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EAN : 9782246266914
381 pages
Grasset (13/01/1982)
2.42/5   13 notes
Résumé :
1er juin 1980. Michel Farges vient d'être assassiné à Paris.
Romancier, journaliste, il fait partie de ce petit groupe de personnalités où se côtoient éditeurs, directeurs de journaux, femmes à la mode, intellectuels célèbres, mais aussi hommes de finance et de pouvoir.
Sa mort est un événement. Crime crapuleux, passionnel, erreur sur la personne ou bien au contraire "un crime très ordinaire", semblable à l'un de ceux qui ont laissé leur trace rouge da... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
En juin 1980, rue des Carmes, à Paris, Michel Farges, écrivain issu de milieu modeste mais ayant atteint une notoriété certaine, est retrouvé mort, dans le caniveau, entre deux voitures. Il a été abattu de deux balles en pleine tête. Qui pouvait bien en vouloir à un homme respectable et si bien introduit dans le milieu littéraire germano-pratin ? A-t-on affaire à un crime crapuleux, à un acte gratuit ou à quelque chose de plus grave impliquant plus sérieusement les hautes sphères politico-médiatiques ? C'est ce que se demande Sylvie Mertens, jeune enseignante provençale, qui fut le temps d'un été l'amante de Farges. La malheureuse tente de mener une enquête avec le peu d'éléments dont elle dispose. Et tout va se compliquer quand une des maîtresses de Farges sera renversée et tuée par un chauffard et qu'elle-même sera agressée et échappera de peu à la mort…
« Un crime très ordinaire » se présente comme un roman policier ou un thriller sur fond socio-politique. Il semble vouloir traiter de tous ces crimes inexpliqués, de ces suicidés se tirant deux balles dans la tête. le lecteur pensera à l'affaire Boulin, à l'assassinat de Goldman, à la disparition étrange de Jean Edern-Hallier et de tant d'autres. L'ennui, c'est que la fameuse enquête piétine dès le début, qu'il ne se passe strictement rien à part des broutilles de vie quotidienne sans le moindre intérêt et que très vite l'ennui s'installe. Il faut pas mal de constance et de persévérance au lecteur pour arriver à découvrir une fin fort attendue mais aussi déplaisante que décevante. Rien ne sera révélé. Si on y ajoute un style assez lourd et une narration manquant particulièrement de rythme, on en arrive à la conclusion que cet ouvrage est loin d'être le meilleur de Max Gallo et que le regretté auteur aurait sans doute mieux fait de rester cantonné dans le registre des ouvrages historiques, domaine où il excellait.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Juin 1980,Paris, Michel Farges, romancier et journaliste vient d'être froidement assassiné. Il fréquentait les milieux littéraires, artistiques et mondains. Son assassinat surprend, mais faute de pistes, l'affaire sombre dans l'oubli.
Sylvie Mertens, jeune romancière, une des ex-compagnes de Michel, va, en solitaire relancer l'enquête. Malgré leur brève histoire commune, elle essaie retracer le parcours personnel et professionnel de Michel, tout en se heurtant à l'hostilité de ses anciennes fréquentations.
"Un crime très ordinaire" est un roman très ordinaire qui se traîne, sans véritable rebondissement, ni dénouement. Les personnages, issus du monde des apparences, restent superficiels.
Comparé à la fluidité et au style habituel de Max Gallo, j'ai été très déçue par ce roman; longuet et tristounet. Je n'ai pas du tout accroché, j'ai mis tellement longtemps à le finir, je l'oublierai bien plus vite.
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Mon 2ème essai avec cet auteur mais qui ne m'a pas encore convaincue cette fois-ci. Dans cette histoire, un écrivain-journaliste meurt assassiné et l'enquête est très vite refermée comme un simple faits divers parmi tant d'autres. Une de ses amies, elle-même auteure d'un seul roman, ne veut pas en rester là et veut comprendre ce qu'il s'est passé, d'autant que très vite les ennuis commencent pour elle et une autre ex-compagne de l'auteur. Franchement, je ne sais pas ce que Max GALLO cherchait en écrivant ce livre, régler des comptes ? dénoncer les scandales du monde de l'édition et les trafics qui doivent certainement exister dans la réalité ? Personnellement j'ai trouvé que ça manquait de rythme et d'ambiance, l'enquête que mène la narratrice se noie dans les souvenirs pesants qu'elle raconte. Et la fin n'explique rien. Mais je ne renonce pas à découvrir les livres de cet auteur mais peut-être vaut-il mieux me concentrer sur ces romans historiques dont c'est la spécialité.
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J prefere le Max gallo historien au Max Gallo auteur de roman policier, je trouve qu'ile st plus à l'aise et que ses recits sont plus envoutants dans ce style là.Ici, c'est un bon roman certe mais nous ne somme spas au niveau de ses autres productions et surtout ce n'est pas un maitre du genre.Mais le livre se decouvre neanoins avec plaisir meme si il y a quelques longueurs.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Je me défiais de ses aveux. Il retournait sa vie comme un vieux vêtement dont on vide sans cesse les poches, inspectant les doublures et les coutures, tâtant le tissu, reniflant les odeurs, décelant une nouvelle tâche, une ancienne déchirure dont on se remémore les circonstances.
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