Y a-t-il encore plus nul ?
Je n'ai jamais lu un livre aussi mal écrit. L'auteur passe du coq à l'âne, raconte des anecdotes sans intérêt, aucun style. Une vie Parisienne banale entre le travail, les gosses les transports et la famille. Une littérature pour adolescent pour qu'ils se rendent compte à quoi va ressembler leur vie future à Paris et encore je suis sceptique. Il y a d'autres livres 100 fois mieux à emprunter sur kindle A fuir
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Une attachante trilogie qui nous présente la vie trépidante de Marie, trentenaire, qui, sorte de déesse aux cent bras, s'efforce de tout concilier dans un quotidien survolté qui ne lui laisse aucun répit.
Amour, couple (jolie présentation de sa relation avec Sébastien, l'Époux...), tentations, amitiés, collègues, métier, transports (ils habitent en région parisienne) enfants, santé, travaux, tâches ménagères, famille, tout est évoqué dans une série d'anecdotes pleines d'humour et d'une philosophie riche d'un solide bon sens, aptes à repousser les spectres de l'épuisement et du découragement. (Aussi bien les siens que les nôtres !)
le style, tonique et léger, correspond parfaitement au propos de cette narratrice pleine d'entrain qui incite à travers ses propres expériences les autres femmes à se reconnaître en elle et à se sentir moins seules.
Oui toutes (et tous) nous nous retrouverons en Marie (et Sébastien) héros ordinaires d'une vie de tous les jours, banale et singulière, identifiable par chacun d'entre nous.
Peu ou prou. Et nous conclurons avec soulagement que finalement, nous ne nous en sortons pas si mal !
À classer dans les "feel good books", cet ouvrage décomplexant, alerte et drôle, nous fait le plus grand bien. Potion magique à consommer d'urgence !
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Le roman aurait du s'intitulé une vie de merde
Une histoire que vous et moi aurait pu écrire sur notre vie de tous les jours sans intérêt.
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Ce qui m'a d'abord attiré c'est le titre !! J'étais très intriguée, je me suis dis comment est ce possible d'être toutes ces facettes à la fois et surtout comment toutes les faire bien ?
C'est une histoire drôle, émouvante sous forme de journal intime. L'autrice se confie à nous lecteur, nous déculpabilise de ce qu'on ne pourrait pas très bien gérer au quotidien...On ressent une vraie sincérité dans ce qu'elle écrit, elle n'écrit pas pour dire d'écrire, elle écrit pour nous faire du bien...C'est avec grand plaisir que je découvrirai les autres tomes...Comment rendre le quotidien ordinaire, extraordinaire !!
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Mon grand regret est de voir les mines si tristes ou dures des usagers. Je regrette que l’on soit si individualiste. Je rêve d’un peuple qui se salue même s’il ne se connait pas. Je rêve de politesse instantanée, sans hypocrisie, sans arrière-pensée. Cela rendrait ce moment passé ensemble bien plus agréable, non ?
Par exemple il m’est déjà arrivé de proposer mon aide à un couple d’italiens penchés sur une carte RATP. Je voulais peut-être leurs montrer que les français peuvent être avenants et accueillants. Je me souviens qu’ils ne m’avaient finalement pas besoins d’aide mais qu’ils m’avaient chaleureusement remerciés de ma gentillesse. Cela avait dû les surprendre un peu. On a parlé quelques minutes le temps que le train arrive. Je me suis tout de suite sentie plus sereine. Comme si j’avais accompli une bonne action qui me mit de bonne humeur pour la journée. Je le fais dès que je peux, c’est dans mon karma.
je me rappelle avoir été choquée par les triangles poilus de certaines de mes voisines. Mais quand je dis « poilus », c’est vraiment très poilus ! Je pense qu’elles n’avaient jamais vu une bandelette de cire de leur vie et encore moins un épilateur électrique. Je ne voulais pas regarder mais mes yeux étaient automatiquement interpelés par les masses noires placées dans mon champ de vision. Imaginez-vous sur une plage de nudistes, vous savez que vous ne voulez pas regarder mais vous voyez quand même. Là, c’était pareil. Nous étions tellement dégoutées qu’on n’a pas trainé longtemps.
J’essaie juste de donner le meilleur de moi-même. Mais à vouloir trop en faire, on s’épuise. Il y a quelques mois, j’ai cru qu’une psychologue pourrait m’aider à retrouver ma sérénité. Après lui avoir expliqué mes soucis, elle résuma mes maux en une phrase : Madame ! Vous voulez être une super épouse, une super maman et une super travailleuse ; il va falloir que vous admettiez que vous n’êtes pas une Superwoman.
Point ! Boum ! 90 euros !
Quatre-vingt-dix euros pour entendre que je ne suis pas Superwoman ! Sans blague ! Mais pour qui elle se prend cette mégère ? Elle peut toujours attendre de me revoir. Je vais me débrouiller toute seule pour retrouver ma sérénité !
Heureusement que le téléphone portable existe, comment faisait-on avant ? Il y a tout de même un truc qui m’épate. Avant, on avait que le fixe à la maison. Aujourd’hui, il y a le fixe, le portable, le net, les réseaux sociaux et pourtant il manque toujours cette chose primordiale : le temps.
Le petit groupe s’éloigne et tous ensemble, au grand désarroi des personnes du troisième âge, ils hurlent « Mini Disco ! Mini Disco… »
C’est à cet instant précis que l’on en a la confirmation : le postérieur de Nossa est du même niveau que celui d’Abir. Je ne savais pas la Tunisie particulièrement réputée pour le physique des femmes. Souvent habillées de djellabas, leurs atouts féminins ne sont pas forcément mis en valeurs. Si nous étions au Brésil, j’aurais supposé que leurs fesses étaient refaites. Elles sont jeunes et encore fermes. Je prends conscience que les années ont passé et que les miennes ont perdu toute fermeté, je regarde Sèb et lui dit :
~ T’as vu ça ? Y’a de quoi mater ici !
~ Punaise !
Entretien avec Sonia Dagotor à l'occasion de la rencontre entre l'autrice et les lecteurs de Babelio.com le 16 juin 2020. Découvrez les mots choisis par l'autrice pour évoquer son roman 'Ceux qui s'aiment finissent toujours par se retrouver', paru aux éditions du Cherche-Midi.
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