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Fabrice Joly (Traducteur)
EAN : 9782265086494
408 pages
Fleuve Editions (28/02/2008)
4.37/5   95 notes
Résumé :
Pour échapper à un sinistre destin dans les mines d'Apatros, Dessel, un mineur à la constitution exceptionnelle, décide de rejoindre les rangs de son armée Sith.
Sa vivacité d'esprit, sa remarquable maîtrise de la Force et de ses faits d'armes brillants face aux défenseurs de la République attirent rapidement sur lui l'attention des Maîtres du Côté Obscur qui l'envoient sur Korriban, berceau des Sith pour y poursuivre son enseignement. Il embrasse alors sa no... >Voir plus
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Peu après Noël, tandis que je me promenais dans mon paisible petit village, une scène m'a longuement fait réfléchir : deux enfants, sabres laser flambants neufs fièrement dressés, étaient en plein conciliabule pour décider en avance de l'issue du combat à venir … A vrai dire, ils n'ont pas eu à débattre bien longtemps : le petit Sith en herbe a déclaré « je suis le méchant, je suis plus fort, je gagne », et le petit Jedi a vivement approuvé « ouais, les gentils ils gagnent jamais », avant de protester « mais la prochaine fois c'est moi le méchant ! ». Les gentils ne gagnent jamais, les méchants sont les plus forts. Quelle drôle de philosophie pour des enfants de sept ans ! Lorsque j'avais leur âge et que les autres enfants et moi jouions à Star Wars au terrain de jeu (avec des branches en guise de sabres laser), tout le monde voulait être un brave et noble Jedi, et non un vicieux et sanguinaire Sith : certains rentraient même chez eux en boudant si le tirage au sort les avait désigné comme méchants ! Les choses ont décidément bien changé, en l'espace de quinze ans : visiblement, désormais, les enfants sont bien plus fascinés par le Côté Obscur que par le Côté Lumineux ! Mais en observant les romans de l'Univers Etendu … je pense qu'on peut dire que ce n'est pas seulement les enfants : on suit bien plus de « héros » Siths que de Jedi ! Et je me demande bien ce qu'il faut en conclure sur notre monde …

Comme son ivrogne de père avant lui, Dessel trime du matin au soir au coeur des mines, à extraire à coup de marteau-piqueur le si précieux mais si résistant cortosis. Comme son ivrogne de père avant lui, Dessel trime nuit et jour pour tenter de rembourser sa dette à la Compagnie Minière. Mais contrairement à son ivrogne de père, Dessel compte bien quitter cette planète désolée un jour ou l'autre : il le sent au plus profond de son être, son destin n'est pas de pourrir ici. Prenant son mal en patience, Dessel attend le jour où prendra fin cette existence de misère et de servitude : son étrange instinct ne lui a jamais fait défaut. Mais voici qu'un jour, Dessel est contraint de fuir précipitamment Apatros : pour éviter que la justice de la République ne lui mette le grappin dessus pour avoir assassiné l'un de leurs officiers (peu importe que cela soit de la légitime défense), le mineur rejoint les rangs de l'armée Sith. Devenu sergent de la Marche Obscure, troupe d'élite de la Confrérie des Ténèbres, Dessel est cette fois-ci bien loin d'anticiper le nouveau tournant que va prendre son existence : lorsqu'il est mis aux arrêts pour insubordination (peu importe que sa mutinerie ait évité un échec cuisant à la Marche Obscure), l'ancien mineur ne voit pas d'autre issue que la mort … Mais à sa plus grande surprise, le voici envoyé à l'Académie Sith de Korriban, pour faire partie de l'élite de la Confrérie des Ténèbres : un Seigneur Sith. L'ascension de Dark Bane a commencé …

Qui dit « Star Wars » dit généralement « action » : on s'imagine aussitôt des batailles spatiales trépidantes, des combats acharnés au sabre laser, quelques explosions spectaculaires pour faire bonne mesure … Si c'est là tout ce que vous venez chercher dans un roman estampillé « Star Wars », je crains que celui-ci ne vous apporte pas entière satisfaction : l'auteur nous offre ici un récit qui se rapproche bien plus du roman initiatique qu'autre chose, même s'il nous accorde quelques scènes de bagarre pour ne pas trop nous dépayser. La sempiternelle lutte entre le Côté Lumineux et le Côté Obscur n'occupe ici qu'une place secondaire, à l'arrière-plan : le véritable enjeu est tout ailleurs, bien moins ostensible, bien moins visible. Tandis que cette guerre s'éternise et s'enlise, tandis que d'un côté comme de l'autre les forces se rassemblent et misent sur la même stratégie, celle de la force du nombre, pour prendre l'ascendant sur son adversaire, le jeune Dessel, devenu Bane, entame son apprentissage. Il traine derrière lui les souvenirs âpres d'une enfance abusée, d'une vie toute entière de rude labeur, de misère, d'avilissement, de servitude. Il aurait pu, comme tant d'autres, comme son propre père, se laisser briser par cette existence morne et monotone, pénible et humiliante. Sombrer dans l'alcool, dans la frénésie des jeux et le cercle vicieux des dettes qui n'en finissent pas de grossir jusqu'à perdre tout espoir de pouvoir les rembourser un jour. Jusqu'à perdre tout espoir tout court.

Mais Dessel a toujours su qu'il n'était pas comme tous les autres : il ne finira pas comme eux, asphyxié par la poussière des mines et les dettes écrasantes. Il en est intimement convaincu : il est promis à un brillant avenir, il accomplira de grandes choses. Il ne sera pas un mineur anonyme parmi des milliers d'autres : on se souviendra de lui. Ce refus de se lamenter sur son propre sort, cette détermination à améliorer sa condition ne peuvent que forcer l'admiration … Mais il y a chez Dessel une noirceur qui ne trompe pas, une violence contenue qui ne fait aucun doute : c'est bien par le Côté Obscur qu'il se laissera attirer. Sa force de caractère s'accompagne d'un mépris dédaigneux pour ceux qui sont plus faibles que lui : selon lui, qui a su gardé la tête haute en dépit de toutes les humiliations, ceux qui se laissent broyer par l'accablement et la lassitude ne méritent aucun respect. le fort survit, le faible périt. Autant dire qu'il avait déjà tout compris avant même d'intégrer l'Académie Sith … Il ne mettra d'ailleurs pas bien longtemps à saisir que les « Seigneurs Sith » se sont eux aussi égarés, qu'ils ont piétinés les préceptes du Côté Obscur, englués dans leur obstination à anéantir l'Ordre Jedi. Loin de se laisser berner à son tour par les beaux discours et les enseignements vides de sens de ces Maitres aveuglés et fourvoyés, Bane réalise qu'il est de son devoir d'expurger le Côté Obscur de cette gangrène, de le ramener à sa grandeur passée. Lui, Dark Bane, sera le premier d'une nouvelle génération de Sith, puissants, craints, invincibles.

Mais avant d'en arriver là, notre anti-héros doit embrasser tout entier le Côté Obscur. Il doit se débarrasser des derniers reliquats de doute ou de culpabilité, mais aussi les ultimes traces d'attachement ou de loyauté. Il doit se libérer des dernières entraves qui l'empêchent de devenir un véritable disciple du Côté Obscur. Et cela ne se fait pas sans heurt, sans douleur : si Bane s'apprête à devenir l'un des Siths les plus implacables, sournois et ambitieux de toute l'histoire du Côté Obscur, il n'en reste pas moins avant tout un jeune homme avec ses peurs et ses faiblesses. Bane ne se transforme pas du jour au lendemain en Parfait Grand Méchant : cela se fait doucement mais sûrement. Et c'est très précisément cela que j'ai trouvé si intéressant dans ce roman : j'ai beau désapprouver les choix de Bane, je peux les comprendre, car ils ne tombent pas de nulle part. Ils s'insèrent dans un cheminement psychologique très juste et suffisamment lent pour être profond. de Dessel à Bane, de Bane à Dark Bane, la transition se fait très subtilement : aussi surprenant que cela puisse paraitre au vue du contexte, j'ai eu en tête cette image fort poétique de la chrysalide qui se fait papillon, imperceptiblement. On ne peut discerner le moment où s'opère la transformation, même en observant attentivement : on ne peut que la constater le moment venu, lorsqu'il est déjà trop tard pour comprendre comment on en est arrivé là. Je dois vraiment avouer être très agréablement surprise, car je ne m'attendais pas à une telle finesse dans un roman « Star Wars » !

En bref, vous l'aurez bien compris, cette trilogie commence très fort, et même si j'étais plutôt « blasée » à l'idée de suivre encore une fois un disciple du Côté Obscur, je dois vraiment reconnaitre avoir été bluffée par ce premier tome. Je trouve ça fascinant de voir (re)naitre l'Ordre Sith tel qu'on peut le connaitre dans les films, d'apprendre comment est (ré)apparue cette fameuse « Règle des Deux » (que nous allons visiblement explorer plus encore dans le second opus, si j'en crois le titre). On sort vraiment du schéma horriblement manichéen du Bien contre le Mal, des Ténèbres contre la Lumière, on sent qu'il y a une véritable tension à la limite de la dépendance entre les deux : l'un ne peut en réalité pas exister sans l'autre, et en s'efforçant de s'éliminer mutuellement, ils risquent bien, effectivement, de disparaitre l'un et l'autre. Loin de sombrer dans la facilité en nous présentant un Méchant Pur et Dur, l'auteur nous invite à faire la connaissance d'un jeune homme tourmenté, tiraillé entre l'ambition et la certitude d'être amené à faire de grandes choses, et la crainte de son propre pouvoir et de ses propres actions. Certains trouveront assurément cet opus ennuyeux, car l'auteur nous propose effectivement quelque chose de relativement « calme » et donc d'irrémédiablement « lent », mas pour ma part, je l'ai trouvé particulièrement passionnant. Et pour ne rien gâcher, l'auteur a une très belle plume : on est dans un style vraiment soigné, délicat, presque noble, qui ajoute encore plus de profondeur au récit, et c'est fort bienvenu !
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"La voie de la destruction", est le premier volet de la trilogie Dark Bane, une série de trois romans, se déroulant dans l'univers de "Star Wars".
Il permet de développer avec intelligence les concepts, déjà explorés dans les films-la Force, le Côté Obscur, etc., tout en proposant un roman passionnant, avec des personnages charismatiques qu'on a plaisir à suivre et dont les doutes, les émotions, les réflexions, intéressent.
Par ailleurs, l'auteur a un style d'écriture assez intéressant, qui insuffle à l'histoire un rythme noble et majestueux, qui m'a bien plu. Il y a même parfois, quelques fulgurances de style, plutôt intéressantes. L'auteur ne néglige rien, prend bien le temps de développer chaque intrigue, de donner de la consistance à chaque personnage, pour que tous, aient une vraie profondeur, des doutes, des émotions.
Mais, à mon avis, ce qui constitue la plus grande force de son livre, ce qui en fait une grande réussite, est surtout la manière dont il dépeint, le long cheminement de son personnage principal, sa lente transformation en un être majestueux et impitoyable, l'incarnation même du Côté Obscur de la Force. Il lui donne une histoire complexe, qui le fait évoluer progressivement, pour devenir l'homme qu'il sera. On peut d'ailleurs dire que "La voie de la destruction", est avant tout, un roman d'apprentissages, avec des mentors, qui découvrent au héros une part de ce qu'il sera, un héros qui prend progressivement son indépendance, pour se construire par lui-même, des moments fondateurs, qui changent du tout au tout le héros et l'amène à changer.
Une autre chose qui m'a bien plu, est la réflexion, que Bane, mène tout au long du roman, autour du Côté Obscur de la Force. Drew Karpyshyn, parvient à donner à ses réflexions un vrai sens, et à les intégrer parfaitement au roman.
Un beau roman, bien écrit, avec de beaux personnages et une intrigue intéressante !
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J'ai eu le plaisir de découvrir ce premier tome bien lu sur Youtube. Un pote m'avait dit lit Star Wars plutôt que de regarder les films et il a bien raison. le propos va plus loin, est plus contrasté et percute bien plus que les images d'Épinales cinématographiques qu'on nous en offre. Ce roman d'apprentissage est celui d'un homme broyé par un système, battu par son père et doté d'un pouvoir... Par ras-le-bol d'être maltraité, il va se libérer de ses chaînes en s'enchaînant à d'autres, la confrérie du côté obscure. Très vite, sa présence dans cette meute défiante fera sensation et il n'aura d'autres choix que de détruire ce désordre organisé. La défiance ne mène nulle part, sauf vers l'autodestruction. Fatalement résumé comme c'est moins fin, mais il y a de ça. Dark Bane n'est pas un gros méchant Sith ni un sage chaotique, mais un individu fracassé qui utilise le système et ses capacités pour arriver à ses fins. Il préfère se plonger dans des livres de sagesses ancestrales plutôt que de surfer sur des vagues néo obscures qui font briller des valeurs comme des pompons dans un manège intergalactique sans fin. Dark Bane aime mettre un terme pour recommencer. Je vais poursuivre, en audio ou en livre, parce que ça me plaît bien !
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Premier tome de la trilogie de Dark Bane, j'ai trouvé ce premier livre réussi sur plusieurs points.
On découvre tout d'abord un personnage qui succombe petit à petit au côté obscur. Loin du passage au côté obscur d'Anakin Skywalker (évidemment en roman on a plus de temps), la transformation de Des en Bane, puis en seigneur Bane puis en Dark Bane passe par plusieurs phases qui permettent de comprendre cette montée en puissance dans le côté obscur et dans la Force. C'est plutôt bien décrit avec un récit passionnant.
La philosophie Sith du passage de la confrérie de seigneurs Sith en la philosophie de Dark Bane de la règle des deux est aussi bien argumentée et intéressante.
Le récit est aussi assez original en s'intéressant aux adeptes du Coté Obscur de façon plus profonde (on suit un peu les Jedi mais le nombre de chapitres consacrées à eux est très faible). On découvre une philosophie Sith passionnante, loin du simple méchant qui lutte contre les Jedi et qui sème la mort.
La description de l'entraînement Sith est aussi très passionnant, tout comme les différents personnages, notamment Dark Bane, le seigneur Kas'im (Maître d'arme) et Githany…
Enfin, on a droit à un peu d'histoire des Sith avec notamment les Sith que l'on rencontre dans le jeu Jedi Knight : the Old Republic ; un jeu que j'ai joué sur PC et qui avait une histoire excellente ; j'ai été ravi de retrouver des allusions à cette période de l'Univers étendu de Star Wars.
Malgré quelques petits défauts (la découverte de l'apprentie de Dark Bane tombe vraiment dans la facilité), j'ai été agréablement surpris par une histoire prenante et passionnante qui met un peu plus en lumière l'arrivée d'un seigneur à Sith comme Dark Sidious (alias Palpatine).
Un tome qui pourrait se suffire à lui-même, j'espère donc que la suite ne gâchera pas ce très bon premier tome.
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Ce roman se déroule principalement chez les Sith alors qu'ils ont choisi de déroger à la règle « un maître, un apprenti » (celle qu'on retrouve dans les films). On a donc tous les genres de personnages qu'on peut imaginer et on en vient à se dire qu'être un Sith n'est pas forcément associé à des traits de caractères tous plus immondes les uns que les autres. Bien sûr, ce ne sont pas des tendres mais il y a des nuances et après tout, on est en période de guerre. On a aussi droit à quelques scènes du côté des troupes Jedi et on se rend compte que toutes les belles théories deviennent difficilement applicables quand on est en pleine bataille. Finalement, en temps de guerre, les deux camps ne sont pas si différents.


Mais dans ce roman, c'est surtout Bane que l'on suit et à travers lui, on apprend comment un homme peut devenir un Sith à part entière. On apprend tout d'abord à le connaître dans sa vie quotidienne et on est témoin des injustices qu'il subit, ce qui le rend vraiment attachant. Même lorsqu'il commence son apprentissage et qu'il devient de plus en plus passionné, je n'ai pas réussi à le détester. L'auteur a su rendre l'évolution de Bane assez progressive pour que le lecteur comprenne bien les choix du personnage et le suive dans toutes ses actions.
Les autres personnages m'ont plu, ils ont tous de fortes personnalités et jouent de vrais rôles dans la vie de Bane, que ce soit en tant que mentor, rival, allié,… J'ai trouvé que cet univers était « réel » dans le sens où tout trouve parfaitement sa place et que jamais je ne me suis interrogée sur l'importance ou l'inutilité d'un personnage ou d'un évènement.


Comme je l'ai dit, l'histoire est progressive : on suit l'évolution de Bane avec ses moments de doutes, ses plans avec leurs différentes phases, ses échecs et ses réussites. Il ne suffit pas qu'il soit puissant, il faut qu'il apprenne à utiliser sa puissance. Plutôt que de foncer dans le tas sabre laser au poing, il va ruser et c'est ce qu'il est intéressant de suivre car ça prend du temps et il y a un but à tout ce que Bane met en place.


Le roman est plutôt long mais je ne me suis jamais ennuyée, le style de l'auteur est vraiment agréable à lire. Si je devais avoir une remarque à faire, ce serait à propos de la « romance » qui aurait pu être un peu plus développée, toujours pour servir l'évolution de Bane. Mais c'est vrai que le roman est déjà assez complet. La fin du livre fait apparaître un nouveau personnage qui laisse penser que la suite va être intéressante.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Les hommes de soixante ans en paraissent quatre-vingt-dix, leurs corps brisés par des décennies de dur labeur et d'exposition aux polluants qui s'insinuaient à travers les filtres de médiocre qualité de la COMBE.
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Il était le seul Seigneur Noir des Sith, le dernier de son espèce. La charge de reconstruire l'ordre lui incombait maintenant. Mais cette fois-ci, il ferait comme il l'entendait. Au lieu d'une multitude, il n'y aurait que deux Sith : un Maître et son apprenti. Le premier pour incarner le pouvoir, le second pour le convoiter.
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Par sa nature même, le Coté Obscur engendre la rivalité et les conflits. C’est la plus grande force des Sith : elle permet de supprimer les faibles pour ne garder que les forts. Mais cette rivalité peut également s’avérer être notre plus grande faiblesse. Les forts doivent se montrer prudents pour éviter d’être submergés par les ambitions de leurs subalternes travaillant de concert. Un Maître qui instruirait plusieurs apprentis dans les voies du Côté Obscur serait donc un imbécile. Avec le temps, ces apprentis uniraient leurs forces et renverseraient le Maître. C’est inévitable. Et évident. C’est pourquoi chaque Maître ne peut avoir qu’un élève.
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Les apprentis sont peut-être l'avenir de la Confrérie, mais le présent nous appartient !
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Au cours des derniers jours de l’Ancienne République, les Sith – les adeptes du côté obscur de la Force et les ennemis héréditaires de l’ordre Jedi – étaient au nombre de deux : un Maître et son apprenti. Cela ne fut pourtant pas toujours le cas. Mille ans avant la chute de la République et l’ascension au pouvoir de l’Empereur Palpatine, les Sith étaient légion...
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