Sympathique comme un flâneur !
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Chargé des “grands événements” auprès du président entre 2014 et 2017, Pierre-Louis Basse livre une chronique désabusée de la vie de Palais.
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Le soir surtout, au moment du départ, il me semblait que ce Palais, ses lumières au fond du jardin, avaient la prétention d’un décor cadenassé. Prisonnier du passé. La plupart du temps, ces lumières, comme des alvéoles de labeur, étaient celles du Président, ou du secrétaire général, Jean-Pierre Jouyet. Alors que je quittais la place, il suffisait d’une météo clémente, d’un ciel pur, pour que je sois submergé par toutes sortes d’impressions.
Dans la nuit, le Palais faisait comme une pierre précieuse posée sur quelque feutrine de la place Vendôme. Avec leurs gilets pare-balles, et cette manière à la fois courtoise et acérée de vous observer, les gendarmes protégeaient un vaisseau coupé du monde.
Echange entre le journaliste et Xavier Fos, président de stratégies françaises. L’ancien conseiller Grands, qui vient de publier « Les 27 de Chateaubriant » (Editions de L’Humanité), répond à de nombreuses questions, dans un entretien passionné.
Le lieutenant-colonel Hotz a été abattu le 20 octobre 1941 près de la Cathédrale de Nantes. Une terrible répression va s’en suivre. Celui qui a été journaliste radio pendant de longues années aborde la question de l’exécution des 27 de Chateaubriant. Xavier Fos interroge Pierre-Louis Basse. Pierre-Louis Basse témoigne sur ce que sa mère, Esther Gaudin, lui a transmis de cette histoire. Xavier Fos, président de stratégies françaises fait l’interview de l’ancien conseiller de François Hollande. Pierre-Louis Basse s’exprime sur Guy Môquet et sa lettre. L’écrivain raconte comment le 22 octobre 1941, les 27 otages n’ont plus qu’une heure à vivre : ils peuvent écrire une lettre à leur famille, à leur compagne… Pierre-Louis Basse reçoit le club stratégies françaises. Quels sont les enjeux de ce sujet aujourd’hui, à l’aube d’une année présidentielle ? Comment l’écrivain parle de Nantes, du théâtre Graslin aux abords de la gare, en évoquant Patrick Modiano ? Pierre-Louis Basse explique comment Esther Gaudin, une jeune collégienne, en 1940, refuse de rédiger une rédaction au Maréchal Pétain. Pierre-Louis Basse analyse avec lucidité les zones grises du communisme entre les résistants et les partisans de Staline.
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