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La Brigade Chimérique tome 0 sur 7
EAN : 9782841726189
320 pages
L’Atalante (25/10/2012)
4.11/5   80 notes
Résumé :
Ils sont nés sur les champs de bataille de 14-18, dans le souffle des gaz et des armes à rayons X. Ils ont pris le contrôle des grandes capitales européennes. Par-delà le bien et le mal. Les feuilletonistes ont fait d’eux des icônes. Les scientifiques sont fascinés par leurs pouvoirs. Pourtant, au centre du vieux continent, une menace se profile, qui risque d’effacer jusqu’au souvenir de leur existence.
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Pourquoi le genre des super-héros, florissant en Amérique, ne semble pas avoir de pendant européen? C'est à cette épineuse question que s'attaque Serge Lehman dans La Brigade chimérique, série de BD en six volumes qui nous plonge dans une Europe uchronique d'entre-deux-guerres.

Le principe rappelle la Ligue des Gentlemen extraordinaires : dans ce monde, héros et héroïnes des littératures de l'imaginaire existent réellement et vivent d'étonnantes aventures, rapportées par leurs « biographes ». Les références abondent et Lehman, qui a longuement étudié l'imaginaire de cette époque, est très bien documenté. Toutefois, l'auteur ne se contente pas de simplement transposer l'oeuvre d'Alan Moore dans une version à la française. Il rend hommage à une littérature d'entre-deux-guerres foisonnante, presque entièrement tombée dans l'oubli après la Seconde Guerre mondiale (qui se rappelle encore le Nyctalope ou Félifax?)

L'ensemble est d'une richesse symbolique extraordinaire et synthétise brillamment les thèmes chers à Serge Lehman : l'exploration d'une « mythologie » européenne face aux traumatismes collectifs, ainsi que la remise au goût du jour du merveilleux scientifique du début du 20e siècle. Même la forme est mise à contribution. le graphisme et le découpage semblent à mi-chemin entre la bande dessinée franco-belge et les comics américains, comme pour exprimer la passation entre les deux, l'exode des super-héros et super-héroïnes européen·nes vers les États-Unis durant la montée du nazisme au cours des années 30.

L'histoire elle-même peut paraître un peu brouillonne, j'avoue que je ne me souviens plus de tous les tenants et aboutissants de l'intrigue. Mais la thématique soutient le tout sans peine et la dernière image est d'une telle force qu'elle en balaie tout le reste (ce qui est un peu l'idée). J'en ai encore la gorge nouée.
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« Dans l'Europe en état de guerre civile larvaire, une nouvelle génération de surhommes travaille au contrôle des foules. À l'est, l'organisation qui se fait appeler "Nous Autres" ne se cache plus derrière le gouvernement des Soviets. Au sud, l'archimilliardaire Gog domine la Méditerranée. Mais c'est au centre que se dresse le plus grand ennemi de la liberté, le maître du crime légal et de l'hypnose de masse, MABUSE ! Ce nom seul fait trembler et gémir sur tout le continent... Sauf à Paris. Dans les salles secrètes de l'Institut du radium, la riposte se prépare. Réservez dès maintenant auprès de votre libraire La Brigade Chimérique contre Mabuse. »

Ce texte est une publicité d'époque que l'on pouvait lire à la fin du roman Les Pirates du radium, écrit par Georges Spad en 1934. Serge Lehman, 80 ans plus tard, s'en est inspiré pour écrire, en association avec Fabrice Colin, le scénario d'une bande dessinée. L'histoire est découpée en douze épisodes d'une vingtaine de pages chacun, comme les comics.

Les premiers super-héros américains sont les descendants des héros littéraires tels que Doc Savage ou The Shadow. En Europe, de tels héros ont existés, ils s'appelaient le Nyctalope, Félifax, Harry Dickson... Mais à la Libération, ils sont tombés dans l'oubli. Où sont passés les super-héros européens ? C'est pour répondre à cette question que Serge Lehman a écrit le scénario de la Brigade Chimérique, et également pour nous faire redécouvrir tout une période de la science-fiction. Grosso modo, celle qui s'étend des derniers romans de Jules Verne aux premiers de René Barjavel.

La démarche de Serge Lehman rappelle celle d'Alan Moore et sa Ligue des Gentlemen Extraordinaires. Lehman dépeint une Europe où les héros de la littérature coexistent et côtoient leurs créateurs. L'idée étant que ces derniers ne sont plus des romanciers, mais des biographes. On croise également de grandes figures historiques (Irène Joliot-Curie, Daladier...), des monstres, des extraterrestres, des robots géants, de la magie, des gadgets scientifiques... On pourrait craindre que de tout cela résulte un fourre-tout indigeste mais au contraire, l'univers est étonnamment cohérent et crédible.

La lecture n'est pas facile d'accès. le rythme est assez lent, il y a beaucoup de textes, l'histoire est dense et ultra référencée. À ce propos, la trentaine de pages de notes concluant l'ouvrage est précieuse. Une vraie mine d'or donnant envie de découvrir un paquet d'oeuvres (pour la plupart malheureusement difficiles à dénicher de nos jours, mais Serge Lehman indique parfois quand des rééditions récentes existent). Une lecture exigeante, donc, mais également passionnante. Personnellement, j'ai adoré. le ton est sombre, le scénario et les personnages sont bien écrits. Visuellement, le trait de Gess est différent de ses Carmen Mc Callum. L'encrage est plus classique. Avec la colorisation de Céline Bessonneau, le rendu colle très bien à l'ambiance rétrofuriste.

La Brigade chimérique est une uchronie steampunk très réussie que je recommande chaudement à tous les amateurs de science-fiction.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Dire que je me tâtais d'acheter la Brigade chimérique depuis un bail est un euphémisme, il aura fallu la bonne humeur d'un bénévole de chez L'Atalante, habitué de la 25e Heure du Livre du Mans et des Utopiales de Nantes, ainsi que l'envie de ma chère et tendre pour me décider, enfin ! Et il m'aura fallu encore plus de temps pour en faire une critique à peu près potable ! Oui, enfin ! car la Brigade chimérique me fait incontestablement rêver depuis sa sortie : reconstituer une mythologie super-héroïque européenne (et notamment française) n'a-t-il pas du bon ? Flirter avec une uchronie violente et fracassante allant des tranchées au nazisme des années 1930, n'est-ce pas tentant ? Enfin, se fondre dans une multiplicité de références littéraires, politiques et philosophiques, toutes revisitées, n'est-il pas fondamentalement excitant ? Bien évidemment : si !

Une oeuvre atypique
Le trio à l'origine de cette oeuvre au statut déjà culte a franchement de la gueule : les scénaristes Serge Lehman et Fabrice Colin, accompagnés du dessinateur Gess et de la coloriste Céline Bessoneau. Les deux premiers sont des figures de la SFFF française depuis des années, le troisième fut un illustrateur régulier de chez L'Atalante après s'être illustré longtemps sur la série de Fred Duval, Carmen Mc Callum. Tous quatre ont une vision particulièrement englobante des littératures de l'imaginaire et cela va tout à fait servir leur propos dans la série de la Brigade chimérique qu'ils ont réalisée de 2009 à 2010 (cette intégrale parut, elle, en 2012).

Les conflits du début du XXe siècle sous l'angle radioactif
La Brigade chimérique est d'abord une relecture et une réécriture habile d'une quantité de héros inventés à la fin du XIXe et au début du XXe siècle dans la lignée des romans à feuilleton. Ainsi, si nous nous attachons un peu à détailler l'uchronie créée pour l'occasion, faisons le tour des forces en présence même si elles ne sont pas toutes au centre de l'intrigue : la France bénéficie de l'aide du Nyctalope, ancien héros de l'Institut du radium créé par Marie Curie ; l'Accélérateur, as de la super-vitesse, est le héros britannique ; le Grand Frère est le général d'une armée de mécanoïdes au service de l'URSS ; la Phalange est un colosse espagnol, allié notamment au Docteur Mabuse qui initie une « race supérieure » en Europe centrale… Bref, chaque puissance s'arme de tous les moyens possibles, cela s'incarne dans des personnalités démesurées et tout risque de se jouer à Metropolis, le projet fou du Docteur Mabuse, la capitale des surhommes, symbole de cet âge radioactif.

Un sens profond
La Brigade chimérique adopte une cadence compliquée, car même l'action est relativement lente, toutefois modeler un rythme lent est un savoir-faire qui se perd, d'autant que le dessin qui y est associé se veut assez rétro, ce qui peut également rebuter certains lecteurs. Juste après l'avoir lu ou longtemps après, il est difficile de résumer cette histoire tant elle propose de pistes : c'est une oeuvre qui initie un univers possiblement tentaculaire et qui se mêle autant à la magie des siècles précédents, qu'à l'uchronie et à la « dyschronie » (autre ligne temporelle mais qui finit au bout du compte sur la réalité qui nous est connue). Ainsi, il faut noter que tous ces super-héros voient leur histoire se terminer en 1938-1939, en rejoignant une ligne temporelle qui nous est bien mieux connue, tandis que Superman (1938) et Batman (1939) apparaissent aux États-Unis, et ce n'est pas du tout un hasard. D'ailleurs, tout a continuellement un rapport, complexe parfois, avec la littérature européenne de l'entre-deux-guerres et son affaiblissement avec la Deuxième Guerre mondiale face à l'émergence ultradominante de celle anglo-saxonne. de fait, l'univers dessiné de la Brigade chimérique a depuis donné lieu à une grande quantité d'autres séries comme Masqué, l'homme-truqué, Metropolis, L'Oeil de la Nuit (c'est-à-dire le Nyctalope), etc. ainsi qu'à un jeu de rôle éponyme, ce qui correspond tout à fait à l'idée de départ.

La Brigade chimérique est donc un sacré volume à découvrir, diablement touffu et difficilement résumable. C'est même davantage une expérience qui propose une pensée globale pour renouveler tout un imaginaire tout en liant des pans entiers de ceux qui existent déjà.
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En Résumé : J'ai passé un très bon moment avec cette Bande Dessinée qui nous offre une histoire de Super-héros européen efficace et prenante le tout dans le contexte historique juste avant la seconde guerre mondiale. L'intrigue est vraiment soignée, efficace, complexe et prenante nous entrainant dans une histoire pleine de rebondissements et de surprises qui devraient en étonne plus d'un. L'univers mis en place par les auteurs est vraiment réaliste, efficace et on sent qu'ils n'ont rien laissé au hasard. le mélange entre historique et fantastique est vraiment bien intégré et cohérent ce qui fait que le lecteur ne se sent pas perdu. Les personnages sont une des grandes forces de ce livre nous proposant des héros complexes, denses, et soignée possédant leurs propres envies et leurs propres émotions. Les graphismes sont vraiment réussis et efficace nous plongeant avec facilité dans cette histoire et cet univers. Je regrette simplement le fait que vers le milieu l'histoire cale légèrement et que le début ne soit pas obligatoirement des plus faciles à comprendre, mais rien de vraiment dérangeant.

Retrouvez ma chronique complète sur le blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Superman est un témoin de bonne foi : il pourra confirmer qu'avant la Seconde guerre mondiale, il existait des super-héros européens. Comme tant d'autres victimes, ils furent enfouis sous les décombres du conflit, remisés dans la mémoire collective, oubliés par leurs lecteurs et leurs zélateurs : le super-héros devient alors, exclusivement, une notion américaine. On pourrait, à ce titre, considérer La brigade chimérique comme une enquête : que sont devenus les super-héros européens ? Pourquoi ont-ils disparu ? Et quelles sont leurs origines ? On admettra, dès le début de cette critique, que cette bande-dessinée répond à ces questions sur deux niveaux de lecture : l'un, purement fictionnel et l'autre, historique et littéraire ou, plus simplement, culturel.

De la même manière que Mabuse convoque le ban des surhommes, les auteurs convoquent, eux, toute une série de personnages littéraires et réels. C'est là l'une des forces de l'oeuvre, qui assume pleinement son caractère culturel et littéraire. Apparaissent donc des auteurs ayant vraiment existé et des personnages de fiction : André Breton, René Barjavel, Georges Spad, Irène et Frédéric Joliot-Curie, Franz Kafka (qui donne ses traits à son propre personnage, Gregor Samsa), Mabuse (créé par un Français mais rendu célèbre par l'Allemand Fritz Lang), Gog, le Nyctalope, Eugène Zamiatine (auteur du roman Nous autres) et d'autres encore. Si certaines figures nous sont bien connues, d'autres, en revanche, suscitent nos interrogations, et c'est bien là un intérêt majeur du livre : mélanger habilement la réalité historique et la fiction, les emmêler de telle sorte que seul un redoutable amateur de littérature de science-fiction des années 1920 et 1930 pourrait y voir clair.

La postface proposée dans l'intégrale est très instructive à ce propos. Ligne après ligne, ce sont autant de héros de papier qui resurgissent, et autant d'auteurs plus ou moins oubliés dont on voudrait dévorer les oeuvres qui réapparaissent. A la lecture de cette postface, on comprend que la bande-dessinée est avant tout un hommage, et même une mise en dessin de ces romans introuvables, et qu'à la rigueur, poussés sûrement par leurs passions de lecteur, les auteurs ont voulu imaginer une suite - et une fin - à cette ère des héros européens. Ainsi, tous les personnages ont déjà été créés - hormis peut-être Andrew Gibberne, dit l'Accélérateur, qui est le fils d'un héros littéraire existant - et tous prennent vie dans ces presque 300 pages, créant ainsi une sorte d'inter-dialogue littéraire entre des oeuvres, des auteurs et des artistes qui ont existé et créé dans les mêmes années, sans jamais croiser leurs univers. On apprend donc qu'une lignée de super-héros européens a mené des combats, a voulu faire régner la justice et, surtout, a aussi influencé nombre d'auteurs américains dont les oeuvres ont ensuite défini le type du super-héros. A tel point qu'aujourd'hui, vouloir créer un super-héros serait vouloir imiter les Américains ...

Mais, si les super-héros américains évoluent dans un monde semblable aux nôtres, les Européens, eux, évoluent littéralement dans notre monde. L'histoire commence ici en mars 1939 lorsque le docteur Mabuse convoque l'ensemble des super-héros d'Europe à Métropolis, sa nouvelle ville dédiée aux surhommes, en plein coeur des Alpes autrichiennes, c'est-à-dire dans la Mitteleuropa. le contexte rappelle évidemment notre histoire proche : l'Espagne est mise à feu et à sang par la Phalange et le Partisan, l'Italie de Gog prépare ses armes, le docteur Mabuse, représentant l'Allemagne, se fait de plus en plus menaçant. A Paris, Irène Joliot-Curie, qui a hérité du laboratoire de sa mère, continue d'y faire de la superscience, tout en étant obligée de s'allier à Nous Autres, organisation communiste de mécanoïdes redoutables. Pour découvrir les plans du docteur Mabuse, elle tente de soutirer des informations au Nyctalope, autoproclamé protecteur de Paris, lequel semble davantage attaché à sa postérité (il recherche un biographe talentueux) qu'à la mise en échec des projets de Mabuse. C'est dans ce contexte que va revenir "à la vie" la brigade chimérique. Cette brigade légendaire aurait protégé Marie Curie dans ses travaux de recherche sur les super-héros qui, en grande majorité, ont été victimes de la Grande Guerre. On voit, là aussi, que les auteurs ancrent dans le passé historique l'origine des super-héros européens, qui deviennent les produits de la première grande guerre industrielle de l'Histoire : soit malades, soit mutants, Marie Curie leur propose de mettre leurs nouvelles capacités au service de la Justice.

Naturellement, lorsque l'on sait que le propos des auteurs est d'examiner justement pourquoi les super-héros européens ont disparu, on se doute que l'histoire se terminera mal. C'est là tout l'enjeu de cet album, dont la tension ira croissante jusqu'à l'irruption de la guerre, vue comme un échec cuisant pour les super-héros européens.

Ainsi, La brigade chimérique épouse ici son deuxième niveau de lecture : les auteurs proposent, avec cette bande-dessinée, une allégorie historique dont les forces vives sont les super-héros européens. Tous représentent, finalement, les pouvoirs nouveaux qui se font jour en Europe au sortir de la guerre : pouvoirs économiques, pouvoirs politiques aussi. L'échec des super-héros européens est l'échec des démocraties face à l'essor du fascisme et du nazisme. Là encore, les auteurs ne se cachent pas : ils mettent en image la couardise de la France (le Nyctalope) et de la Grande-Bretagne (l'Accélérateur, qui est certes plus volontaire que le Nyctalope) face au militarisme allemand (Mabuse) et italien (Gog), l'impensable alliance germano-soviétique ou encore le projet nazi de construction d'une Europe nouvelle sur les ruines du peuple juif. Il faudrait encore dire un mot sur Jean Séverac, personnification d'une France éternelle partagée entre le savoir, la loyauté, la valeur guerrière et le souci de la vie, qui représente un formidable espoir pour Irène Joliot-Curie et tentera, dans un ultime effort, de mettre fin aux agissements de Mabuse. Cependant, si les auteurs s'appuient sur l'histoire du vingtième siècle et y imbriquent des éléments de fiction, ils prennent surtout soin de ne pas la réécrire. Manuel d'histoire politique et enquête littéraire, La brigade chimérique est surtout une incursion française très réussie, bien que vouée à ne pas connaître de suite, dans l'univers du comics.
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critiques presse (1)
BullesEtOnomatopees
07 février 2013
Une uchronie fantastique, qui n’est pas sans rappeler par certains aspects la Ligue des Gentlemen Extraordinaires ou dans un autre genre les Aventures d’Adèle Blanc-Sec.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Vous ne vous étiez pas encore cherchés : alors vous m’avez trouvé. Maintenant, je vous ordonne de me perdre et de vous trouver vous-mêmes. C’est lorsque vous m’aurez tous renié que je reviendrai vers vous.

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La Guerre est comme une chambre ardente. Quand elle s'ouvre, je n'ai que mes chimères pour me protéger.
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Tout ce qui est vivant est méchant.

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Léo Saint-Clair alias le Nyctalope. Ancien héros de l'institut du radium apparemment désigné par Marie Curie comme le nouveau protecteur de Paris, quelques jours avant sa mort. Fondateur du comité d'information et de défense (CID). Claivoyance, superscience, allié de l'Accélérateur.
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J'ai peur de m'être trompé dans mes calculs, madame.
L'homme élastique dispose de lui-même.
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