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EAN : 9791033912170
256 pages
Harper Collins (04/05/2022)
3.9/5   47 notes
Résumé :
À l’été 2020, Jonathan Lehmann a vécu la semaine la plus folle de son existence. Quatre jours de suite, il a bu un breuvage sacré venu d’Amazonie : l’ayahuasca. Connue pour ses vertus thérapeutiques, cette préparation à base de plantes utilisée par les chamans permet, grâce à des visions, une plongée au tréfonds de soi.
En tête à tête avec les facettes les plus sombres de lui-même, Jonathan a dû explorer en profondeur ses addictions, ses pulsions, ses an... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Déjà un grand merci à @babelio_ pour la réception de ce livre suite à l'appel de la dernière masse critique.
J'ai déjà lu "Journal intime d'un touriste du bonheur" de Jonathan donc quand j'ai vu son dernier livre, je me suis empressée de postuler.
"Journal intime d'un voyageur chamanique" se lit aussi vite et bien que son premier.
L'auteur se livre toujours avec autant de sincérité et d'auto dérision. Ici, il nous conte les 4 jours qu'il a passé au nord de Berlin pendant l'été 2020, à boire un breuvage sacré venu d'Amazonie : l'ayahuasca, connue pour ses vertus thérapeutiques, cette mixture à base de plantes permet un voyage spirituel en profondeur avec soi-même. Les côtés sombres ressortent sous forme de visions grâce, ou à cause de cette boisson. Elle permet de faire face à ses démons et de les accepter (angoisses, addictions...).
Dans ce livre de développement personnel, il est question du travail sur l'enfant intérieur qui est en nous, de sexe et de l'image qu'on lui donne, d'amour propre, de réflexion profonde.
Jonathan nous partage des moments de sa vie sans aucune pudeur. Sa franchise fait du bien dans ce monde où l'honnêteté manque souvent.
J'ai passé un bon moment et la lecture de ses livres me donne toujours autant envie d'essayer la méditation, je ne sais pas ce que j'attends au fond ...
Ne me reste plus que les antisèches du bonheur à lire.
Et si on décidait de prendre du temps pour soi? D'être heureux ?

" L'amour de soi n'est pas l'amour de nos qualités, de nos succès, de nos accomplissements. C'est l'amour de nous-mêmes malgré notre ombre."

" Quelle est la force la plus puissante ? L'énergie positive ou négative ? L'un d'entre nous répond que c'est l'énergie positive, une autre la négative. Eduardo sourit. La force la plus puissante, nous dit-il, est celle qu'on alimente."
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L'auteur nous fait partager ses expériences avec l'ayahuasca, une plante utilisée dans le cadre de rituels chamaniques. Prise de conscience, réflexions globales et autobiographie, un petit mélange…
Je suis partagée sur ce livre. J'aime bien l'auteur, même s'il le dit lui-même, il a tendance à beaucoup parler de lui. Mais l'ouvrage s'intitule « Journal intime », donc c'est plutôt légitime. Quelques réflexions sont très intéressantes et font réfléchir, par contre d'autres sont carrément bateaux et saturent déjà les magazines féminins et autres post Instagram. Il y a donc à boire et à manger dans ce récit, mais comme je ne suis pas du tout hostile au chamanisme, au contraire, j'y ai trouvé quelques pistes de réflexion plutôt sympathiques (par contre, cela m'a définitivement détourné de la possibilité de boire un jour de cet ayahuasca !)
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J'ai connu Jonathan lors de la 1ere vague du COVID.
Je débutai dans la méditation et c'est là que je me suis abonnée à son application destinée à la méditation (que je vous recommande grandement).

Dans la foulée, j'ai acheté son 1er livre "journal intime d' un touriste du bonheur" puis son 2nd "les antisèches du bonheur"

Dans ce dernier ouvrage, il nous explique toujours dans la simplicité, avec une pointe d'humour et beaucoup de franchise la continuité de son parcours à la recherche du bonheur.
Il nous parle de ses parts d'ombre, et comment, grâce à plusieurs cérémonies à boire un breuvage sacré venu d'Amazonie, il a eu des réponses à ses questions.

Encore une fois, nous comprenons comment il est important de faire face à toutes ses parts que l'on cache aux autres et à soi-même pour réussir à entamer de véritables changements.
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« L'amour de soi n'est pas l'amour de nos qualités, de nos succès, de nos accomplissements. C'est l'amour de nous-mêmes malgré nos ombres. Je dirais même plus : c'est l'amour de nos ombres. »

Ce passage résume parfaitement l'enseignement de ce livre. Dans ce journal intime, Jonathan Lehmann nous décrit son expérience d'une retraite chamanique au cours de laquelle il a bu un breuvage sacré venu d'Amazonie, l'ayahuasca.
Ce mélange de plantes permet un voyage, une plongée, au fond de soi-même pour apprendre ou réapprendre à se connaître, que ce soit dans ses part de lumière mais surtout dans ses parts d'ombre.

Parfois un peu perché, ce qui est totalement assumé par l'auteur et qui rend la lecture très légère et accessible, j'ai beaucoup aimé ce livre qui permet un véritable questionnement sur soi et l'image qu'on peut avoir de soi-même.

J'ai beaucoup aimé la manière de penser de l'auteur, et les interrogations vers lesquelles il veut nous emmener. Ma prochaine lecture développement personnel sera certainement Les antisèches du bonheur.
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Tout d'abord merci à Babelio qui m'a envoyé ce livre dans le cadre de la Masse critique.

J'ai pris plaisir à le lire notamment parce qu'il met en avant un aspect important de l'amour de soi qui est rarement abordé dans les livres de développement personnel : notre part d'ombre. Jonathan Lehmann partage avec beaucoup de transparence et de sincérité ses parts d'ombre et ses réflexions ses différentes relation. Mention spéciale pour son auto-dérision qui nous donne l'impression d'être en conversation avec lui!

J'avais déjà très envie de lire "les antisèches du bonheur" après avoir ecouté plusieurs épisodes de podcast où il a été invité, cette lecture me conforte dans cette envie.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Quand il y a de l'abus dans une relation, c'est qu'il y a un problème de frontières, qu'il faut changer le cadre et mettre en place des limites plus saines. Concrètement, cela implique de déterminer ce que l'on peut dire à une personne ou entendre de sa part.
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Je me demande ce que ça me ferait de voir ma génitrice non comme une mère qui me devrait quelque chose, mais comme un être humain à part entière, au-delà du rôle qu'elle a pu remplir à mon égard. Je me demande ce que ça me ferait de ne plus l'appeler "maman", mais "Nicole", ou encore d'employer le surnom qu'elle aime, "Nini". Peut-être qu'en appelant ma mère par son prénom, j'arrivais à mettre une distance plus saine entre elle et moi.
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Je suis confronté, encore une fois, à une vérité qu'Eduardo aime à nous répéter : contrairement à ce que nous pourrions croire, l'évolution spirituelle ne se fait pas en adoptant telle pratique ou en acquérant telle connaissance. Mais plutôt en apprenant à se détacher de ces choses qui nous empêchent de grandir : en lâchant les habitudes qui ne nous servent plus. L'évolution passe par la soustraction et non pas l'acquisition.
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Comme dit Maître Oogway, dans Jung Fu Panda, " on rencontre son destin sur le chemin qu'on emprunte pour l'éviter".
On essaye de se prémunir contre le manque d'amour, et on limite ainsi notre capacité à en donner et en recevoir.
On essaye de préserver son enfant de la blessure qui nous a causé tant de tort, sans comprendre que notre comportement va générer chez lui une blessure narcissique du même ordre.
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Je n'emploie pas le terme d'abstinence, à dessein, et lui préfère celui de sobriété. L'abstinence, selon Gabor Maté, c'est s'empêcher de faire quelque chose. Or l'être humain ne supporte pas la contrainte, et donc l'abstinence comme contrainte auto-imposée aura du mal à s'ancrer dans la durée. A la place, Maté propose de voir le travail autour de l'addiction comme une tentative d'atteindre la sobriété : cet état de liberté où l'on redécouvre qu'on n'a pas besoin de béquille et qui va venir influencer bien d'autres pans de son existence, comme le savent toutes les personnes qui ont réussi à mettre une dépendance de côté.
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