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Héros tome 1 sur 3
EAN : 9782377311514
312 pages
Sarbacane (03/10/2018)
3.81/5   62 notes
Résumé :
Ils grandissent au pied du Morvan entre ville et village. Matéo, diamant à l'oreille, Richard, la tête rentrée dans les épaules, et l'inénarrable, intarissable, insupportable José, duvet au menton et hygiène douteuse. Leur passion : la légendaire BD Héros, dont ils attendent chaque mois le nouveau numéro. Leur rêve : éditer un jour leur propre série, inspirée de cet univers fascinant et occulte qui domine les records de ventes. Après tout, la série a bien été créée ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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« Rendre le monde un peu moins noir
Sans attendre la gloire
Changer le cours d'une autre vie
Sans espérer le moindre prix
Devenir quelqu'un 
Le héros d'un autre du jour au lendemain »*


« Héros » de Benoît Minville est le premier livre dans la catégorie fantastique que je lis de la collection exprim'. Et croyez-moi, ça dépote grave !
L'auteur commence fort en mettant en place une grosse et importante scène d'action dès la page 21. Tout part de là, le rythme est lancé.


Ils s'appellent Richard, José et Matéo, ce sont trois fans de BD, trois amis, trois personnalités différentes, mais surtout trois ados qui se retrouvent dans un sacré pétrin !
Richard est plutôt renfermé et discret. À contrario José est excentrique, que ce soit via son style vestimentaire atypique ou par ses réactions exagérées. Il est rarement dans la juste mesure. Matéo, quant à lui, est le beau gosse de l'équipe. Le hype qui est « in » mais qui a choisi le clan des zéros. Un lien d'amitié très fort unit ces trois garçons, et c'est un plaisir de les suivre, ils sont très attachants.


L'univers de la BD est très présent dans ce roman. Richard, José et Matéo sont fans de ce genre livresque (et je n'ai aucun doute concernant l'auteur). En plus d'être de grands consommateurs de bulles, ces trois ados passionnés créent la leur, la dessinent, la scénarisent et... (ahah je ne vous dirai pas ;P lol) De plus, Benoît Minville a élaboré son scénario progressivement et l'a rythmé à la manière d'un comics. Grâce a son écriture très visuelle, j'avais parfois la sensation de lire une BD tellement les planches s'imposaient à moi. Au plus j'avançais dans l'histoire, au plus je visualisais les cases de chaque situation. Elle est là, la performance de l'auteur: la BD est tellement gravée au coeur de son ouvrage que Benoît Minville donne carrément au lecteur la sensation de lire des bulles.


Entre « Stranger things » et « Umbrella academy », avec ce titre Benoît Minville est clairement dans l'air du temps.
De « Stranger things » j'ai retrouvé la puissante amitié d'un groupe de garçons geeks, passionnés, unis et téméraires, mais aussi le côté horreur et suspense latent.
De « Umbrella academy » il y a le côté décalé, les supers pouvoirs des protagonistes et bien sûr, l'univers comics à fond.


Vous l'aurez compris, « Héros » c'est carrément fun ! Il y a de l'action, du suspense et de l'humour. C'est frais et jeune. Mais surtout, vivre une aventure avec de vrais ados crédibles dans leurs réactions, dans leur façon de penser et dans leur façon de parler c'est un régal. En complément de ce côté léger et distractif, l'auteur a inséré certains faits historiques réels ce qui apporte encore plus de richesse au texte. Le tout dans une harmonie indiscutable.
Petit point complémentaire (que je ne savais pas où placer dans ma critique! Lol), je tiens à féliciter l'éditeur pour la quatrième de couverture qui reflète parfaitement le livre sans en dévoiler trop. Juste ce qu'il faut. C'est assez rare en young adult, j'avais donc envie de le souligner.


« Héros », c'est donc du très, très bon. J'en veux encore ! Et je suis impatiente de découvrir davantage le mystérieux Alex et de retrouver toute la fine équipe. Hâte de me procurer et de lire la suite !


« We can be heroes, just for one day »**






*Paroles de la chanson « Le héros d'un autre » du générique de la série « Heroes » .
(J'espère que vous avez chanté en rythme ;) lol)

** Paroles de la chanson « Heroes » écrite et composée par David Bowie et Brian Eno.
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Benoït Minville m'avait accroché avec Rural Noir. Ici, rien de commun sinon une amitié toute identique : à la vie, à la mort !

Le décor, la Bourgogne. Taux de chômage important, ennui dans les quartiers résidentiels, les barres d'immeubles.

Cette fois, j'ai mis un long mois à lire ce roman. Je n'ai pas l'habitude de ces univers dit "comics" ou "Marvel" aussi, je me suis attachée à ces trois lycéens Richard, José et Matéo, leur quotidien morne de jeunes gens fascinés par une BD qui a pris racine dans la région bien avant leur naissance. Matéo au coup de crayon proche de celui du fondateur veut produire "Héritier" avec ses copains.

Des créatures étranges, tentaculaires, des pouvoirs surnaturels, des "Grands Anciens", des machinations et le réel, celui d'un père veuf qui se débat avec deux gamins dont un ado, de l'humour, du rythme, une flopée de rebondissements, un univers mystique.

Tout cela donne un roman unique entre réel et surnaturel dont on ne se détache pas avant l'épilogue. Je n'ai pas été embarquée par l'univers de Héros pourtant très visuel, mais j'ai aimé retrouver l'écriture, les personnages attachants, la dureté de la vie qui soude des amitiés éternelles.

Merci à l'opération Masse Critique et aux Éditions Sarbacane de m'avoir permis de découvrir ce roman d'action, entre fantastique et réalisme profond, qui dit la force profonde de l'amitié, de la famille, socles d'une vie ou l'Humanité prime.

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Un mal fou à terminer ce bouquin. Non pas qu'il soit mal écrit, non pas que l'histoire soit inintéressante… je me suis seulement trompée de casting. «Héros » est un roman qui m'a intriguée dans la looongue liste des livres proposé par Masse Critique. La couverture superbe, promesse de dépaysement et le résumé m'ont attirée. Un roman fantastique écrit par un français Benoît Minville, que je ne connaissais pas.

Au départ, j'ai éprouvé des difficultés à entrer dans cet univers. Les ados sont sympathiques, il y a de l'action, des rebondissements alors je me suis accrochée. J'ai plongé dans le monde de "Héros" qui tire vers le comic. Richard, Matéo et José, le groupe d'amis inséparables, fous de la BD "Héros", travaillent ensemble sur leur propre projet de BD, "Héritier" . Ils se sentent légitimes car la série Héros a été créée dans leur région, il y a plus de 80 ans et est toujours imprimée à Sainte Forge.

Un soir, alors que les trois ados se retrouvent dans leur QG pour brainstormer sur leurs planches, un homme couvert de sang, surgit, donne une fiole à Richard et les prévient : « ils arrivent ».
Le lendemain, Richard se réveille confus à l'hôpital, les deux autres ne se souviennent de rien. Richard ne peut rien expliquer mais sait que plus rien ne sera jamais comme avant.

Peu à peu, ma lecture bascule dans le Marvel. Le récit s'imbibe d'ésotérisme avec des humains dotés de super-pouvoirs, des adeptes du culte de « La loge de la Lune Pourpre » liée aux « Grands Anciens », de grandes conspirations et des confrontations ultimes auxquelles je n'ai pas compris grand chose. C'est manichéen, grandiloquent, rempli de scènes à l'action tellement dense que je me suis sentie écrasée. J'ai recommencé à décrocher petit à petit.

La lecture de ce roman d'action à dimension fantastique m'a laissée mitigée. Benoît Minville a un univers qui n'appartient qu'à lui et j'ai des difficultés à le suivre. Merci à Masse Critique et aux Editions Sarbacane de m'avoir laissé entrevoir la saga.

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Tout commence avec trois amis très différents les uns des autres unis par un lien indéfectible : l'amitié et Héros la BD dont ils dégustent tous les tomes. Matéo est un beau gosse, dessinateur hors pair à la patte imprégnée de Valognes et Costa, les deux créateurs de Héros ; Richard, lui, ce sont les idées, le scénario, et le repli sur soi propre à ceux ayant perdu un proche ; José, enfin, c'est le personnage que j'ai adoré…détester : grossier, aucun réel talent, proche du complotisme. A eux trois, ils veulent créer leur propre bande dessinée Héritier (ou Legacy José soutient que ce serait quand même beaucoup plus marketing) inspiré de l'univers qui les a bercé, sorti de la galère, tenu ensemble comme un bateau chavirant en pleine mer. Ils en sont encore à plancher sur les dernières pages lorsqu'un homme débarque, en sang, dans leur QG pour tendre à Richard une fiole gorgée d'un liquide sanguin, avec un seul mot d'ordre : « fuis ». le lendemain, José et Matéo n'en ont plus aucun souvenir et Richard se réveille avec un pouvoir hors du commun. le destin de trois adolescents de 15 ans d'un petit village de Bourgogne vient de prendre un tournant spectaculaire, des monstres tentaculaires vont bientôt envahir le ciel, des tempêtes ravagent la plaine et les ombres sont encore plus denses…

Ce qu'il y a d'extraordinaire dans ce roman c'est cette espèce de frénésie avec laquelle Benoît Minville nous entraîne, il n'y a rien de meilleur que de sentir que l'auteur s'est éclaté derrière ses pages. Bourré de rebondissement Héros se lit comme un comic à la X-MEN ou MARVEL avec des héros qui se découvrent du jour au lendemain un pouvoir hors du commun (Superman), des cauchemars plein la tête (Strangers Things) et d'autres choses pas super super cool à la Lovecraft, Gaiman et d'autres pointures. Avec une écriture aussi cinématographique il est difficile de ne pas voir les images derrière les mots, (oserais-je dire les cases ? oui !) et il est clair, Monsieur Minville, que le pari d'écrire plutôt que de décrire est tenu (La Grande Librairie, décembre 2018). Si certain.e.s l'ont lu vous retrouverez aussi sans doute un peu de The Unwritten de Mike Carey et Peter Gross pour ce parallèle entre la fiction et la réalité et cet aller-retour incessant qu'opère Benoît Minville.

Empruntant clairement aux mythes lovecraftien, ces derniers faisant partie intégrante du roman à bien des égards (bonjour le Necronomicon), Howard P. devenant même un des personnages de l'histoire, on ne peut reprocher à Héros d'avoir puisé dans ses ombres tentaculaires… (Cthulhu, il me semble que Kraalnazgarath souhaite te faire de l'ombre, ou au moins t'égaler…pardon mais c'est réussi ^^ Au moins son nom est imprononçable, rassure toi).

Pourtant, si certain.e.s d'entre vous pourraient craindre une overdose de magie, d'action, de sang, de tentacules et toutes ces choses qui appartiennent aux 80′ sachez qu'il est aussi ici question de tendresse, d'amitié, d'amour, de famille et j'en passe. D'ailleurs les disputes entre les trois comparses, la vie de famille de José ou celle plus compliquée de Richard font partie de mes moments préférés du roman. Parce que l'auteur n'oublie jamais que ce ne sont que des adolescents de 15 ans et qu'à cet âge, dans cette région là, fortement touchée par le chômage et la précarité, dans ces périphéries un peu oubliées des romans, on a déjà une dizaine de préoccupations dans la tête, à commencer par le lien familial qui est très exploité : des pères patauds à qui on ne sait pas trop parler, d'autres qu'on doit aider à faire rentrer de l'argent dans le foyer, d'autres encore alcooliques, désespérés ; une petite soeur à protéger, une autre complicité ; des mères fortes à admirer…

Ces petites touches du quotidien sont formidables de réalisme, tendres, touchantes ou embarrassantes, elles amènent une véritable bulle d'air frais dans ce roman sous adrénaline.

En résumé

Il n'y a pas à dire, il y a dans ce roman tous les ingrédients, du page turner à la fresque familiale, du fantastique à l'horreur, du comicbook des 80′ à la réalité intemporelle des périphéries françaises, de la tendresse à la fuite, pour en faire un de mes premiers coups de coeur de 2019. Merci aux éditions Sarbacane de toujours éditer des pépites qui m'en mettent plein les yeux et merci à Benoît Minville pour cette bulle, horrifique, fantastique, cthulhuesque dans mes révisions de partiel !
Lien : https://lesdreamdreamdunebou..
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Dans une petite ville perdue et moche du Morvan, trois amis rêvent de créer leur propre bande dessinée qui fera suite à la légendaire série Héros publiée dans leur ville. Mais un soir tout va basculer, et la fiction deviendra la réalité pour Richard, Matéo et José.

Dans une écriture fluide et visuelle, l'auteur nous raconte tout d'abord une histoire d'amitié entre trois adolescents pourtant très différents. Richard, l'intellectuel introverti qui a perdu sa mère et dont les problèmes de famille lui pèse. José, franchement barré et le malaimé du collège. Et Matéo le beau gosse qui protège ses amis envers et contre tout. Ils sont attachants et leurs préoccupations sont celles d'ados normales.
L'histoire a eu du mal à m'embarquer complétement bien qu'elle ne manque pas d'action et de la tension nécessaire. Tout simplement parce qu'elle bascule vite et complétement dans un côté fantastique tirant sur le "comic" que j'ai du mal à apprécier. Richard va se retrouver avec des supers-pouvoirs et comme le dit si bien spiderman : de grands pouvoirs apportent de grandes responsabilités. Bref il va se retrouver à sauver le monde de créatures maléfiques tiré des romans de Lovecraft.
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critiques presse (4)
LeMonde
17 juin 2019
La justesse et l’universalité des deux tomes de Héros tiennent également au fait que, malgré leur fil fantastique, le romancier les ancre au pied du Morvan dans des familles qui ne bouclent pas toujours bien les fins de mois.
Lire la critique sur le site : LeMonde
SciFiUniverse
13 mai 2019
Entre réalisme social et fantastique lovecraftien, ce roman sonne juste grâce à des personnages attachants et crédibles. Le récit est engagé, l'angoisse montante et l'intrigue sur fond de super-pouvoirs prenante.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Telerama
07 décembre 2018
Benoît Minville joue de ces références avec un talent espiègle, l’humour et la distance ne sont jamais loin, ce qui ne l’empêche pas de conduire fermement un récit truffé d’action et de rebondissements. Et le lecteur le suit jusqu’au bout, emporté par la vitalité de sa plume.
Lire la critique sur le site : Telerama
LeMonde
03 décembre 2018
Très vite, la fiction et la réalité vont s’entrechoquer quand les trois garçons vont être confrontés à des phénomènes étranges. Si les emprunts de Minville installent confortablement les amateurs de pop culture des années 1980-1990 dans un univers familier, le récit reste pour autant frais – et juste – sur l’adolescence et l’amitié.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Rien à faire, une force colossale protégeait l'adversaire, et la vision d'Alex se flouta. Un sang épais coulait sur son front, deux tentacules avaient déjà percé son ventre, rongeant son épiderme pour entrer en lui.
L'abomination avança dans sa direction, conquérante; et ce qui sortait de sa gorge n'était qu'un râle incantatoire, le vestige d'une langue perdue et immonde.
Alex comprit qu'il allait mourir, ou qu'il deviendrait fou s'il continuait de faire face à ce spectacle atroce.
Alors dans un sursaut, il poussa un hurlement à s'en briser les cordes vocales et une lumière irradia de lui, attaquant les lianes de chair, les embrasant, les consumant. La forêt entière tremblait au son de sa colère.
Le rayonnement flamboyant bouleversa les éléments, un vent terrible se leva et la charge énergétique frappa la chose de plein fouet, le repoussant à plusieurs mètres. Dans un même mouvement, les tentacules glissèrent du corps d'Alex, enfin libre.
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[Son père] lui tendit un exemplaire du numéro 960.
- Eric m'a dit que tu avais prêté le tien à ton copain. Alors je te l'ai racheté pour que tu puisses le lire aujourd'hui. C'est un sacré geste, mon grand, que tu as eu.
Ému, Matéo se rappela que Grand-Père Martin lui avait souvent fait ce genre de surprise quand il rentrait de l'école, lui offrant un inédit ou un numéro spécial lorsqu'il s'était vraiment bien conduit. L'alchimie de cette saga tenait à ça, ces histoires de gestes et ces moments de transmission familiale. Il avait appris d'elle et continuait d'apprendre car, même s'il ne la lisait plus avec le même regard que quand il était plus jeune, il éprouvait toujours un plaisir neuf à se plonger dans ces aventures à la fois passionnantes et angoissantes, découvrant des subtilités qui se révélaient à lui à mesure qu'il grandissait.
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- José, sérieux ! On en a causé dix mille fois : on est en France, on reste sur « Héritier » ! « Legacy » ça fait Marvel, c’est pas du tout l’esprit de Héros ! Pourquoi tu t’entêtes à pas comprendre ?
- Parce que déjà, c’est moche, riposta José. « Héritier », on dirait un nom de vermifuge pour chien ! Et puis merde, il faut penser global, mondialisation ! Avec Legacy, on frappe le marché ricain direct.
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- Allez... Merde, d'habitude c'est moi qui dois me bouger !
- Elle habite à perpète... Moi je suis en mob' mais toi, tu feras comment pour rentrer ?
- Mat : je vole. Je serai de retour chez moi avant toi.
- Bâtard, c'est vrai que tu voles...
- Ouais. En vrai, j'ai toujours pas essayé. Ça me fout trop la trouille.
Commenter  J’apprécie          40
Et pour tout te dire, j'ai parfois l'impression qu'il est plus ardu de lutter dans ce monde de cols blancs que dans les sphères occultes!
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