Il n’y a pas de dessein préalable conscient, de volonté d’exprimer ceci ou cela, de donner dans I ‘émotion ou la littérature. Il y a un côté artisanal qui veut obéir aux « invariants plastiques ». On n’exprime que ce qu’on est dans le moment où l’on peint, la liberté est donnée au spectateur éventuel d’interpréter à sa guise le résultat. La plupart du temps c’est lui-même qu’il lit, à son insu, dans le travail d’un autre. Il y accroche son imaginaire, y cherche une ... >Voir plus