Sam Witell, vit avec sa femme Felicia et leur fils Jonathan. Un soir il part faire une course, à son retour, l'horreur ! Sa femme est morte et leur fils a disparu ! Que c'est il passé ? Qui pouvait bien en vouloir à cette famille ? Une famille sans histoire ? A voir... Mais pourquoi Sam ne fait il rien pour aider la police dans son enquête ? Ceci est bien troublant quand même !
Vont mener l'enquête la procureure Jana, Henrik et Mia, une enquête bien sombre, bien glauque.
Ravie de retrouver notre trio et surtout Mia pour qui des le début j'ai eu un coup de coeur !
Jana toujours tourmenté avec son passé outre l'enquête elle va avoir bien des soucis...
J'aime ce type d'histoire familiale, ou tout le monde a des secrets et certains des bien terribles malheureusement. La fin m'a mis des bonnes palpitations tout de même !
Un livre qui ce lit vite, qui ce dévore, trop impatient de découvrir comment tout cela va ce terminer !
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Suite des aventures de Jana Berzelius qui continue à chercher à préserver son passé d'enfant tueuse, ce qui n'est pas évident face à Danilo, finalement arrété et qui n'a pas forcément les mêmes interets. Entre ces deux personalités à haut risque, Per, collègue de Jana devient de plus en plus proche. Quand Danilo va exiger que ce soit Jana qui gère son dossier et non Per, celui ci va chercher à la préserver et faire face à la brutalité sauvage de l'ex compagnon de Jana.
En parallèle, Jana est en charge d'un dossier de disparition d'enfant. Sam parti pour une course, découvre en rentrant que sa femme a été assassiné et son petit garçon, Jonathan, a disparu. Henrik et Mia, policiers, trouvent rapidement le comportement de Sam, suspect. Est il responsable de la mort de sa femme, dépressive depuis de longues années, alors qu'il l'a présente comme gaie et avenante?
Beaucoup d'actions comme d'habitude dans ces romans où Jana utilise tous les moyens pour se protéger ainsi que Per. Pas mal d'incohérences aussi (le combat initial de Jana, la rapide relation entre Danilo et Rebecca...).
C'est un personnage de super héroine, amorale mais sympathique...C'est un peu plus juste en terme de moralité concernant Sam. Pas mal de non dits ne sont pas explicités (mort de Mika, mort de la femme de Sam...).
Bien fait,
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Résumé : Sam Witell, père de famille sans histoire, est désespéré. Parti faire une course rapide, il a tout perdu ; sa femme a été assassine〞 et son fils de six ans, Jonathan, a été enlevé. Qui était la cible principale ? Jonathan ou sa mère ? Est-ce une vengeance, l’œuvre d’un pedophile ? L𠆞nfant est-il toujours en vie ? La procureure Jana Berzelius, charge〞 de l𠆞nquête, supervise Mia Bolander et Henrick Levin dans la recherche de la vérité, et surtout, du gamin disparu. Malgré son alibi, le père semble assez vite suspect, cachant notamment à la police que sa femme était dépressive.
En parallèle, Jana doit affronter son passé, en la personne de Danino, qui menace sa vie et sa tranquillité.
Mon avis : Avec Céline, on avait adoré le tome pre𰇎𰇞nt ; en effet, on croyait avoir deviné l’intrigue, mais l𠆚utrice s𠆞́tait totalement joue〞 de nous ! Bon. Autant le dire tout de suite, cette fois-ci la sauce n𠆚 pas pris. le trio féminin de cette enquête m𠆚 exaspére〞 au plus haut point. Pour commencer, Mia : elle ne fait que râler, tout le temps. Elle prend pour preuve de culpabilité ce qu𠆞lle pense sans se soucier de la vérité, elle est bute〞, totalement je-m𠆞n-foutiste et pire que tout, vénale... une horreur. Rebecca, la gardienne de prison est d’une naïveté rarement comparable et Jana, notre héroïne torture〞 agit comme si elle était seule au monde dans un film de Rambo. le reste des personnages n𠆞st que cliché.
L’intrigue attitude intéressante, le dénouement bien trouvé, mais je me suis ennuye〞, c㉺ traîne... Et je trouve que certaines ficelles étaient un peu grosses. En conclusion, je ne lirais pas la suite de cette série.
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Un souvenir de l'automne passé le traversa. C'était un samedi. Jonathan et lui s'étaient rendus au supermarché pour acheter des bonbons, mais Jonathan avait finalement opté pour un petit pot de Nutella. Quand ils étaient ressortis, il s'était mis à pleuvoir des cordes. Ils avaient couru jusqu'à l'abribus le plus proche, mais avaient malgré tout été trempés. Sam se souvenait qu'ils étaient restés longtemps là sur le banc et, en attendant que la pluie cesse, avaient ouvert le pot et mangé la pâte à tartiner à la noisette avec leurs doigts rougis et raidis par le froid.
Dans beaucoup de couples, on ne se parle pas ouvertement, on passe toute sa vie à côté de l'autre sans partager avec lui ses pensées et ses émotions les plus intimes, et on vient plutôt en parler ici.
Il n’y avait pas un brin de vent quand Sam Witell quitta son bureau du service d’aide à domicile de Norrköping. Après une longue journée de travail, il se dirigea vers sa Toyota rouge, tout au fond du parking ombragé.
Il voulait rentrer le plus vite possible, avait hâte de surprendre Jonathan avec le ballon de foot neuf qui attendait dans un sac plastique sur la banquette arrière. Jonathan adorait jouer au foot, mais préférait rester dans les buts. Sam sourit en imaginant le garçon de six ans, prêt au tir, genoux fléchis, avec des gants de goal qui semblaient énormes sur ses petites mains.
Sam monta dans sa voiture, s’engagea sur la chaussée et s’éloigna du centre-ville. Dix minutes plus tard, les pavillons neufs d’Åselstad se présentèrent à sa vue.
Sa maison blanche, sur une hauteur, offrait une vue sur les eaux scintillantes du lac d’Ensjö. Il manœuvra comme d’habitude dans l’allée, prit le sac du ballon de foot et sortit de voiture. Il se dirigea en chantonnant vers la maison mais, en ouvrant la grille, eut soudain le sentiment d’être observé et se retourna.
Un peu plus loin dans la rue, un homme vêtu d’un polo et d’un pantalon noir était appuyé à une fourgonnette blanche. Il le scrutait d’un regard étrange, interrogatif.
— Sam Witell, c’est vous ? lança-t-il.
— Euh, oui ? hésita Sam.
— Il faut que je vous parle.
L’homme avança vers lui. Sam distingua alors les mots Direct Alarme inscrits en lettres noires sur le côté de la fourgonnette.
— Je suis désolé, dit Sam en franchissant la grille, mais je n’ai pas le temps.
— Je veux juste vous poser quelques questions, reprit l’homme, qui se tenait à présent face à lui.
— Non merci. Je dois vous demander de partir.
— Ça ne prendra pas longtemps, je veux juste vous demander si…
— Papa !
Sam aperçut Jonathan qui traversait le jardin en courant.
— Salut, mon grand. Comment ça va ?
Il souleva le garçon dans ses bras avant d’ébouriffer ses cheveux blonds, dénudant sa tache de naissance au-dessus du sourcil.
— Bien, répondit Jonathan en arborant son plus grand sourire.
Sam essaya de sourire à son tour, mais la présence de l’homme le dérangeait : quelque chose dans son attitude, ses cheveux en brosse, ses bras musclés et sa nuque épaisse.
— Qui c’est ? demanda Jonathan en désignant l’homme.
— Rien, juste un vendeur, dit Sam, sentant l’inquiétude monter, alors que l’homme regardait à présent bizarrement Jonathan. Pourquoi ?
— Qu’est-ce que tu as dans ce sac ? l’interrogea Jonathan quand il le reposa. Tu m’as acheté quelque chose ?
— Viens, dit Sam en lui prenant la main pour retourner vers la maison.
— Qu’est-ce que tu as acheté ? continua Jonathan. Un ballon de foot ? Ça ressemble à un ballon de foot !
— Viens !
Sam serra plus fort la main de Jonathan, l’emmena rapidement le long des hautes haies et de la remise à la peinture écaillée. Il trébucha sur un filet de tennis enroulé, mais garda son équilibre et hâta le pas jusqu’à la maison, le sac à la main, Jonathan derrière lui.
Essoufflé, il entra, referma la porte et lâcha alors la main de Jonathan.
— Qu’est-ce qu’il y a, papa ?
Sam ne répondit pas. Il se contenta de jeter un coup d’œil par la fenêtre en direction de la rue, en espérant de tout cœur que l’homme serait parti.
Mais il était toujours là.
Le procureur Per Åström était concentré. Un grand écran lui permettait de suivre l’interrogatoire de Danilo Peña sans avoir à être présent dans la même pièce. Les yeux baissés sur la table, ce dernier ne pipait mot. Les manches de son sweat vert pénitentiaire étaient remontées.
À côté de lui, son avocat Peter Ramstedt, avec ses dents blanches comme la craie et une cravate aux rayures beaucoup trop marquées, n’arrêtait pas de faire cliquer le stylo-bille noir qu’il tenait à la main.
— Vous ne devez pas être surpris d’apprendre que vous êtes soupçonné de meurtre, déclara l’inspectrice Mia Bolander, assise avec Henrik Levin en face de Danilo. Je suppose que c’est pour ça que vous avez tenté de fuir en Pologne ?
Danilo garda le silence.
— Bref, dit Mia. Le procureur vous a mis en examen, et j’aimerais savoir si vous avez quelque chose à dire à ce sujet. Ou à propos des jeunes passeuses de drogue que vous avez tuées ?
Pas de réponse.
Elle attendit un moment avant de poursuivre :
— Allez, dites-nous quelque chose.
Mia attendit à nouveau. Plus longtemps cette fois. Pendant ce temps, Per observa le menton marqué et les mâchoires agitées de l’homme de trente et un an. Il passa ensuite à ses cheveux sombres qui descendaient jusqu’au col du sweat, en songeant que cet homme n’avait laissé aucune trace après s’être enfui d’une chambre surveillée de l’hôpital de Vrinnevi, quelques mois plus tôt. Il n’avait ni passeport ni carte de crédit. Pas non plus d’adresse, de famille ou d’amis. Il avait vécu comme un fantôme.
Grâce à l’indication d’un voyageur, la police avait su que Peña se trouvait à bord d’un ferry à destination de Gdansk. La police l’attendait à l’arrivée, mais il avait réussi à débarquer sans se faire prendre. Après plusieurs semaines de traque, on avait enfin réussi à l’arrêter.
Danilo n’avait pas prononcé un mot depuis son transfert à la maison d’arrêt de Norrköping. Visiblement, il n’en avait pas non plus l’intention en ce jour.
— Ne jouez pas au con, c’est mieux pour vous de commencer à nous parler, dit Mia en se tortillant sur son siège.
Voilà, elle a perdu patience, se dit Per. Ça se voyait et ça s’entendait. Le ton de sa voix était plus dur, le débit de sa parole plus rapide. Peut-être vaudrait-il mieux qu’Henrik prenne le relais ? Il était toujours calme et posé et, à la différence de Mia, ne haussait la voix qu’au moment opportun.
— Bon, soupira Mia. Le procès commence dans quatre semaines, espérons que vous aurez retrouvé la parole d’ici là.
Soudain, Peña ouvrit la bouche.
— Contactez Jana de ma part, siffla-t-il.
Per sursauta, pris au dépourvu par la voix sombre et rocailleuse de l’homme. Henrik et Mia devaient être tout aussi surpris, car le silence se fit un long moment dans la salle d’interrogatoire.
— Qui ? finit par demander Mia.
— Jana Berzelius.
Peña croisa son regard.
— Qui c’est, Jana Berzelius ?
Il ricana.
— Je me demande qui joue au con, maintenant.
Henrik se pencha au-dessus de la table.
— Pourquoi voulez-vous voir Jana ?
— Contactez-la de ma part.
— Pourquoi ?
— Je veux la rencontrer. Lui causer un peu.
— C’est impossible, vous savez que nous ne pouvons pas l’autoriser.
— Je sais. Mais je ne parlerai pas avec vous.
Per vit Peña reculer sa chaise. Soudain, il tourna la tête vers la caméra fixée au plafond, plongea son regard dans l’objectif et dit :
— Tout est possible. N’est-ce pas, Per Åström ?
2
Les trois verres tintèrent quand Sam Witell les posa sur la table blanche et polie de la salle à manger. Il jeta un coup d’œil à la cuisine, où Felicia était plantée devant le réfrigérateur.
Puis il se tourna vers Jonathan qui peinait manifestement à plier une serviette.
— Tu t’en sors ? demanda-t-il.
— Ça ne va pas, répondit Jonathan. Je n’arrive pas à faire un éventail.
— Mais si, dit Sam. Essaie encore.
— Je ne peux pas faire une partie de Minecraft, plutôt ?
— Je vais t’aider.
Sam s’assit à côté de Jonathan, lui indiqua la marche à suivre mais se trompa lui aussi dans les pliages, et ils éclatèrent tous les deux de rire.
— Qu’est-ce qu’il y a de si drôle ?
Felicia était entrée dans le séjour, sa voix rauque et lasse.
— Que cette serviette ressemble à un caca boudin, dit Sam, ce qui fit éclater de rire Jonathan.
Elle cligna des yeux, sans autre réaction.
— Il n’y a plus de crème. Je ne peux pas faire de ragoût de viande sans crème.
— Dommage que je ne l’aie pas su en rentrant du boulot. Tu ne pourrais pas mettre du lait, à la place ? Ou préparer autre chose ?
Felicia poussa un long soupir agacé.
— OK, dit Sam. J’y vais.
— Je peux venir avec toi ? demanda Jonathan une fois Felicia repartie.
— Écoute, non, dit Sam en écartant tendrement les mèches blondes du visage du garçon.
— Mais pourquoi ? demanda-t-il, déçu.
— Parce que c’est mieux si tu finis de plier les serviettes pendant que je suis parti.
— Mais pourquoi il faut que je les plie, à la fin ?
— Pour faire plaisir à maman.
— Rien ne fait jamais plaisir à maman, dit Jonathan en jetant la serviette sur la table.
Sam lui leva le menton. Le regard triste de son fils le transperça.
— Ne dis pas ça.
— Mais elle n’est jamais contente, dit Jonathan en clignant des yeux comme pour chasser des larmes.
— Mais si, répondit Sam avec un petit sourire en repoussant vers lui la serviette. C’est juste qu’elle ne le montre pas souvent. Tu comprends, maman aime bien être tranquille. Tu le sais bien, pourtant, je te l’ai dit plusieurs fois.
— C’est pour ça qu’elle ne fait pas de câlins ?
— Tu veux un câlin, hein ? Par ici, petite crapule, tu vas voir si tu n’as pas de câlins.
Sam serra fort son petit corps contre le sien.
— Au secours ! cria Jonathan en riant.
— Bien fait ! dit Sam en le serrant de plus belle avant de le relâcher. Et maintenant, tâche de finir de plier ces serviettes, je reviens vite.
Henrik Levin avait du mal à détacher ses pensées de Danilo Peña. Malgré la surveillance policière, cet homme avait réussi à s’échapper de l’hôpital de Vrinnevi. Il revoyait la scène par flashs : les infirmières agressées, le vigile envoyé au tapis et les empreintes digitales sanglantes sur les portes.
Ils l’avaient cherché partout, mais en vain. Peña avait réussi à rester caché quelque part, jusqu’à embarquer sur ce ferry pour Gdansk. Henrik avait la forte impression qu’ils ne sauraient jamais où. Mais ce n’était pas si important que ça, plus maintenant. L’important était qu’ils avaient réussi à l’arrêter, et qu’il serait bientôt jugé.
Henrik saisit la rampe pour gravir les dernières marches jusqu’au troisième étage de l’hôtel de police. Il s’arrêta sur le seuil du bureau de l’enquêteur principal Gunnar Öhrn. Ce dernier se tenait debout face à la fenêtre, le portable vissé à l’oreille. Sans bruit, Henrik entra et observa son dos en sueur et sa nuque ridée.
— Mais tu ne peux quand même pas juste partir du principe que… Oui, je sais que la présence est obligatoire, mais… Non, je n’ai pas dit ça, tu dois quand même… allô ? Merde !
— Des problèmes ? s’enquit Henrik quand Gunnar se retourna.
— Je me coltine une réunion parents-profs obligatoire. Apparemment, il faut discuter des tournois de l’équipe de foot d’Adam cet automne, mais ce n’est pas la réunion en soi qui pose problème, c’est qu’on ne m’en informe que maintenant, une demi-heure avant l’heure.
Gunnar passa la main dans ses cheveux gris.
— Quoi qu’il se passe, Henrik, continua-t-il, ne te sépare jamais de ta femme. Tu me le promets ?
Henrik hocha la tête.
Sa séparation avec Anneli Lindgren avait durement affecté Gunnar. Il avait beau vivre à présent avec sa nouvelle compagne, Britt Dyberg, il n’avait pas vraiment l’air heureux. Il faut dire que les deux femmes travaillaient dans la maison, Anneli à la police scientifique, et Britt en tant que coordinatrice : Henrik se demandait si ce n’était pas là que le bât blessait.
— Où est Mia ? dit Gunnar en posant son portable sur son bureau.
— Il fallait qu’elle rentre, elle avait un dîner avec quelqu’un.
— OK. Alors je t’écoute. Qu’est-ce que tu as à me dire sur Peña ?
— Pas grand-chose, à part qu’il veut voir Jana.
— Il a dit ça ? Qu’il veut la voir ?
— Oui.
— Mais c’est Per qui instruit le dossier, non ?
— Tout à fait, et, comme tu le sais, il a ordonné la mise de Danilo à l’isolement total. C’est Per qui décide avec qui Danilo a le droit de parler ou non.
— Mais pourquoi Jana ?
— Il n’a pas dit.
— Bizarre.
Gunnar avait raison, se dit Henrik. C’était bizarre que Danilo demande à voir Jana. Henrik et les autres membres de l’équipe avaient travaillé avec elle sur plusieurs affaires délicates. C’était sans conteste une procureure très douée mais ça n’expliquait en rien pourquoi Peña voulait lui parler spécifiquement.
— Et qu’en dit Per ? demanda Gunnar. Est-ce qu’il a une explication ?
— Non, mais je crois qu’il avait bien l’intention de tirer ça au clair.
— Bon, alors on laisse ça de côté pour l’instant. Rentre retrouver ta famille.
— J’y vais, dit Henrik. Je me réjouis de cette soirée.
— Ah oui ? Quelque chose de spécial prévu ce soir ?
— Rien. Et c’est précisément ce qui me réjouis.
Tout ressemblait tellement au putain de cliché du Suédois moyen. Mia avait du mal à s'imaginer vire une telle vie : un boulot de 8 à 5, des gosses à déposer et à récupérer à la crèche, des repas à préparer, un chien à promener, des chambres à rénover, faire la vaisselle, le ménage, se disputer, se coucher, baiser.
Retrouvez les polars d'Emelie Schepp : https://www.harpercollins.fr/?q=emelie%20schepp