Le travail de recherche est remarquable et le portrait de la femme forte est joliment esquissé. Les descriptions sont étoffées et on n'a aucun mal à laisser l'imagination vagabonder sur les parvis...
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Grisette, demi-mondaine, courtisane, prostituée, Céleste se bat pour « ne pas être celle qu'on rejette ».
Dans le Paris du Baron Haussman, cocottes et grandes dames se côtoient dans le quartier de Notre-Dame de Lorette, dit « la nouvelle Athènes ». Deux mondes parallèles et cloisonnés voient évoluer l'homme « qui fait le beau » et le riche, et oublie ce jour ce qu'il a adoré hier. Devenue enfin, à force d'habileté, princesse de Tannenberg, Prussienne par mariage, Céleste reçoit le « beau monde ». Au prix d'une vie désolante et sans amour.
Cruel et excellemment documenté sur l'époque décrite.
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Un roman sur fond historique
J'avais lu ce livre il y a fort fort longtemps et t j ai eu envie de le relire
Je ne me rappelais plus du tout de l'histoire
Je vous le conseille
La femme n est pas un objet elle n est pas à vendre.
Que c'est dur de faire son chemin dans les années 1850 sans se donner !!!
Très bien documenté ce livre m'a fait découvrir la sociéte de cette époque.
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Il lui arrive tellement de choses en si peu de temps a cette mandragore que l'histoire en devient bien peu crédible, biographie romancée de céleste Mogador je pense, mieux vaut lire la véritable histoire de la Mogador que ce roman fourre tout de la Mandragore
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- Une bonne à rien, venue du ruisseau et qui tôt ou tard y retournera, voilà ce que vous êtes!... Taisez-vous, insolente!... Mais c'est à croire que les ouvrières ont ça dans le sang - l'ingratitude! On les prend par charité , on les paie par charité, et ça vous fait des scènes!
Il y a un peu de Zola (au Bonheur des Dames, ou encore Nana) et de tous les auteurs de l'époque que "la Mandragore" a rencontré.
En principe, le lecteur doit éprouver une certaine sympathie, à défaut d'une empathie envers le personnage principal.
Là, Céleste est vraiment insupportable, et on a plus envie de l'envoyer se promener que de la plaindre.
Ceci étant, le roman est bien écrit, bien documenté et nous plonge dans l'ambiance du Paris du milieu du XIX ème siècle, celui du Baron Haussmann, des premiers grands magasins, des bals, des artistes mais aussi des différences de classes sociales prémices des révolutions futures.
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