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EAN : 9782372580304
246 pages
Taurnada Éditions (07/09/2017)
3.83/5   45 notes
Résumé :
San Francisco, sa baie, son océan, sa population cosmopolite.
C'est dans cette ville de l'Ouest américain que Michael Ballanger a décidé de se reconstruire. Loin de sa famille en lambeaux, loin de la France où un tueur en série mit sa vie en miettes.
Le coach de vie à succès renaît avec la difficulté qui suit la perte d'un être cher.
Mais le voilà mêlé au meurtre d'un notable.
Au moment de mourir, l'homme a composé un numéro, le sien.
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Critiques, Analyses et Avis (42) Voir plus Ajouter une critique
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La nuit porte conseil... ou pas...
J'ai pour habitude de rédiger mes chroniques dès la dernière page de ma lecture tournée. En quelques minutes, les mots me viennent, quelle que soit l'heure, souvent inspiré, parfois moins. J'aime faire ressortir mon ressenti à chaud.
Le problème avec Le meurtre d'Odoul Bridge, c'est... comment parler d'un livre qu'on a aimé simplement parce que c'est un polar classique.
Comment donner envie aux amateurs de littérature policière de découvrir, si ce n'est fait, un livre, une plume, d'un auteur de romans qui travaille dans la droite ligne tracée par les maîtres du genre.
J'avais écrit quelques lignes dans ma nuit de pleine lune bourguignonne. Au réveil j'ai décidé de les reprendre.
Voilà tout à fait le genre de polar que j'aime.
Quand Calvin Tenesson, époux d'une riche femme d'affaires, est retrouvé assassiné, la police, en la personne du francophobe et homophobe Lieutenant Larkin, interroge son french coach de vie, Michaël Ballanger, qui ne comprend pas très bien ce qui lui arrive et décide de mener sa propre enquête.
Avec Le meurtre d'Odoul Bridge, je découvre donc l'écriture de Florent Marotta.
Un roman efficace, sans discours superflus,  qui tient ses promesses et va à l'essentiel, bref, qui nous donne ce qu'on attend d'un polar. Une lecture rapide, addictive. Une enquête, du suspense, de l'action. Un personnage principal qui sort des clichés du classique enquêteur. Ni flic, ni privé,  ni avocat ou journaliste. Un simple "coach de vie", un métier dont, pour ma part, je ne saisis pas trop les subtilités ni l'utilité,  mais qui paraît être en vogue. Il n'y a pas de sot métier paraît-il et puisqu'il y a des clients,  pourquoi pas...
Voilà et puis sinon, il y a des gentils pour qui on tremble, des méchants à qui on n'aimerait pas avoir à faire, et des pourris qui trahissent leurs idéaux, parce que dans notre monde, malheureusement, ça existe aussi.
Les nuits de Michaël Ballanger sont hantées par de terribles cauchemars,  des images d'un passé qu'il ne pourra jamais oublier,  il se pourrait même que ce passé le rattrape,  mais ça... seul Florent Marotta a la réponse, moi, j'ai ma petite idée...



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"Les premiers clients du matin étaient au nombre de trois. Une famille entière. Quand il les vit. Michael ne put s'empêcher de constater à quel point ils étaient différents. le père était énorme, nourri aux hamburgers et à la bière. La mère était, à l'opposée, anorexique. ses os ressortaient sous sa peau et son visage émacié, presque décharnée. La fille était dans la phase où la nature hésitait encore de quel côté de ses géniteurs l'envoyer. La pauvre."

Michael Ballanger est un coach sportif exilé aux States. En France, il a laissé une ex-femme et une fille. le type réussit dans son métier tout en ne ménageant pas ses clients, un peu à la manière d'un Docteur House. Plutôt beau gosse et charismatique, il a un certain succès auprès de la gent féminine.

Une existence idyllique au pays de l'oncle Sam ? Pas vraiment. D'abord, c'est un drame personnel qui l'a poussé à fuir son pays natal et quand un de ses riches clients est retrouvé assassiné, tout se complique sacrément pour lui…

Si San Francisco, où se déroule l'action, est une ville plutôt connue pour sa grande tolérance, il n'en n'est pas de même du Lieutenant Larkin, chargé de l'enquête. Dans le genre gros connard raciste et homophobe, on ne fait pas mieux. En plus, il n'aime pas les français. L'affaire s'annonce compliquée pour le coach ne lui laissant pas d'autre alternative que de mener lui-même l'enquête…

Avec ce personnage de coach, Florent Marotta crée un enquêteur plutôt atypique. le bonhomme est déterminé, tête brûlé et foutrement enclin à se fourrer dans des situations périlleuses, pour ne pas dire merdiques. Il est aussi assez attachant ce qui ne gâche rien. du coup, on a hâte de le voir évoluer dans de prochaines enquêtes notamment pour suivre l'évolution de ses rapports, compliqués, avec sa fille et avec Kim, son amie call-girl.

Si le rythme est un chouia moins tendu que dans le Visage de Satan, cette course à la vérité menée par Florent Marotta, n'en est pas moins prenante et laisse peu de répit au lecteur jusqu'à la résolution de ce Meurtre d'O'Doul Bridge !

Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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J'ai eu le plaisir de découvrir la plume de l'auteur avec cet opus au titre évocateur et avec lequel on sait de suite dans quoi le lecteur va être embarqué et cela dès les premières pages, puisque l'on assiste à un assassinat… On entre directement dans le vif du sujet sans perdre de temps.

Je dois dire que l'auteur réussit à faire monter la pression, pour ensuite attaquer un chapitre plus lent avec la présentation de Michael Ballanger, coach de vie… ce qui permet au lecteur de reprendre son souffle… On imagine mal la présence d'un coach de vie dans un thriller, mais l'auteur arrive très bien à construire son personnage. Un homme qui a tout perdu… Et qui pour se reconstruire… Ou se punir… A décidé de partir vivre à San Francisco…

Mais il va se retrouver confronter à ses démons en plongeant dans cette enquête, malgré lui… Au moment de mourir, l'homme a composé un numéro, le sien. C'est plus fort que lui… Il doit comprendre…

C'est un personnage meurtri, très bien construit par l'auteur, mais que j'ai trouvé parfois exaspérant… Tout en étant attachant… L'auteur réussi à l'étoffer et le rendre sympathique… Surtout quand on le voit se démener pour résoudre cette enquête malgré quelques bâtons dans les roues…

Il ira jusqu'au bout… Comme pour exorciser sa culpabilité…

J'ai beaucoup apprécié le personnage du journaliste Sean Pilgrim, complètement parano, et de Kim, call-girl à ses heures qui se destine à devenir psy, qui aimerait bien que leur relation dépasse le stade de l'amitié… Des personnages secondaires construits avec maîtrise, qui étoffent le récit en lui donnant plus de caractère.

Le rythme est dense et avec peu de temps morts… Sauf pour nous livrer les états d'âme de Michael Ballanger, qui se retrouve confronté à ses démons avec l'arrivée de sa fille et cette enquête qui va raviver ses blessures. Ce qui en fin de compte le rend plus humain… Sans cela le personnage m'aurait fait penser à une pub de l'homme parfait…

Le récit se lit vite, bien et avec enthousiasme même si l'on connaît l'identité du tueur bien avant la fin… Ce qui retire quelque peu le suspense que je cherche lorsque je me plonge dans un thriller. Sans retirer, malgré tout, un avis positif lorsque j'ai refermé ce livre en ayant lu un bon bouquin qui regroupe tous les ingrédients pour passer un bon moment : meurtre, mensonges, manipulations…

L'auteur fait succéder le tout avec talent en abordant des sujets qui trouvent écho dans notre quotidien : l'homophobie, les risques d'internet et l'espionnage auquel nous serions confrontés, le racisme….

Je n'ai lu aucun livre de l'auteur, mais j'ai hâte de pouvoir me plonger dans un de ses autres opus.

Je remercie Joël et les Editions Taurnada pour leur confiance et surtout pour m'avoir permis de découvrir un nouvel auteur.
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Le roman dans son ensemble est intéressant à lire.
Malheureusement le style de l'auteur et le fait que certaines choses ne soient pas assez mises en avant ont fait que je n'ai pas pleinement apprécié cette lecture.
L'histoire se déroule à San Francisco. Personnellement l'Amérique ne m'a jamais beaucoup attirée (du moins pour y aller en voyage) mais j'aurais vraiment aimé découvrir cette ville, cette culture et ces gens différents de nous. Malheureusement cela n'a pas été le cas et je n'ai pas quitté le lieu où je lisais le livre… Quand je lis un roman en général j'apprécie l'histoire parce qu'elle m'a fait voyager, là ce n'est pas le cas, c'est donc une petite déception pour moi…

Si les idées sont intéressantes elles ne sont, selon moi, pas bien exploitées. Dans ce roman il y a vraiment des clichés qui gâchent un peu l'histoire. Je ne vous dirais pas lesquels pour ne pas vous spoiler mais dès le début de l'histoire on en découvre déjà certains… Cela me gène la plupart du temps lorsque les clichés sont tellement importants que l'on en devine la fin avant même le milieu du roman, et c'est ce qui est malheureusement arrivé… Je n'avais pas tout découvert bien sûr mais j'avais deviné l'essentiel… J'aurais apprécié être surprise et me rendre compte que je m'étais trompée tout le long.

Les descriptions sont peu présentes, il y en a mais malheureusement pas assez pour que j'arrive à m'imaginer le physique des personnages, les lieux ou même ce qu'ils peuvent ressentir.
J'aurais apprécié que Florent Marotta prenne le temps d'approfondir le caractère et le physique de tous les personnages. Ce qui aurait pu être intéressant aussi c'est de changer de point de vue. Ainsi on aurait pu avoir d'autres visions de l'histoire et non pas une seule comme c'est le cas. Certains protagonistes sont, selon moi, mis trop souvent de côté. J'ai eu l'impression que l'auteur les avait ajoutés après avoir terminé son roman… C'est frustrant de ne pas leur avoir donné plus d'importance.

Ce qui est bien c'est que c'est un livre fait pour tout le monde. En effet c'est un policier mais il n'y a pas de scène gore. Même les lecteurs un peu sensibles aux scènes effrayantes que l'on peut trouver dans les polars peuvent lire ce roman. C'est donc une histoire parfaite pour ceux qui ont envie de découvrir ce genre mais qui n'osent pas. Si par contre, comme moi, vous êtes amateur de sensations fortes, et de scènes d'hémoglobine ce livre vous décevra peut-être...

La fin est dans la lignée du roman, sans réelle surprise. Par contre j'ai beaucoup apprécié l'épilogue qui m'a totalement intriguée. Au final il faut arriver à cette scène pour avoir envie d'en savoir plus, c'est un peu dommage.
En résumé, j'ai un avis mitigé de cette lecture. Je n'ai pas envie de rester sur une mauvais impression et si j'en ai l'occasion je lirai tout de même un autre livre de cet auteur pour peut-être avoir un avis plus positif.
Lien : http://fais-moi-peur.blogspo..
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Michael Ballanger, coach de vie, s'est exilé aux Etats-Unis, après le drame qui a fait exploser sa famille. Il prodigue à ses clients des conseils de psychologie pour s'épanouir dans leur vie professionnelle ou personnelle. Là-bas, il rencontre un succès grandissant dans sa méthode de coaching. Il a même sa propre émission de radio. Sa méthode : « toujours dire la vérité au client, même si elle est dure à entendre ».

Au sortir d'une consultation, un de ses clients est assassiné, près de l'O'Doul Bridge. le lendemain, alors qu'il dîne avec un ami, Michael reçoit un coup de fil de la police, demandant à le voir pour « affaire le concernant », sans plus de détails. Il n'accorde pas trop d'importance à cette demande et part en weekend avec son amie Kim, à son chalet de Shaver Lake où la police vient le chercher, au beau milieu du weekend. le Lieutenant Larkin, véritable caricature de flic borné, lui reproche de n'avoir pas répondu à la convocation, et d'avoir pris la fuite. le dernier numéro composé par la victime était justement celui de Michael.
Or, Calvin Tenneson, la victime, était marié à Teagan Robbins-Tenneson, présidente de l'empire pharmaceutique Robbins, ce qui semblerait expliquer le zèle excessif de Larkin.

Michael ne peut donner beaucoup d'informations aux policiers, malgré leur insistance. En consultation, Calvin lui avait dit qu'il souhaitait changer de vie, mais sans donner plus de précisions. Il a été assassiné non loin de Castro Street, le quartier gay de San Francisco, et le jour de son assassinat il conduisait une voiture de location. Ce besoin de discrétion cachait-il une liaison extraconjugale, ou bien une autre, moins avouable ?

Par ailleurs, sa fille Karine annonce à Michael qu'elle vient passer quelques jours chez lui à San Francisco. Leurs relations étaient pour le moins distantes depuis le drame. Ce séjour le fragilise psychologiquement, car malgré le bonheur de revoir sa fille, il est très inquiet de l'attitude qu'elle va avoir à son égard, et lui reviennent en mémoire les journées du drame vécu par la famille, dont il fut malgré lui le déclencheur.

« Mais la réalité était tout autre. On quittait difficilement son confort, ses habitudes. Il se racontait une fable et le savait, mais il s'en foutait. Dans son histoire, il n'y avait pas de morale. »

Michael, agacé par sa mise en cause et par l'attitude de la police, commence à enquêter de son côté avec l'aide de Sean Milgram, journaliste échotier d'une publication de la communauté gay. Avec l'aide de ce journaliste paranoïaque, mais aux multiples ressources, Michael va pouvoir avancer dans ses recherches, et explorer de front plusieurs pistes, du crime homophobe de skinheads nazis, jusqu'au crime crapuleux, impliquant la richissime veuve pas très éplorée.

L'intrigue en elle-même est assez simple et n'offre que peu de rebondissements. L'intérêt réside surtout dans les personnages qui peuplent ce roman. Michael, hanté par son drame passé, ne peut dormir sans l'aide de somnifères à moins de revivre (et nous les vivons avec lui), tous les évènements qui l'ont conduit jusqu'ici. Il y a en lui une réelle ambivalence, il paraît incapable d'appliquer les conseils de vie qu'il prodigue à d'autres. le Lieutenant Larkin et le détective Kukotch forment un binôme paradoxal : l'un borné, paresseux, raciste, xénophobe et homophobe; l'autre pondéré et plus intuitif, conscient des défauts de son supérieur, mais il doit faire profil bas, hiérarchie oblige. le journaliste Sean Pilgrim, dont la paranoïa atteint des sommets, apporte un réel plus, de par les éléments qu'il apporte à l'enquête. La présence des deux personnages féminins Karine et Kim est à mes yeux plus anecdotique, et influe peu sur le déroulement de l'histoire.

L'enquête n'est pas facile à mener, car Michael doit évoluer dans le milieu gay, qui demeure assez fermé et méfiant. Marqué à la culotte par le Lieutenant Larkin qui guette la moindre occasion pour le faire plonger, il doit également composer en plus des skinheads, avec des sbires à la solde de la veuve, une femme autoritaire et pleine de morgue, qui a l'habitude que tout le monde plie devant elle.

Les personnages sont attachants, l'écriture est vive, le rythme et l'action ne faiblissent pas. Les retours dans le passé insérés entre les chapitres nous aident à mieux comprendre ce qu'a vécu Michael, et comment il y fait face. Tout est réuni pour nous entraîner à la suite de Michael dans une histoire qui, si elle ne nous réserve pas de coup de théâtre, garde tout de même un attrait certain, et au vu du dénouement, laisse penser à une suite possible.
En somme, un bon roman pour une lecture fort agréable et distrayante.

Éditions Taurnada, Septembre 2017
Lien : https://thebigblowdown.wordp..
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Les premiers clients du matin étaient au nombre de trois. Une famille entière. Quand il les vit. Michael ne put s'empêcher de constater à quel point ils étaient différents. Le père était énorme, nourri aux hamburgers et à la bière. La mère était, à l'opposée, anorexique. ses os ressortaient sous sa peau et son visage émacié, presque décharnée. La fille était dans la phase où la nature hésitait encore de quel côté de ses géniteurs l'envoyer. La pauvre. Et justement, ils venaient pour elle.
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Quand la silhouette apparut devant lui, Calvin manipulait le clavier. Pas le temps de chercher dans son répertoire. Il appuya deux fois sur la touche « Appel » et brandit le portable comme une menace.
« Laissez-moi. J’ai appelé les secours. »
Mais l’homme en face de lui en l’entendit pas de cette oreille. Il leva son arme et fit feu. La balle percuta le téléphone qui explosa et envoya ses restes sur le sol avec quelques doigts.
Calvin hurla en tenant sa main en charpie.
Le tir suivant mit fin à ses souffrances.
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Calvin dérogea aux règles qu’il s’était fixées en passant devant le numéro de ses forfaitures, mais personne ne l’y attendait. Leslie avait disparu. L’estomac serré, il martyrisa l’accélérateur et la voiture fila dans le quartier de Castro. Mais la colère était d’ordinaire si étrangère à Calvin qu’il retrouva très vite la maîtrise de ses émotions. À quoi bon s’énerver ? Il ne devait sa position inconfortable qu’à lui et à lui seul.
J’ai la vie que je mérite.
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La morale capitula et l’homme se redressa sur sa chaise en serrant les fesses. S’il ne s’était pas contenu, Michael aurait éclaté de rire. Pourtant, il l’enfonça.
« Les gens qui viennent chez moi le font pour que je les aide, certes, mais la plupart du temps ils savent ce qu’ils ont à faire. Ils me consultent pour les détails. Vous, vous ne cessez de geindre et de vous trouver des excuses pour ne pas agir. Je ne peux rien pour quelqu’un comme vous. »
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La voiture de ses poursuivants bondit la première hors du pont et le conducteur lança son bolide en travers de la route. Calvin n’avait que peu d’espace de manœuvre et il tira sur le volant de toutes ses forces.
La japonaise hurla, les pneus tentèrent d’agripper le sol tant bien que mal, mais l’arrière percuta la berline. Le combat était inégal tant les deux véhicules ne jouaient pas dans la même catégorie.
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