Le titre de cet opuscule a attiré mon attention. Son auteur également. Il examine la part d'animalité dans le comportement sexuel des hommes et femmes. Mais, à mon avis, ceci n'est qu'une "petite cuvée
Michel Serres". Je n'ai pas aimé sa manière d'écrire. Et surtout je trouve qu'on ne va pas très loin dans toutes ces considérations. Ce que je retiendrai peut-être, c'est ceci: les animaux ne sont jamais pervers, contrairement aux humains. Certes, chez les mammifères, une hiérarchie est souvent imposée (par la force) par le mâle dominant; mais elle est acceptée (provisoirement) par les autres mâles; et toutes les femelles se soumettent et ne sont jamais "violées". Mais, bien sûr, tout ceci relève de l'instinct, dont l'homme s'est éloigné depuis longtemps...