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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une nouvelle agréable à lire. Balzac nous raconte l'histoire d'une famille et plus particulièrement de la fille cadette amoureuse d'un peintre. Comme toujours l'écriture de l'auteur est acéré : il examine les moeurs et pratiques de la société du XIXème et nous livre son analyse entre les lignes du récit.
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Ce petit roman d'Honoré de Balzac paru en 1830 devait s'appeler " Gloire et Malheur ": il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine.
Il annonce les grands thèmes balzaciens sur l'étude de moeurs et en l'espèce : l'opposition entre la vie étroite des petits bourgeois parcimonieux et la vie des artistes, des nobles, des riches fortunés qui dépensent leur argent en fêtes, en soirées, en libations sans compter ! Une différence de classe qu'Honoré de Balzac va explorer au cours de ses différentes oeuvres.
La nouvelle est courte et simple :
Dans sa boutique de la rue Saint-Denis : un drapier, Guillaume mène une vie austère avec son épouse, ses 2 filles : Virginie L aîné qui a 28 ans, laide et Augustine : 18 ans . Il a 3 commis dont 2 qu'il destine aussi à devenir ses gendres pour faire prospérer le " Chat-qui-pelote ".
Augustine attire l'attention d'un jeune peintre d'origine noble : Théodore de Sommervieux qui est de retour d'Italie ou il a obtenu un grand prix et a mené une vie trépidante. Ebloui par la beauté d'Augustine : il fait son portrait, l'expose et acquiert un vif succès. Il veut l'épouser et, le père Guillaume va consentir au mariage d'Augustine qu'il destinait à son commis préféré Joseph Lebas à condition que ce dernier se dévoue en épousant Virginie !
Mais après 2 1/2 ans de lune miel, Théodore se lasse d'Augustine qu'il trouve fade, sans culture et qui ne s'intégre pas dans la bande joyeuse et fêtarde de ses amis, il se met à fréquenter la duchesse de Carigliano qui vit dans un somptueux hôtel parisien, elle est cruelle et rouée, habituée aux hommages masculins. Désespérée, Augustine vient la trouver pour avoir des recettes de séduction, et la duchesse lui rend le fameux tableau que Théodore avait peint pour elle quand il était follement amoureux ! de retour au domicile conjugal, elle explique sa démarche à Théodore qui va réagir de façon violente.....
Augustine n'a pas compris qu'il y a " autre chose" pour attirer l'amour que la beauté , la bonté, la sagesse...du grand Balzac !
L.C thématique d'octobre 2022 : un verbe dans le titre.

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Avec de longues phrases, cette nouvelle s'insinue dans une petite rue et nous fait découvrir un négoce de drapiers caché dans une vieille maison du XVIIè siècle au toit pointu, toute biscornue. Guillaume, le commerçant qui gère la boutique en compagnie de son épouse, et de ses deux filles, Augustine et Virginie, a fort à faire entouré de ses commis. Un jour, un passant examine attentivement cette maison et remarque un tableau représentant un chat accroché sur l'une de ses poutres. On est conquis par le nouveau tour que prend l'histoire, avec ce peintre assez amusant bien qu'égocentrique. En effet, fortement inspiré par la petite famille qu'il observe depuis le trottoir, et surtout la beauté d'Augustine, il réalise deux toiles qui sont exposées au Salon, et qui ont du succès.

Une oeuvre très riche où toutes les couches de la société se mélangent, se snobent grâce à des rapports de pouvoir et de hiérachie, et où le lien entre ces classes se font par l'entremise du mariage. On ne s'ennuye pas une seconde avec cette nouvelle De Balzac qui est l'un des premiers textes de la Comédie humaine.
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La Maison du Chat-qui-pelote est un récit très court qui illustre l'idée que "pour trouver le bonheur, une femme devait épouser un homme de sa classe" mais aussi qu'un mariage d'amour ne fonctionne que rarement.
Il me semble que c'est une idée qui sera récurrente dans l'oeuvre De Balzac car mis à part Eve et David dans Illusions perdues, rares sont à mon sens dans son oeuvre les couples mariés épanouis et heureux (ce n'est ni le cas des Nucingen, ni des Mortsauf (Le Lys dans la vallée), ou encore du couple de la Vieille Fille lorsqu'elle réussit enfin à se marier).
Pour finir, là encore, même si ce roman est très court, de trop nombreuses descriptions nuisent à l'histoire, j'ai ressenti chaque description comme un morceau d'histoire en moins.
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Premier tome de la comédie humaine. 51 tomes en tout dont les 27 premiers correspondent à la saga Scènes de la vie privée, les 10 suivants correspondent à la saga Scènes de la vie de Province et enfin les 14 derniers à la saga Scènes de la vie parisienne. Je n'ai donc pas fini de le lire !! Mais comme avec Zola et sa saga des Rougon-Macquart, je prends le temps ! S'il me faut 10 ans pour tous les lire, je mettrai 10 ans ! le principal est d'y prendre du plaisir ... Les deux premiers sont très court, celui-ci fait à peine 95 pages. Je trouve ça super pour commencer une telle fresque historique et familiale ! Grâce à cette "nouvelle" je sais où je vais et je m'habitue à la plume de l'auteur qui n'est pas toujours simple ... Il m'est arrivé, au début, de relire plusieurs fois une même phrase pour bien la comprendre mais une fois familiarisée, le texte se comprend facilement ! Dans ce livre, nous découvrons la famille Guillaume : Mr et Mme propriétaire d'une draperie avec leurs 3 commis et leurs 2 filles Virginie L aînée (28 ans) et Augustine la cadette (18ans). Pour faire simple, je résumerai en disant que l'une fera un mariage d'amour-passion avec un jeune peintre nommé Théodore de Sommervieux et l'autre fera un mariage de raison avec le plus âgé des commis de la maison, Joseph Lebas. Lequel de ces 2 mariages sera une réussite ? à vous de le découvrir en lisant ce livre. C'est hyper intéressant ! Sans pour autant vous lancer dans cette saga, je vous conseille cette petite histoire qui vous mettra l'eau à la bouche (ou pas) pour continuer ! Pour l'instant, vous l'aurez compris, je continue et j'entame de suite le deuxième opus tout aussi court ... Au troisième, on passe aux choses sérieuses avec Mémoires de deux jeunes mariées qui comptent 504 pages ! Mais rien que le titre me fait penser à l'histoire de ce premier tome que je viens de vous résumer en une phrase ! Je devrais donc beaucoup aimé ce roman à venir !
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Belle tranche de la vie de la famille Guillaume, drapiers de Paris.
Comédie aux riches descriptions nous narrant les moeurs d'une famille commerçante bourgeoise du XIX° siècle souhaitant à la fois gérer et préserver son commerce et l'avenir de ses filles.
Petit roman très moralisateur, nous y verrons triompher l'amour raisonné sur l'amour passion et par là même la gestion économe sur la dépense immodérée.
Les descriptions de la maison elle-même ou des différents personnages sont des plus croustillantes et font l'extrême richesse de ce petit texte d'introduction à la comédie humaine.
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Pauvre petite Augustine... Elle n'a que la fraîche beauté de ses dix-huit ans. C'est peu face aux désirs idéalisés de son mari. Élevée dans une boutique obscure, elle n'a pas été formée à la beauté et ne peut comprendre les oeuvres de Théodore que comprendrait une femme du monde bien élevé. Sous la surveillance d'une mère dévote, elle ne connaît pas les artifices permettant de retenir un homme, que les femmes du grand monde connaissent. L'amour ne suffit pas, et la pauvre Augustine s'éteint, une fois que son mari a assouvi ses désirs.
Pauvre Victorine aussi, la soeur moins belle, plus vieille, qui épouse un homme par devoir et reste derrière son comptoir sans plaisir.
Pauvres femmes, qui ne trouvent jamais le bonheur dans le mariage.
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La Maison du chat-qui-pelote
La Maison du chat-qui-pelote
Image illustrative de l'article La Maison du chat-qui-pelote
Illustration de Édouard Toudouze
Publication
Auteur Honoré de Balzac
Langue Français
Parution Drapeau de la France France, 1830,
chez Mame-Delaunay
Recueil Scènes de la vie privée de la Comédie humaine
Intrigue
Genre Étude de moeurs
Lieux fictifs Paris
Personnages Monsieur Guillaume
Virginie, sa fille aînée
Augustine, sa cadette
Théodore de Sommervieux
La duchesse de Carigliano
Nouvelle précédente/suivante
le Bal de Sceaux Suivant
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La Maison du chat-qui-pelote est une nouvelle d'Honoré de Balzac parue en 1830. Elle fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine.

Sommaire

1 Historique du texte
2 Résumé
3 L'archéologue de Paris
4 Balzac sociologue et moraliste
5 Notes et références
6 Bibliographie
7 Adaptation
8 Liens externes

Historique du texte

D'abord intitulé Gloire et Malheur, cette longue nouvelle (ou court roman) rédigée en 1829 ne paraît qu'en 1830 chez Mame-Delaunay et connaît quatre autres éditions et autant de remaniements jusqu'à la dernière édition Furne 1842 qui est elle-même corrigée avant de paraître sous le titre de la Maison du chat-qui-pelote1.

Ouvrant la série des études de moeurs, ce texte a une fonction inaugurale dans la mesure où il annonce tous les grands thèmes balzaciens2. « C'est en même temps un défi théorique, superbe dans sa discrétion, (…) aux contraintes génériques de la nouvelle et du roman. Car cette nouvelle est aussi un roman, avec sa durée, sa profondeur, son horizon de personnages secondaires et son rythme ascendant-descendant qui sera celui des grands ensembles comme César Birotteau par exemple3. »
Résumé

Monsieur Guillaume, marchand drapier, successeur de Monsieur Chevrel et ami de Jean-Jérôme Cardot, quoique riche et puissant, vit dans l'austérité la plus complète, approuvé en cela par son épouse et ses deux filles Augustine et Virginie. Cependant ce paisible négoce va être troublé par l'arrivée de Théodore de Sommervieux, aristocrate, peintre, amoureux de la beauté en général, volage, mais voué corps et âme à son art. Lorsque l'histoire commence, Théodore est en admiration devant Augustine qui apparaît à la fenêtre d'une vieille maison dans un vieux quartier de Paris. Théodore semble ne plus pouvoir détacher son regard de ce portrait vivant. Éperdument amoureux d'Augustine ou de l'idée qu'il se fait d'elle, il demande sa main et l'épouse malgré les réticences de Monsieur Guillaume, et encore plus de Madame, qui voit d'un mauvais oeil ce changement de classe pour sa fille. À juste titre car, les premiers feux de l'amour passés, Théodore ne trouve plus aucune consistance (aucun répondant ?) à sa femme, qui lui paraît fade. Théodore a besoin de sensation fortes. Il va les chercher chez une créature cruelle, la duchesse de Carigliano, qu'Augustine vient ensuite supplier de l'aider en lui donnant des recettes de séduction. Mais les conseils de la duchesse n'ont aucun effet sur le comportement d'Augustine, qui dépérit et meurt de chagrin.
L'archéologue de Paris

Balzac présente avec une précision scrupuleuse un quartier de Paris qu'il connaît bien, parce qu'il y a vécu à l'époque de ses oeuvres de jeunesse, et la vie de ses habitants, des commerçants pour la plupart. La rue du Petit Lion et le quartier de la rue Saint-Denis sont le centre des commerces de draperie et de passementerie4, qui était l'activité des grands-parents de l'écrivain : les Sallambier. Outre la description minutieuse de la rue, d'une maison à colombages dont même les fenêtres ont un caractère archéologique et dont « (…) le bois travaillé grossièrement (…) des humbles croisées du troisième étage aurait mérité d'être placé au Conservatoire des arts et métiers5 », Balzac nous renseigne sur la signification du titre : la maison du chat-qui-pelote. Il s'agit d'une enseigne d'un goût douteux qui présente un chat pelotant, c'est-à-dire selon la définition de l'époque : renvoyant une pelote (balle) avec une raquette. Les pratiques des commerçants pour attirer la clientèle sont ainsi étudiées en remontant l'historique du commerce parisien : « (…) il convient de faire observer ici que ces enseignes, dont l'étymologie semble bizarre à plus d'un négociant parisien, sont les tableaux morts de vivants tableaux à l'aide desquels nos espiègles ancêtres avaient réussi à amener les chalands dans leurs maisons. Ainsi la Truie-qui-file, le Singe-vert, etc. furent des animaux en cage dont l'adresse émerveillait les passants, et dont l'éducation prouvait la patience de l'industriel au XVe siècle6. » Dans la croisade des artistes du XIXe siècle contre le vandalisme de Paris, Balzac s'est investi de façon fort originale, dans la sauvegarde des témoignages archéologiques les plus humbles, mais, de son point de vue, aussi important que les grands monuments : étroites maisons, petites rues, modestes enseignes c'est-à-dire les arts et traditions populaires en grande partie présentés au musée Carnavalet7.
Balzac sociologue et moraliste

S'il y a une morale dans cette fable (à rapprocher du Bal de Sceaux)8, c'est peut-être qu'il y a des milieux qui ne se marient pas, au propre comme au figuré. L'éducation d'Augustine, fille du marchand drapier Guillaume, aussi belle et aimable soit-elle, ne saurait s'accorder avec les habitudes de l'artiste-aristocrate Théodore de Sommervieux. Il s'agit moins ici d'une différence de naissance (comme celle séparant les filles du Père Goriot et le faubourg Saint-Germain) ou de fortune (comme celle entre Lucien de Rubempré et Clotilde de Grandlieu) que d'une façon d'être, d'une culture, d'une compréhension de la vie. La belle Augustine, totalement aveugle, totalement perdue dans un monde qui n'est pas le sien, et pourtant pleine de bonne volonté, ne comprendra jamais qu'il y a autre chose chez une femme pour attirer un homme que la beauté, la bonté, la sagesse. Elle ne comprend même pas le cours qu'elle vient demander à la cruelle duchesse de Carigliano. Elle n'est pourtant ni idiote, ni insensible. Elle est simplement hors de ce monde d'artistes que son père juge sévèrement : « Ils sont trop dépensiers pour ne pas être toujours de mauvais sujets. J'ai fourni feu M. Joseph Vernet9, feu M. Lekain10, et M. Noverre11.(…) Ah! Si tu savais combien de tours ils ont joué à ce pauvre monsieur Chevrel ! Ce sont de drôles de corps. (…)12,13. »

Ainsi sont mis en parallèles des mondes inconciliables que l'auteur de la Comédie humaine va explorer inlassablement. La Maison est une « excellente initiation à l'univers de la Comédie humaine (…) son choix dans les classes comme texte de lecture suivie est propre à faire découvrir et à faire aimer Balzac14. »
Notes et références

↑ Introduction, notes, documents par Anne-Marie Baron à La Maison du chat-qui-pelote, Flammarion GF, 1985. Volume incluant également le Bal de Sceaux, la Vendetta, la Bourse.
Anne-Marie Baron, Flammarion GF, 1985, p. 8-9.
Anne-Marie Baron, 1985, p. 9.
↑ Docteur Vimont, histoire de la rue Saint-Denis, préface de M. Dupont-Ferrier. Les presses modernes, Paris, 1936, 3 vol. p. I. p. 322.
Balzac, la Maison du chat-qui-pelote, Flammarion GF, 1985, p. 34.
Balzac, la Maison du chat-qui-pelote, Flammarion GF, 1985, p. 35.
↑ Jeanine Guichardet, Université de Paris III, Balzac, archéologue de Paris, Paris SEDES 1986. p. 272-3.
Anne Marie baron, 1985, p. 11.
↑ Claude-Joseph Vernet, Anne Marie Baron, 1985, p. 269.
↑ Lekain, A.M. Baron, ibid.
↑ Jean-Georges Noverre, A.M. Baron, ibid.
↑ A.M. Baron, 1985, p. 22.
La Maison du chat-qui-pelote, Flammarion GF, 1985, p. 62-63.
↑ A. M. Baron, 1985, p. 22.

Bibliographie

Muriel Amar, « Autour de la Maison du chat-qui-pelote : essai de déchiffrage d'une enseigne », L'Année balzacienne, 1993, no 14, p. 141-55.
Max Andreoli, « Une nouvelle De Balzac : la maison du Chat-qui-pelote. Ébauche d'une lecture totale », L'Année balzacienne, 1972, p. 43-80.
Olivier Bonard, La peinture dans la création balzacienne : invention et vision picturales de la maison du Chat-qui-pelote au Père Goriot, Genève, Droz, 1969.
(en) Diana Festa, « Linguistic Intricacies in Balzac's La Maison du chat qui pelote », Nineteenth-Century French Studies, Fall-Winter 1988-1989, n° 17 (1-2), p. 30-43.
Alex Lascar, « La Première ébauche de la Maison du chat-qui-pelote », L'Année balzacienne, 1988, no 9, p. 89-105.
Alex Lascar, « le Début de la Maison du chat-qui-pelote : de la seconde ébauche à l'édition Furne », L'Année balzacienne, 1989, no 10, p. 43-59.
Roland le Huenen, « le Dialogue balzacien : émergence d'une pratique », Balzac : une poétique du roman, Saint-Denis, PU de Vincennes, 1996, p. 213-22.
Paul Perron, « Système du portrait et topologie actantielle dans La Maison du chat-qui-pelote », le Roman de Balzac : recherches critiques, Montréal, Didier, 1980, p. 29-40.
Franc Schuerewegen, « La Toile déchirée : texte, tableau et récit dans trois nouvelles De Balzac », Poétique, fév. 1986, no 17 (65), p. 19-27.
(de) Wolf-Dieter Stempel, « 'L'Homme est lié à tout': Bemerkungen zur Beschreibung bei Balzac anhand von La Maison du chat-qui-pelote », Honoré de Balzac, Munich, Fink, 1980, p. 309-37.
(en) Alexandra K. Wettlaufer, Pen vs. Paintbrush: Girodet, Balzac and the Myth of Pygmalion in Postrevolutionary France, New York, Palgrave, 2001. (ISBN 9780312236410)

Adaptation

Cette oeuvre a été adaptée pour la télévision en 2009, sur France 2, dans la série Contes et nouvelles du XIXe siècle. La duchesse de Carigliano était interprétée par Arielle Dombasle.
Liens externes
Article connexe : Liste alphabétique des personnages d'Honoré de Balzac.

Fiche de lecture numérique

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La Maison du chat-qui-pelote, sur Wikisource

Notice sur La Maison du chat-qui-pelote par Florence Terrasse-Riou sur le site internet de la Maison de Balzac.
La Maison du chat-qui-pelote, version audio Speaker Icon.svg

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Je retrouve un peu De Maupassant dans cette tragédie amoureuse. Quelle belle écriture
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Une nouvelle De Balzac qui n'a pas, à mon avis, la puissance d'autres écrits de la Comédie Humaine (j'ai en tête le Cousin Pons ou le Père Goriot, par exemple). le personnage de la fille amoureuse du peintre est à mon avis trop naïve, un peu tête à claques. Bonne lecture mais pas l'une des meilleures De Balzac.
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