Au très allègre démontage tout-terrain des idées reçues imaginé par
Gilles Dal fait écho la mise en scène volubile, effervescente, de Johan de Moor, qui entremêle les styles graphiques, les collages, les apartés décalés, tout un débordement d'idées visuelles où le récit paraît s'éparpiller sans pourtant jamais se disperser.
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