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EAN : 9782073005717
336 pages
Gallimard (15/06/2023)
3.55/5   69 notes
Résumé :
"Une seconde passe. A priori, rien n'explose, ou c'est imperceptible, infra-sonore". De retour dans la forêt des Landes suite à l'incarcération de son frère aîné, rattrapé par ses souvenirs d'enfance, harcelé par les SMS & SOS du détenu, bouleversé par l'agonie du père, cerné par les huissiers, Alexandre Labruffe oscille entre stupeur et parano, non-dits et délires. Via cette généalogie du désordre, ponctuée de moments burlesques ou de phases paniques, il brise le m... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Wonder Landes, c'est une folle histoire familiale que conte Alexandre Labruffe, celle de sa propre famille. Il le fait avec beaucoup d'originalité, réussissant à puiser dans sa mémoire des souvenirs d'enfance enfouis pour tenter de comprendre ce qui arrive à son frère.
Justement, ce frère, aîné de onze mois, Pierre-Henri, PH ou PHL, je vais tenter de le suivre, de comprendre ce que l'auteur nomme autisme, multipolarité. PH est complètement déphasé, désaxé, flou, n'a pas demandé à vivre, comme il le répète souvent, et cumule erreurs, plans foireux, mauvaises inspirations, amitiés douteuses, tout se tramant dans cette forêt landaise où leurs parents se sont installés.
Le roman s'étale sur les quatre saisons d'une année, du printemps à l'hiver, de Paris aux Landes, avec un crochet par la Corée du Sud dont Kim, la compagne d'Alexandre Labruffe, est originaire. D'ailleurs, ce dernier - pour fuir la complexité familiale ? - a vécu plusieurs années en Asie où une chamane très énigmatique tente de lui apporter une aide aussi compliquée qu'inefficace.
Si leur mère n'est plus de ce monde, elle peut réapparaître, telle un fantôme, ou bien dans les souvenirs. Par contre, c'est l'état du père, Alain, qui empire. Ce brillant psychologue, enseignant à l'université, titulaire de trois doctorats est aussi consultant en Ressources Humaines. Sa santé se détériore à grande vitesse, peut-être à cause de ce qui arrive à son fils, PH, arrêté et jeté en prison. Malgré tout, cela n'empêche pas Alain de cumuler les amoureuses et de les relancer de temps à autre. Je précise qu'Alain rêvait de devenir le gourou de la Garonne et que, dans la maison familiale de Labrit, au coeur de la forêt, il garde tout, ne jette absolument rien, ce qui ne manquera pas de causer d'énormes problèmes lorsque l'hiver surviendra.
Enfin, et surtout, il y a donc ce Pierre-Henri, ce PH, ce PHL, ce Peter comme le nomme son ex, Alexandra, dont il a eu deux filles. Je vous passe toutes les excentricités de cet homme profondément mal dans sa peau pour souligner le tableau réaliste que son incarcération permet sur la vie en prison, dans la maison d'arrêt d'Angoulême. Surpopulation, insalubrité, vétusté, menaces, chantage, corruption, la vie est un enfer entre quatre murs et les quelques visites au parloir sont une épreuve pour les deux frères qui, le reste du temps, communiquent par messages cryptés. Seule, la bibliothèque et des cours de pâtisserie offrent un peu d'humanité à PH qui passe onze mois en préventive avant une expertise psychiatrique déterminante.
Les dettes s'accumulent. Que ce soit de la part du père ou de PH et je me demande comment Alexandre Labruffe réussit à vivre tout cela, si tout est bien réel, tout en donnant des cours sur le cinéma à l'université d'Évry.
Wonder Landes, le titre est emprunté au livre d'Haruki Murakami, La fin des temps, mais dont le titre en anglais se formule ainsi : « Hand-boiled Wonderland and the End of the World ». Les Landes, un pays des merveilles dur à cuire ?
En tout cas, Wonder Landes, un livre que j'ai pu lire grâce à Babelio (Masse critique) et aux éditions Verticales que je remercie, m'a laissé une bizarre impression, un mal-être difficile à supporter au cours de ma lecture. Je me demandais comment des gens aussi intelligents, ayant tout pour réussir et être heureux, pouvaient accumuler autant de souffrances et d'incompréhensions.
Je suppose que l'écriture de ce livre aura été pour Alexandre Labruffe que j'ai pu rencontrer aux récentes Correspondances de Manosque, un moyen de dépasser tout cela, une tentative de guérison… réussie, ou pas…

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Machine à laver le linge sale de la famille.
Nettoyage à sec pour éviter les larmes avec l'humour comme adoucissant, Alexandre Labruffe révèle avec virtuosité les névroses de sa smala. Une belle lignée de tordus qui à elle seule pourrait financer la piscine à bulles d'un psychiatre. La prose comme thérapie.
Ce récit élaboré comme un journal intime foutraque chasse les mauvais esprits de famille.
Alexandre Labruffe a un frère, ce qui arrive à pas mal de gens. Plus rare, le frangin, Pierre-Henri, PH pas très neutre, disparait sans laisser d'adresse mais en collectionnant les surnoms, alias, avatars et identités. Il réapparait… en prison, placé durant plusieurs mois en détention préventive accusé de tous les maux de la terre.
C'est l'occasion pour Alexandre de renouer avec ce qui lui reste de famille, qu'il aime autant que Gide, et de faire son retour dans les Landes auprès d'un père dévasté par l'emprisonnement du rejeton préféré. La révélation des secrets de famille s'enchaînent, les anciennes maîtresses du père défilent au chevet du patriarche, les huissiers vampirisent le patrimoine et les mauvaises fréquentations du frérot hantent les environs.
Moi quand je pense Landes, désolé, je pense routes interminables en ligne droite bordées de pins où le but du jeu est d'éviter des chocs frontaux avec des bordelais qui promènent à toute berzingue leur gros bolides, du SUV aux UV il n'y a qu'un pas, pour manger des huitres en bonne compagnie au bord de l'océan avec un pull enroulé autour des épaules. Clichés quand tu nous tiens !
Alexandre apprécie encore moins les lieux que moi puisqu'ils lui rappellent des souvenirs douloureux dans un trou perdu.
Accompagnée de sa fiancée coréenne Kim et de quelques amis, Alexandre va devoir prendre en charge toute sa dynastie et le poids des souvenirs douloureux.
Pivot de son récit, la folie de son frère. Entre mensonges, délires de persécution, troubles de la personnalité, impossible de l'étiqueter avec un diagnostic précis.
Alexandre Labruffe parvient à faire de son drame familial un récit caustique et souvent très drôle. Il a le sens de la formule, mitraille de la poésie façon petit corps malade, sans rime ni déprime, même les SMS deviennent des vers… dans le fruit.
Un livre à l'image de son titre qui claque si bien: imaginatif, bien senti et intriguant.
On ne choisit pas sa famille. Elle non plus…
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Bienvenue dans le monde merveilleux d'Alexandre Labruffe, un être déjanté, déglingué, qui nous présente sa famille encore plus barrée (ils font un concours de celui qui a la pulpe la plus décollée au fond). Ce monde, c'est celui de ses origines, les Landes, pays dans lequel il a grandi dans une maison située à Origne (j'ai vérifié sur wikipedia et ça existe vraiment) et qu'il s'est empressé de fuir dès qu'il a pu, pour quitter le giron familial oppressant.
L'auteur nous emmène de l'autre côté du miroir, celui de son frère, dit PH, qui semble déambuler dans un monde virtuel et parallèle. Toujours à côté de ses pompes, crashant des voitures à tour de bras, Alexandre ne va réaliser qu'en écrivant son livre que PH est flou, fou, autiste ; qu'il l'a toujours su, même si personne ne lui a jamais dit..., assez surprenant tout de même, surtout quand on a 2 parents psychiatres, à moins que ceci n'explique cela ?
Visiblement cela n'empêche pas les névroses au sein de cette famille dysfonctionnelle, et PH va se retrouver incarcéré pour des histoires à dormir debout. le père en fait en véritable maladie, il somatise aurait dit feu la mère, et il ne va pas l'emporter au paradis.
La mère morte depuis un bail, s'est réincarnée en énorme lapin qui pointe le bout de son nez dès qu'Alexandre franchit le seuil de la maison du père.
Pendant toute cette lecture, je n'ai pas arrêté de me demander quelle était la part de fiction et celle d'autobiographie, tout se mélange, on ne sait plus très bien et finalement ça n'a pas grande importance, tant tout paraît vécu, le réel comme l'irréel.
Alexandre Labruffe nous prend par la main, et nous entraîne dans une ronde hallucinée au coeur des Landes à danser et descendre toutes les bouteilles de vin de la cave familiale devant un grand feu de joie réalisé à partir de toutes les vieilleries exhumées de la maison.
C'est « border », décousu, ça part dans tous les sens, follement poétique, semé d'haïkus égrenés de-ci de-là, tels des confettis, parenthèses désenchantées autour de la vie carcérale, du deuil, de la maladie, de la folie...
Je me suis laissé dériver au fil du récit et la sensation était agréable, relevée par une lame de fond d'humour salé à souhait. Quelques réserves : des longueurs vers la fin, fin que j'aurais souhaité plus fantasmagorique et jubilatoire, et les deux personnages féminins ont fini par m'agacer (la compagne d'Alexandre et la chamane en carton) les blagues étant un peu redondantes.
Si vous voulez du burlesque, du foutraque, des légendes familiales, je ne peux que vous conseiller de foncer sur les rectilignes routes landaises. Sortie de route assurée, à la lecture de ces confessions hallucinées, vous prévient le panneau de la photo en couverture…

« Parfois, une fumée,
un nuage de mots et d'images, des négatifs abîmés
me traversent, venus du fond des âges, de ma préhistoire.
La carapace qui se fissure.
Ma mémoire congelée
qui fond.
Aujourd'hui,
mes souvenirs sont des icebergs
qui dérivent
dans une mer virtuelle.
Ces fragments glacés se heurtent
à ce que je vois, ce que je fais,
je m'arrête dans la rue pour humer,
attraper ces bouts de passé,
miroirs brisés, reflets déformants,
à travers lesquels je m'observe. » (p.200)
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Diego le gitan, Loulou Escobar, un trafic de Kinder Bueno, des vols de tractopelles, un kidnapping, des usurpations d'identité, des escroqueries énormes, une chamane 2.0 qui rédige des dictons sur internet, de la psycho généalogie, un père qui agonise, des voitures de luxe, des soirées alcoolisées, des secrets de famille et les délires d'un arnaqueur peut être autiste, peut-être schizophrène, mais surement parano…voilà les ingrédients de cet ouvrage un peu particulier, mi-roman, mi-journal intime.
Alexandre Labruffe nous raconte une année de sa vie, une année morcelée, une année floue pendant laquelle il va assister à la maladie et à la mort de son père et à l'incarcération de son grand frère.

Avec sa façon toute personnelle, par petits paragraphes, avec des mots et des idées qui s'enchainent de façon un peu décousue, il nous expose ses états-d 'âme, ses interrogations, ses colères, sa stupeur, sa peur, ses découvertes au sujet de l'un et de l'autre, deux hommes qu'au fond, il ne connaît pas vraiment.
J'ai suivi avec intérêt ses péripéties, ses rencontres avec des amis, ses discussions avec sa femme, ses échanges de mails et SMS avec son père et son frère, même si cela implique de plonger avec lui dans une famille bizarre, où rien n'est dit, où le flou est la norme, au point qu'on ne sait bientôt plus ce qui est réel, ce qui est exagéré, ce qui est crédible ou pas…

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Suite à l'incarcération de son grand frère en mai 2018, l'écrivain revient dans les Landes pour enquêter sur les arnaques et la double vie de celui-ci, entrepreneur intrépide et play-boy dépensier. Leur père se meurt et il doit aussi vider la maison paternelle. Il est alors envahi par les souvenirs, des phases de panique et des moments de stupeur qui ébranlent ses certitudes.

J'ai eu beau essayer, donner une chance à ce bouquin, cet auteur, et à la fin (j'ai eu du mal à le terminer) j'aime encore moins que "Chroniques d'une station service". Où il tentait de faire du Djian, mais le Philippe Djian était bon jusque "Echine". Ensuite il a signé chez Gallimard et il a perdu son souffle. Et ici, alors que j'aime beaucoup les livres faits de fragments, j'ai eu vite fait de caler, exténuée.

Ce livre non seulement est fait de fragments, mais parfois une partie des fragments est faite de phrases découpées, "à la ligne", mais sans rime ni raison. Ni dans la sonorité des mots, ni dans leur signification on ne comprend pourquoi il a fait ses phrases "à la ligne". N'est pas Joseph Ponthus qui veut, loin de là.

Et on est pris entre psychanalyse, chamanes coréennes, sexe avec accessoires, projections du père et de la mère sur le fils perdu, et sur la recherche psychiatrique non documentée de l'auteur sur l'état de son frère, sur ce qui aurait pu le rendre comme celà, mythomane et beau parleur. On passe par toutes les idées toutes faites : psychose, oedipe, autisme. On croit au complot. On découvre des accessoires fétichistes. Et cela, autant chez le père malade que dans les affaires du frère.

La majorité du récit se déroule dans les Landes, la famille ayant vécu là, dans une propriété appartenant au père, lui-même professeur et psychanalyste, mais gros défaut : rien n'est décrit. Impossible de se faire une image mentale des lieux, des personnages, rien du tout. Et tous ces personnages sont détestables, aigris, bizarres. L'auteur, ses amis et sa femme coréenne ne semblent vivre que d'alcool.

C'est pénible à lire, rien n'est clair, tout est symbole psychanalytique. Aussi, ce qui est décourageant c'est de voir l'auteur se réjouir d'une formule, d'une phrase, se répétant et s'auto-félicitant de la beauté de la phrase en question. On dirait G. Matzneff dans ses carnets. Sinon, pour l'alcool et le sexe, il nous fait du Beigbeder au rabais.

Je n'aime pas du tout. Je suis allée jusqu'au bout, pourtant. Ça ne m'a ni touchée ni étonnée ni inspirée. Allez, ouste !
Lien : https://melieetleslivres.fr/..
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critiques presse (3)
LeFigaro
07 octobre 2021
Le troisième roman d’Alexandre Labruffe, Wonder Landes, raconte la vie, punk et déglinguée, de son grand frère incarcéré.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LesInrocks
25 août 2021
“Wonder Landes”, un texte poignant et fraternel signé Alexandre Labruffe. En se risquant à écrire sur la folie de son propre frère, Alexandre Labruffe lui redonne cette part d’humanité que plus personne ne lui accorde.
Lire la critique sur le site : LesInrocks
SudOuestPresse
19 août 2021
Alexandre Labruffe signe une enquête intime et pop dans les Landes, sa terre natale, sur les traces d’un frère emprisonné.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Che Guevara de la psychanalyse, Marie Curie de l’astrologie, ma mère fumait des cigarillos. Ses verdicts prononcés : toujours dans les volutes. La jungle de sa pensée. Son divan en velours.
Les Landes, c’était son laboratoire.
Son laborantin, c’était mon père.
(pages 281-282)
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- Okay, on est face à un multioedipe. Un oedipe brouillé comme un nuage de lait dans un café. Il a continué à tuer le père alors que la mère était morte. Pff... il s'est acharné quoi. Il a castré le père même.
- Qu'est-ce que vous dites ?
- Je dis qu'on ne fait pas d'oedipe sans castrer les vieux.
(page 262)
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Les deals,
les conflits incessants,
les trafics en tout genre :
mon frère dresse le portrait
de la violence ordinaire en prison,
de l’inhumanité des conditions,
d’un milieu sans foi ni loi
- la jungle et la junte -,
où règne la guerre.
La terreur est le maître mot,
le métronome de la vie cellulaire.
(pages 173-174)
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Loin de la liberté, un nouveau sentiment apparaît en moi. Contre mon frère. Je lui en veux d’être dans cette galère.
Je lui en veux
de s’être fait arrêter,
de ne plus être flamboyant,
de ne plus être indestructible,
de ne pas avoir fui aux Bahamas.
Je lui en veux et je ne comprends pas.
J’ai envie de crier, de hurler, de lui hurler dessus, de le radier à vie de ma vie.
(page 51)
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Mettre des œillères est un sport familial.
Sport, discipline ou stratégie, la politique de l’autruche fait partie de l’ADN de la famille Labruffe. Faire l’autruche. Nier les problèmes. Ne jamais en parler. Réfuter la réalité. Surtout lorsqu’elle est négative. Ou affective. Ne jamais considérer qu’on peut l’apprivoiser. L’aveuglement délibéré comme dogme. Chez nous, l’amnésie est un pays.
(page 25)
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Videos de Alexandre Labruffe (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alexandre Labruffe
Durant l'automne 2023, les élèves de 4e7 du collège Pierre Puget, à Marseille, ont écrit collectivement une nouvelle, accompagnés par Alexandre Labruffe, auteur. Cette nouvelle est en lice pour la 6e saison du concours littéraire Des nouvelles des collégiens. La remise des prix aura lieu pendant la 8e édition du festival Oh les beaux jours ! (22-26 mai 2024).
Lire les nouvelles du concours 2024 : https://ohlesbeauxjours.fr/des-nouvelles-des-collegiens/ma-classe-vote/ _____________________ le projet Des nouvelles des collégiens mené en collaboration avec l'Académie d'Aix-Marseille reçoit le soutien, en 2023-2024, du département des Bouches-du-Rhône et de la Fondation La Poste.
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_____________________ Organisation et production : Des livres comme des idées, Marseille Coordination du projet : Maïté Léal, Émilie Ortuno Réalisation vidéo : Manon Gary Graphisme: Dominique Herbert, Manon Sahli © Des livres comme des idées, 2024
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