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EAN : 9782322254835
384 pages
Books on Demand (02/04/2021)
5/5   5 notes
Résumé :
Rupture amoureuse, déchirement familial, deuil, pression au travail... La vie de Miriam n'est qu'une succession d'épreuves. Elle qui rêvait de liberté se retrouve prisonnière d'un quotidien qui l'étouffe. Le jour où son corps la lâche agit comme le début d'une renaissance. Et si elle renouait avec ses rêves ? Ecouter son coeur et ses émotions... Repousser la facilité et les conventions... Suivre une autre voie... Sa propre voie enfin... Celle qui mène à la sérénité ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Un beau voyage spirituel...
𝙷' 𝚆𝚆𝙰𝙷 : AVA prénom hebreu qui veut dire "Vivre" .

𝑁𝐴𝑀𝐴𝑆𝑇𝐸 chers lecteurs,Saviez-vous que l'origine du mot NAMASTE remonte à l'époque de la culture hindoue ancestrale, en Inde ? Cette affirmation indienne est issue du sanskrit, une des langues parlées durant cette époque lointaine. La signification du mot et du geste Namasté est clairement spirituelle. La religion bouddhiste ou hindouiste met en évidence la présence d'une lumière divine en chacun de nous. Celui-ci est donc utilisé comme un geste de reconnaissance qui équivaut à une phrase du type : « La lumière qui est en moi reconnaît et salue la lumière qui est en toi ».

Maxence Marin figure selon moi dans cette nouvelle génération d'auteurs du développement personnel qui frappe là où on ne les attend pas.

A travers H' WWAH, l'auteur explique l'importance de se reconnecter à l'essentiel.J'ai trouvé extrêmement touchant le chapitre ou Miriam la protagoniste échange avec sa mamie, quelques temps avant que cette dernière ne laisse expirer son dernier souffle.

H' WWAH est un récit facile à lire, très clair, qui donne une autre vision du monde, des gens, de la vie et des relations humaines. Il arrive à chacun à un moment spécifique de sa vie, où il se perd et s'éloigne de sa légende personnelle.Comme Santiago dans l'Alchimiste de Paulo Coelho, Miriam aussi ira en quête de ses rêves, délaissera certaines addictions, parcourra un chemin différent et apprendra à ne plus juger son prochain de par son apparence.

En fait, ce livre est un vrai guide.La sensibilité de l'auteur et sa maîtrise de bien choisir les mots qui résonnent par la suite dans le coeur du lecteur ne m'ont pas laissé insensible.

Plus on se connaît soi-même, plus on trouve en soi une forme de sécurité. Maxence Marin nous montre comment, dans sa propre recherche, Miriam a trouvé une forme de sagesse et un centre de gravité.

Comme dirait le grand Philosophe Marc Aurèle, "en te levant le matin, rappelle-toi combien est précieux le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux".
Je vous souhaite à tous de vivre dans cet état de reconnaissance, de joie et de paix intérieure.

Page 41
"Lamour est partout et en tout temps, mais seul l'oeil en paix peut le contempler".

Page 56
"Oublie la religion qui t'a été imposée. Pense avec ton coeur et non avec ta peur !."

Page 124
"N'oublie jamais que tout ce que tu vis est là pour te faire grandir."

Page 237
"Le coeur est une boussole qui indique toujours la bonne direction."
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🧡 Coup de coeur 🧡

Ce récit nous parle de Miriam, jeune femme qui étouffe dans sa vie.
Métro boulot dodo …

Issue d'un milieu culturel et religieux différent, elle supporte aussi une énorme pression de la part de sa famille.

Trouver sa place dans ce monde n'est pas facile.

Que se passe-t-il quand vous forcez trop ?
Votre corps vous lâche, tout simplement.

Voici ce qui arrive à Miriam.
Le corps a baissé sa garde et dépose ses armes. Son cerveau, lui, va lui jouer des tours.

Peur de sortir, peur de voir du monde, peur de vivre …

Qui n'a jamais eu ce sentiment ? Cette seule envie de rester dans son cocon à la maison et fuir le monde ?

Miriam va trouver de l'aide, va croiser de merveilleuses personnes sur ce long chemin de guérison.
Oui, j'ai dit guérison.
On peut guérir d'un burn-out, d'une dépression, d'agoraphobie,… il faut surtout avoir l'aide de personnes compétentes, de personnes capables de vous aider et vous conduire sur le chemin de la paix intérieure.

Nous sommes nombreux à chercher cette paix, ce sentiment d'être en parfaite harmonie avec son corps et son environnement.

Cette histoire comporte des éléments difficiles pour moi.

D'abord par l'existence de ces croyances où la femme est inférieure à l'homme et doit juste se taire et rester à la maison.
Miriam en est la parfaite représentation, elle qui vit seule, travaille et vit sa vie comme elle l'entend.

Ensuite, la perte du goût de vivre, la descente aux enfers afin de pouvoir retrouver sa propre lumière est une chose qui me touche personnellement.
Trouver un sens à sa vie malgré un éloignement de sa propre famille, est un travail très compliqué, épuisant et mentalement éprouvant.

Ce combat d'une jeune femme afin de pouvoir vivre est tout simplement magnifique !

Je suis tellement reconnaissante envers cet auteur qui aborde des faits de sociétés beaucoup trop courants et si peu évoqués.

Chercher sa voie n'est pas une matière étudiée à l'école. Chaque vie est différente et nous avons tous notre rôle à jouer.

Certains faits m'ont donnés des idées pour moi, pour prendre soin de moi et savoir aussi, à un moment donné, pouvoir demander de l'aide.
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C'est ici une histoire romancée sur l'estime de soi, qui se situe à mi-chemin entre le parcours initiatique et le conte philosophique.

J'ai été bouleversée tant ce qui est écrit est empreint de sens et de clairvoyance.

À l'inverse de certains livres de développement personnel constitués de clichés et de « copié-collé » de théories bouddhistes et autres, ce roman trouve parfaitement son sens en ouvrant les portes de notre esprit et en nous laissant entrevoir un vent d'optimisme sur ces petites choses essentielles qui nous rendent vivants. La profondeur des phrases, que l'on sent écrites avec le coeur et le ventre, nous insuffle le bonheur et la liberté d'être SOI.
Nous sommes inévitablement poussés à remettre en question ce en quoi nous croyons et qui est ancré en nous.

La plume de Maxence Marin agit comme une bienfaitrice. C'est en refermant le livre qu'on s'aperçoit qu'on n'a pas seulement suivi le parcours de Miriam mais qu'on a également mené notre propre réflexion sur notre condition de vie.

On se sent armé pour ÊTRE et non plus subir. Cette lecture est un vrai cadeau pour retrouver son énergie intérieure. Un livre indispensable à mettre entre toutes les mains, surtout lorsqu'on recherche son « chemin de vie ».

Et alors que Miriam devient « Reine au royaume des pions », H'wwah rejoint la place qui l'attendait dans ma bibliothèque, entre Eckhart Tolle, Swami Prajnanpad, Arnaud Desjardins, et tant d'autres maîtres dignes de ce nom. 🙏
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Rupture amoureuse, déchirement familial, deuil, pression au travail... La vie de Miriam n'est qu'une succession d'épreuves. Elle qui rêvait de liberté se retrouve prisonnière d'un quotidien qui l'étouffe. le jour où son corps la lâche agit comme le début d'une renaissance. Et si elle renouait avec ses rêves ? Ecouter son coeur et ses émotions... Repousser la facilité et les conventions... Suivre une autre voie... Sa propre voie enfin... Celle qui mène à la sérénité de l'âme.



Je remercie Romina d'avoir mis sur ma route Maxence Marin et le superbe K'wwah, un livre romancé de développement personnel qui est une belle pépite. Miriam est un personnage attachant par sa sensibilité et sa force malgré les douleurs, les peurs et les échecs.

Suivre Miriam est un réel moment de spiritualité. En quête d'elle-même, en écoute des autres, le chemin de Miriam nous pousse nous aussi à la réflexion par bien des aspects. Vivre ? Qu'est-ce que vivre ? Avec des mots justes et profonds, l'auteur nous souffle une bouffée d'optimisme.

J'ai été particulièrement touchée par le passage avec sa grand-mère, moi-même ayant perdu la mienne il n'y a pas si longtemps.
Comme une ouverture sur le monde, comme un nouveau chemin qui prend racine sous nos pieds, K'wwah est lumineux, doux et poétique. Maxence Marin, écrit avec fluidité et maîtrise, des mots qui s'insinuent dans ton coeur comme une vague de chaleur.
"Mais sache que la peur est une prison, au contraire de l'amour qui libère."

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C'est un livre qui fait du bien, qui nous fait nous remettre en question, qui nous fait voir le monde autrement. Je suis sensible à ce genre de "thérapie", j'aime prendre le temps d'observer la nature, j'aime me dire que rien n'arrive par hasard, que notre coeur doit guider nos choix. Je pourrais être celle qui sème des fleurs sur le béton ! J'ai eu l'occasion de découvrir le shiatsu l'an dernier et j'ai été bluffée, je le conseille à tout le monde, savoir écouter son corps, prendre le temps, et ressortir tellement détendue... c'est vraiment top. Bref, je vous conseille ce livre, il est à la fois très instructif, poétique (j'adore les citations tout au long du roman), et il vous ouvre les yeux sur vous-même et sur la vie telle que vous devez la vivre ! H'wwah, Ava, signifie "vivre" en Hébreu... alors, tout est dit !
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Le soleil de la veille peut laisser place à une pluie diluvienne sans avoir à se justifier. Ainsi va la vie. Elle ne subit aucune loi, mais dicte la sienne. Telle la houle qui se veut tour à tour creuse puis pleine, mais nous laisse le choix : lutter au risque de boire la tasse à chaque vague ou suivre le courant de la vie vers le chemin qu’elle nous réserve.
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Comme la société le lui avait appris, Miriam avait choisi de se punir à deux reprises pour ses erreurs : la sanction était déjà tombée avec la rupture, mais le besoin de se flageller davantage était si grand qu’elle se torturait de reproches et de questions afin de vivre et revivre sa peine. Porter le poids de son passé sur le chemin de la vie pour se souvenir d’où l’on vient. 
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L’amour est partout et en tout temps, mais seul l’œil en paix peut le contempler. Le cœur en feu, lui, ne voit que de quoi attiser la colère nécessaire à le raviver. Accepte qu’il n’y ait d’autre responsable que toi-même face à ta douleur, et que le monde que tu vois ne soit que le reflet de toi-même. Rancunes ou Amour, nous ne sommes qu’un face au miroir qu’est le Monde.
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Mais sache que la peur est une prison, au contraire de l’amour qui libère. Luna, par sa résilience en l’amour, a brisé les chaînes la rendant esclave du temps car la mort n’est plus une fin en soi pour celui qui s’est affranchi des limites de la peur. Le paradis est accessible de notre vivant à celui qui marche vers sa véritable identité. 
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Le climat était doux et une légère brise caressa son visage comme une main pleine de compassion, glissant sur sa joue pour stopper l’hémorragie de sa tristesse.
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