D’abord, le roman est bien écrit, ce qui fait qu’on passe à travers sans s’ennuyer. Quant au déroulement de l’histoire, c’est au fond l’équivalent d’un bon film d’action où les invraisemblances sont acceptées parce qu’ainsi va le genre quand on ne veut pas se prendre la tête.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Si l’idée d’explorer l’univers de la manucure semble originale, elle apparaît aussi comme un simple vernis et aurait pu être mieux exploitée.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Entrevista a Denis Thériault, autor de 'El cartero de los Haikus' (Umbriel)