A quelques jours de la folie des humains qui organise cette mascarade monstrueuse qu'est le black-Friday, le vendredi noir, noir de ténèbres, de nihilismes et de néant, je termine l‘héritage spirituel amérindien.
Ce livre a eu pour vertu de me remémorer, les livres de mes 20 ans. Pieds nues sur la terre sacrée, les livres de
Carlos Castaneda (pas celui footballeur),
l'herbe du diable et la petite fumée, voire, …etc… Je me suis longtemps imprégnée de cette culture spirituelle amérindienne, lorsque celle dans laquelle je suis né me décevais. Je n'avais pas encore sur aller au-delà de ma déception, pour connaitre la déception de la déception et rouvrir les portes.
Je redécouvre à travers ce petit livre de présentation en quoi finalement toutes nos spiritualité, nos assemblée, ce qui nous relie est merveilleux. Finalement, nous les humains, nous les personne humaines avons autour de cette terre des approches similaires qui ne devrait pas nous opposée mais nous rassembler afin de se réinscrire dans le cycle de la vie. Bruler la terre, consumer par la consommation sans fin est ce qu'il y a de plus morbide, et tout cela pour accumuler une objet appelé argent pour générer un profit qui ne porte aucune dignité juste de la « valeur » en termes de chiffre, de nombre qui ne sont que de piètre création.
Bien sur ce livre est écrit par des personnes humaines « blanches », issues du consumérisme de notre époque et tout emprunt de nos croyances très « new-âge » d'une spiritualité individuelle (sans religion) qui ne doivent rien aux autres, au collectif, et à toutes nos relations, mais on perçoit quand même le chemin qu'ils doivent faire.
Alors je vous en prie, Vendredi, ignorée les ténèbres et gouter le plaisir de la conversation avec vos frères et soeur, de la nature, humains, pierre, eau et cosmos et ayez une pensée sous forme de question sur le « Grand Esprit »
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