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L'Incal tome 2 sur 6
EAN : 9782731662474
48 pages
Les Humanoïdes associés (04/06/2003)
4.15/5   170 notes
Résumé :
Dans un univers futuriste aux dimensions inimaginables, un médiocre détective privé, John Difool, se retrouve un beau jour à la tête d'une enquête qui ne tardera pas à le dépasser totalement, et à l'entraîner dans un monde étrange mêlant science-fiction et expériences divines, dans une bataille titanesque opposant le bien et le mal. œuvre majeure de la bande dessinée, première pierre d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome 2 est un enchaînement direct du premier. Mais il ne va pas falloir s'y perdre, c'est que les fils sont nombreux à être tirés dans ce tome, entre John Difool aux prises avec le Techno-Pape, heureusement y'a Deepo, la révolte des mutants bêtes dont on ne rate pas une miette dans les Conapt, sa Majestueuse Ophidité qui commence à sortir de son trip sous acide pour se rendre compte que c'est un peu la m**** excusez le du peu, une maladie champignonesque, une virée sur le lac d'acide et une alliance pour le moins très inattendue... On ne s'ennuie pas une seconde. Les couleurs sont aussi délirantes que le scénar' qui part dans tous les sens mais réussit à rester cohérent, exploit titanesque !!
Je ne sais pas ce qu'on pris les auteurs avant de façonner cette histoire mais c'est de la bonne et j'en reprendrai une autre part avec le tome d'après vu le bon twist des familles sur les dernières planches j'ai très envie de connaître la suite !!! Avis aux amateurs de SF en tout sous-genres parce que ça brasse large : science fantasy, space opera, cyberpunk... et la cerise pour la mystérieuse Animah qui en une planche te retourne le truc comme une crêpe et se taille en mode femme invisible...
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Les auteurs en remettent une couche dans le "déjantage contrôlé". On sent ce contrôle, on n'est clairement pas dans le n'importe quoi en roue libre. Voilà le genre de BD qui se lit avec assiduité, attention, en intégrant bien les tenants et aboutissants. le génie, cela se mérite.

John Difool, détective raté, affublé de Deepo, sorte de croisement pélican-ptérodactyle, possède l'incal lumière, que tout le monde veut. Il a terminé le tome 1 dans la cité techno, aux prises avec le techno-pape, à deux pas de l'incal noir. Pendant ce temps, le méta-baron a accepté un contrat sur la tête de John Difool (mort ou vif) pour récupérer son fils, prisonnier de la Marraine, qui dirige le Siège de l'Amok. La révolte gronde, ou plutôt une city-émeute...

Au-delà du récit sur John Difool, le tome 2 va largement égratigner les médias et la société lobotomisée hyper commerciale. L'ophidité majeure se livre à des libations libidineuses plutôt que de s'inquiéter de son palais. Il va devoir faire appel à l'Impéroratriz pour sauver ses fesses siliconées reclonées. Car le peuple a le "droit à l'émeute", dixit le journaliste qui couvre l'insurrection.

On a un jeu de pouvoir dans lequel John Difool a bien du mal à ne pas être juste un pion qui rebondit entre toutes les factions.
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(Critique écrite en écoutant de la trance - musique électronique qui je pense colle parfaitement à ce bouquin -.)
Alors là, permettez-moi d'être en désaccord avec celui qui a fait le résumé : non, hélas, comme je l'avais dit sur le tome précédent, il n'y a aucune réelle enquête, même si le résumé, de la manière dont il est rédigé, laisse entendre que ç'aurait très bien pu être possible. Toujours dans l'éternel chipotage des sous-genres, j'ajouterais même que ça vire vraiment sur la science fantasy, mais comme le psychédélisme faisait un peu pardonner tout et n'importe quoi à l'époque, je passe l'éponge pour cette fois.
On se retrouve ainsi dans une aventure de moins en moins cyberpunk et de plus en plus cosmique, avec l'Amok, les technopères, le Président, des mutants bêtes et méchants et des femmes nues (eh oui, quand même !). Autant vous dire que c'est une lessiveuse infernale, l'exact croisement entre l'émotion "sur grand écran" de Jodorowsky et la fibre délirante de Moebius.
Mais bon, pour autant, on peut découvrir des côtés plus agréables : l'échelle qui mine de rien peu à peu s'agrandit pour nous emmener vers les grandeurs du space opera, l'apparition des Bergs dont leur système de reproduction, on le verra, est totalement... atypique, et surtout l'union de personnages qui semblaient complètement antinomiques pour aller combattre les horrifiques technopères. Et ça se finit sur un cliffhanger, autrement dit : gardez du popcorn pour la suite.
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Né en album en mai 1981, le détective de classe R John Difool poursuit ses aventures improbables et lumineuses dans ce 2ème opus, l'Incal Lumière. On l'aura compris, il s'agit à présent de trouver l'autre Incal et, pourquoi pas, d'assembler les deux.
Avec sa ville souterraine toute en hauteur, les pieds dans un lac d'acide et la tête couronnée d'un château volant, Jodorowski pose le décor et donne le ton. Sa SF est aussi une fable sociale. Ce 2ème album commence ainsi par le contrôle d'identité d'un drôle d'oiseau - Deepo - et se finit dans un bain d'acide. Vous suivez mon regard et voyez le rapport... de police ?
Avec le trait vif, tout à la fois aérien et mordant de Moebius et les personnages installés dans le 1er volet - plus quelques nouveaux pour arriver à un groupe de 7 lancés dans la quête initiatique -, ce 2ème tome, loin de s'enfoncer dans les bas-fonds où l'histoire va se poursuivre, décolle littéralement. Un des meilleurs, sinon le meilleur de cette série-culte.
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le récit cafouille toujours un peu. On a compris que l'incal c'est… non en fait on n'a toujours pas compris ce que c'est mais c'est important on s'en doute et maintenant il y en a deux.
John Difool est en fuite poursuivi par les méchants c'est certain. Cela se remarque sur la première de couverture par un Difool à poil rose orangé, un tantinet maigrichon, essayant d'échapper à de grosses pinces, vert absinthe et vert bouteille, on ne pas leur enlever mais les Alejandro Jodorowsky/Moebius savent soigner leur première approche.
La saga continue.
Un techno-pape, maître religieux d'une technofraternité apparaît sacrificateur dans le style maya et adorateur des ténèbres, un oeuf noir sorte de gestalt vivant, une princesse égyptienne sur un rat géant, une révolution,
Page 8 une magnifique machine araignée au pattes articulées toute noire avec des yeux orangés et un maelström final qui laisse présager que les ennuis pour Difool ne sont pas terminés.
Au niveau du scénario on ne voit pas très bien ou Alejandro Jodorowsky société dystopique, lutte des classes ou des communautés, lutte pour le pouvoir, sectes religieuses un peu de tout ça mais pas de direction générale el Moebius suit vaillamment colorant à tout va à travers sa multitude de personnages
John Difool semble reprendre du poil de la bête et s'épaissir un peu il ressemble presque à Tarzan surtout grâce à son pagne.
Bd qui n'est pas désagréable
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Là ! John Difool ! Aux mains du techno-pape... Le Maître fou !...
Techno-fraternité !.. Le grand moment est arrivé.
O. Incal !.. Ne me lâche pas !
L'alliance avec la tenèbre va ce soir donner ses sombres fruits !..
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Crétin! ce misérable secteur de la galaxie a toujours été la honte de l'empire !et maintenant par ta faute , espèce de pourceau...il est devenu la porte grande ouverte...aux noires horreurs , aux forces infra-cosmiques de putréfaction, de disfraction et de destruction!
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