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Au bord de l'eau (Jenny Colgan) tome 1 sur 5
EAN : 9782266291569
480 pages
Pocket (06/06/2019)
3.94/5   681 notes
Résumé :
La nouvelle série de Jenny Colgan !
Sur l'île sauvage de Mure, au nord de l'Écosse, Flora dispose d'un été pour chasser les fantômes du passé et donner un nouveau sens à sa vie. Assistante juridique dans un cabinet d'avocats à Londres, Flora McKenzie était loin d'imaginer qu'il lui faudrait, pour son travail, retourner à Mure, l'île sur laquelle elle a grandi. Une île qu'elle a quittée avec perte et fracas après le décès brutal de sa mère, quelques années p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (113) Voir plus Ajouter une critique
3,94

sur 681 notes
Les romans de Jenny Colgan se suivent et se ressemblent un peu… Il y a toujours une héroïne qui change (plus ou moins) de vie et qui va se retrouver à cuisiner dans un endroit isolé battu par les vents ," La possibilité d'une île"...

Flora Mackenzie est assistante juridique à Londres, et elle en pince sévèrement pour son patron ( lequel ne la calcule même pas ) . Un jour elle est appelée dans son bureau, un client très important souhaiterait qu'elle joue les RP . Il vient de restaurer une immense maison sur une île paumée écossaise, où tous les habitants lui sont hostiles , de futures éoliennes menacent sa nouvelle vue sur mer si chèrement acquise … . Flora vient de cette île paumée, et n'a pas du tout l'intention d'y remettre les pieds mais… c'est vraiment un client très important pour le cabinet.

On peut faire confiance à Jenny Colgan pour rendre attractif un simple scénario de départ. Ses romans sont frais , joyeux, réconfortant. La nature est très présente, et ça a été un vrai plaisir de découvrir cette île de Mure qu'elle a totalement inventée … Plages, pluie, vent, animaux, étendues vertes et bleues, cette auteure ne milite pas pour la vie citadine… Et quand Flora découvre le carnet de cuisine de sa mère, c'est une pause gourmande à laquelle elle nous invite ….

Oui, les romans de jenny Colgan se suivent et se ressemblent , une recette qui fonctionne bien … Romantisme& dépaysement& gourmandise.
Une petite pause de douceur ( ça fait du bien de temps en temps ) , dans un monde de brutes...
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Flora MacKenzie , juriste, travaille dans un cabinet d'avocats londoniens.
Elle a quitté son île au-delà d'Aberdeen après la mort de sa mère. Hélas, son père et ses frères sont restés seuls et bien incapables d'assumer leur vie quotidienne.
Un milliardaire américain, Colton Rodgers a racheté une grande partie de l'île et ne veut pas qu'un parc éolien s'y installe. Il a entendu qu'une juriste originaire de l'île travaille dans le cabinet de Joël , l'élégant patron de Flora dont elle est amoureuse en secret. Elle a le béguin pour lui, elle a un crush : terme fort employé ces derniers temps dans la jeune génération. Une leçon donnée par ma petite-fille de 10 ans à son grand-père l'autre jour.
Joël, le patron et Colton vont donner une mission à Flora, retourner sur l'île de Mure, inventée pour les besoins de l'imagination de l'auteure afin de convaincre les habitants de se liguer contre le parc d'éoliennes également.
Ce ne sera pas chose facile car les iliens ne connaissent pas ce milliardaire qui ne les associe en rien à ses projets.
Flora va d'abord renouer avec sa famille, les découvrir et Jenny Colgan oblige, elle retrouve un carnet de recettes de sa mère et va se mettre aux fourneaux.
Dans son premier livre et dans celui-ci, cela a été contagieux, il a fallu que je cuisine plus que d'habitude également.
Flora vit à fond ces mois au contact de l'île, de ses habitants, de son patron venu pour les besoins de la réussite du contrat.
Le choc va être total entre cette vie en plein air et la vie chahutée et polluée de Londres.
Un très beau roman différent de la série de " La petite boulangerie" dont j'avais apprécié le premier seulement.
Dans celui-ci, on retrouve la plume et la personnalité de Jenny Colgan.
La plus grande qualité du roman, c'est qu'on ne se rend absolument pas compte qu'il s'agit d'une traduction : très bien écrit et bien traduit par Laure Motet.
Un régal, vraiment !
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Comme avec "La petite boulangerie du bout du monde", Jenny Colgan nous emmène au milieu de nulle part avec ce roman.

Nous nous trouvons à l'extrémité Nord de l'Ecosse d'où Flora MacKenzie est originaire. Flora n'y est plus retournée depuis la mort de sa mère. La vie là-bas est aux antipodes de la vie londonienne, à laquelle la jeune femme s'est bien acclimatée depuis plusieurs années qu'elle travaille dans un cabinet d'avocat de la capitale du Royaume-Uni.

Du coup, elle se pose la question de savoir si elle est toujours la bienvenue sur sa terre d'origine. N'a-t-elle pas évolué au point de faire tache ? le lecteur se pose la question de savoir ce qu'il a bien pu se passer là, avant son départ pour Londres... Il semble que des non-dits ont cristallisé les relations et qu'il va falloir que chacun ouvre son coeur et dise ce qu'il ressent.

Outre le personnage de Flora qui est attachant, certains personnages secondaires sont eux aussi très touchants. Cette localité avec ses coutumes, ses légendes également, constitue un élément central de cette histoire. La gastronomie tout comme la nature de cet endroit ont une part belle dans ce très joli roman.

Ce roman est un magnifique moment de dépaysement, même si on peut reprocher à l'auteure qu'il y a miraculeusement toujours une personne aux moyens financiers illimités pour sauver ce qu'il y a à sauver.

Une lecture que je vous recommande.
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Traduit de l'anglais par Laure Motet

Vous sentez cette odeur d'iode ?
Vous sentez cette odeur de crasse ?
A choisir, que préférez-vous ?
L'Ecosse ou Londres ?
Pour moi, le choix est vite fait.
Mais pour Flora MacKenzie, c'est un peu plus compliqué.
Et pour connaître son choix, et bien... il faut lire le livre !
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J'ai apprécié cette lecture car, même s'il est vrai que la trame de base est un peu convenue - franchement... tomber amoureuse de son patron quand on est jeune et gaffeuse, ça m'a fait penser à Bridget Jones ! - le cadre et l'appartenance à son île, ainsi que les éléments culturels, rendent l'intrigue savoureuse.

J'ai apprécié les personnages secondaires, comme les frères de Flora, Colson le milliardaire fantaisiste, l'amie institutrice (Fiona je crois), ainsi que les scènes de genre, les fêtes, la tempête... Je me suis régalée de cette vie simple en plein coeur des éléments, j'avais l'impression de vraiment goûter les plats avec des ingrédients de la ferme. Enfin, j'ai été emballée par la remise à l'eau de la femelle orque, et fréquemment amusée par les allusions à la nature fantastique de Flora, supposée être selkie, cela ajoutait un plus.

Bref, la romance ne m'a pas du tout passionnée, mais pour ces divers aspects, je ne me suis pas non plus ennuyée. Je testerai peut-être des recettes, je n'ai pas encore essayé. Et ça me fait un livre à passer à ma mère, qui aime les romans feel good, surtout ceux où quelqu'un retrouve son terroir et ne veut plus en repartir.
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Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
Mais ce garçon avait quelque chose de particulier, quelque chose qui le rendait très fermé. Abandonné par sa mère, puis ballotté de famille en famille, il n'était pas devenu comme tant d'enfants dans sa situation, trop affectueux, pot de colle et cherchant désespérément à faire plaisir aux adultes pour les charmer.
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hiraeth ( n ) : mal du pays, regret d'un foyer où l'on ne peut pas retourner, qui n'a peut-être même jamais existé ; sentiment de nostalgie, de manque, de chagrin ressenti pour les lieux perdus de notre passé.
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- Vous avez pas touché au bleu, lui lança Fintan avec un petit sourire narquois.
Colton regarda le fromage avec regret.
- Je pense pas pouvoir aller aussi loin, mon vieux. Je suis qu'un gars du Texas, vous savez ! De la mozzarella sur les pizzas et du gruyère sur tout le reste. Je connais que ça.
- Il faut que vous essayiez. Si vous voulez être accepté...
- Vous voulez que je mange du fromage qui a des veines ? Des varices bleues ?
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Mais tandis qu'elle s'éloignait d'un pas lourd, le soleil lui réchauffant la nuque, la brise soulevant ses cheveux, elle ne put que constater que passer du temps avec sa copine lui remontait le moral, pas une copine de boulot, ni une copine de passage, mais quelqu'un qu'elle connaissait depuis toujours.
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Ces étés caniculaires ! À peine croyable. C'est impossible de respirer là-bas. Personne n'y arrive. Je comprends pas comment on peut rester là-bas. Et les hivers ! On se pèle les miches ! Admettez-le : le temps est toujours exécrable à New York. Toujours.
- Et ici, c'est mieux ? interrogea doucement Joël;
- Ici, c'est parfait ! Jamais trop chaud ! respirez un peu cet air...
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