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EAN : 9782070295821
688 pages
Gallimard (23/10/1976)
4.21/5   168 notes
Résumé :
"C'est, en principe, une histoire de la folie qu'on enferme, du Moyen Âge au XIXe siècle ; c'est, plus profondément, à travers l'étude de cette structure qu'est l'internement, une tentative pour établir un dialogue entre folie et déraison ; c'est enfin une esquisse de ce que pourrait être "une histoire des limites - de ces gestes obscurs, nécessairement oubliés dès qu'accomplis, par lesquels une culture rejette quelque chose qui sera pour elle l'Extérieur." Maurice ... >Voir plus
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Je suis infirmière en milieu carcéral et en psychiatrie et il me semble inévitable de remettre des bonnes passes de psychiatrie pour comprendre les être humains.Je suis consciente que lorsqu'on dit psychiatre ....;on nous prend pour des fous alors que tout un chacun dans sa vie aurait besoin d'un psychiatre ...La vie n'est simple pour personne et on peut a toute moment faire un épisode dépressif si nous prenons de névrosés lambda comme nous.

La publication de Histoire de la folie, la thèse de doctorat de Michel Foucault, constitua un véritable événement intellectuel, et rares ont été les livres de philosophie à avoir fait couler autant d'encre. Ce que cherche à montrer Foucault, c'est qu'il n'y a pas une seule réaction possible à la folie et que le regard que l'on porte sur elle dépend de la culture dans laquelle elle s'inscrit. le fou n'a pas toujours été considéré comme un « malade mental ».

Foucault esquisse donc les grandes étapes du rapport de la raison à la folie à partir de la fin du Moyen Age jusqu'à la naissance de l'asile au xixe siècle en s'appuyant sur des matériaux divers .

La création de l'Hôpital général à Paris en 1656 est un événement historique capital qui marque l'ère du « grand renfermement ». Désormais, le fou est interné aux côtés des oisifs, des délinquants et des marginaux dans des centres qui visent à isoler et à faire travailler ceux qui pèsent comme une charge pour la société.
L'autre événement clé de cette histoire de la folie est alors la libération des enchaînés de l'hôpital Bicêtre en 1793 par Philippe Pinel.
Le fou n'est plus guère avec les délinquants : il va se trouver enfermé mais seul.
Particulièrement critique à l'égard de la psychiatrie, Foucault lui reproche de n'être qu'un monologue de la raison sur la folie
Foucault qui obligea toute une génération à réévaluer la psychiatrie et à entendre à nouveau la voix des fous, bien assourdie dans notre société.

De nos jours les hôpitaux psy sont vidés ..les patients sont dehors et comme ils sont perdus ou en rupture de soins et bien ils se retrouvent en prison ....si un schizophrène dangereux est traité ..tout se passe bien , sans traitement il peut tuer et fait la une du journal ....c'est une honte mais une journée de prison ne coute rien tandis qu'un journée d'hospitalisation psy ce n'est pas donné.
Pour lire ce livre il faut des notion de psy.
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Michel Foucault nous embarque avec la Nef des Fous, la peinture de Jérôme Bosch (vers 1500), pour un long voyage au bout duquel on pourrait aussi bien tomber sur la scène du célèbre film "Vol au-dessus d'un nid de coucou" où le personnage interprété par Jack Nicholson, interné à l'asile, organise une virée rocambolesque avec les autres internés.
Cette histoire est une boucle autour de la liberté insaisissable des fous, à travers l'ordre social et moral encore à oeuvre à la « libération » des fous par Pinel à Bicêtre et à La Salpêtrière (et par Tuke en Angleterre).
La pensée médicale n'est que secondaire dans cette histoire alors même que ces évènements de la fin du XVIIIème sont considérés comme l'origine de la psychiatrie. Et même en prolongeant jusqu'à Freud, Michel Foucault veut montrer que « si le personnage médical peut cerner la folie, ce n'est pas qu'il la connaisse, c'est qu'il la maîtrise ».
La philanthropie est également secondaire. La solidarité humaine, primaire à toute société, est canalisée par la conscience bourgeoise dans une assistance publique minimale (idée promue notamment par un certain Dupont de Nemours). Il n'y a que des morales closes à l'oeuvre. Celle des Quakers, dans le projet de Tuke, est dépeinte comme une abomination. Les résultats qui tiennent du «quasi-miracle » paraissent évidemment douteux : la « guérison spontanée de la folie n'est peut-être que sa secrète insertion dans une artificieuse réalité ».
Mais le pouvoir du « positivisme » des « légendes de Pinel et de Tuke » se comprend peut-être mieux quand on songe aux terribles conditions d'enfermement au XVIIème siècle, le siècle du « rationalisme » de Descartes, qui marque une « coupure essentielle entre raison et déraison, dont l'internement n'est que l'expression institutionnelle ». C'est qu'à cette époque on enferme pêle-mêle les fous, les libertins, les indigents, les chômeurs, les homosexuels, etc… « Cette société qui devait un jour désigner ces fous comme des "aliénés", c'est en elle d'abord que la déraison s'est aliénée »
Il faudra du temps pour que ce domaine de la « déraison » se vide et laisse la folie toute seule, « objectivée », mais pour autant « l'asile des fous de Tuke et Pinel n'est qu'un rééquilibrage des formes de conscience de l'âge classique ». C'est pourquoi Foucault va observer précisément tout le long de ce livre, les opérations de ces différentes formes de conscience : critique, pratique, énonciative et analytique. Les problèmes soumis à la conscience sont toujours les mêmes : la peur, de devenir fou ou d'être assailli par les fous, la responsabilité, notamment dans les affaires criminelles, l'assistance et le traitement médical.
L'analyse est abondamment nourrie de témoignages d'époque et d'extraits d'oeuvres littéraires. Ce sont autant d'invitations à explorer plus loin : l'Eloge de la folie (Erasme au XVIème siècle), Don Quichotte (Cervantes, XVIIème), le Neveu de Rameau (Diderot, XVIIIème), les oeuvres de Sade (XVIIIème), etc..
Antonin Artaud et Nietzsche jouent un rôle bizarre dans ce livre, leur nom est répété de nombreuses fois sans commentaire ou presque, comme un leitmotiv. Mais on devine le problème.
« Quel est donc ce pouvoir qui pétrifie ceux qui l'ont une fois regardé en face, et qui condamne à la folie tous ceux qui ont tenté l'épreuve de la déraison ? »
Je reste perplexe devant cette étrange fascination pour « la ruse et le triomphe de la folie » et devant un tel scepticisme envers le pouvoir humain de compassion et de solidarité.
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Livre admirable de Foucault qui jette les bases de la méthodologie qu'il développera ensuite et questionne le concept central de la philosophie occidentale moderne : la raison.

Sur le plan méthodologique, Foucault prolonge le geste nietzschéen. Il ne raisonne pas dans la théorie et l'abstrait, mais se fonde sur des textes, ce qui les a rendus possibles, leur histoire. Il nous livre une histoire des interprétations de la folie. Cette méthodologie, inaugurée par Nietzsche dans la Généalogie de la morale, lui permet de déplier les imbrications sous-tendues par la folie et la manière dont celle-ci a été traitée dans l'histoire.

Descartes inaugure le bal avec son doute méthodique : selon lui, le rêve est plus propre à le faire douter, car ce serait être fou que de se croire fou (je paraphrase, n'ayant pas le texte sous les yeux). Foucault démontre que cette position est en fait constitutive de la raison. Nous avons la raison parce que nous ne sommes pas fous, et c'est parce qu'il y a des fous que nous savons, à rebours, que nous sommes dotés de la raison. Paradoxalement, la raison s'est donc construite négativement en regard de la folie.

Il y a de magnifiques pages sur l'ombre que fait planer la folie sur le soleil de la raison : le rêve assurait à Descartes l'exercice de sa raison, mais l'hypothèse de la folie faisait tout vaciller.

Au-delà du seul travail conceptuel, Foucault montre comment la folie a d'abord été conçue comme entité abstraite avant de s'incarner dans des individus concrets. On ne parlera plus de "la folie" mais "des fous". Toutefois, le mouvement souterrain du concept continue à travailler : en assignant la qualité de "fou" à certains individus, le périmètre de la folie est très précisément bornée. Elle n'a donc plus à inquiéter la raison, puisque nous savons où la folie se trouve : chez les fous. Il ne reste plus qu'à l'enfermer : mettre les fous à l'asile. le travail cartésien s'est ainsi prolongé. Là où Descartes écartait purement et simplement l'hypothèse, de peur de menacer le cogito, les modernes ont adopté une conception de la folie leur permettant d'en circonscrire le périmètre et, partant, d'en écarter définitivement la menace sur le travail de la raison.

Démonstration remarquable.

Ces travaux seront prolongés dans les ouvrages postérieurs de Foucault intéressant la psychiatrie.
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Paul Michel est riche , très riche et issu de la haute bourgeoisie.
Tout les bourgeois autour de lui sont de gauche, c'est à la mode ...
Mais lui on se fout de sa gueule au gauchiste Paul Michel  car " Paul Michel " c'est les initiales de Pierre mendès France " .... trop dur à porter quand on est de gauche " Mendès France " ,  il décide de se cacher donc derrière un nom de famille différent " Michel Foucault " ... bref il passe de Paul Michel à Michel Foucault le pauvre Michel....

Michel foucault est surtout connu dans les milieux académiques pour " histoire de la folie à l'âge classique " ouvrage-bible et considéré par les " cultivés " comme un produit de luxe , un moët et chandon de la philosophie bref on se parfume avec un peu "d'eau de Michel" comme avant on mangeait respectueusement l'hostie à la messe le dimanche.

Il est de bon ton dans les milieux cultivés de connaître ce classique et même d'en réciter quelque cantiques.

L'oeuvre de Michel foucault est une oeuvre de bourgeois et de snobs , de faux cultivés et de vrais petits connards ...

Bref on pourrait totalement objecter au père Michel que la psychiatrie , l'enfermement , la psychose , le panoptique , les discriminations envers les " non conformes " les " désaxés " , les " anormaux " trouve bien plutôt sa matrice dans le judaïsme politique et culturel , et d'ont Freud est le nom le plus universellement connu , et qui trouve sa culmination abjecte dans l'ouvrage infâme du sioniste Max Nordeau dans " dégénérescence " , ouvrage ultra-réactionnaire qui fait de sommités comme Baudelaire , de Barbey d'Aurevilly, d'oscar Wilde , de Tolstoï , de shopenhauer, de Nietzche , de Zola , de Wagner , de Mirbeau des esprits fins de siècles malades , pleins de pathologies , psychiatrisables, bons à jeter à la poubelle bref des " désaxés " , des  "dégénérés " des " fous " et " cas sociaux " à enfermer ...

Ultra violence de ce sioniste qui culminera avec la reprise de ses idées immondes par les Nazis qui s'inspireront directement de max nordeau pour persécuter écrivains artistes , gauchistes , philosophes et qui culminera dans des expositions " art dégénéré " ....

Évidemment le sujet épineux d'un certaine intolérance juive dans le domaine de la psychanalyse, de la psychiatrie et de l'enfermement ne pouvaient que gêner le bourgeois Paul Michel qui évidemment s'embrouillera grâvement sur ce sujet épineux de freud et de la psychanalyse avec Deleuze et certaines de ses analyses avec Guittari dans l'anti-oedipe mais surtout des convictions humanistes et pro-palestiniennes de Deleuze qui dénonce à l'instar de grands penseurs juifs comme Yeshayahou leibowitz ou Israel shahak la réalité de plus en plus gênante et grinçante du " judéo-nazisme " ...

Mais ce que je ne pardonne pas à Paul Michel c'est son mépris pour Émile Zola et sa dénonciation du fatalisme de la démarche naturaliste ...

Comme si les milles et unes personnages magnifiques et plus vrais que nature de Zola , le kaléidoscope de la misère sociale dans toutes ses dimensions , Nana , Germinal , la bête humaine , au bonheur des dames , le roman l'oeuvre et beaucoup d'autres pouvaient valoir les États d'âme d'un bourgeois prétentieux qui a essayé de se suiscider dans sa baignoire parce-que " homosexuel " - les pauvres et la misère beurk ! , les gays snif ! - et qui finira par faire des saloperies SM dans les back-rooms...

Si vous voulez évoluer de Paul Michel je peux vous proposer mon propre parcours passé par la psychiatrie - en deux parties -
dans mes critiques de " médicaments effets secondaires la mort " de John Virapen et la suite à la critique dans dans deuxième partie sous " effets secondaires le scandale français " d'Albert Béguin.

Vous pourrez voir ce qui se passe ACTUELLEMENT en France et d'ont nos bourgeois " Foucaldéens " prétentieux et suffisants se foutent , quand ils n'en sont pas eux mêmes complices....
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Opus captivant à plusieurs titres .
En premier lieu c'est un pur régal sur le plan de la langue française et de son utilisation .
De telles phrases mises au service d'une réflexion sur ce qu'est la folie , cela ne pouvait qu'étre passionant .
Si l'on ne comprend pas tout , l'on à quand méme une réflexion trés profonde sur les liens que la socièté et la folie on , sur le rapport entre les deux , ect.
Si le tout avait était un peu plus facile d'approche le livre y aurait gagné de nombreux lecteurs , un peu rebutés par la grande complexité de l'ensemble .
Passionant mais trop ardu .
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
Le vieux village de Gheel qui, depuis la fin du Moyen-Age, témoignait encore de la parenté, maintenant oubliée, entre l’internement des fous et l’exclusion des lépreux, reçoit aussi dans les dernières années du XVIIIe siècle une brusque réinterprétation…A Gheel, selon le tableau qu’en trace Jouy, « les quatre cinquièmes des habitants sont fous, mais fous dans toute la force du terme, et jouissent sans inconvénients de la même liberté que les autres citoyens…Des aliments sains, un air pur, tout l’appareil de la liberté, tel est le régime qu’on leur prescrit, et auquel le plus grand nombre doit, au bout de l’année, sa guérison ». Sans que rien dans les institutions ait encore réellement changé, le sens de l’exclusion et de l’internement commence à s’altérer : il prend lentement des valeurs positives, et l’espace neutre, vide, nocturne dans lequel on restituait autrefois la déraison à son néant commence à se peupler d’une nature à laquelle la folie, libérée, est obligée de se soumettre. L’internement, comme séparation de la raison et de la déraison, n’est pas supprimé ; mais à l’intérieur même de son dessin, l’espace qu’il occupe laisse apparaître des pouvoirs naturels, plus contraignants pour la folie, plus propres à la soumettre dans son essence, que tout le vieux système limitatif et répressif.

("Des fous qui vivent chez l'habitant", une page web étonnante : http://lavventura.blog.lemonde.fr/2017/07/05/les-fous-qui-vivent-chez-lhabitant/)
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Jamais la psychologie ne pourra dire sur la folie la vérité, puisque c'est la folie qui détient la vérité de la psychologie
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Il semble qu'on ait fondé assez tôt dans le monde arabe de véritables hôpitaux réservés aux fous : peut-être à Fez dès le VIIème siècle, peut-être aussi à Bagdad vers la fin du XIIème siècle, très certainement au Caire dans le courant du siècle suivant ; on y pratique une sorte de cure d'âme dans laquelle interviennent la musique, la danse, les spectacles et l'audition de récits merveilleux ; ce sont des médecins qui dirigent la cure, et décident de l'interrompre quand ils la considèrent réussie.
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Ainsi s'opère un partage nouveau de la folie : d'un côté, une folie abandonnée à sa perversion, et qu'aucun détermi­nisme jamais ne pourra excuser ; de l'autre une folie projetée vers un héroïsme qui forme l'image renversée, mais complémentaire, des valeurs bourgeoises. C'est celle-ci, et celle-ci seulement, qui acquerra peu à peu droit de cité dans la raison, ou plutôt dans les intermittences de la raison ; c'est en elle que la responsabilité s'atténuera, que le crime deviendra à la fois plus humain et moins punissable. Si on la trouve expli­cable, c'est parce qu'on la découvre toute pénétrée d'options morales dans lesquelles on se reconnaît.
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Depuis la création de l'Hôpital général, depuis l'ouverture, en Allemagne et en Angleterre, des premières maisons de correction, et jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, l'âge classique enferme. Il enferme les débauchés, les pères dissipateurs, les fils prodigues, les blasphémateurs, les hommes qui "cherchent à se défaire", les libertins. Et dessine à travers tant de rapprochements et ces étranges complicités, le profil de son expérience propre de la déraison.
Mais dans chacune de ces cités, on trouve, de plus, toute une population de fous. La dixième partie environ des arrestations qu'on opère à Paris pour l'Hôpital général concerne des "insensés", des hommes "en démence", des gens à "l'esprit aliéné", des "personnes devenues tout à fait folles". Entre eux et les autres, aucun signe d'une différence. A suivre le fil des registres, on dirait qu'une même sensibilité les repère, qu'un même geste les écarte.
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Videos de Michel Foucault (73) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Foucault
Michel Foucault affirmait que « dans son versant critique, la philosophie est ce qui remet en question tous les phénomènes de domination ». Cette analyse des rapports de pouvoir demeure au coeur de tout un pan de la tradition philosophique et s'incarne dans un questionnement qui passe par le rapport au terrain. Comprendre les effets de domination – et tenter de les contrer – c'est aller là où ils s'exercent, c'est-à-dire là où ceux et celles qui les subissent peuvent en devenir, par leur expérience même, des expert·e·s. En franchissant le seuil d'une prison ou d'un camp de réfugié·e·s, en enquêtant sur les expérimentations autogestionnaires et écologiques au travail, chacun·e des philosophes invité·e·s façonne un discours critique qui engage un autre rapport au réel et à la philosophie. La réflexion critique se forge ainsi par les entretiens comme par le travail sur les sources et les archives, rendant présente autrement la puissance d'un terrain passé.
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