le récit cafouille toujours un peu. On a compris que l'incal c'est… non en fait on n'a toujours pas compris ce que c'est mais c'est important on s'en doute et maintenant il y en a deux.
John Difool est en fuite poursuivi par les méchants c'est certain. Cela se remarque sur la première de couverture par un Difool à poil rose orangé, un tantinet maigrichon, essayant d'échapper à de grosses pinces, vert absinthe et vert bouteille, on ne pas leur enlever mais les
Alejandro Jodorowsky/Moebius savent soigner leur première approche.
La saga continue.
Un techno-pape, maître religieux d'une technofraternité apparaît sacrificateur dans le style maya et adorateur des ténèbres, un oeuf noir sorte de gestalt vivant, une princesse égyptienne sur un rat géant, une révolution,
Page 8 une magnifique machine araignée au pattes articulées toute noire avec des yeux orangés et un maelström final qui laisse présager que les ennuis pour Difool ne sont pas terminés.
Au niveau du scénario on ne voit pas très bien ou
Alejandro Jodorowsky société dystopique, lutte des classes ou des communautés, lutte pour le pouvoir, sectes religieuses un peu de tout ça mais pas de direction générale el Moebius suit vaillamment colorant à tout va à travers sa multitude de personnages
John Difool semble reprendre du poil de la bête et s'épaissir un peu il ressemble presque à Tarzan surtout grâce à son pagne.
Bd qui n'est pas désagréable