques (Caïn). Même si Barberousse est un personnage historique, nous ne sommes plus vraiment dans l'Histoire : tous les autres personnages sont inventés, et l'empereur lui-même, est plus un personnage de légende, un symbole, qu'une véritable personne. D'ailleurs son retour des années après sa mort officielle est une pure invention.

La découverte d'Eschyle semble avoir été un facteur déterminant dans l'évolution du drame hugolien. Il l'évoque dans la préface de la pièce : les abords du Rhin sont comparés à la Thessalie. Et la grandeur du mythe remplace la marche de l'histoire. Disparaît aussi le mélange des genres : le comique, l'ironie, le second degré n'ont plus leur place lorsqu'il s'agit de chanter les mythes. Car c'est un peu de cela qu'il s'agit ici, plus que de bâtir un récit qui tiendra le spectateur en haleine. La pièce est bien plus une sorte d'épopée scénarisée qu'un roman adapté à la scène.

C'est étrange, fascinant, dérangeant. Un objet très singulier, qui mériterait d'être mieux connu.
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A la taille du texte et du livre, je m'attendais à une longue pièce.

Hélas. Que nenni ! Entre l'introduction de R. Pouillart, la préface de Hugo, la postface de l'édition original, les notes, la bibliographie et la chronologie, bah la pièce en elle-même ne fait que 100 pages...

Je ne m'attendais à rien en particulier, n'ayant jamais entendu parler de cette pièce de Hugo jusqu'à ce que je me penche, depuis un an, sur son oeuvre théâtrale d'un peu plus près.

J'ai, pour ma part, lu l'introduction et la préface avant la pièce, et heureusement parce que je crois que sans ça, j'aurais été complètement perdue, ne connaissant à peu près rien de l'Histoire interne de l'Allemagne à l'époque. Peu importe que ça dévoile le gros de l'intrigue parce que chez Hugo, ce n'est pas ça qui m'intéresse quand j'en lis (Comme si je n'avais pas lu "Notre Dame de Paris" sous prétexte que j'en connaissais le scénario et la fin... Arf !).

Ce qui m'intéressait ici, c'était la langue. C'était les vers, c'était les alexandrins. Pour être franche, j'ai du lire environ la moitié de la pièce à voix haute.... Je l'ai lue par tranche d'environ une vingtaine de pages, pour bien savourer les passages. J'ai depuis toute jeune une passion pour les alexandrins d'Hugo, il y a même eu une période de ma vie où j'en lisais tant qu'ils me venaient à moi aussi quand je parlais ! Il n'y a aucun autre poète qui ait un tel sens du rythme, et aussi "régulier" sur l'ensemble de son oeuvre poétique, à mon sens.
Même s'il y a plein d'autres poètes que j'adore, hein, c'est pas le sujet. Mais ce sens du rythme, il n'y a que chez lui que je le trouve aussi parfait sur "la durée".

Bref, effectivement, s'il n'y a pas l'humour subtil qu'on peut relever d'habitude dans ses écrits, si l'action est un brin survolée, rapide, les vers qui la portent, eux, sont juste... parfaits...
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Mon amour pour les écrits de Victor Hugo remonte à très loin. Pour moi, il est l'auteur classique que je lis les yeux fermés, chaque fois impatiente de plonger dans un autre de ses romans. Rarement déçue par ce qu'il peut proposer, chaque lecture est un régal et m'emporte tant par la magie des mots que de celle de ses récits dans des univers passionnants.

Avec cette pièce de théâtre, ce qui m'a frappée immédiatement c'est la musicalité des mots et des vers. Wouah quel bonheur, mais quel délice! Cette pièce se déguste et demande à être lue à haute voix, afin de ne pas seulement lire le texte, mais de l'écouter, de s'en imprégner profondément. Voilà la force de cette oeuvre, car l'histoire en elle-même bien que sympathique ne laissera pas un souvenir impérissable.

Les personnages sont intéressants à découvrir surtout que peu d'entre eux sont ce qu'ils prétendent être... Aussi nous allons de découvertes en découvertes, pour atteindre un final inattendu mais beaucoup trop rapide et peut-être un peu facile... Donc oui l'histoire est intéressante à lire, mais elle avance trop vite et nous n'avons pas le temps de nous dire "J'aimerais en apprendre plus", que c'est déjà terminé. C'est un peu dommage, mais les vers sont empreints d'un lyrisme tellement fort, que nous finissons par oublier totalement ce qui nous est conté pour se laisser bercer...

En bref, rien que pour la musicalité des vers de cette pièce de théâtre, je ne peux que vous pousser à la découvrir et à vous laisser emporter dans ce tourbillon sonore.
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C'est une pièce sombre, qui, contrairement aux habitude d'Hugo, n'a pas d'humour du tout.

Elle est centrée sur une famille de burgraves, qui sont... des seigneurs des rives du Rhin ? Honnêtement, l'exposition permet de comprendre de façon claire qui veut quoi et qui a quelle personnalité, ce qui est le principal, mais pas trop le cadre politique ou historique (ce qui disent les personnages est toujours suspect). Comme je n'y connais rien personnellement j'étais parfois perdue. Cest ma faute ; j'ai lu la préface en dernier pour ne pas risquer de me faire révéler la fin de l'histoire (j'ai eu raison).

J'ai déjà lu de meilleurs scénarios. Il y a pourtant du potentiel, mais beaucoup de choses sont résolues trop vite, à mon avis. Il y a certain personnages secondaires dont on connaît mieux la personnalité en lisant la préface d'Hugo qu'en lisant la pièce !

Mais j'ai beaucoup aimé les histoires de famille et les vieilles vengeances (et quand je dis vieilles : trois des personnages principaux ont plus de quatre-vingt-dix ans, la pièce a été beaucoup raillée pour ça). J'aime Guanhumara, la sorcière avec le plan de vengance tordu. Mais je trouve aussi que le scénario est très injuste avec elle à la fin. J'aime aussi les coups de théâtre avec les personnages qui se reconnaissent - le côté dramatique est exploité au maximum, c'est ce qu'on demande à du théâtre romantique ! -, et le côté mythique de Frédéric Barberousse.

Et sinon, j'aime les alexandrins hugoliens, mais ce n'est pas nouveau.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Les géologues ne voient aujourd'hui dans la Thessalie bouleversée que la secousse d'un tremblement de terre et le passage des eaux diluviennes; mais, pour Eschyle et ses contemporains, ces plaines ravagées, ces forêts déracinées, ces blocs arrachés et rompus, ces lacs changés en marais, ces montagnes renversées et devenues informes, c'était quelque chose de plus formidable qu'une terre dévastée par un déluge ou remuée par les volcans; c'était l'effrayant champ de bataille où les titans avait lutté contre Jupiter !
[...]
Il y a aujourd'hui en Europe un lieu qui, toute proportion gardée, est pour nous, au point de vue poétique, ce qu'était la Thessalie, pour Eschyle, c'est à dire un champ de bataille mémorable et prodigieux. On devine que nous voulons parler des bords du Rhin. Là, en effet, comme en Thessalie, tout est foudroyé, désolé, arraché, détruit; tout porte l'empreinte d'une guerre profonde, acharnée, implacable. Pas un rocher qui ne soit une forteresse, pas une forteresse qui ne soit une ruine; l'extermination a passé par là, mais cette extermination est tellement grande, qu'on sent que le combat a dû être colossal. Là, en effet, il y a six siècles, d'autres titans ont lutté contre un autre Jupiter. Ces titans, ce sont les burgraves; ce Jupiter, c'est l'empereur d'Allemagne.
(Préface)
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L'empereur aux burgraves.
- Ah, vous n'attendiez point ce réveil, n'est-ce pas ?
Vous chantiez, verre en main, l'amour, les longs repas;
Vous poussiez de grands cris et vous étiez en joies;
Vous enfonciez gaiement vos ongles dans vos proies;
Vous déchiriez mon peuple, hélas ! qui m'est si cher !
Tout à coup... tout à coup, dans l'antre inaccessible,
Le vengeur indigné, frissonnant et terrible,
Apparaît; l'empereur met le pied sur vos tours,
et l'aigle vient s'abattre au milieu des vautours !
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Au temps d'Eschyle, la Thessalie était un lieu sinistre. Il y avait eu là autrefois des géants ; il y avait là maintenant des fantômes. Le voyageur qui se hasardait au-delà de Delphes et qui franchissait les forêts vertigineuses du Mont Cnémis, croyait voir partout, la nuit venue, s'ouvrir et flamboyer l’œil des cyclopes ensevelis dans les marais du Sperchius.
(Préface)
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[Extrait de l'introduction de Raymond Pouilliart]

Comme pour les drames précédents, la parodie s'empara immédiatement du sujet. De Philippe-F. Dumanoir, Giraudin et Clairville on put voir _Les Hures Graves, trifouillis en vers... et contre les Burgraves_, qui épinglait les identités voilées des personnages, outre leur âge, et la division en trilogie : "Le Tricentenaire - 1er fouillis ; Un des Quatre Mendiants - 2e fouillis ; La Cave Egarée - 3e fouillis ; Total : _Trifouillis_". Représentée au Théâtre du Palais-Royal dès le 21 mars, la pièce parut chez Tresse, avec l'épigraphe "Rien n'est beau que le vieux, le vieux seul est aimable." Charles-Désiré-E. Dupeuty et Lenglé donnèrent _Les Buses-graves_, trois actes en vers, le 22 mars, au Théâtre des Variétés, édités par Tresse. De Louis Huart on put lire, dans _Le Musée ou Magasin comique_ de Philippon (no 43), _Les burgs infiniment trop graves, tartinologie découpée en trois morceaux_ avec "intermèdes de Mlle Maxime". Le caricaturiste Bertall (Charles-Albert d'Arnoult) produisit _Les Buses graves, trilogie à grand spectacle, avec fantasmagorie, ombres chinoises, assauts d'armes et de gueules [...]_ par M. Tortu-Goth (Paris, Ildefonse Rousset) ; un certain Clercy fit paraître _Les Buches graves, pièce de résistance servie au Théâtre-Français_ (Paris, Gallet, 1843). La meilleure plaisanterie fut celle de Paul Zéro, _alias_ Paul-Aimé Garnier, _Les Barbus-graves_ (Paris, Publication de la Revue de la Province). Cet ami d'Auguste Vacquerie transpose le conflit des seigneurs féodaux dans celui de la génération actuelle : Job et Magnus sont les "vieux" de la littérature, Hugo et Dumas ; les jeunes, ce sont Ponsard, Vacquerie, Gautier, Sainte-Beuve, Jules Janin, Méry, Flourens et Thomas Corneille [sic]
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Regina : Je vais mourir.
A quoi bon ?
Otbert : Oh ! Pourquoi parler ainsi ?
Regina : Souffrir,
Rêver, puis s'en aller, c'est le sort de la femme.
Otbert :
Voyez ce beau soleil !
Regina : Oui, le couchant s'enflamme.
Nous sommes en automne et nous sommes au soir.
Partout la feuille tombe et le bois devient noir.
Otbert : Les feuilles renaîtront.
Regina : Oui. -
Rêvant et regardant le ciel. - Vite ! à tire d'ailes !
Oh que c'est triste de voir s'enfuir les hirondelles !
Elles s'en vont là-bas, vers le midi doré.
Otbert : Elles reviendront.
Regina : Oui. Mais moi, je ne verrai
Ni l'oiseau revenir, ni la feuille renaître.
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