Je ne peux pas dire que je sois passionné par les rencontres entre grands écrivains et grands peintres, cela à mon sens ne tourne pas à l'avantage de l'écrivain où il pêche souvent par inexpérience, voire inculture -on ne peut pas être bon partout -, j'ai des exemples en tête .. dont le dernier avec
Michel Houellebecq (écrivain que j'aime, je m'empresse de le dire ) dans sa Carte et le territoire, c'est passé outre notamment au sein du jury Goncourt et du grand public. Je pense à
Zola aussi, à Juliet malgré toute la peine qu'ils se sont donnée, Quand à Tolstoï n'en parlons même pas, il a fustigé d'un revers de main tous ces impressionnistes prétendus peintres qui faisaient du brouillard...
En revanche, je crois plus à
Dostoïevski, à
Flaubert etc qui un jour sont tombés amoureux d'un tableau en particulier qui les a inspirés pour des chapitres, voire une oeuvre entière, et ce thème est exaltant .. A Bâle, à Compiègne .. Je marche dans le temps à très grandes enjambées ..
Je ne fais que rebondir sur l'idée de l'ami Philippe Castellain que je salue au passage qui hier écrivait de sa belle plume tous les avantages que lui a prodigué la lecture d'une oeuvre inconnue
De Balzac en lien avec un grand peintre que je n'ai pas lue, mais que je compte bien lire ..Peut-être arrivera-t-elle à me convaincre du contraire de ce que je dis en préambule ?