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Capitaine Anato tome 3 sur 4
EAN : 9782812609459
490 pages
Editions du Rouergue (07/10/2015)
4.25/5   294 notes
Résumé :
Clifton Vakansie court dans les rues de Saint-Laurent, sa ville natale, sur les rives du Maroni, en Guyane. Il court dans un paysage de tôles et de parpaings, en direction de Cayenne et de son aéroport, dont le séparent des fleuves qu'il faudra franchir à la nage, des barrages de gendarmerie, des pistes tracées à travers la forêt. Il court pour l'avenir de sa petite Djayzie, sa fille qui vient de naître, lui qui est à peine un homme. Il court à travers sa peur et de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (68) Voir plus Ajouter une critique
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Paniqué, d'horribles images encore en tête, Clifton Vakansie quitte, le plus discrètement possible la maison, et ne pense qu'à une chose : se cacher. S'il se réfugie chez la mère de sa petite fille, les gendarmes, en tête le commandant Franck Marcy, ont eu la même idée. Son crime : soupçonné du meurtre de Willy Nicolas, chez qui des voisins l'ont vu sortir. Malheureusement pour eux, l'interpellation se passe mal et Clifton réussit à leur échapper. Pour aider la brigade de recherches de la compagnie de Saint-Laurent-du-Maroni, la capitaine André Anato est appelée en renfort. Une aide bien précieuse d'autant que peu de temps après, le corps d'un jeune homme est retrouvé peu avant Charvein, là où Clifton aurait été aperçu. Découvert par sa mère, Melita, Bradley a été roué de coups avec une pierre. Mais l'affaire se complique dès lors que les autopsies révèlent la présence d'ovules de cocaïne...
De son côté, Vacaresse, déchu de ses fonctions au sein de la brigade de recherches de Cayenne, s'est reconverti en agent de recherches privées. Sa toute nouvelle mission l'envoie du côté de Saint-Laurent-du Maroni où Monique, la nièce d'Anato, lui a demandé de surveiller son petit ami, Francis, dont elle doute de sa fidélité. Une mission qui va l'entraîner sur un terrain glissant, lui déjà préoccupé par la détention de son fils...

L'on retrouve avec un immense plaisir le capitaine Anato pour une enquête beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît, aux multiples ramifications et aux rebondissements et dénouement inattendus. Si le meurtre de deux jeunes hommes, qui s'avèrent être des mules, semblent être le fait d'un seul homme, comme le pense surtout le commandant Marcy, Anato, lui, semble plus perplexe. le duo d'enquêteurs, mal assorti, devra tout de même faire front et équipe face à l'ampleur de ces deux crimes. En parallèle, l'on suit les investigations de Vacaresse sur le dénommé Francis. Sans le savoir, sa mission allait le mener sur le terrain de son ancien collègue, Anato. Sur fond de drogue et de règlements de compte, Colin Niel nous offre un roman tout simplement vertigineux et d'une grande richesse. En effet, en toile de fond, il nous dépeint l'histoire de la Guyane depuis des décennies mais aussi ses relations avec ses voisins, notamment le Suriname. Tout un pan historique et géo-politique de cette région méconnu mais absolument passionnant et fort documenté. Les personnages, fouillés, profonds et riches, sont d'une grande justesse. Aussi bien le capitaine Anato, toujours à la recherche de ses origines (notamment de ce père qu'il ne connaît pas), le commandant Marcy, d'origine créole,
Un roman tout à la fois policier, social et politique, intelligent et captivant...
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Troisième tome des aventures du capitaine Anato, gendarme, toujours à la recherche de ses origines en Guyane.

Un jeune a été tué , un autre est poursuivi par le major Marcy, il s' échappe mais c'est pour mieux être poursuivi...


A partir de ce meurtre, Colin NIel réussit le prodige de nous transporter en Guyane comme si on y était...
Plus fort qu'un reportage télé, moins fatiguant qu'un vrai voyage, ce roman est une pépite comme tous les tomes consacrés au capitaine Anato, et comme tous les romans de Colin Niel qui est un de mes écrivains préférés...
Encore une fois, j'ai appris pleins de choses, encore une fois j'ai eu l'impression en refermant ces 564 pages d'avoir remonté le temps en découvrant l'histoire de la Guyane l'histoire de la guerre civile du Suriname , d'avoir appris au niveau géographique, politique, social.
Encore une fois j'ai eu l'impression d'avoir rencontré plein de vies, plein de personnes (et pas des personnages ...),pleins de destins. Certains sont poignants et on se demande ce que font nos politiques pour améliorer la vie des habitants de cette extension de la France, loin, si loin... Certains personnages cherchent les ennuis, mais ont-ils vraiment le choix ?
C'est beau, c'est vrai, c'est ultra réaliste, instructif, et puis c'est poétique, magique, quand la nature, ou quand les traditions ,s'invitent au détour d'une page.
Si j'ai un bémol à apporter, c'est que tous les personnages qui tournent autour d'Anato de près, ou de loin, ont des problèmes, et tous ces problèmes ont à voir avec l'affaire en cours. Trop de coincidences tue le côté réaliste de cette enquête policière qui était plus vraie que nature. Vers la page 450, un des personnages provoque un coup de théâtre, dont je me serais bien passé, pour toutes ces raisons : la probabilité qu'autour d'Anato , il y ait toutes les réponses à l'enquête. d'accord , ça ajoute du drama, mais ça affaiblit aussi le réalisme.

Mais en dehors de ce détail de l'histoire, cette série consacrée à un gendarme est prodigieuse de part son ambition , à savoir transmettre une parcelle de ce qu'est ce territoire (et je vais emprunter les mots de Colin Niel, en personne ) : " humain, complexe, riche , foisonnant, fascinant."
Il a tout dit...





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Le Maroni, fleuve mythique ,mystérieux, protecteur ou complice ,frontière illusoire entre Guyane et Suriname.

L'Obia , l'esprit des ancêtres , protecteur lui aussi ...

Cette croyance de la nuit des temps va permettre à l'auteur l'élaboration d'une impressionnante mosaïque qui va nous plonger dans la jungle des cartels de la drogue en suivant le destins de trois jeunes gens ,des "mules" impliqués dans le trafic de cocaïne.

Et, moralité oblige, la police doit faire son devoir et c'est là qu'entre en scène le capitaine Anato ,un guyanais exilé toute sa jeunesse à Paris qui, au fil de ses enquêtes tente de retrouver sa famille et ses racines ,un parallèle non négligeable pour pénétrer les villages de la jungle et fouiller dans le passé.
Et, bien sûr, on retrouve les autres personnages de la trilogie guyanaise : Obia est le dernier volet.

C'est un thriller ,palpitant ... et crime il y a !
Le personnage d'Anato permet tous les liens et selon les besoins du récit, on va plonger dans l'histoire des esclaves, les Noirs-Marrons qui s'étant évadés ont construit des villages dans la jungle et sur les bords du fleuve, celle des bagnards, celle des colons ou des créoles... La cohabitation de cette population multiple n'est pas simple : chaque ethnie étant fortement attachée à son identité culturelle et à ses traditions.

Une large part est faite à l'évocation de la guerre civile des années 80 : lui ont succédé les guerrillas entre cartels, leur toute-puissance, ainsi que corruption et violence dans une société aujourd'hui rongée par le chômage .

Dans ce roman, l'histoire ancienne est toujours en toile de fond avec l'évocation régulière de l'Obia ce qui crée parfois une atmosphère déroutante ,onirique ,nébuleuse.
Des moments fugaces, de mystérieuses parenthèses qui s'estompent très vite pour mieux retrouver le rythme trépidant de l'aventure.

Un roman conséquent, ,historique, ethnique ,roman policier, thriller ,récit d'aventure , complet dans le sens où tous les aspects humains sont abordés :les relations familiales, le sort des femmes,les relations de couple, les histoires d'amour,les problèmes sociaux, le quotidien ...

Un travail impressionnant d'investigations et de recherches ajouté à des connaissances personnelles aurait suffit à faire un bon livre mais si on y ajoute une belle prose toute empreinte de passion et d'amour pour cette terre alors, on a une oeuvre luxuriante , rare.




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Clifton Vakansie est en fuite. Faire la mule pour transporter de la drogue entre l'Amérique du Sud et l'Europe est risqué. Les deux pauvres bougres qui faisaient le trajet avec lui en ont été pour leurs frais... retrouvés morts.

La Guyane, c'est la porte d'entrée vers l'Europe pour la drogue, mais déjà Franck Marcy et André Anato sont sur les traces de Clifton, surtout qu'ils le soupçonnent d'être l'assassin d'une des deux autres mules.

Tout oppose Marcy, sous-officier, Créole guyanais qui stagne à son poste d'adjoint de chef de brigade, et le capitaine Anato, Ndjuka, un des peuples noirs-marrons originaire de la Guyane néerlandaise voisine (l'actuel Suriname).

Le premier élève seul sa fille sourde, l'autre recherche depuis longtemps à retrouver ses origines de l'autre coté du fleuve Maroni, au Suriname.

Lorsque Pierre Vacaresse, ancien gendarme et agent de recherches privées est sollicité pour enquêter sur la fidélité de Francis Adogoe, ce qu'il découvre le relie à un trafic de cocaïne.

Et il se trouve que l'une des mules a été aperçu en grande discussion avec ce Francis.

Ces morceaux d'histoire sont sans doute liés entre eux, et ils expliqueront certainement pourquoi ces jeunes sont-ils morts.

A mon avis :
Dernier volet d'une trilogie guyanaise dont le capitaine Anato est le fil conducteur, avant de dérouler son enquête, Obia nous évoque la Guyane, ses populations, sa vie, ses traditions, son histoire.

Elle est certainement la toile de fond de ce roman policier. Elle est parfaitement décrite par Colin Niel, qui entre également dans des considérations politiques et d'immigration, dont les origines se situent au Suriname, lors de la guerre civile des années 1980 (durant laquelle de nombreux Ndjukas se sont réfugiés sur Saint-Laurent du Maroni).

En remontant le temps depuis ces années de guerre, ce roman très documenté, nous relate l'évolution de ces populations et la réaction des guyanais des rivages du Maroni, victimes de cet exode.

Mais à force d'évoquer l'histoire de la Guyane, cela ralentit cependant considérablement le rythme de ce livre.
Alors que l'action pourrait être rapide et laisser le lecteur à bout de souffle, il n'en est rien. Bien sûr, L Histoire permet de mieux comprendre les fondements et les origines de l'intrigue (qui plus est, c'est intéressant d'un point de vue éducatif), mais elle a été trop présente à mon gout.

Si bien que ce roman, qui a obtenu pourtant de nombreux prix, n'est pas celui que j'ai préféré de cet auteur. Les autres (Seules les bêtes et Entre fauves) sont plus courts, plus concis et donc plus dynamiques qu'Obia.

L'intrigue y est assez complexe car de nombreux personnages apparaissent et cachent finalement dans la durée leur véritable personnalité.
A titre personnel, j'en avais deviné une bonne part avant la fin (on finit par avoir l'habitude à force de lire des polars !), mais ce n'a pas été gênant pour la suite.

L'écriture fluide de Colin Niel permet cependant de passer un bon moment en compagnie du capitaine Anato, et il n'est pas nécessaire d'avoir lu les deux premiers ouvrages de la trilogie pour aborder celui-ci.

Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures sur mon blog :
https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
Lien : https://blogdeslivresalire.b..
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Le voyage en Amérique du Sud prend fin...
(Troisième opus des investigations du capitaine Anato).*

La Guyane, petit morceau de France coincé entre le Suriname et le grand Brésil, petite entrée vers l'Eldorado pour les peuples voisins qui espèrent en un avenir meilleur sous la protection de la République, bonne mère avec son RMI et ses allocations...

Si l'auteur sait mettre en scène une trame policière efficace pour sa trilogie guyanaise, il réussit surtout et avant tout à nous passionner pour un département qui s'avère extrêmement compliqué à gérer. Par une série de meurtres dans les communes du littoral et sur les rives de son grand fleuve-frontière le Maroni, c'est une véritable radiographie d'un département métissé, gangrené par la pauvreté, confronté à une immigration incontrôlable venant des pays limitrophes, à des réfugiés clandestins, à un trafic de cocaïne intense et aux soubresauts d'un passé de guérilla.

Aucun temps mort dans le déroulé d'une histoire aux multiples ramifications. Pour Anato, son inspecteur vedette, c'est encore et toujours la recherche de ses racines, de la compréhension du peuple Noir-Marron issu de l'esclavage, entre superstitions et sorcelleries, exterminations et déplacements des populations.

Colin Niel m'a tenue en haleine avec cette trilogie policière, autant sociale qu'historique et politique, dont le rythme et l'intérêt n'ont jamais faibli au fil des trois enquêtes.

Une vraie réussite et un auteur que je vais suivre fidèlement...

*Les hamacs de carton / Ce qui reste en forêt
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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
Cela faisait deux ans qu'Anato était arrivé en Guyane, qu'il avait commencé à renouer avec son pays d'origine. Avec ce département français dont il ne connaissait rien sinon ce que ses parents avaient bien voulu lui raconter. Un territoire gigantesque couvert par la forêt, un fleuve immense, le Maroni. Et un peuple : les Ndjukas. Ce qu'il savait se résumait à ça, en fin de compte. En deux ans, il avait appris plus qu'en trente et réalisé l'ampleur de son ignorance. Et compris surtout une chose : riche de son histoire, de ses populations, de ses langues, la Guyane est complexe. On ne l'apprivoise pas, aucune description ne peut l'enfermer.
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- Capitaine ?
Il planta deux yeux indiscrets dans ceux d'Anato.
- Tout à l'heure, avec la mère de la victime, que s'est-il passé ?
Muet, le capitaine soutint son regard, chercha la parade. Il savait que la scène avait marqué l'esprit du major, qu'il reviendrait surement dessus. Il allait s'imaginer des choses, il fallait mettre un terme à tout ça. Et vite.
- Rien du tout. Elle est ndjuka, comme moi. L'un comme l'autre, on a cru reconnaitre quelqu'un.
Silence du major, pas convaincu. Ils restèrent quelques seconds face à face, chacun jaugeant l'autre, évaluant ses failles, ses limites.
- C'était un malentendu, ajouta Anato pour conclure. Un malentendu, c'est tout.
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Dégoûtée des hommes, elle pensa sans le dire. Et surtout de ces métros qui arrivaient avec leurs gros salaires, qui promettaient la lune à la première venue, avant de réaliser qu'ils voulaient autre chose. De parler de différence culturelle trop importante, de crise de la quarantaine, de tous ces trucs de Blancs qu'ils étaient les seuls à comprendre.
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Il ressentait la fatigue partout en lui, respirait lentement, le rythme calé sur celui des vagues. En haut, en bas, des trous, des crêtes. Sa survie tenait à peu de chose, à ce qu’il lui restait d’énergie, à ce tronc glissant. Aux caprices de l’eau. Il remettait son sort aux éléments, n’était plus maître de rien. Attendre, laisser faire. Le destin. Dans un trou de nuage apparut un amas d’étoiles discrètes. Des dizaines d’yeux braques sur lui depuis le bout de l’univers, qui regardaient sans doute avec amusement les malheurs des humains. Qu’il vive ou qu’il meure, elles seraient toujours là, demain, après-demain, après-après- demain. Elles continueraient chaque nuit de balancer leur lumière froide, impassibles. Pour d’autres que lui, avant qu’à leur tour ils ne cèdent la place aux suivants. Sauf pour ceux qui se réincarnaient, qui devenaient des esprits ou rejoignaient le cercle des ancêtres. (…) Il suivit du regard quelques points rouges qui s’arrachaient aux lueurs de la ville. Elles décrivaient une diagonale en direction du ciel noir, avec un bruit sourd de moteur. 9a y est, il réalisa. Air France , l’avion décollait. Sans lui, encore une fois. Il volait vers Paris quittait sa Guyane, le seul endroit sur Terre qu’il aura donc connu.
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Mais il n'avait pas peur. Il savait qu'il ne risquait rien. Que la forêt en fin de compte, était plus acceuillante que la ville. Qu'aucun félin ne s'aventurerait à attaquer un homme adulte. Que les serpents, mygales et autres scolopendres étaient rares, ne faisaient plus fuir que les Blancs. Le mythe de l'enfer vert qu'ils adoraient entretenir.
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