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Agatha Raisin enquête tome 24 sur 34

Amélie Juste-Thomas (Traducteur)
EAN : 9782226444202
306 pages
Albin Michel (26/08/2020)
3.67/5   226 notes
Résumé :
Personne ne peut rester indifférent au charme de Gloria French, une veuve londonienne au rire sonore et aux joues bien roses ! Les habitants des Cotswolds ont accueilli avec joie cette dame toujours prête à rendre service et à lever des fonds pour l'église. Même si sa fâcheuse manie à emprunter des choses à ses voisins, sans jamais les rendre, en irrite plus d'un... Lorsqu'on retrouve Gloria empoisonnée par un vin de sureau qu'elle avait justement « emprunté », c'es... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (41) Voir plus Ajouter une critique
3,67

sur 226 notes
Je n'ai pas trop accroché à ce énième tome.
Les ficelles habituelles sont utilisées... Même trame que d'habitude.
Alors que dans doute l'ennui le prend a ce manque d'originalité.
Après on reste une fois encore dans une lecture légère et récréative

J'ai trouvé le scénario un peu plat, et surtout un peu tiré par les cheveux..

Vu le nombre de roman écrit je me doute bien que l'auteur ne peut pas être à son plus haut niveau tout le temp.
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Vingt-quatrième tome des aventures d'Agatha Raisin, notre détective quinquagénaire aux gros sabots et au coeur de midinette.
Dans ce volume, elle va devoir trouver l'assassin d'une femme unanimement détestée dans son village, car elle avait l'habitude d'emprunter des choses à ses voisins mais ne rendait jamais rien, que ce soit un paquet de farine, une bouteille d'alcool ou une commode ancienne !
Bien entendu Agatha va mettre son nez où il ne faut pas et elle va encore une fois risquer sa vie.
Ce volume n'est pas aussi croustillant que d'autres de la série, Agatha n'a aucune histoire d'amour en cours, elle n'a donc aucune raison de se maquiller six fois par jour, de porter des vêtements trop courts pour son âge ou de se ridiculiser en croyant que tous les hommes tombent immanquablement sous son charme en un instant.
Une lecture distrayante mais ce n'est pas le meilleur de la série.
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Même pour Agatha Raisin, c'est la crise ! Ce n'est pas que les affaires manquent parce qu'ils ne se passent rien, les affaires manquent parce que les clients potentiels n'ont plus les moyens pour l'engager – et Agatha n'a pas envie de licencier un seul membre de son personnel. Elle s'ennuie un peu, heureusement, Mrs Bloxby est là pour la réconforter. Ni l'une ni l'autre ne pensait qu'un meurtre surviendrait bientôt, dans un hameau voisin, et qu'Agatha, au bout de quelques jours d'une enquête qui piétine, serait embauchée pour trouver le coupable.
Les suspects ? Ils sont nombreux. Piddlebury a beau être véritablement une petite commune, avec l'église d'un côté et le pub de l'autre, tous les habitants ou presque pourraient être suspect. Pas le pasteur, non. Ce n'est pas à cause de son métier, c'est uniquement parce qu'il était une des rares personnes à apprécier Gloria. Sa femme ? Fatiguée par ses tâches de femmes de pasteur, elle n'aurait pourtant pas dit non pour arracher les yeux de Gloria. La vieille Mrs Tripp ? Gloria avait beau lui avoir fait la lecture pendant des heures et des heures, elle ne la supportait pas. Je pourrai continuer ainsi longtemps. Fait presque nouveau : Agatha enquête et l'on cherche très vite à la supprimer, de la même manière dont Gloria a été tuée. Ce n'est pas tant qu'Agatha craint pour elle-même – même si l'idée d'être empoisonnée ne lui sourit pas – elle craint pour les membres de son équipe – voir mort Simon ? Hors de question.
Et les amours ? Presque sereine. Agatha est toujours amie avec Charles, et elle a le béguin pour un professeur de chimie rencontré durant son enquête. James pense enfin vivre « une histoire sincère et magnifique ». Quant à Toni, elle s'interroge : pourquoi se lance-t-elle toujours dans des histoires d'amour avec des hommes violents ? Cependant… ah, je ne veux pas trop vous spoiler, mais selon Agatha elle-même, il lui arrivera pire que d'être menacée de mort – et pourtant, elle en verra vraiment des vertes et des pas mûres dans cette enquête. Quoi ? Ah, je ne le dirai pas, je dirai simplement que certains donnent fortement l'impression de vivre encore comme si l'on était au moyen-âge ou dans les années cinquante, aucune de ses options n'est préférable !
PS : ne ratez pas le mémorable passage télévisé d'Agatha, qui devrait lui assurer une longue postérité.
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Cela faisait un long moment que je n'avais pas lu un Agatha Raisin, et comme d'habitude ce fut un bon moment de lecture bien que que cette enquête tourne un peu en rond.
Notre enquêtrice doit trouver le meurtrier de la femme la plus haïe du village : elle avait la fâcheuse manie d'emprunter des objets à ses voisins sans les rendre et en prétendant ne jamais les avoir pris. Mais suite à sa mort, le village se sert les coudes et met de nombreux bâtons dans les roues d'Agatha pour éviter qu'elle ne retrouve cet assassin.
Dans ce tome je n'ai pas particulièrement aimé le personnage de Toni Gilmour qui monte sur ses grands chevaux pour pas grand chose et qui est aussi maladroite dans ses paroles que sa patronne. On pourrait les croire mère fille.
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Agatha Raisin revient cette fois ci avec sa 24ème enquête sur une affaire de poison. Cette affaire l'amène dans un petit village des Cotswolds ou la victime est detesté par tout les habitants. Agatha et sa brigade d'enquêteurs et d'amis va mener ses investigations. Comme dans les autres tomes j'ai passé un bon moment de lecture.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Après le départ de Sam, mrs Tripp ramassa le livre et se mit à lire. Elle avait une bonne vue , mais appréciait l'idée que les gens se prenaient pour des saints parce qu'ils lui faisaient la lecture.
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- C'est le problème avec vous, les femmes modernes, répliqua-t-il, vexé. Toujours sur le point de vous faire violer et assassiner parce que vous n'écoutez pas les conseils sensés des hommes.
- Une femme ne se fait pas violée, elle est violée, et, en général, c'est par un homme, justement, rétorqua Agatha en se levant. (p.200)
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Dans ce monde cruel, dit James, le triste fait est que les femmes doivent être capables de s'occuper d'elles-mêmes. Il est vraiment important de ne dépendre de personne. Il y a tellement de malheureux dans les maisons de retraite qui ont cru jusqu'au dernier moment que leurs fils ou leurs filles prendraient soin d'eux sur leurs vieux jours. Si vous n'attendez rien de personne, vous pourriez fort bien vous réveiller un beau matin au milieu d'une histoire sincère et magnifique. (p. 106)
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Au pub, Agatha alla chercher son ordinateur portable et rejoignit Charles au jardin. Elle tapa le nom de Sam dans le moteur de recherche.

« Alors ? demanda Charles.

– OK, tu as gagné, elle était actrice. Elle s’appelait Samantha Wilkes avant son mariage. Elle a joué dans des séries télé, notamment Inspecteur Morse. Nom d’un salopard à sonnette ! » Agatha ouvrit son portefeuille et paya à contrecœur les cinquante livres. « Offre-moi un verre au moins, dit-elle. Comment tu as deviné ? Parce que quand on la regarde, on ne croirait jamais qu’elle a pu être séduisante dans le passé.

– L’instinct, c’est tout », se contenta de répondre Charles qui n’avait pas très envie de lui expliquer qu’en cette époque mortifère pour le système de classes, les aristocrates avaient l’oreille entraînée à découvrir les imposteurs, conscient qu’une telle explication semblerait on ne peut plus snob, et qu’elle l’était effectivement.
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The recession was biting deeper into private detective Agatha Raisin's finance. The bread-and-butter work of her agency, the divorces, missing teenagers, even missing dogs and cats, was drying up as people preferred to go to the police for free help, and men and women in unhappy marriages opted to wait before paying Agatha to find the proof of evidence for divorce.
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