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Marcel Aymonin (Traducteur)Louis Aragon (Préfacier, etc.)
EAN : 9782070366385
480 pages
Gallimard (30/05/1975)
4.11/5   1451 notes
Résumé :
En Tchécoslovaquie, Ludvik est étudiant et communiste. A la suite d’une blague mal interprétée qu’il a écrite sur une carte postale et envoyée à une étudiante, il est enrôlé de force dans l’armée des « noirs » c’est-à-dire des ennemis politiques.

Achevé en 1965, La plaisanterie est le premier roman de Milan Kundera alors âgé de 36 ans. Publié en Tchécoslovaquie en 1967, il coïncide avec les prémices du « printemps de Prague », tentative de libéralisat... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (65) Voir plus Ajouter une critique
4,11

sur 1451 notes
Ce livre m'a laissé une sensation de malaise. Non pas que je le juge mauvais, bien au contraire, mais vraisemblablement parce qu'il a su fouiller, au fond de moi, ce qu'il y avait de plus nostalgique, aller voir du côté de mes plus sombres parts d'ombre que j'imaginais ensevelies, oubliées, inexhumables (excusez ce néologisme de peu de goût).

Les protagonistes du roman tournent tous autour du destin de Ludvik, dont l'étoile cessera de briller au parti communiste suite à une plaisanterie qui, pour n'être pas très drôle, n'a pas fait rire les autorités tchécoslovaques des années fin 1940, début 1950.

Tout son parcours s'en retrouve bouleversé, mais aussi, et surtout toute sa vision de la vie. Sa route croise ou s'éloigne à jamais de personnes plus ou moins brisées comme lui et, l'auteur nous fait vivre (comme plus tard dans L'Insoutenable Légèreté de L'Être) les mêmes scènes depuis le point de vue propre de chaque protagoniste.

On y côtoie les envies et les attentes (souvent déçues) de chacun et nous comprenons pourquoi il règne une telle incompréhension dans les rapports qui unissent ces protagonistes. Nul n'est bon ni mauvais, mais en suivant sa logique propre, chacun blesse l'autre à son insu.

L'auteur développe une très intéressante réflexion sur la vision rétrospective de ses personnages qui se jugent eux-même une quinzaine d'années après les tournants de leurs vies respectives, qui, à l'instar des héros de la Guerre Et La Paix de Tolstoï, savent pardonner, comprendre, excuser ou oublier des événements qui leur ont porté préjudice ou bien, au contraire, qui n'arrivent pas à tirer de trait et ne savent qu'attendre une vengeance ou une réparation pour ce qu'ils ont vécu d'atroce.

L'oeuvre, dans son ensemble, (et c'est probablement ce qui m'a le plus remuée) est une sacrée claque donnée aux idéaux de la jeunesse, une mise en garde aussi sur ce que l'on peut faire ou penser tandis qu'on est encore un être inexpérimenté où l'on se leurre continuellement.

Car, pour Kundera, ce qui est commis sera (au mieux) oublié et non réparé, quelles qu'en soient les conséquences désastreuses pour autrui, aussi est-il important de prendre du recul sur soi-même, particulièrement en ses jeunes années.

Un livre donc, éminemment nostalgique, qui taraude, et qu'il ne convient probablement pas de lire trop jeune, mais ce n'est là que mon avis de semi-vieille, qui navigue entre deux âges, avec ses lambeaux de jeunesse accrochés aux affres de la vieillesse, autant dire, pas grand-chose.
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L'écriture de Kundera incarne l'absence de tout sérieux, de toute décision existentielle permettant de donner un sens vraiment satisfaisant à la vie d'un être humain. Pour interrompre la grisaille insipide de l'atmosphère absurde où chacun de ses personnages est forcé de respirer, il ne devrait leur rester que les courts instants lumineux que constituent les plaisirs de la chair, mais ça irait sans compter les moments de grande obscurité, où la chair se heurte de plein fouet à sa finitude.
Avec leur innocente légèreté confiante de jouisseurs, ses personnages se frappent ainsi à toutes sortes d'écueils avec une dureté implacable sur lesquelles ils rebondissent ou s'aplatissent avec la même indolence indifférente.
Dans La plaisanterie, nous avons affaire à Ludvik, un étudiant plaisantin et insouciant, qui entre en collision avec le système policier communiste de son pays, pour y rebondir longuement, avant de se laisser aplatir (ou non, à vous de juger) à la toute fin. Comme le même modèle se reproduit toujours sous divers angles chez Kundera, bien que chacune de ces perspective soient très intéressantes, je me suis surtout senti interpellé par l'épisode Kostka qui aborde une position exceptionnelle dans l'oeuvre de l'auteur.
Kostka est en effet une personnalité religieuse tourmentée à propos de l'actualisation de son idéal spirituel.
Pour esquisser la situation, Kostka aide une jeune femme blessée à retrouver goût à l'existence et s'arrête au moment où il pourrait la connaître comme femme (au sens biblique), de peur de corrompre la pureté de son intention à son endroit. Par la suite, il l'a retrouve avec un homme qui ne la rend pas heureuse et il regrette d'avoir eu la naïveté de ne pas prévoir cette possibilité.
Même si la moralité est une affaire de bonne volonté bien informée, il faut avoir la force surhumaine d'un Kant pour ne pas être tourmenté du tout par les conséquences imprévisibles de ses actions, ou simplement se souvenir de ce que disait Socrate : « Marie-toi, tu le regretteras...ne te maries pas, tu le regrettera... »... Chose certaine, les malheureuses et sublimes réflexions de Kostka sont magnifiquement mise en place et m'ont beaucoup touché.
Bref, la plaisanterie n'était donc pas drôle du tout, mais elle constitue une très plaisante expérience de lecture que je vous recommande chaudement.
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Ce n'est pas le premier livre que je lis de Kundera, j'avais déjà lu L'insoutenable légèreté de l'être qui compte parmi mes romans préférée bref, je n'avais pas peur de l'écriture de cet auteur, mais plutôt de l'histoire. Allait-elle être à la hauteur de ma première lecture ? A vrai dire, La plaisanterie est un roman bien différent de l'insoutenable légèreté de l'être, même si l'on peut retrouver un même cadre spatio- temporel.
La plaisanterie est un roman profondément ancré politiquement dans le communisme, pas n'importe lequel, celui qui censure, qui empêche tout individualisme et revendication, le communisme dogmatique de Staline. Comment une lettre issue d'une simple plaisanterie peut gâcher la vie ou du moins dix ans de l'existence d'une personne ? Cela paraît impossible pourtant l'histoire est basée sur cette plaisanterie qui va changer du tout au tout Ludvik Jahn étudiant en sciences talentueux et membre du parti. Pour ce roman Kundera à choisi un point de vue un interne, de ce fait les émotions, les impressions, les pensées des personnages nous arrivent plus directement. C'est un roman assez narratif notamment dans les passages du service militaire injuste. Ce qui est incroyable et que je retrouve dans cet oeuvre c'est la sincérité des personnages, leur véracité et leur crédibilité qui nous donne l'impression qu'ils existent et on s'y attache. La narration et la forme du récit qui impliquent chacun des personnages est superbement maniée, on ne s'ennuie pas, on entre dans l'univers de chaque personnage qui s'avère être très différent et riche; chacun amène quelque chose à l'histoire et, chacun détient une part de vérité.
Encore une fois mais bien différemment Kundera donne une place plus ou moins importante à l'amour ( ici il s'agit de Lucie, figure de la femme idéalisée qui devient même une obsession pour Ludvik) il sépare l'amour de l'âme et l'amour du corps en y ajoutant le perpétuelle incompris qui née toujours dans un couple.
La dernière partie de l'histoire s'attarde sur l'après du service militaire-exclusion du parti et fac de sciences de Ludvik, dix ans on passés pourtant, Ludvik est guidé par une haine, une envie de vengeance qui atteint son paroxysme car sa vie s'est basé sur la haine et la vengeance. Quand il croit s'être vengé de tous les torts qu'on lui à fait, il réalise que sa vengeance n'a pas aboutit elle n'était rien de plus qu'un leurre car, ni la vengeance ni le pardon ne réparont les torts commis à la place ce sera l'oubli. Ce n'est qu'à la fin que Ludvik comprendra qu'il à gâché sa vie, sa mission est maintenant d'oublier pour recommencer a vivre comme un homme normal. La fin n'est pas optimiste elle n'est pas non plus défaitiste, elle apprend une réalité humaine plutôt pessimiste et une leçon de vie au personnage et au lecteur . La fin est incroyable, l'écriture de Kundera est magnifique, chaque mot est bien choisit pour décrire un sentiment, les mots transpercent l'âme du lecteur, sincèrement ce livre est grandiose et figure dans ma liste de coup de coeur, a lire donc.
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Kundera finit le manuscrit de « La plaisanterie » en décembre 1965. Après avoir été soumis à la censure pendant une année, l'auteur défendant bec et ongles l'intégrité de son ouvrage, celui-ci parait en 1967 pour la première fois et rencontre un vif succès. En 1968 il est traduit en français par Marcel Aymonin et parait juste après l'intrusion des chars soviétiques dans Prague, ce qui laissera penser à ses lecteurs qu'il s'agit d'une critique de l'appareil politique d'état. Mais l'auteur s'en défend et soutient qu'il a écrit « un roman et rien qu'un roman ». Des années plus tard, Kundera peu satisfait du lyrisme du traducteur et de ses métaphores pompeuses, reprend entièrement la traduction pour en livrer une version définitive fidèle à son propos, en 1985.
« Je fus stupéfait. Surtout à partir du deuxième quart, le traducteur (ah non, ce n'était pas François Kérel, qui, lui, s'est occupé de mes livres suivants !) n'a pas traduit le roman ; il l'a réécrit : »
L'histoire : Ludvik entretient une relation amoureuse avec Marketa. Ils sont étudiants et elle est partie faire un stage. Cet éloignement est l'objet d'un échange épistolaire au cours duquel elle se réjouit de l'expérience qu'elle vit alors que lui se morfond de la retrouver. Agacé et sur le ton de « La plaisanterie » : « Alors, j'achetai une carte postale et (pour la blesser, la choquer, la dérouter) j'écrivis : L'optimisme est l'opium du genre humain ! L'esprit sain pue la connerie. Vive Trotski ! Ludvik. » Ce qu'il ne sait pas encore c'est que cette blague va tomber dans les mains de censeurs qui aussitôt vont lui retirer sa carte de membre du parti communiste, le chasser de la faculté où il fait ses études pour l'envoyer en camp disciplinaire creuser une mine…
« La plaisanterie » est le premier roman de Milan Kundera. Il s'agit bien d'un roman d'amour, des jeux de l'amour et du hasard où la vie joue avec la destinée de ses personnages. Par trois fois elle leur joue un tour pendable : avec la carte postale, puis quand Ludvik se venge d'avoir été radié du parti communiste par Pavel en séduisant son épouse, Helena, ce qu'il ne sait pas c'est que le couple est au bord du divorce, et enfin lorsque Helena tente de se suicider par dépit amoureux, Ludvik la fuyant, mais elle avale un tube de laxatifs pensant que c'était des analgésiques. C'est une façon de montrer le ridicule de certaines situations ou actions tragiques et les conséquences tragiques de certaines plaisanteries.
Traduction de Marcel Aymonin, révisé par Claude Courtot et l'auteur.
Editions Gallimard, Folio, 455 pages.
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Plaisanterie... Que revêt vraiment comme signification ce simple mot, plaisanterie, pour Milan Kundera ?
La plaisanterie du désir que l'on prend pour de l'amour ?
La plaisanterie, la grande fumisterie, qu'est la vie ? La grosse plaisanterie des masques qu'il faut porter ?
Ou bien est-ce le cynisme qui revêt le ton de la plaisanterie, et réécrira le destin tout tracé de Ludvik, victime, comme tant d'autres, du nihilisme communiste ?
Ludvik qui reviendra se venger de ce système, cette grosse Plaisanterie de très mauvais goût, par le biais de la naïve Marketa, elle-même symbole de ce manque d'humour nuancé propre à une politique totalitaire, femme qui représente le pire du communisme, l'aveuglement bovin, empreinte d'une joie "saine" et patriotique, totalement perméable à l'ironie de la chose, et qui pour comble, ne comprend pas et ne comprendra jamais les milles et une nuances d'une plaisanterie...
Et puis, bien sur, la valse des personnages, tous importants, tous tissant à l'unisson, mais chacun pour soi, la toile de leur histoire personnelle, avec comme même axe, les dommages collatéraux de la pensée communiste, cette prétendue pensée universelle, qui nie l'individue et l'individualisme, mais ne peut les détruire.
Après de multiples lectures et relectures, en des époques bien différentes, je vous aime toujours autant Monsieur Kundera, vous et vos volutes de pensées circulaires qui nous ramènent inexorablement à notre propre psyché.
Mieux qu'un psy, et moins cher ! ^^
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critiques presse (1)
Bibliobs
04 avril 2014
A 85 ans, l'auteur de « la Plaisanterie » a le bon goût de s'amuser encore. Délectable légèreté d'un grand écrivain dont l'oeuvre repose pourtant, depuis 2011, dans son caveau en papier bible, pleine peau et or fin: la Pléiade.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (140) Voir plus Ajouter une citation
Je voyais bien que nos situations à l’un et à l’autre désormais différaient du tout au tout. Il m’était donc impossible de parler à haute voix de notre tournée, de peur d’illuminer le précipice soudain creusé entre nos destinées. Soucieux d’enténébrer cet abîme, je craignais chaque mot risquant de l’éclairer. Mais je n’en trouvais aucun qui ne l’éclairât pas. La moindre phrase concernant tant soit peu notre vie montrait que nous étions loin l’un de l’autre. Que nos perspectives, notre avenir, bifurquaient. Que nous étions emportés dans des directions inverses. J’essayai donc de parler de banalités. Mais ce fut pire. L’insignifiance voulue de la conversation fut tout de suite transparente et l’entretien insupportable. […] chaque fois me restait la même insatisfaction qu’après notre dernière conversation. Je ne pouvais regarder en face la chute de Ludvik. J’avais honte de ma réussite. Il m’était intolérable d’adresser à mon ami, du haut de mes succès, des paroles d’encouragement ou de compassion.
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[...] voire avec ce lent et médiocre service si révélateur si révélateur d'un état de la société où je vis, laquelle sera pareillement oubliée, même avec toutes ses fautes et tous ses sorts qui m'obsédaient, me consumaient, que je m'épuisais a corriger, à sanctionner, à redresser, veine ment puisque ce qui est fait est fait, irréparablement. Oui j'y voyais clair soudain : la plupart des êtres s'adonnent au mirage d'une double croyance : ils croient à la pérennité de la mémoire ( des choses, des hommes, des actes, des nations) et a la possibilité de réparer ( des actes, des erreurs, des pêchés, des tords) .
L'une est aussi fausse que l'autre. La vérité se situe juste à l'opposé : tout sera oublié et rien ne sera réparé. Le rôle de la réparation ( et par la vengeance et par le pardon) sera tenu par l'oubli. Personne ne réparera les torts commis, mais tous les torts seront oubliés.
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Oui. Tous les fils étaient cassés.
Brisés, les études, la participation au mouvement, le travail, les amitiés, brisés l’amour et la quête de l’amour, brisé, en un mot, tout le cours, chargé de sens, de la vie. Il ne me restait plus que le temps.
Celui-ci, en revanche, j’appris à le connaître intimement comme jamais auparavant. Ce n’était plus ce temps qui naguère m’était familier, métamorphosé en travail, en amour, en toutes sortes d’efforts possibles, un temps que j’acceptais distraitement, car il était lui-même discret, s’effaçant avec délicatesse derrières mes activités. Maintenant il venait à moi dévêtu, tel quel, sous son apparence originelle et vraie, et il me forçait à le désigner de son véritable nom (puisque à présent je vivais le temps pur, un temps purement vide), pour que je n’oublie pas un seul instant, pour que je pense perpétuellement à lui, pour que j’éprouve sans cesse son poids.
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Un mois à peu près avant les vacances, je commençais à me rapprocher de Marketa (elle était en première et moi en deuxième année) et je faisais de mon mieux pour lui en imposer, de la même façon bête que les hommes de vingt ans de tous les temps : je m'affublais d'un masque ; je feignais d'être plus vieux (mentalement et par mes expériences); je feignais de garder mes distances par rapport à toutes choses, de considérer le monde de haut et de porter par-dessus ma peau un second épiderme, invisible et à l'épreuve des balles. Je me doutais (du reste à juste titre) que la plaisanterie exprime clairement la distance et, si j'ai toujours aimé plaisanter, avec Marketa je le faisais d'une façon particulièrement zélée, artificielle et affectée.
Mais qui étais-je réellement ? Force m'est de le redire : J'étais celui qui avait plusieurs visages.
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La véritable source de mon courroux se trouvait beaucoup plus profond (j’eusse rougi de la confesser) : je pensais à ma misère, désolante misère de ma jeunesse ratée, misère de ces longues semaines inassouvies, humiliant infini du désir inexaucé ; j’évoquais la vaine conquête de Marketa, la vulgarité de cette blonde sur la machine agricole et encore une fois la vaine conquête de Lucie. Et j’avais envie de crier ma plainte : pourquoi en tout me faut-il être adulte, comme adulte jugé, exclu, proclamé trotskiste, comme adulte envoyé dans les mines alors qu’en amour je n’ai pas le droit d’être adulte et qu’on m’oblige de boire toute la honte de l’immaturité ? Je détestais Lucie, d’autant plus que je savais son amour pour moi, ce qui rendait sa résistance aberrante et incompréhensible, et m’acculait à la fureur. Ainsi, après une demi-heure de mutisme obstiné, je repartis à l’attaque.
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Vidéo de Milan Kundera
Vidéo du 12 juillet 2023, date à laquelle le romancier tchèque naturalisé français, Milan Kundera, s’est éteint à l’âge de 94 ans. La parution en 1984 de son livre "L’Insoutenable légèreté de l’être", considéré comme un chef-d'œuvre, l'a fait connaître dans le monde entier. Milan Kundera s’était réfugié en France en 1975 avec son épouse, Vera, fuyant la Tchécoslovaquie communiste (vidéo RFI)
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