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Sept tome 17 sur 21
EAN : 9782756064628
64 pages
Delcourt (13/04/2016)
3.02/5   30 notes
Résumé :
Dans un Moyen Âge de légende, le royaume de Cocaigne est dirigé par le bienveillant Féric, que son frère Jean le Nécromant veut renverser. Conseillé par lesprit du dieu Herne, Féric fait appel à sept mages issus de traditions diverses. Mais les puissances païennes, la sagesse romaine, la philosophie grecque et la charité chrétienne sauront-elles surmonter leurs divisions pour repousser larmée des goules qui se masse aux frontières ?
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Dans "Sept Mages", le royaume de Cocaigne dirigé par le roi Féric doit affronter les ambitions de son frère cadet Jean le Sorcier, renommé Jean le Nécromant… Pour s'opposer à la menace, Herne le fondateur fait mander sept mages pour défendre les intérêts et les habitants du royaume :
- Gargan, croisement génial de Swamp Thing, Tom Bombadil et The Hulk !
- les soeurs de l'épouvante, Vive de l'Eau, Brise de l'Air et Ponce de la Terre, qui puisent dans l'archétype du trio de sorcières…
- le Disciple, détournement de l'archétype du magicien noir, qui ici emprunte autant à Sherlock Holmes qu'à Monsieur Spock en héritier du cartésianisme des savants de l'Antiquité…
- Lumen, le foudroyeur romain croisement génial de Zeus, Gandalf et Superman !
- Anna l'Enchanteresse, fille du roi et héritière à la fois de la Reine de Saba, de Guenièvre et de Viviane/Morgane… (qui ressemble comme deux gouttes à la Reine d'Alba du cycle Fantasy de Miles Cameron ^^)
Rien qu'au casting de luxe, vous devez ressentir un peu les vybes du projet… ^^

Alors que les sept mages enquêtent sur la nature des créatures de l'adversaire honni, le roi est assassiné et son épée magique volée… le Capitaine Ravenne assure l'intérim en attendant le résultat de l'épreuve : celui qui retrouvera l'assassin et le voleur deviendra le nouveau souverain du royaume !
Le Disciple qui n'est que logique et qui agit comme un enquêteur de polar classique suit sa propre voie par rapport à ses collègues qui ne sont que magie et qui agissent comme des supers-héros de comics. Mais pourquoi je n'arrive pas à m'enlever le film d'animation "Le Vol des dragons" / "Flight of Dragons de la tête" ? ^^
https://www.youtube.com/watch?v=Uw9bny88OuY
Mais dans la lutte contre les forces obscures de la crevardise, chacun à son rôle à jouer : le naturel s'allie au surnaturel et le rationnel s'allie à l'irrationnel… le récit qui commençait comme une fable, et qui se poursuit en en quête high fantasy, se finit ainsi en conte philosophique. Plus que jamais, nous sommes donc dans une chouette relecture du mythe fondateur du Héros aux mille et un visages, mais les pisse-froid habituels vont encore parler d'insupportables clichés… Passez votre chemin, ou foutez-nous la paix à la fin ! ^^

Serge Lehman dispose d'un imaginaire riche et élégant, qui croise à foison tous les titres des cultures populaires. du coup, il ne laisse pas facilement saisir lui ou ses projets…
Ici, l'univers à la fois féerique et uchronique puisent dans les grandes sagas médiévales arthurienne et carolingiennes, et les ombres de Mélusine, Huon de Bordeaux et des quatre fils Aymon n'est jamais bien loin… Je ne vous cache pas ma hâte de le voir partir à la conquête du genre Fantasy !
Ici, son récit est servi par les dessins très plaisants d'Emmanuel Roudier, quoique les couleurs Simon Champelovier restent un peu le parent pauvre de l'ensemble en étant davantage perfectible que le dessin et le scénario.


PS: il y a un parallèle et une forte ressemblance visuelle entre Serge Lehman qui ne croit pas à la culture populaire, mais qui la défend parce qu’il l’aime, et le Magicien Noir qui ne croit pas en la magie, mais qui la défend parce qu’il l’aime… Sûrement un hasard ! ^^
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AVANT QUE VIENNE RENAISSANCE.

Nous sommes en Royaume de Cocaigne, autrement dit dans le le légendaire Pays de Cocagne, une terre qui regorge des bienfaits de la nature : des champs bien fertiles et prolifiques, des bêtes d'élevage bien grasses et qui se gardent toutes seules, des campagnes verdoyantes, un peuple heureux gouverné par un homme bon, généreux, aimant et aimé, le roi Féric, digne héritier du fondateur de la dynastie, son aïeul Herne (qui, selon une tradition britannique était un immense chasseur, émanation indirecte du Dieu-Cerf des celtes, Cernunnos). Mais le frère cadet du Roi, Jean le Nécromant, ne le voit pas de cet oeil là et, tout dévoué au mal, à la destruction qu'il est, sa haine pour la vie n'a d'égale que son désir de prendre la place de son aîné sur le trône...

En quelques mots, vous l'aurez compris, cet album nage en pleine fantasy, avec tous ses codes, ses références obligées (un royaume, la magie, les antiquailleries celtisantes, l'affrontement bien/mal, les traditions séculaires, etc), ses poncifs, même. On y retrouve, parmi ces sept mages appelés à la rescousse afin de savoir ce que sont ces étranges bêtes (un corps de gorille, des têtes de babouins de Mandrill, des avant-bras aux mains crochues et recouvert d'écailles) stupides mais surpuissantes faite prisonnières par le capitaine des gardes :

- Un certain Gargan (avatar de Gargantua), parfait homme vert (être totalement dédié à la nature et que l'on retrouve dans un nombre considérable de traditions parfois sans rapport les unes avec les autres), colosse débonnaire mais irascible et d'une force proprement herculéenne (un genre de "Hulk" avant l'heure...)

- Trois soeurs, vieilles, immémoriales même, surgissant lorsqu'un Roi en demande l'aide, de leurs antres. trois fées élémentaires surgissant de l'eau des rivières pour Vive, du vent et de l'air pour Brise, de l'humus d'un sous-bois pour Ponce. Manque le feu. Mystère...

- Une enchanteresse, Anna, la propre fille du Roi... Dont on peut dores et déjà dire qu'on ne la verra pas trop à l'oeuvre, sinon comme attrape-coeur pour futur époux. Qu'elle est forcément belle, et douce, et bonne. Que les âmes et les sentiments des autres n'ont nul secret pour elle. C'est sympathique, c'est certainement très "girly", mais pour sauver un royaume de la proie des flammes et du sang, ça embarque un peu léger.

Jusque-là, rien que du très (trop ?) classique. C'est pour les deux derniers mages que cela se "complique" un peu, qu'un brin d'originalité intervient dans ce sage parcours en fantasy.

- Notre sixième mage arrive en directe lignée des Dieux de l'antiquité grecque. Lumen est son nom, et s'il ressemble à une sorte de superman ayant avalé une représentation physique de Zeus, il en est aussi une émanation directe. D'ailleurs, son arme majeure est la lumière quand son mode de déplacement préféré est le vol sans voile. le personnage est orgueilleux, un rien grandiloquent mais sans vice ni méchanceté. Et il respecte les lois antiques du mystère, du divin et de l'ésotérisme.

- L'ultime mage n'en est en réalité pas un. C'est en tout cas lui qui l'affirme. Il se fait appeler le Disciple (ça claque, tout en donnant dans la plus soucieuse des modestie, n'est-ce pas ?). En vérité, c'est un pur cérébral, un raisonneur, qui ne croit ni en Dieu ni en diable (même lorsqu'il se retrouve en compagnie des autres), disciple du poète et philosophe latin Lucrèce, lui-même disciple du grand Épicure - c'est d'ailleurs par cet intercesseur qu'on en sait le plus sur le philosophe du jardin, fondateur d'un épicurisme bien éloigné de ce qu'en fit plus tard l'Eglise -. C'est donc un matérialiste, qui croit aux atomes, au doute raisonnable (anticipons un peu sur René Descartes), à la réflexion.

Des morts - y compris royales -, des vols d'objets symboliques, des drames, des massacres, des assauts, des prises de villages, de la magie... Rien ne manque à cet album de Serge Lehman et d'Emmanuel Roudier. Pas même l'espèce d'énigme/réflexion pseudo philosophique de l'ancêtre Herne, personnage fantomatique et visiblement immortel qui parcours de sa présence éthérée l'ensemble du titre.

Ce qui sauve - n'hésitons pas à l'affirmer - cet opus sans grande saveur à force d'imitation, c'est cette confrontation entre ce monde ancien, plus ou moins idyllique, plus ou moins génésique de Cocaigne et l'émergence, encore timide, de cet homme déjà très contemporain, qui est tout à la fois le fruit encore vert de la réflexion profonde insufflée par les grands penseurs grecs et un être ambivalent ne croyant pas , pour lui - aux mythes fondateurs de nos premières civilisations tout en reconnaissant l'importance de les laisser se poursuivre dans une espèce de réalité parallèle possiblement aussi vraie que la réalité tangible. En s'écartant de lui-même d'un destin directement lié à ce monde de la fantasmagorie, à la fois il lui permet de vivre encore ses derniers feux, il en admet l'existence (par l'absurde) tout en refusant de s'y mêler, d'en être un prolongement possible, mais il attend son heure car il sait qu'elle viendra tôt où tard.

Très franchement, sans cette petite réflexion induite par le scénariste, l'ennui aurait très vite pu gagner le lecteur, sauf à n'apprécier que les redites et le déjà-vu. Un album décevant dans lequel les personnages tout imaginaires fussent-ils ne parviennent - format oblige - qu'à être des caricatures d'eux-mêmes, sans grande consistance, sans subtilité, sans qu'on ait le temps de s'y attacher moindrement. Même le dessin, qui est pourtant bon, est tellement classique que cela en deviendrait pénible.

Seconde incursion de la série des Sept dans l'univers médiéval fantastique (Le génial Sept missionnaire est décidément trop éloigné des codes du genre pour l'y compter), ce Sept Mages avait très certainement beaucoup plus d'intentions que le précédent, le si plaisant et volubile Sept Voleurs de David Chauvel accompagné du dessin mirifique de Jérôme Lereculey, mais c'est malheureusement un coup d'épée dans l'eau, mais alors franchement entre deux eaux ! Dommage.

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Sans trop savoir pourquoi, j'avoue que la couverture de ce « sept mages » ne m'emballait pas plus que ça. Peut-être l'aspect un peu tristoune de cette couverture, les couleurs déprimantes, un côté statique chez les personnages… Bref, je n'en attendais pas grand-chose. Mais c'était oublier que c'est Serge Lehman qui officie ici au scénario. Finalement, ce 17ème volet de la série « sept » s'est avéré une très bonne surprise.

Sur un thème très classique, Lehman propose une histoire très bien menée et très prenante. En plus, il y a, derrière le divertissement efficace, un propos intelligemment abordé. L'auteur se permet même de le traiter avec une originalité très surprenante. En général, lorsque le thème de la magie opposée au rationnel est abordé, c'est pour évoquer la fin d'un monde, celui de la magie, au profit d'un autre, celui de la raison. Et bien ici ce n'est pas le cas, le rationnel choisit de s'effacer volontairement devant la magie. Et j'aime ça !

Le dessin de Roudier s'avère très agréable. La B.D en elle-même est bien plus réussie que la couverture. Mention spéciale à Gargan le géant feuillu que j'ai trouvé magnifique, une bien belle incarnation de la forêt.

« Sept mages » est une belle réussite. Lehman est décidément un scénariste que j'apprécie de plus en plus au fur et à mesure que je découvre son travail.

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Voici un tome de la série Sept qui m'a beaucoup plu. L'intrigue est intéressante : sept mages doivent s'unir pour sauver un royaume. Tous les éléments y sont représentés et personnifiés par des personnages aux caractères bien distincts. Un happy end avec en prime une petite leçon de vie. Y'a des planches vraiment belles. Bref, un bel album à lire pour se changer les idées entre deux lectures plus substantielles.
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J'ai beaucoup aimé cette BD sur la magie que nous propose Sept Mages. Enfin, sept, plutôt six mages et un adepte de la pensée logique qui n'est pas sans rappeler Sherlock Holmes. Nous sommes donc dans un univers fantasy où une menace pèse sur un petit royaume, la Cocaigne. On fait alors appelle à sept personnages doté d'une magie différente: Gargan, un homme à la barbe de feuilles de chêne, gardien de la forêt; Vive, Brise et Ponce, élémentaires de l'eau, du vent et de la terre ( Manque donc que le feu), Lumen, croisement entre Zeus, Dieu Grec de la foudre et peut-être aussi de Gandalf le Blanc, du Seigneur des Anneaux; le Disciple, qui me rappel justement Sherlock Holmes et son raisonnement déductif mais avec l'apprance de Myrddhin ( Merlin), magicien noir folklorique de la table ronde. Finalement, nous avons Anna l'enchanteresse, de rose vêtu, fille du roi et qui semble oeuvrer plus sur le champ des émotions et de l'envoutement.

D'emblée, j'ai trouvé le Disciple et l'enchanteresse complémentaire, l'un très lucide et logique, l'autre très instinctive et fervente. Les trois soeurs quand a elle illustre très bien ce qu'elles ont: en bonne représentantes des quatre éléments, elles sont terribles, impitoyables tout en étant magnifiques. Gargan semble sortie d'un conte et avec son allure, je me disais qu'il avait l'air d'un mi-homme mi-ent, ces créatures arbresques qui font office de bergers de la forêt. Bref, on a ici une belle équipe! Seul Lumen me semblait étonnamment insignifiant, parce qu'à part se battre, franchement, ce ne semble pas être une lumière. Oh, le jeu de mot!
Et donc, nos sept doivent récupérer une épée, disparue au moment même où le roi de Cocaigne mourut. Et même si les mages se fendent en sept pour la retrouver, au final, c'est la logique du Disciple qui aura préséance.

Il y a quand même beaucoup a dire de cette BD. Dès le départ, on nous informe que cette histoire a une finalité moralisatrice et on nous invite à la deviner. Personnellement, j,ai cru un bon moment que cette moralité consistait à ce que la magie, tout puissante est-elle, n'est rien sans pensée logique. Vous aurez beau être dépositaire de tous les pouvoirs de ce monde, si vous ne parvenez pas à réfléchir par vous-même, ces mêmes pouvoirs deviennent alors bien insignifiants. En tout cas, quand on voit le Disciple, qui n'a littéralement aucuns dons magiques, parvenir à ses fins, c'est assurément ce qu'on peut en déduire.
Toutefois, l'enchanteresse aussi apporte une dimension interessante. Convaincu que l'âme n'existe pas , le disciple mène donc une existence morne dont rien ne peu remplir le vide en lui, le fervent croyant des atomes et du vide. Mais la magie peut aussi consister en cela: Faire croire quelqu'un, l'amener à s'élever au dessus d'une simple condition de créature voué à mourir. Croire, pas seulement en un Dieu, mais aussi en ses valeurs, en ses convictions, et aux autres. Anna est le personnage phare du groupe en tant que reine, mais aussi en tant que pilier de cette croyance. Sauver le royaume. Même le disciple n'y restera pas insensible.
Côté dessin, c'est une belle BD, pleine de couleurs et de paysages, de créatures fantastiques et d'objets inusités ( surtout cette symbolique couronne d'une lourdeur telle qu'il faut la déplacer avec une chaine suspendue). de toutes les BD Sept, je trouve que celle-ci est porteuse de beaucoup de philosophie et elle j'ai aimer qu'elle amalgame magie et logique comme une force de frappe complémentaire.
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critiques presse (2)
BoDoi
18 mai 2016
Une intrigue hyper classique, et une structure sans surprise, presque ennuyeuse.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Bedeo
12 avril 2016
Dans un univers plein de promesses, son format "one shot" met à mal l’atmosphère et le développement des personnages.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
- Il doit y avoir une erreur. Je ne suis pas mage.
- Pardonnez-moi, Seigneur, mais…
- Ne m’appelez-pas ainsi. Je ne règne sur rien ni personne. Je suis venu ici pour penser ma pensée et trouver la sagesse. La magie ne m’intéresse pas. Je ne crois qu’aux atomes et au vide.
[Vive] Un disciple de Lucrèce !
[Brise] Un tueur de dieux !
[Ponce] Je vais transformer ses bourses en silex ! On verra s’il pense aux atomes quand son organe crachera des étincelles.
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-Donc, selon vous, il n'y a ni dieux ni esprits? Rien que des myriades de... de grains de poussière qui se regroupent et se séparent pour former tout ce qu'on voit?
-Oui.
-Pourtant, j'ai une âme. Je le sens. je le sais.
-C'est une illusion commune de l'organisme humain. vous croyez que vous avez une âme.
-Exactement. Je le crois et j'en ai une! C'est une chose qui n'existe que si on n'y croit.
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Dans l'enseignement du magicien, la première leçon est la plus difficile. Les apprentis croient qu'il s'agit de trouver la source des pouvoirs, mais s'engager dans cette voie, c'est se condamner à tourner en rond. Rares sont ceux qui devinent que la leçon porte sur l'abandon et non sur la maîtrise. Pour les guider, on leur raconte l'histoire des sept mages de Cocaigne.
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- Ce n'est pas une femme mais une magicienne et une reine.
Et elle a raison à votre sujet : vous êtes consumé par l'orgueil.
Vous feriez un très mauvais roi.
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Fracasser des crânes ! Piétiner des ennemis ! C’est la magie de Gargan, redoutée de tous !
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