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EAN : 9782505061212
1088 pages
Kana (06/12/2013)
4.01/5   66 notes
Résumé :
l y a une vingtaine d'années déjà- un certain dessin animé japonais débarquait sur les écrans de télévision de France et de Navarre pour surfer sur le succès du mythique "Goldorak" et de l'espiègle "Candy". Un bandeau sur l'oeil, une cape noire, un fidèle équipage, juste et incorruptible, "Albator" entamait sa carrière francophone et allait marquer la mémoire de millions d'enfants. Bien des années plus tard, le manga dont a été tiré le dessin animé sort enfin en ver... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Pour une fan d'Albator telle que moi, ne jamais avoir lu le mange original était un oubli que je voulais réparer…

C'est chose faite avec cette intégrale de 1080 pages, reprenant les cinq mangas originaux du Captain Herlock, plus connu chez nous sous le nom d'Albator, le corsaire de l'espace.

Premières impressions ? C'est foutrement lourd, cette intégrale ! La deuxième est que les dessins ne sont pas égaux dans leur qualité…

Certains personnages semblent écrasés, comme s'ils avaient la tête trop grosse et les jambes trop courtes, notamment avec Tadashi Daiba.

Les visages manquent parfois de détails, de précisions, mais pour ce qui est des instruments de contrôle à bord de l'Arcadia (Atlantis dans l'anime), là, on est gâté en détails et en précision des dessins.

Le problème de la version manga, c'est qu'elle n'a pas de fin ! Ben oui, arrivé à la dernière page, on se retrouve avec notre corsaire qui poursuit son voyage à la recherche des Sylvidres, mais après, c'est tout, y'a plus rien, le manga n'a jamais eu de fin, lui ! Merde alors !

Comment cela se fesse-t-il ? Wiki a répondu à mes questions et je vous donne la réponse, parce que vous êtes sages…

"Les cinq volumes font office de première partie. L'histoire n'a pas encore eu de conclusion en manga jusqu'à présent. Par contre, l'adaptation en anime, Albator, le corsaire de l'espace, a une fin. L'adaptation en série d'animation Albator, le corsaire de l'espace a été réalisée alors que le manga était toujours en cours de parution, prenant de vitesse Leiji Matsumoto dans l'écriture du manga. C'est ainsi que la série fut achevée alors que le manga n'en était qu'à la moitié de l'histoire. Alors très occupé sur différents projets, Leiji Matsumoto ne termina jamais le manga, qui reste suspendu en plein milieu de l'intrigue".

À la fin de l'ouvrage, les concepteurs expliquent avoir eu du mal à choisir ce qu'il fallait mettre dedans, puisque le manga était différent de l'anime, notamment dans les noms et le scénario. Ils ont essayé de faire de leur mieux afin de ne pas trop perturber les fans de l'anime…

Je ne l'ai pas été, je me suis habituée aux véritables noms des personnages et s'il est plus facile pour les francophones d'être face à un Alfred qu'un Yattaran (celui qui fait toujours ses maquettes), je me suis vite intégrée à l'équipage et retrouver tous ces visages familiers.

C'est tout de même une société fameusement blasée de tout, que Leiji Matsumoto décrit dans son manga, puisque personne, ou si peu, ne s'inquiète de l'arrivée de la boule noire sur terre et que le premier ministre est plus intéressé par ne rien foutre, par jouer au golf ou penser à sa réélection, qu'à se battre contre les envahisseuses, qui, ne sont peut-être pas si envahisseuses que ça…

Au fil du manga, on apprendra qui elles sont vraiment, ces Sylvidres et quels sont leurs liens avec les peuples des différentes planètes et galaxies.

Si l'équipage de l'Arcadia est misogyne et pense que la place des femmes est en cuisine, ils n'en restent pas moins correct avec les trois femmes de l'équipage (la cuisinière, faut pas la faire chier non plus), même quand ils sont imbibés d'alcool (boire est dangereux pour la santé).

Oui, c'est un peu vieillot pour certaines choses, mais c'était précurseur pour d'autres, notamment le côté anticapitaliste d'Albator, sa soif de liberté, son côté écolo, anticonformiste, sa colère contre ceux qui ne bougeaient par leur cul, qui étaient des moutons et les valeurs de fraternité qu'il voulait pour tout le monde.

À son époque, qui était la nôtre au moment de la diffusion de ce manga, ce n'était pas des thèmes à la mode comme maintenant. de plus, il connaissait la valeur des femmes de son équipage, femmes qui cachent leur talent pour ne pas froisser l'égo de certains hommes… Pas avec leur capitaine balafré et ultra sexy !

Oui, Albator a vieilli, il ne plairait sans doute pas aux jeunes générations, mais je m'en fous, moi, je l'aime depuis notre première rencontre (oui, ça date !) et le lire en manga m'a fait un bien fou. C'était comme manger une madeleine, celle de Proust, qui m'a fait replonger dans mon enfance et dans l'insouciance de cet âge.

À découvrir pour celles et ceux qui aiment le corsaire de l'espace !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Capitaine Albator, le pirate de l'espace... Ou le bouquin où t'as ♫ le voilà... Albator ! le capitaine Corsaire ! Il revient... Albator ! Pour les enfants de la terre. ♫ avec bruits de pistolets lasers, qui rugit au fond de ton crâne..
— Tain ça laisse des traces...
— Je ne te le fais pas dire... C'était quand même y a plus de trente ans...
— On a les madeleines qu'on peut tu sais... c'est pas grave.

Est ce que ça vaut le coup que je fasse un coup de pitch ?
— Pense à la nouvelle génération....
— Mouais..

Donc Pitch :
2977, les hommes ont conquis la galaxie et essaimé un peu partout... Sur terre, c'est la merdasse, la terre est gouvernée par un gars incompétent crétin, faiblard et veule... Seulement soudain, un groupe de guerrières de l'espace ( ah ces bonnes femmes je te jure !) Les Sylvidres surgissent, et veulent bien sûr envahir la planète bleue... Et tout le monde s'en fout !
Tout le monde ?
Non !
Albator va s'opposer à ces foutue guerrières ! Non mais ho ! Ça va bien !

Alors bon... Pour prévenir deux trois trucs :

C'était un cadeau sapin pour mon chéri ( qui date grave !) et je dois dire qu'il m'a fallut un sacré bout de temps pour me le tortorer jusqu'au bout...
Un des problème avec ces intégrales ( ça m'avait fait le même coup avec Lady Snowblood ).
Déjà parce que le bouquin est gros et lourd, et donc pas super pratique pour lire dans lit.. ça fait mal aux bras, au ventre et aussi faut avoir des yeux de faucon pour le lire (vachte c'est écrit petit !)

C'est pas une histoire terminée... en gros t'arrive au bout (de ce gros truc) et paf... pas de fin. Bon.

Ensuite faut dire ce qu'y est.... c'est daté... tant au niveau du dessin, que d'un peu tout... y a un petit côté désuet et nostalgie... Enfin je trouve.

Pour le vaisseau d'Albator, l'Arcadia, là Matsumoto s'éclate, et ça se sent, il nous envoie de sacrées planches, cases etoussah ! Aussi bien en extérieur qu'en intérieur. Matsumoto kiffe les vaisseaux spatiaux, épicétout !

La belette est belle, ok la pommette balafrée avec plissement d'oeil d'Albator on l'a bien.. Diantre le nombre de case oeil balafre... j'ai un peu halluciné !
Oui beaucoup de case gros plan... très gros plan, vas-y fait péter la pupille... Des anachronismes rigolos (que feraient les japonais sans leur boite de ramen instantanés ? Ou leur kotatsu ? Hein je vous le demande ^^)

Si je voulais pinailler y a quand même des gros problèmes de proportion au niveau des personnages, mazette ils ont parfois des grosses têtes, ou alors ils ont pris le melon ! ^^
Bon les persos secondaires humoristiques (équipage) ne peuvent être que « moches ».

Après bon, ça date d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, et sur beaucoup de choses y a eu une évolution (scénario, dessin, place des femmes, importance des rôles secondaires, et d'autres trucs...)

Mais il serait bon que la jeune génération se penche sur Albator pour les idées qu'il véhicule, pour ses valeurs ça serait bien... Parce que notre Albator bin, dans le genre écolo, anti capitaliste (et bien d'autre choses) il se pose bien là... Faut dire sur terre il est entouré de débiles ! Et de tout ce qu'il déteste, et qui va contre ses valeurs ... Ne serait-ce pas un ti brûlot l'Albator ?
Nan j'ai été élevé avec de bons messages ! ^^

♫ le voilà Albator ! ♫

C'est une pierre angulaire dans l'imaginaire de beaucoup... il est important, il a marqué...

C'est à découvrir, redécouvrir (pour ceux qui n'auraient vu que l'animé, qui lui a une fin) et objectivement c'était pas désagréable du tout. Ça se laisse lire... Même si ça m'a pris une éternité, c'était pas tant le contenu, mais plutôt le contenant...
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Je ne connaissais pas Albator, c'est plutôt de la génération de mon père. Mais l'intégrale était disponible à la bibliothèque quand j'ai appris la mort de Matsumoto alors... Pourquoi pas.

La prémice est plutôt misanthrope :

On y trouve une Terre au climat ravagé. Les politiciens sont représentés comme des poltrons cachés sous leurs couvertures. Rien ne les dérange plus que ces gens qui viennent leur demander d'agir, de régler les problèmes, d'améliorer le sort de la population. Leur travail, ce n'est rien de plus que les levées de fonds et les parties de golf.

La Terre est menacée d'une invasion extraterrestre, et les seules personnes qui s'en préoccupent sont Albator et son équipage. Ces personnages forment une espèce de commune anarchiste spatiale autogérée. Ils sont égaux, personne n'est obligé de faire quoi que ce soit, ils peuvent quitter quand ils veulent. Cela mène à des soirées de débauche à bord de l'Arcadia.

L'équipage fait face à deux obstacles : L'invasion extraterrestre qu'ils veulent arrêter. Puis le gouvernement terrien qui fait tout pour les empêcher de nuire à l'invasion. Parce qu'une chose que le gouvernement ne tolère pas, ce sont ceux qui veulent faire progresser la société.

Et bon, tout ce que je viens de dire est bien chouette, mais ça représente peut être les 50 premières pages du manga. le problème de l'oeuvre, c'est que l'intrigue principale n'avance pas d'une miette dans les 1000 pages suivantes. Toute l'histoire est incroyablement répétitive. l'Arcadia avance, rencontre des ennemis, les bat, mais ces derniers réussissent à s'enfuir avant d'avoir divulgué la moindre information.

Et comme Albator est une histoire incomplète, on termine l'intégralité en n'ayant aucune réponse à toutes nos questions.

Aussi : Les personnages féminins sont plutôt amusants. l'Arcadia est un milieu sexiste. On y parle sans cesse de la nécessité d'être un "vrai homme". du rôle moindre des femmes à son bord. Mais chaque fois, on y voit les personnages féminins performer admirablement, mais cacher leurs talents à leurs collègues masculins pour préserver leur égo fragile.
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C'est assez étrange à lire car, comme l'équipe de Kana l'explique fort bien dans la présentation, les lecteurs passent leur temps à se remémorer les séries animées (qui étaient d'excellente qualité) lorsqu'ils lisent les aventures du Capitaine Albator. Or on constate que, si l'ensemble était fidèle au manga, certains ajustement avaient été effectués déjà à l'origine, comme le statut des Terriens par exemple, ou l'attitude générale des corsaires, présentés ici comme d'incorrigibles pochtrons, passant leur temps à boire, dormir ou jouer - mais complètement efficaces au moment des combats.
Le manga prend son temps et nous présente une Terre peuplée de Terriens veules, ignorants et incapables de la moindre initiative : des proies faciles pour les terrifiantes Sylvidres et leur armada infinie. Celles-ci sont tout aussi fascinantes que dans la série et dissimulent le secret des origines et la véritable raison de leur désir de conquête. Les fonds sont très travaillés, on sent une vraie passion pour les visuels d'ingénierie (cadrans, manettes et tous les accessoires d'un vaisseau futuriste). du coup les personnages sont peu travaillés, à part Albator et ses poses iconiques. Les petites cases multiplient les gros plans sur des visages peu détaillés et les scènes de combat manquent de dynamisme et de lisibilité. Mais l'histoire est intéressante et les révélations font avancer l'intrigue jusqu'à la confrontation finale (qu'on ne verra jamais car l'intégrale s'arrête au chapitre 5), en levant petit à petit le voile sur de nombreux mystères (le concepteur du vaisseau, l'origine des Sylvidres, leur avancée technologique). C'est écrit tout en accélération, avec un 1er chapitre un peu poussif et les suivants qui sont plus rythmés, malgré quelques rappels parfois théâtraux et pompeux qui trahissent l'âge du texte.
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[critique initialement rédigée par mes soins pour Manga Sanctuary (voir lien)]

Si l'adaptation animée d'Albator a bercé la jeunesse des quarante et cinquantenaires d'aujourd'hui, il aura fallu attendre 2002, soit plus de vingt ans après la sortie du manga, pour que celui-ci arrive finalement en France. Onze ans plus tard, Kana réunissait les cinq tomes de la série dans cette grosse intégrale de plus de 1000 pages... A l'heure où j'écris ces lignes, Albator fête donc ses quarante ans.
Et force est d'avouer que le bougre n'a pas très bien vieilli...

Avant de se lancer dans l'acquisition de cette lourde brique, mieux vaut savoir que malgré l'appellation « intégrale » sur la couverture, Albator demeure une oeuvre inachevée. Et contrairement à d'autres mangas, on ne peut pas même compter sur une conclusion bricolée à l'arrache ni même « ouverte » : l'histoire s'arrête purement et simplement en plein milieu, d'un seul coup. Ceci dit, vu l'âge de l'oeuvre, on peut logiquement supposer que les acheteurs potentiels sont au courant, aussi cette critique ne tiendra-t-elle pas compte de ce « défaut ».

D'autant que des défauts, ce n'est pas ce qui manque dans Albator...

Visuellement tout d'abord, c'est évidemment très daté et, pour dire les choses comme elles sont, franchement moche, surtout au niveau des personnages. le trait a beau s'affiner sur la fin, il n'en demeure pas moins très simple voire simpliste, avec un design dont le degré de détail varie en fonction de l'importance de chacun. Ce qui n'empêche pas les visages d'être approximatifs et dénués de la moindre émotion. Mais bon, on finit par s'y faire.
En revanche, à côté de ça, Leiji Matsumoto nous offre des planches vraiment sublimes mettant en scène l'Arcadia, avec à l'occasion des décors grandioses. le vaisseau se retrouve régulièrement mis en valeur sous tous les angles possibles et fourmille de détails.
Bref, on ne lira clairement pas Albator pour ses graphismes.

Le scénario alors ? Pendant plus de mille pages, Albator et ses compagnons parcourent l'espace en long, en large et en travers à la poursuite de l'armada sylvidre qui menace la Terre, tout en découvrant peu à peu qui sont réellement ces mystérieuses ennemies. Ennemies qui ont une tendance fort pratique à venir d'elles-mêmes à la rencontre de l'Arcadia, notamment à chaque fois que les protagonistes achèvent une discussion plus ou moins importante ou se retrouvent sans rien à faire. D'un bout à l'autre, c'est totalement cousu de fil blanc, aucune transition n'est naturelle, qu'il s'agisse des rebondissements comme des révélations. A peine une alerte est-elle terminée que paf ! en voilà déjà une autre, avec comme par hasard un personnage, ennemi ou allié, pour faire des révélations avant de disparaître... Toujours au rayon des facilités, les allusions ultra-répétées au « pseudo-mystère » qui entoure l'Arcadia, que tout le monde aura percé à jour dès le début, mais qui revient régulièrement sur le tapis au cas où le lectorat serait un peu neuneu.

Bon. Si ce n'est pas l'histoire, ce sont les personnages alors ? Eh bah non, même pas. Leur profondeur varie entre celle de la flaque d'eau et de la coquille vide, avec d'un côté Albator et son passé tourmenté (le beau gosse emo *before it was cool*), de l'autre les sidekicks humoristiques qui ne servent à rien ou presque (Yattaran n'apparaissant presque que pour dire qu'il est occupé sur ses maquettes, la docteur, la cusinière...). En parlant des femmes, elles sont d'un bout à l'autre reléguées soit au statut de plantes vertes (*private joke inside*), où on leur rappelle que leur rôle est de tenir la maison, soit d'ennemies. Mais la palme revient à Tadashi, ne possédant même pas de véritable poste au sein de l'équipage, qui n'est là que pour que le lecteur découvre l'Arcadia et vive l'histoire à travers ses yeux...

Bref, tout ça, ça fait quand même beaucoup.
Cependant, il faut tout de même reconnaître que l'odyssée des pirates de l'espace possède un charme certain, un petit côté « Indiana Jones » avec cette quête de réponses qui nous emmène d'un bout à l'autre de l'univers, avec en toile de fond un enrobage philosophique assez présent sur la nature humaine, la liberté, l'inter-dépendance entre les espèces... c'est très bien intégré et jamais lourd. Alors oui, la narration est maladroite, les personnages superficiels et les péripéties mal amenées, cependant, il est un truc qui fonctionne du tonnerre : le dépaysement. On laisse le cerveau sur la table de chevet et l'on se laisse embarquer aux côtés de ces joyeux drilles qui, lorsqu'ils ne se battent pas, passent leur temps à roupiller, bouffer et picoler à leur guise.

Enfin, malgré ses défauts, Albator reste une oeuvre qui a marqué l'histoire aussi bien du manga que de la SF et qui, pour ça, mérite toujours d'être découverte.
Lien : https://www.sanctuary.fr/avi..
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
An de grâce 2977... "Lorsque toutes les mers du globe eurent disparu, les hommes pensèrent que la fin du monde était arrivée. Ils s'apitoyèrent sur leur sort, sans même songer à l'espace infini qui s'étendait au-dessus de leurs têtes... Seule une poignée d'hommes, croyant en l'avenir radieux du genre humain, eurent le courage d'aller explorer la "mer du dessus". Alors, les autres ricanèrent en disant : "ce ne sont que des fous qui courent après un rêve irréalisable." Et nous avons été considérés comme des hors-la-loi..."
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– Je croyais avoir affaire à un équipage de paresseux, mais... je les ai vus en action, et... j'ai compris la valeur exceptionnelle de l'Arcadia...
– J'en suis ravi. Nous sommes des pirates, je ne le nie pas, mais... ce vaisseau est notre maison, autant que notre forteresse. Et lorsqu'on est chez soi, on somnole, on dort, on boit, on fait la fête. C'est naturel, n'est-ce pas ? On ne peut pas rester au garde-à-vous en permanence.
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On dit que l’alcool est encore plus savoureux lorsqu’il est partagé avec un puissant ennemi.
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j'erre parmi les étoiles les gens m'appellent le capitaine Albator...une voix le susurre "parcours cette mer sans lendemain, et vis en homme libre" et elle me chante : "vis sous ta bannière, celle de la liberté !"
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- Tiens... Qu'est-ce que c'est ?
- [...]
- Réponse n°1 : un livre
Réponse n°2 : un objet de divertissement destiné à assouvir ses fantasmes et à procurer un bien-être psychologique.
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Videos de Leiji Matsumoto (17) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Leiji Matsumoto
Le maître du manga de science-fiction, Leiji Matsumoto (Albator, Galaxy Express 999) nous a quitté le 13 février 2023.
Pour lui rendre hommage, quelques images de sa venue à Japan Expo en 2019.
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