Le message de
Jacques Castermane est désarmant de simplicité, désarmant d'efficacité.
Il nous révèle ce que l'espèce humaine devrait apprendre à devenir si elle ne veut pas précipiter sa disparition qui, de toute façon est inéluctable. Il nous apprend ce que chaque être humain devrait rencontrer : son véritable être, son essence, son corps (au sens de l'allemand « Leib » pour désigner le corps qui vit) débarrassé de l'ego son ennemi le plus intime.
Petit résumé si ça vous tente :
Fortement et inconsciemment attiré par les sagesses orientales, le jeune
Jacques Castermane s'oriente vers l'art zen du tir à l'arc, puis vers l'aïkido, le karaté et la cérémonie du thé.
Plus tard, et par hasard, il va croiser celui qui deviendra son maître:
Karlfried Graf Dürckheim, « le vieux sage de la forêt noire ».
Petit à petit l'essence même du zen va pénétrer Castermane pour s'imposer à lui dans toute sa simplicité : l'Exercice et la technique.
Il va découvrir formellement ce que ses expériences avaient éveillé en lui :
Le tronc central du zen et du bouddhisme dont il est issu : la méditation.
La méditation sans objet est l'exercice physique simplissime qui peut conduire lentement (peut-être) l'Homme sincère vers la sagesse, l'éveil, la libération, l'ataraxie.
Graf Dürckheim, qui s'en défendait, tout comme
Jacques Castermane sont des maîtres zen, mais leur intention est un zen occidental, débarrassé des rituels culturels et cultuels japonais ; une sorte d'épure sublime confortée par la mise en évidence que, dès l'antiquité, la philosophie occidentale avait bien perçu ou découvert de son côté l'enseignement du Bouddha.
Il convient de préciser que
Jacques Castermane continu à transmettre son message et celui de Graf Dürckheim dans un centre situé à Mirmande (Drôme) et que pouvoir encore vivre cette expérience de la rencontre d'un sage est une chance à saisir absolument.