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Les enquêtes d'Oscar Wilde tome 6 sur 7
EAN : 9782264051264
408 pages
10-18 (19/09/2013)
3.83/5   44 notes
Résumé :
Tout juste libéré de la prison de Reading, ou il a été enfermé deux ans, Oscar Wilde se réfugie à Dieppe. Il croise la route d'un mystérieux étranger manifestement très intéressé par son histoire. Jour après jour, Wilde entame le récit de son calvaire, des corvées endurées, de la censure... sans oublier le double meurtre qu'il lui a fallu résoudre. Car dans une affaire si délicate, à quel saint se vouer, si ce n'est au détenu le plus célèbre de Reading Gaol ?
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Sixième et dernier livre de la saga Oscar Wilde. Ce livre peut cependant être lu indépendamment des autres tomes. Ce qui d'ailleurs est un vrai plus qu'apporte cette série.



Oscar Wilde après toutes ses turpitudes est rattrapé par la justice et condamné pour comportement immoral aux travaux forcés pendant deux ans. Conduit dans un premier temps à Newgate, puis Petonville puis Wandsworth où le gardien Braddle lui voue une haine indicible avant de mourir devant lui officiellement d'un arrêt cardiaque, le voilà arrivé à Clapham Junction et plus précisément dans la geôle de Reading. Manque de chance ou aléas de la vie, son nouveau gardien n'est autre que le frère du gardien Braddle et ce dernier est bien décidé à lui en faire baver. Événement étrange, Braddle frère fait une chute d'une passerelle juste devant la cellule d'Oscar Wilde, qui entre-temps n'est plus appelé que par le numéro de sa cellule : C 3.3. Ptard, le révérend Friend est agressé par un autre condamné. Bien qu'enfermé en prison avec interdiction de communiquer, Oscar mène petit à petit son enquête et commence à échafauder la solution à ces incidents malencontreux.



Ce dernier opus est sans hésitation le plus fort en émotions. Nous découvrons au travers du récit d'Oscar Wilde son séjour en prison dans les années 1890. Dans un premier temps, Oscar semble abattu par sa condamnation et les règles de son incarcération assez drastiques puisque pour les autorités, le prisonnier n'existe plus en tant que personne mais en temps que numéro. Cela se caractérise par l'obligation pour les prisonniers de porter un masque, de ne pas communiquer entre eux.Le règlement au sein de ses geôles est tel que la moindre incartade entraîne une punition allant de l'isolement avec pain sec et verre d'eau au coup de fouet. Gyles Brandreth a ensuite fictionné le tout en y ajoutant cette intrigue policière qui en quelque sorte redonne ses notes de noblesse à Oscar en lui permettant de focaliser son esprit sur une énigme.



En ce qui concerne l'intrigue, au départ, je me demandais comment un livre relatant le séjour du personnage principal en prison aurait pu être aussi vivant et palpitant que les cinq autres livres de la série. En effet, dans les précédentes enquêtes Oscar Wilde ne cesse de se déplacer, de brasser de l'air afin de résoudre une enquête. Là, enfermé dans une cellule d'à peine 6 mètres, le doute était permis. le challenge est plutôt réussi puisque Gyles Brandreth a su jongler avec les différents protagonistes comme le Docteur, le Réverend, les gardiens et les autres prisonniers pour apporter de la consistance au récit.

Comme pour les précédents volumes, ce récit est relaté par Oscar Wilde qui ici s'adresse à un certain Dr Quilp désirant écrire un livre racontant son séjour en prison. Petit à petit, nous nous retrouvons plongés dans cette atmosphère carcérale au travers du regard parfois horrifié De Wilde. Puis, plus le récit avance, plus le lecteur commence à se poser de nombreuses questions sur cette série de meurtres, sur les autres protagonistes dont notamment les autres prisonniers comme le nain, l'hindou ou l'empoisonneur au nom imprononçable de Atitis-Snake. La fin du livre ne vous étonnera pas si vous avez suivi le récit avec attention. Personnellement, j'avais vu venir les choses.



Globalement, une série pseudo policière et bibliographique permettant de découvrir ou redécouvrir ce grand homme d'Oscar Wilde. Un homme décrié pour ses tendances sexuelles, adulé pour son génie et qui pourtant ne peut laisser indifférent. Gyles Brandreth a su avec cette série rendre humain et vivant cet homme grandiose qui a côtoyé les plus grands de son temps comme Victor Hugo, Proust avant de finir pauvre comme Job loin de son pays et de sa famille.
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Dernier volume d'une série de six tomes qui met en scène le célèbre dandy Oscar Wilde, ce volume est le plus sombre de la série car il raconte les années qu'Oscar Wilde a passé en prison à la fin de sa vie.
Plus mélancolique et surtout plus noir, ce roman nous montre un Oscar Wilde qui a tout perdu : sa réputation, sa femme et ses fils, sa fortune, ses amis, sa liberté et sa santé.
Emprisonné à la prison de Reading, il sera le témoin de plusieurs décès suspects et nous raconte ce qu'il s'est passé.

C'est un Oscar Wilde particulièrement affaibli, fatigué, rongé par une forme de désespoir qui tente de garder son esprit alerte malgré les conditions effroyables de sa détention et son moral au plus bas.
Bien sûr, ici, plus question de fines réparties et de joutes verbales, de champagne au petit déjeuner et de festins pantagruéliques, plus de rencontres avec les grands de ce monde, plus de soirées entre amis au théâtre, au restaurant.... juste le froid et la saleté, le silence insoutenable, l'absence de stimulation intellectuelle, le travail infernal, les repas réduits à leur plus simple expression, la cruauté et la peur.
J'ai beaucoup aimé ce dernier tome qui clôt la série et qui raconte ce qu'à été la chute d'Oscar Wilde, que ce soit entre les quatre murs de sa cellule mais aussi pendant les mois qui ont suivi sa libération.
Cet homme ne savait qu'être lui-même, un homme aimant le faste et le grandiloquent, et même si cela signifiait pour lui de tout perdre, il n'a pas su changer et est mort dans le dénuement le plus total.
L'auteur nous livre une série de romans passionnants où la verve d'Oscar Wilde est un pur délice et où les descriptions de l'époque valent leur pesant d'or.
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Cela faisait un petit temps que ce roman trônait sur ma pile, plusieurs fois je l'avais pris en main, à chaque fois je l'avais reposé, repoussant sans cesse le moment fatidique de la lecture…

Pourquoi ? Parce que c'était le dernier qu'il me restait à lire de cette série consacrée aux enquêtes d'Oscar Wilde, et qu'en plus, c'était le volume consacré aux deux années que Wilde passa en prison, accusé du crime de sodomie.

À cette époque, et jusqu'à peu, la sodomie était un crime punissable d'emprisonnement en Angleterre, et même si depuis longtemps on n'enfermait plus les homosexuels, la loi existait toujours dans le code anglais jusqu'il y a peu.

Oscar Wilde, mon dandy flamboyant, mon amateur de bons mots, de bons champagnes, de mets capiteux, de fêtes, cet amateur d'indolence, ce brillant écrivain, réduit à des travaux forcés dans un bouge infâme où l'on n'a même pas le droit de parler !

Comme dans "On the brinks" de Sam Millar, l'auteur décrit avec force les conditions inhumaines des prisons anglaises (de sa cellule de Newgate à la prison de Pentonville, puis à Wandsworth et enfin à Reading Goal) et du comportement, inapproprié, de certains matons, dont le gardien Braddle, cancrelat de l'existence qui ne se sent fort que lorsqu'il rabaisse les plus faibles que lui.

Si les 5 autres tomes étaient joyeux, celui-ci est assurément le plus sombre, le plus tragique, le plus triste, car nous savons qu'après ses deux ans d'emprisonnement, Wilde ne survivra pas longtemps et s'éteindra le 30 novembre 1900.

Au lieu de libations et de joyeusetés proférées par notre dandy anglais, nous aurons droit à un compte-rendu des joyeusetés qui se déroulaient dans les geôles anglaises, pourtant, jamais le récit ne sombrera dans le pathos et de temps en temps, il sera même éclairé par un geste de bonté de la part de l'un ou l'autre intervenant.

Cette fois-ci, l'enquête De Wilde sera plus discrète, les conclusions se dérouleront dans sa tête, avant qu'il ne nous raconte tout, et il faudra être attentif durant sa lecture car nous le savons tous, le diable se cache dans le moindre petit détail.

Pourtant, les leçons de mon Maître ont dû porter leurs fruits, parce que comme Wilde, j'ai déduis une chose que personne d'autre dans la prison n'avait compris ! Et nous avions raison, lui et moi. Normal, nous sommes les meilleurs.

Un tome plus sombre, moins joyeux, car voir le grand Oscar Wilde trainé dans la boue, vilipendé, voué aux gémonies, n'est jamais agréable.

Le pauvre ne pouvait pas savoir que maintenant, il serait toujours considéré comme un Grand Auteur et que le monde se contrecarre de ses préférences sexuelles (enfin, ceux qui, comme moi, n'en tienne pas compte, Frigide doit l'avoir mis à l'index et ce n'est pas là qu'il faut le mettre).

Un tome où l'enquête se déroulera d'une autre manière, plus subtile, plus cachée, où nous apprendrons les faits au compte-goutte et où il faudra attendre les dernières pages pour avoir les ultimes conclusions et voir la pièce dans toute sa splendeur car nous sommes face à un Grand du crime, un criminel qui aurait fait le bonheur d'un Holmes car il était retors à souhait.

Un tome qui, comme je le redoutais, ne clôt pas la série puisqu'un nouveau tome est sorti en septembre 2017 (je viens de l'apprendre maintenant) et que je pourrai donc retrouver mon Wilde aux côtés de Conan Doyle et oublier ainsi les conditions de détentions inhumaines qui furent celles des prisons anciennes.

C'est avec regret que j'ai terminé cette lecture et même si le récit était sombre, Wilde a su, même dans l'adversité, me l'égayer.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Oscar Wilde et le mystère de Reading... Ou le bouquin offert par mon chéri... Parce qu'il sait bien que j'aime beaucoup cette sérié, malgré le fait qu'au final les enquêtes policières soient souvent secondaires... là c'est vraiment le cas, et pourtant...

Bon je vous fais un coup de pitch histoire de, donc pitch :

1895, c'est l'été les oiseaux chantent dans les jardins, le soleil pleut et les enfants courent après leurs cerceaux.
Oscar en a mare ! Mare du marquis de Queensbury, nan mais franchement ! Il n'arrête pas de lui mettre des bâtons dans les roues... Faut dire qu'il est le père de son amoureux, fervent adepte des femmes, un tantinet machiste, et complètement rétrograde, et que son fils soit un inverti (comme on dit à l'époque) passe franchement mal... la faute doit être reportée sur quelqu'un, lui en l'occurrence ! Comme si !...
Non Oscar en a tellement mare, qu'il intente un procès en diffamation... il aurait pas du... Car Queensbury sait où taper, et malgré les nouvelles règles qu'il a instaurées pour la boxe, il tape là où ça fait mal, sous la ceinture !

Car pour Oscar l'avenir est plutôt sombre, il a perdu son procès, où il se défendait lui -même. Ça n'a pas suffit, après plusieurs jours enflammés, où la bataille fut rude, où les rires avaient pourtant fusé, les réparties magnifiques, et les bons mots, il en a fait trop, il s'est foutu lui même dedans comme on dit.. Résultat, deux ans de travaux forcés.. deux ans... tout ça parce qu'il aime les garçons, qu'il les préfère aux filles, à sa femme... La peine maximum qu'il risquait, tout le monde fut d'accord, le public et le jury, mais il le sait bien le public pardonne tout sauf le génie...
Et du génie il en a c'est un fait indéniable...
Dés le procès terminé, après un un dédale de couloirs souterrains, le voilà devant devant le directeur de la prison de Newgate, de là il partira ailleurs, dans un autre pénitencier... Il en connaîtra deux, Pentonville, et Reading... et dans les deux, les violences, les humiliations, la faim, le froid, la tristesse, la maladie, la peur, la souffrance et le désespoir vont le suivre.. et puis las, les morts aussi...

Que ce roman est glauque, noir, violent, de cette violence qui serre la tripe, face à l'inhumanité du monde et à la stupidité... Oscar fut traité de pervers, je ne vois la perversion que dans le traitement qu'on faisait aux inculpés... et le sentiment de honte qui submerge quand on se rend compte qu'on appartient à la même race que ces gens, que ces faiseurs de loi iniques, stupides et monstrueuses.. dés l'âge de dix ans on incarcérait... pour des broutilles, pour des riens... des histoires de lapins, dés l'âge de dix ans, on fouettait, on frappait, on tabassait, sans remord... punition en bonne et due forme.. alors imaginez, ce que l'on faisait subir aux adultes !... la même chose en juste plus poussé... en pire...
Franchement, Oscar reste Oscar, l'histoire policière passe au second plan.. Déjà parce que je m'en foutais de savoir qui avait tué ces êtres ignobles .. dans ma tête ils le méritaient, bien fait pour leur gueule ! Et là, le frisson.. le frisson de se rendre compte que le propre de l'homme n'est pas l'humanité comme on voudrait nous le faire croire, mais l'inhumanité... le pire du pire.. l'humain est capable de tout, mais surtout du pire..
Si une bisounours comme moi, peut avoir ce genre de pensées (même si c'est mauvais pour le karma.. niveau karma je suis plus à ça près ^^)... Oui je suis une bisounours... je préfère le beaux, le gai, le bon, la bienveillance et la gentillesse... comme dit dans une autre chronique..je préfère passer pour une bisounours un peu niaise, qu'une grosse enfoirée.. Et pourtant...
C'est bien une pensée de grosse enfoirée que j'ai eu, non ?

Le bouquin qui laisse place non pas à la découverte du coupable, pour moi, mais à des questions d'un ordre plus philosophique, mais il paraîtrait que je suis tapée du casque...
Qui ramène à la perversité, et où elle se place, l'abus de pouvoir, la malignité.. Qu'est ce qui fait qu'on est bon ou mauvais ? Dans un système définitivement mauvais et pervers, y prendre part fait obligatoirement quelqu'un de mauvais ? Savoir que le système est mauvais, et ne pas vouloir le changer, suivre ces règles, et les appliquer ? Qu'est ce que cela fait des humains ? Qui sont les pires ?
Et cela peut-il s'appliquer à tout ? Ou juste au pire ? Et il est où le pire ?

Comme vous pouvez le constater les questions que m'ont amené ce livre sont bien loin d'être simples, et bien loin du polar divertissement... on me dit souvent que je me pose trop de questions, que j'en pose trop.. que cela n'amène que de la souffrance à mes interlocuteurs qui eux ne veulent pas s'en poser...
Et je me demande pourquoi ?
Oui pourquoi ?
Pourquoi ?....
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Dernier opus (pour l'instant ?) des enquêtes d'Oscar Wilde, le mystère de Reading est à la hauteur des précédents. Cependant, il est moins joyeux puisque l'on partage la cellule du dandy pendant les deux années de son incarcération pour avoir eu une relation charnelle avec Lord Alfred Douglas.

Pas de champagne ni de caviar, pas de promenades en fiacres ou de dîners dans des restos chics et peu d'envolées d'esprit du poète Irlandais : Oscar Wilde s'étiole dans sa cellule et s'évertue à ne pas devenir fou. Cependant un meurtre est commis, de quoi éveiller l'intellect de C.3.3 (son numéro de matricule lui sert de nom en prison) qui va tenter d'enquêter malgré le lourd règlement carcéral.

Ce dernier volume retranscrit avec précision la vie à l'intérieur de la geôle de Reading et cela fait froid dans le dos. Ayant lu le célèbre poème d'Oscar Wilde, La Ballade de la geôle de Reading, je n'ai été qu'à moitié surprise par ce que j'ai lu même si certains passages m'ont fait dresser les cheveux sur la tête. En terme d'inhumanité, l'Homme est capable de la plus exécrable des ingéniosités.

L'enquête est sympathique mais la révélation finale n'en n'a pas été une car j'avais tout deviné. Cela n'a pas gâché mon plaisir, au contraire, j'étais heureuse de ne pas m'être fourvoyée.

Je suis cependant bien triste d'avoir terminé cette série car j'ai passé quelques semaines très agréables en compagnie d'Oscar Wilde et de ses amis Arthur Conan Doyle et Robert Sherard.
Ils me manquent déjà...
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Quand je suggérai au deuxième classe Luck de suivre l’exemple de son maître et d’écrire son propre récit de voyage, en lui disant qu’il en tirerait une fortune capable de rivaliser avec celle de Conan Doyle, il me répondit avec le plus grand sérieux :
— Écrire prend du temps et c’est très difficile. Tuer est beaucoup plus facile et nettement plus lucratif, je l’ai constaté.
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(...) La tenue des prisonniers est un costume, pas un vêtement. Elle fait d’eux un personnage tout à la fois de tragédie et de comédie – un pierrot triste, un clown dépenaillé qui, comme on le sait, a le cœur brisé.
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Toute l'horreur de l'existence d'un homme en prison réside dans le contraste entre la bouffonnerie de son aspect et la tragédie de son âme.
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Comme chacun sait, le public à l'insatiable curiosité de tout savoir, excepté ce qui en vaut la peine, et le journaliste, qui en est conscient, et possède des habitudes de boutiquier, satisfait cette demande. Au cours des siècles, précédents, on clouait les oreilles des journalistes au pilori. À présent les journalistes les ont eux-mêmes clouées aux serrures. En conséquence de quoi, les journaux d'aujourd'hui chroniquent avec une avidité dégradante les péchés de personnages de second ordre, et nous donnent avec l'applications des illettrés des détails précis et prosaïques sur les faits et gestes de personne absolument sans intérêt.
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...En prison, le temps n'avance pas. Il tourne sur lui-même. Il parait évoluer en cercle autour d'un centre de douleur. En prison, il n'y a qu'une saison : la saison du chagrin.......
.......C'est toujours le crépuscule dans les cellules, comme c'est toujours le crépuscule dans les cœurs.
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