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Nathalie Bauer (Traducteur)
EAN : 9782021000092
264 pages
Seuil (04/03/2010)
3.6/5   62 notes
Résumé :
Guido Guerrieri est appelé à la prison de Bari pour défendre en appel un prévenu condamné pour trafic de drogue. Reconnaissant en lui Fabio Ray-Ban, l'agitateur fasciste qui fut le cauchemar de son adolescence, il décide de refuser. Or, l'homme clame son innocence : il prétend avoir été dupé par son premier avocat. Et il lui lance : "On raconte que vous ne vous dérobez pas quand la cause est juste. On raconte que vous êtes un type bien." Guerrieri hésite, car les pr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
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Troisième tome de la saga Guido Guerrieri. Chacun des livres peut cependant être lu séparément.🥊


Guido Guerrieri est sollicité pour assurer la défense de Fabio Paocelli. Lorsqu'il découvre le visage de cet homme, des souvenirs d'enfance lui remontent concernant une altercation avec des fascistes dont Fabio était l'un des agresseurs. Décidé à se venger en refusant de le défendre, Guido pense l'affaire réglée. Mais voilà, l'épouse de Fabio se présente à son cabinet, Natsu et leur fille. Subjugué par sa beauté japonaise et italienne, Giudo accepte d'étudier l'affaire avec sérieux. Ce qu'il découvre au fil de ses investigations le laisse perplexe : Fabio serait-il innocent de ce dont on l'accuse.... ou bien un manipulateur incroyable...
Sans compter que les charmes de Natsu ne lui sont pas indifférents...


Découverte de cet auteur dont j'avais entendu parler sans jamais oser passer le cap. C'est chose faite.😊
Au final, la lectrice en moi est agréablement surprise par ce roman. Gianrico Carofiglio nous propose de suivre les coulisses non pas d'une enquête policière, mais d'un procès de la nomination de l'avocat à sa résolution. À partir des faits présentés par la police, son personnage doit tout mettre en oeuvre pour reconstituer les faits et les prouver. Ajouter à cela, le cynisme avec lequel est décrite la magistrature italienne où corruption, silence et fainéantise sont présents, et vous obtenez un récit plutôt sympathique.
L'ambiance d'ensemble est assez sombre puisque le personnage semble aimer flâner tardivement dans les rues de Bari. Ainsi, la ville est décrite sous des éclairages artificiels où parfois Guido croise des gens un peu étranges...


Le gros bémol à mon sens concerne les passages traitant de la mafia. 😓Certes l'auteur nous parle des magistrats sous protection policière, des menaces, des corruptions, mais ces éléments ne sont pas exploités à bon escient dans le récit. Ainsi, Guido découvre au fil de son enquête un lien avec la mafia, il est menacé par l'un de ses acteurs... mais rien de plus. D'un coup, la menace est écartée aisément avec l'intervention d'une police réactive. Quand on pense à la description qu'il donne des procès, cela est antinomique.


Pour conclure, un roman policier vraiment sympathique et agréable. le personnage de Guido semble complexe, ce qui apporte de la consistance au récit. L'ambiance de nuit du récit apporte un regard plus serein et plus zen. Une belle découvre que je compte renouveler prochainement avec un autre livre de cet auteur.😉
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Un avocat qui ne se la joue pas, qui réfléchit, qui lit poésie et philosophie, qui vit seul et qui travaille honnêtement.
Une histoire de trafic de drogue où l'on tente d'innocenter le passeur .
Nous sommes à Bari, en Italie alors on peut penser à association mafieuse.
Somme toute une lecture intéressante, bien écrite , un bon thriller juridique.
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La Feuille Volante n°1046– Mai 2016
RAGIONEVOLI DUBBIGianrico Carofiglio – Sellerio editore Palermo.
Quand Margherita, la compagne de l'avocat Guido Guierrieri, dit qu'elle veut lui parler, ce dernier croit qu'elle attend un enfant. A quarante deux ans, il pense qu'ainsi sa vie peut prendre un sens nouveau depuis son divorce. Que nenni, on vient de proposer à son amie un poste à New -York qu'elle a évidemment accepté. le voila donc seul dans Bari, avec ses rêves de paternité. Lui n'en continue pas moins son métier et on l'appelle pour défendre Fabio Paolicelli, un important trafiquant de drogue, qui, de retour de vacances en ex-Yougoslavie s'est fait prendre avec de la drogue plein sa voiture. Malgré les apparences, Fabio proclame son innocence. Guidi le connaît puisqu'il n'est autre qu'un dangereux fasciste dont les amis l'ont roué de coups dans sa jeunesse (il semblerait qu'il ait fait pire encore dans le domaine du crime). C'est un épisode qu'il n'a pas oublié. Ainsi refuse-t-il dans un premier temps cet office non sans plaisir puisqu'il tient sa vengeance surtout qu'un confrère, l'avocat Corrado Macri, peu regardant sur la légalité et qui avait accepté de le défendre, l'a finalement chargé, ce qui est étrange pour un avocat. Mais quand la compagne du détenu, Natsu Kawabata, une femme à la beauté renversante, sollicite son aide, il tombe sous son charme et ne peut qu'accepter. Ainsi se trouve-t-il dans une situation cornélienne, coincé entre la volonté de se venger et celle de défendre un homme pour les beaux yeux de sa femme et ce d'autant plus qu'il lui paraît que ce Fabio pourrait bien avoir été victime d'une manipulation et donc être innocent des faits qui lui sont reprochés. En outre, il ressent de la compassion pour la jeune fille du couple qui ne manquera pas de pâtir de l'incarcération injuste de son père. Il assurera donc la défense de son ancien ennemi. Pour se conforter dans son rôle d'avocat intègre qu'il est, il a recours, plus plus d'informations à son ami l'inspecteur de police Carmelo Tancredi, spécialiste des pires vices dont l'humanité est capable. Il lui apportera sa vision personnelle de cette affaire et éclaircira l'épisode un peu obscur de son précédent défenseur ce qui permettra à Guido de déstabiliser Macri .
Pauvre Guido, il n'a jamais su résister à une jolie femme et il est vraiment tombé sous le charme de Natsu, mais surtout il doit se faire violence pour assurer une défense qu'il ne souhaitait pas. Certes il profite de la situation et la beauté de Natsu est un peu sa vengeance mais la présence de sa très jeune fille ne sont pas sans raviver ses rêves de paternité et sa volonté de revenir à la vie puisque le départ de sa compagne l'avait quelque peu abattu. Pourtant sa relation avec l'épouse de Fabio ne sera évidemment qu'une passade. Comme toujours j'ai apprécié l'humour de ce texte, l'analyse psychologique des personnages, le cheminement intérieur de Guido même si les précisions en matière de procédure et de droit pénal italien m'ont peu intéressé.
C'est le troisième ouvrage que je lis de cet auteur et même si mon italien est encore un peu hésitant, la musique de cette langue me plaît toujours autant. J'ai apprécié le suspense distillé tout au long de ce romance et le personnage de Guierrieri. C'est quelqu'un de bien, conséquent avec lui-même, cultivé, intègre mais aussi toujours un peu malheureux en amour et qui, malgré l'adversité reste lui-même. Un homme très attachant finalement. J'ai bien aimé également le personnage du libraire insomniaque qui ouvre sa boutique la nuit.
Ce texte a été traduit et diffusé par en France sous le titre «  les raisons du doute ».
© Hervé GAUTIER – Mai 2016. [http://hervegautier.e-monsite.com ]
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Guido Guerrieri, avocat pénaliste à Bari, est appelé à la prison pour défendre un certain Fabio Paolicelli, dit Fabio Ray-Ban. L'apercevant, celui-ci reconnaît en son futur client un cogneur fasciste. Il a d'excellentes raisons de ce souvenir de lui, parce que ce Fabio Ray-Ban a empoisonné son adolescence dans l'Italie des année 1970.

Une drôle d'histoire lui est tombée dessus, comme la misère sur le bas-clergé ! En revenant de ses vacances au Monténégro, Fabio Paolicelli est arrêté par la police financière italienne qui procédait à des fouilles en règle de certains véhicules considérés comme suspects. Par un malheureux hasard, sa voiture cachait quarante kilos de cocaïne très pure, sans même que le principal intéressé n'en soit informé. Comme le veut la procédure dans ces cas-là, on lui demande de désigner un avocat pour le défendre. Et là, l'affaire prend une tout autre tournure. Miraculeusement, un inconnu se présente à la femme de Fabio Paolicelli avec le nom d'un avocat à conseiller à son mari - Corrado Macri, de Rome - qui enfoncera son client plus qu'il ne l'aidera. Celui-ci ira même jusqu'à refuser de se faire payer ses honoraires ! Fabio Paolicelli est persuadé que son défenseur l'a grugé. C'est la raison pour laquelle il demande à Guido Guerrieri de l'aider à comprendre ce qui lui est arrivé et de le sortir de prison.

Malgré la bonne foi apparente de Fabio Paolicelli, les erreurs de procédure de son prédécesseur, Guido ne se sent aucun désir, encore moins la volonté de défendre cet ancien fasciste apparemment tombé dans les mailles du filet de la mafia locale. Qu'il se débrouille et se trouve un autre défenseur. Guido, quant à lui, a surtout envie de se venger des rebuffades passées en refusant de le défendre. Mais lorsque la femme de ce dernier vient au cabinet de Guido Guerrieri, sa première réaction est de lui opposer un refus catégorique.

Malheureusement pour Guido, Natsu Kawabata, la superbe épouse de Fabio Ray-Ban, est entré dans sa vie au moment où elle a franchi le seuil de son cabinet ! Pour presque se rassurer que son client ne lui mentait pas - maintenant qu'il avait décidé de s'occuper de son affaire - Guido Guerrieri fera appel à Carmelo Tancredi "[...] inspecteur de police spécialisé dans la chasse aux pires rebuts de l'humanité : les violeurs, les tortionnaires, les trafiquants d'enfants". Si son ami le tranquillise quant à la version des faits de son client, il lui rappelle aussi de s'intéresser à son ancien défenseur, plutôt qu'à la femme de Fabio Paolicelli !

"Les raisons du doute" de Gianrico Carofiglio appartient à cette nouvelle vague de roman policier très en vogue actuellement, le Legal Thriller. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'auteur frappe fort avec son personnage, Guido Guerrieri. Avocat malheureux en amour, intègre, loyal, moral, scrupuleux, honnête mais qui sait se servir des rouages de la machine judiciaire italienne pour sortir ses clients dans l'ornière où ils se sont généralement mis, Guido Guerrieri est aussi et surtout un intellectuel, féru de belles lectures et rêvant de devenir écrivain, boxeur à ses heures perdues, amateur de belles femmes et de musique. Cela pourrait s'arrêter là et ferait un policier agréable à lire. Mais "Les raisons du doute" va plus loin. Et c'est ce qui en fait un bon roman policier à l'italienne. Ici, pas de violence physique, pas d'insultes ni de grossièretés, pas de policier redresseur de torts et jouant les justiciers. Au contraire, un avocat rusé comme un renard, madré, subtil et intelligent, parfois un brin cynique et macho - juste ce qu'il faut - pour nous le rendre attirant. Dans son roman, Gianrico Carofiglio convie le lecteur à une découverte des arcanes de la justice italienne, proches de chez nous. Il nous fait partir à la rencontre d'un milieu qui ne nous est pas si souvent dévoilé. Ici, les avocats sont parfois honnêtes, parfois véreux. Les policiers aident les avocats grâce à de petites combines pas toujours légales, les magistrats restent à leur place et font régner l'ordre pour le bien public. Et puis, en toile de fond, il y a Bari, ville portuaire des Pouilles s'ouvrant sur l'Adriatique et sur l'Europe de l'Est, où la mafia est très active, les trafics en tous genres, nombreux et fructueux. Bari, belle citée du sud de l'Italie, animée comme le sont les villes italiennes, mais qui se pare parfois d'une légère teinte d'inquiétude. L'ensemble, servi par une écriture nerveuse et une histoire qui ne se relâche pas, donne un très bon moment de lecture.
Lien : http://dunlivrelautredenanne..
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En italien "ragionevoli dubbi " = doutes raisonnables, fondés.
C'est plus un roman intimiste basé sur les consciences,les confiances trahies ou pas qu'un thrillers (même légal) comme on lit sur la quatrième de couverture. Une couverture que je trouve trop bavarde.
Elle nous annonce que l'avocat pressenti pour défendre un détenu, reconnaît aussitôt en lui, le jeune fasciste agissant qui a tourmenté son adolescence et dont il rêve de se venger.
La question cruciale est donc : peut-il accepter ?
Que peut_il arriver de pire à un avocat ?

Pour moi,que l'accusé soit coupable ou pas d'avoir transporté quarante kilos de cocaïne, est secondaire.
Ce qui est important,c'est la rencontre des deux hommes ,l'ambivalence des sentiments de l'avocat,ses doutes,son cheminement intérieur,tout ce qu'il pense mais ne peut exprimer.
Dans ces cas-là,comme le texte ne présente aucun des signes de ponctuation marquant des dialogues, l'auteur ajoute pour le lecteur " mais je ne le dis pas".pour écarter l'ambiguïté.
Les personnages masculins sont très présents,presque matérialisés;
La femme,aussi belle soit'elle,a moins de densité.

Difficile de quitter ce roman,mais il faut bien dormir un peu,ce que j'ai eu beaucoup de mal à réussir,tant je continuais à vivre avec les personnages.
Là où j'ai passé plus vite,ce sont sur les plaidoiries,certainement bien construites puisque Carofiglio baigne dans le milieu judiciaire et connaît son métier.
J'en retiens qu'il ne faut pas se fier aux apparences,que ce soit dans le jugement d'une personne ou de faits constatés. Il faut éviter les conclusions simples et hâtives.
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Chaque métier possède ses points, ses signes de rupture. Des fissures dans le mur de la conscience qui vous avertissent – qui devraient vous avertir – que le moment est venu de s’arrêter, de changer, de faire autre chose. Si possible. Naturellement, ça ne l’est jamais, ou presque. Et, de toute façon, il est rare que l’on ait le courage de l’envisager.
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Nos mots sont souvent privés de signification. Et ce parce que nous les avons usés, épuisés, vidés, par un usage excessif et surtout inconscient. Nous les avons transformés en cocons vides. Pour raconter, il nous faut régénérer nos mots. Leur rendre sens, consistance, couleur, son, odeur. Pour ce faire, il nous faut les mettre en pièces, puis les reconstruire.
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« J’ai toujours détesté les gens qui pleurnichent sur leur sort.
Je décidai donc d’aller acheter un livre.
A l’heure qu’il était - 23 heures – il n’y avait qu’un seul endroit où acheter des livres et bavarder un peu. L’Osteria del Caffelatte qui malgré son nom est une librairie.
Elle ouvre le soir à 22 heures et ferme le matin à 6 heures. Le libraire, Ottavio, est un ancien professeur de lycée insomniaque chronique. Il a détesté avec ténacité son métier d’enseignant pendant tout le temps qu’il a été contraint de l’exercer
Il y a toujours du monde à l’Osteria del Caffelatte. Pas beaucoup, mais tout le temps. Des individus bizarres, bien sûr, surtout des individus normaux. Qui sont plus étranges que les autres puisqu’ils achètent des livres à 4 heures du matin.
La librairie possède trois tables et un petit comptoir de bar. Quand on en a envie,on peut consommer une boisson et un morceau des gâteaux qu’Ottavio prépare l’après-midi. Au petit matin, il est possible de prendre un petit déjeuner composé de ces mêmes gâteaux et d’un café au lait. A l’heure de la fermeture, Ottavio vous offre le gâteau entamé, vous salue et fume devant l’entrée son unique cigarette de la journée. Après quoi, il fait un tour dans la ville qui se ranime et va se coucher au moment où les autres commencent à travailler, parce qu’il ne parvient à dormir que le jour."
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Il faisait un froid de loup à Foggia ce matin-là, et il fut donc très agréable de pénétrer dans le restaurant bien chauffé et plein de bonnes odeurs. Colaianni était déjà là, assis à une table en compagnie de deux individus à l'air peu recommandable : les policiers de son escorte.
Nous nous étreignîmes, échangeâmes les politesses habituelles de lycéens d'un certain âge. Sans un mot, les deux membres de l'escorte se levèrent et prirent place à une autre table, près de l'entrée.
« Depuis combien de temps vis-tu à Rome ?
- Depuis trop longtemps. J'en ai plein les bottes. En particulier, j'en ai plein les bottes du boulot de l'anti-Mafia. Nous passons notre temps à arrêter trafiquants et dealers, à dépenser des centaines de milliers d'euros en écoutes téléphoniques, à interroger des repentis, ou des pseudo-repentis, et rien ne change. Je devrais me trouver un travail honnête. »
Voilà, pensai-je, c'est exactement ce que je me suis dit il y a quelques jours en sortant de la prison. Nous étions les meilleurs représentants d'une génération en plein succès professionnel.
Je gardai ces réflexions pour moi, et il poursuivit. Il avait brusquement abandonné le ton de la plaisanterie pour celui d'une amertume que je n'aurais jamais soupçonnée chez lui.
Contrairement à moi, il avait toujours nourri des passions et surtout des certitudes.
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Avouer aux autres et à soi-même ses souhaits - les vrais- est dangereux. S'ils sont réalisables, et ils le sont souvent, les formuler vous oblige à affronter la peur de tenter votre chance. Et donc votre lâcheté. On préfère alors ne pas y penser ou se dire que l'on a des souhaits impossibles, que les adultes ne songent pas à des choses impossibles.
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La raison du doute - Gianrico Carofiglio Margue Page 05-10-2010
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