AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Francis Lacassin (Préfacier, etc.)
EAN : 9782268066806
315 pages
Les Editions du Rocher (16/10/2008)
3.5/5   58 notes
Résumé :
Suite de : La Poupée sanglante

Alors que le relieur d'art Bénédict Masson a été guillotiné pour avoir tué de nombreuses femmes, les mystères continuent. Bénédict Masson avait toujours clamé son innocence, qu'en est-il maintenant après sa mort ?
La Machine à assassiner est la suite directe de La Poupée sanglante de Gaston Leroux. On y retrouve le même mélange d'aventures, d'intrigue policière, de fantastique que dans la première partie.
E... >Voir plus
Que lire après La Machine à assassinerVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
3,5

sur 58 notes
5
1 avis
4
5 avis
3
7 avis
2
0 avis
1
0 avis
Bénédicte Masson est mort, criant son innocence, guillotiné, pour le meurtre des jeunes femmes disparues qui étaient en stage avec lui. Mais des faits étranges continuent de se produire, et les plus folles rumeurs courent les rues de Paris. Des jeunes femmes continuent à disparaitre à proximité de la demeure secondaire de l'ancien relieur. La comtesse de Coultray est au plus mal, malgré l'assiduité des soins prodigués par le médecin hindou de son mari, mari qui se rapproche sensiblement de la belle et inquiétante danseuse La Dorga. M. Gaillard et le prosecteur Quentin, son futur gendre, sont affolés : d'après eux, la "machine à assassiner" qui sème la terreur dans les rues de Paris serait le fruit de leur invention, et se serait enfuie avec leur fille et fiancée, la belle Christine.

Qu'il est difficile de faire un résumé de cette suite de "La poupée sanglante" sans dévoiler la fin du premier opus ! Ce second tome emprunte toujours, comme le premier, à différents registres littéraires : l'histoire d'amour (bien que moins présente), le roman policier et le fantastique. A ce propos, j'ai beaucoup aimé la façon dont Gaston Leroux revisitait les mythes des vampires et de Frankenstein pour mettre en lumière une question fondamentalement humaine : le corps et l'âme. Car c'est finalement en ces termes que ce pose l'intrigue sentimentale de ce diptyque : Christine est attirée par la finesse et la poésie de l'esprit de Bénédicte, mais est répugnée par son physique ; elle est attirée par l'intelligence de son fiancé Jacques, mais il manque justement du romantisme poétique et passionné de Bénédicte ; elle est captivée par "Gabriel" l'automate, l'homme parfait, à qui il ne manque… qu'une âme. Quant à Bénédicte, dont la tête guillotinée a été greffée sous le visage sans défaut de Gabriel, peut-il prétendre à l'amour de Christine ? Peut-il rencontrer le bonheur et la sérénité ?
Ces réponses, ainsi que les énigmes posées dans le premier volume (la comtesse de Coultray est-elle folle ? Bénédicte est-il un assassin ?) trouveront réponse dans ce roman qui propose, comparativement au premier, plus d'action et plus d'humour (grinçant). La première partie notamment tient beaucoup de la peinture ironique d'une certaine société, dans laquelle les hommes et les femmes ne sont pas vraiment dépeints à leur avantage ! La dernière partie se situe plus dans l'action, et inclut de façon heureuse course poursuite, suspense et retournements de situation.
Même si j'ai trouvé "La machine à assassiner" un chouia inférieur à "La poupée sanglante", l'ensemble propose un très agréable moment de divertissement !
Commenter  J’apprécie          293
Personne ne va s'étonner que ça soit un tome 2 et que je n'ai pas relu le tome 1 avant ! Cependant ils sont suffisamment indépendants pour que ça ne soit pas un problème pour la lecture.

Entre roman d'aventures et roman policier, il se dirige résolument vers le fantastique parce qu'il n'y a pas d'autre manière de nommer des romans tels Frankenstein !

Un peu d'amour pour assaisonner, quelques poursuites, des comportements étranges, l'histoire commence (ou se poursuit) sur l'Île Saint Louis et va s'égarer en province ! le plus de ce roman, les descriptions du Paris nocturne et vaguement menaçant apportent beaucoup à l'histoire.

Histoire qui parfois devient abracadabrante mais ne m'a néanmoins pas enlevé le plaisir de la lecture ! J'aime beaucoup lire ou relire tous ces écrits de fin 19ème et début 20ème, ils apportent un air d'ingénuité qui manque à notre époque !

Challenge Riquiqui 2022
Challenge 19ème Siècle 2022
Challenge 20ème Siècle 2022
Pioche Polar juin 2022 : Pat0212
Lecture Thématique juin 2022 : Titres à rallonge
Lecture Thématique Polar juin 2022 : Couverture sombre
Commenter  J’apprécie          310
Gaston Leroux (1868-1927) est un romancier français. Gaston-Alfred-Louis Leroux grandit en Normandie et après avoir obtenu le baccalauréat de lettres au lycée de Caen, il s'installe à Paris en octobre 1886 où il s'inscrit à la faculté de droit. Devenu avocat en 1890, il exerce cette profession jusqu'en 1893. Pour arrondir ses fins de mois, il écrit des comptes rendus de procès pour le journal L'Écho de Paris. A partir de 1901, devenu grand reporter, il effectue de nombreux voyages en France et à l'étranger, notamment en Espagne et au Maroc. Sa renommée s'appuie sur la série des romans avec Joseph Rouletabille ou ses chefs-d'oeuvre comme le Mystère de la chambre jaune (1907), le Parfum de la dame en noir (1908) et le Fantôme de l'Opéra (1910).
La Machine à assassiner est la suite de la Poupée sanglante, tous deux romans de 1923. Si les deux ne font qu'un, à mon grand étonnement ces deux ouvrages sont diamétralement opposés ou, si le terme est exagéré, complètement différents l'un de l'autre. Et ce billet ne pouvant traiter de manière isolée ce second volet sans le comparer au premier, je préviens ceux qui seraient tentés de lire ce diptyque que je risque de déflorer le mystère…
L'intrigue de la Poupée sanglante se résumait grosso modo à l'enchevêtrement de trois mystérieuses affaires : un personnage étrange nommé Gabriel, tenu au secret chez un horloger de l'île Saint-Louis à Paris et finalement assassiné ( ?) par l'orfèvre et son neveu Jacques Cotentin étudiant en anatomie, au grand désespoir de Christine, sa fille ; un relieur d'art, Bénédict Masson, voisin de ceux-ci, amoureux transi de Christine et guillotiné en fin d'ouvrage, reconnu coupable d'assassinat de jeunes femmes dans sa résidence secondaire en grande banlieue ; d'un comte qui semble immortel grâce à la vie qu'il suce en sa femme… Ce premier volet s'achevait en nous laissant en plan, rien de ces mystères n'était certifié avéré et peut-être n'était-ce que notre imagination qui courait à sa guise ? Tout était étrange, le fantastique rôdait dans toutes les pages, le suspense était haletant et l'épilogue incertain attisait une frustration qui faisait de cette Poupée sanglante (titre inapproprié alors) un excellent roman.
Une suite s'imposait, La Machine à assassiner était là pour répondre à toutes nos interrogations. Et oui, nous avons une explication « logique » à ces trois affaires liées – de ce genre de logique qu'on accepte pour ce type de roman, bien entendu. Réponses qui auront leurs origines dans les progrès de la science et les fantasmes induits chers aux écrivains et, pour ajouter une touche d'extravagance exotique comme on l'appréciait à cette époque, l'entrée en scène, bien que modeste, des Thugs !
Alors en quoi cet ouvrage est-il si différent du premier ? le premier, c'était comme assister à un merveilleux spectacle de prestidigitation qui vous laisse pantois et ravi, le second c'est d'apprendre comment l'artiste à procédé ! La Machine à assassiner est un vrai polar un peu désuet. Gabriel, « la chose », a enlevé Christine et perpétuerait de nouveaux crimes à l'identique de ceux de Bénédict Masson (déjà guillotiné), la police lui court après et de leur côté, Jacques et l'horloger, qui savent tout, tente de récupérer Gabriel les premiers… le mystère n'est plus aussi prégnant, la tonalité générale est même à la rigolade ( ?) : des scènes burlesques, des dialogues avec un directeur de la police qui m'ont faire penser à de Funès dans Fantômas etc. Les portraits/croquis de personnages secondaires tous issus des classes populaires (retraités, petits commerçants…) sont très amusants et l'épilogue se clôt sur une note d'humour.
Aussi suis-je bien ennuyé pour conclure. Autant j'ai adoré le premier tome, autant je suis un peu/beaucoup désappointé avec celui-ci : La Machine à assassiner n'est pas un mauvais roman mais il est tellement différent de l'autre, plus vieilli aussi tout en étant plus amusant que je ne sais quoi penser de l'ensemble ?
PS : j'ai parlé de diptyque – mot qui m'est venu tout seul sous la plume – pour évoquer ces ouvrages, or en recherchant la définition exacte de ce mot dans le Larousse, je lis : « Oeuvre composée de deux parties qui s'opposent ou se mettent en valeur par contraste. » Tout est dit.
Commenter  J’apprécie          40
Paris, début du 20è siècle. Au coeur de l'île St Louis vit Bénédict Masson, un relieur intelligent et sensible malheureusement doté d'un physique repoussant. Il se meurt d'amour pour sa voisine la belle Christine, fille de l'horloger et fiancée au brillant savant Jacques Cotentin . Un soir, il entend une violente dispute entre Christine et son père. C'est que Christine est amoureuse d'un bien étrange personnage nommé Gabriel, mutique et froid, qu'elle cache dans sa chambre (!) et cette situation pour le moins curieuse intrigue fortement Benedict. En voulant savoir le fin mot de l'affaire, Benedict va se trouvé emporté dans une aventure terrible et fantastique qui risque de lui faire perdre la raison...voire la tête!
Paru dans un premier temps en feuilleton dans le quotidien "Le Matin" durant l'année 1923, "La poupée sanglante" et sa suite "la machine à assassiner" figurent parmi les derniers romans du prolifique Gaston Leroux. On retrouve d'ailleurs avec plaisir les descriptions typiques d'un Paris nocturne, inquiétant et gothique, qui plongent le lecteur dans une atmosphère inquiétante dès les premières lignes. Benedict, le disgracieux relieur amoureux et sensible (enfin...on le soupçonne tout de même d'être un redoutable tueur en série!) n'est pas non plus sans rappeler Erik, le Fantôme de l'Opéra. Il est d'ailleurs évident que Leroux s'est surtout attaché à ce personnage tourmenté au point de traiter les autres avec une certaine désinvolture. La légèreté avec laquelle il évoque l'évanescente Christine ( qui atteint des sommets de nunucherie dans le tome 2) ou son fiancé le savant Jacques Cotentin (qui, tout savant qu'il soit, s'avère être surtout un bel empôté) surprend au début. Et cette distance un brin moqueuse, si elle apporte de nombreuses notes d'humour, se retourne finalement quelque peu contre le roman et l'ambiance inquiétante s'en trouve légèrement gâchée, plus précisément dans le tome 2 où les rebondissements et explications abracadabrantes s'enchaînent. Néanmoins on passe un très bon moment à la lecture de ce "Frankenstein" français même si, et ça c'est très subjectif, on aurait préféré un autre traitement de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          70
Après avoir lu La poupée sanglante il y a quelques mois, sans savoir que c'était à suivre, l'existence de la Machine à assassiner avait continué à me trotter dans la tête et voilà ... Il est bien évident qu'il est indispensable d'avoir lu le premier volume avant d'attaquer celui-ci, sinon ce sera totalement incompréhensible!
Le fantastique étant revenu à la mode, convenons que cette histoire du cerveau d'un guillotiné placé dans un automate est des plus actuelle ! Je continue à dire que l'écriture a un brin vieilli , reproche que je faisais déjà à La poupée sanglante, mais le suspense parvient quand même à prendre, sans être pour autant insoutenable. le livre souffre de longueurs, surtout au début, et quelque part l'histoire ne débute qu'à mi-parcours, une fois que le lecteur a réussi à en passer par une série de témoignages plutôt interminables de toute une série de personnages imbus d'eux-même et formant un tableau peu réjouissant des Parisiens de l'époque. La vision que Gaston Leroux propose de ses semblables ici est sarcastique et semble considérer que bien peu ont reçu le don d'une cervelle en état de marche, toujours prêt à s'enflammer pour les rumeurs, les informations relayées plus ou moins intelligemment par la presse à scandale.... Cela aussi, c'est une critique qu'on peut voir comme très actuelle!
C'est d'autant plus dommage que l'histoire démarre si tard car elle se résout ensuite presque d'un seul coup, à peine le temps d'entrapercevoir des personnages du premier volume qui manquaient à l'appel et voilà notre énigme résolue d'un coup de baguette magique...

L'un dans l'autre, un peu décevant et c'est dommage vu les promesses qu'on trouvait dans le premier volume...
Commenter  J’apprécie          70

Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Non, il n'y a pas de plus grande douleur au monde que d'être un pur esprit !... La religion chrétienne a compris cela qui a mis au premier rang de ses dogmes : la résurrection de la chair !... Oui, Christine ! voilà le paradis !... renaitre en chair et en os pour cueillir ton baiser éphémère dans lequel tu aurais mis l'éternité !... Mais l'éternité sans ce baiser-là je n'en veux plus !
Commenter  J’apprécie          140
Avant-propos
"La machine à assassiner"quelle est cette invention nouvelle ? et le besoin s'en faisait-il réellement sentir ?
Il ne s'agit peut-être, après tout, que de cette vieille invention, sortie des mains de Dieu au plus beau jour d'Eden et qui devait s'appeler l'Homme !
En vérité, l'Histoire, depuis ses premières empreintes au parois des cavernes jusqu'aux plus récents rayons de nos bibliothèques, est là pour attester que l'on n'a point encore trouvé de meilleur mécanique à répandre le sang !
Commenter  J’apprécie          100
La machine à assassiner ! Quelle est cette invention nouvelle ? et le besoin s'en faisait-il réellement sentir ?
Il ne s'agit peut-être, après tout, que de cette vieille invention, sortie des mains de Dieu, aux plus beaux jours d'Eden, et qui devait s'appeler : l'Homme !
Commenter  J’apprécie          140
Disons tout de suite que cet événement était « un enlèvement », mais quel enlèvement ! D’abord, Mme Langlois : « Je vais tout vous dire, monsieur le commissaire… Faut jamais faire un vœu ni un souhait parce que, c’est comme dans la fable, ça peut vous sauter au nez !… Mlle Barescat, qui nous avait priées à sa camomille, venait à peine de dire : « Je voudrais bien le voir de près, votre Gabriel »… que le voilà justement qui entre, comme un démon de la tempête, tout couvert de sang avec ça… et portant Mlle Norbert, la demoiselle de l’horloger, évanouie sur son bras comme si elle ne pesait pas plus qu’un fichu de dentelle… à elle aussi le sang lui coulait de la figure… Nous avons tous poussé un cri comme vous pensez bien… un cri horrible ! Moi, j’ai crié : « C’est lui, Gabriel !… » « Ah ! Seigneur !… je vivrais cent ans !… Nous étions comme des statues de la terreur, quoi ! devant une invasion pareille !… Cette neige, ce sang !… et cet homme qui nous menaçait de son revolver !… La première fois que j’avais vu cet homme-là chez l’horloger, il m’avait paru beau ! mais maintenant je ne pourrais plus dire ! Je ne vois plus que ses yeux qui étaient épouvantables !… des yeux d’assassin !…
Commenter  J’apprécie          20
Le monde est un théâtre, la vie une comédie, souvent un drame, et les hommes des comédiens plus ou moins habiles, sifflés ou applaudis, mais toujours troublés du désir d'attirer sur eux l'attention de leurs contemporains.
Commenter  J’apprécie          130

Videos de Gaston Leroux (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Gaston Leroux
Gaston Leroux : Le Fantôme de l’Opéra (1964 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 3 octobre 1964. “Le Fantôme de l'Opéra” est un film radiophonique de Jean-François Hauduroy adapté, en 1964, du roman éponyme de Gaston Leroux écrit en 1910. Ce fantôme, qui hante les sous-sols de l'Opéra Garnier, n'en est pas vraiment un. Il nous effraie et nous terrifie car c'est un personnage de chair et de sang. Erik, le “fantôme” de l’Opéra, personnage tout à fait extraordinaire, dont le rôle est tenu ici par un acteur non moins extraordinaire, Alain Cuny, avec également Danièle Ajoret, René Farabet et Jean-Roger Caussimon dans le rôle du Persan.
Résumé :
Des événements étranges ont lieu à l'Opéra : le grand lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu. La direction doit se rendre à l'évidence : un fantôme ou un homme machiavélique nommé Erik hante le théâtre. Certains affirment avoir vu le visage déformé de cet être qui ne semblerait pas être humain. Peu après, les directeurs de l'Opéra se voient réclamer 20 000 francs par mois de la part d'un certain « Fantôme de l'Opéra » qui exige aussi que la loge numéro 5 lui soit réservée. Au même moment, une jeune chanteuse orpheline nommée Christine Daaé, recueillie par la femme de son professeur de chant, est appelée à remplacer une diva malade, la Carlotta. Elle incarne une Marguerite éblouissante dans “Faust” de Gounod. Or, elle est effrayée. Au vicomte Raoul de Chagny, qui est secrètement amoureux d'elle, elle confesse une incroyable histoire. La nuit, une voix mélodieuse l'appelle : elle entend son nom et cela lui suffit pour inspirer son chant. En outre, l'ange de la musique visite fréquemment sa loge. Elle affirme avoir entrevu l'être qui l'accompagne dans son art. Mais Raoul et Christine ne tardent pas à découvrir que cette voix est celle du fameux fantôme nommé Erik, un être au visage hideux. Ancien prestidigitateur, il s'est réfugié dans son royaume souterrain, sous l'Opéra, pour y composer une œuvre lyrique. Passionnément épris de la jeune Christine, il l'enlève et l'emprisonne dans son repaire des sombres profondeurs. Raoul de Chagny, aidé d'un mystérieux Persan, se lance à la recherche de la jeune femme. Il doit alors affronter une série de pièges diaboliques conçus par le fantôme, grand maître des illusions. Mais la persévérance du jeune Raoul et le courage de Christine, prête à sacrifier sa vie pour sauver le jeune homme, dont elle aussi est éprise, poussent Erik, le fantôme de l'Opéra, au repentir.
Interprétation : Danièle Ajoret (de la Comédie Française, Christine Daaé), Alain Cuny (Erik), René Farabet (Georges / Raoul de Chagny), Jean-Roger Caussimon (Le Persan), Christian Lude (Firmin Richard, le nouveau directeur), Hubert Deschamps (Armand Monchardin, le nouveau directeur), Jeanne Frédérique (Madame Giry).
Avec le concours de René-Jacques Chauffard, Raymond Pélissier, Raymond Jourdan, Micheline Bona, Dominique Jayr, Pierre Decazes et René Renot.
Bruitages : Robert Maufras Réalisation : Claude Roland-Manuel
Sources : France Culture et Wikipédia
+ Lire la suite
autres livres classés : automatesVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (128) Voir plus



Quiz Voir plus

gaston leroux

Quand est-il ne ?

1868
1869
1861
1864

9 questions
23 lecteurs ont répondu
Thème : Gaston LerouxCréer un quiz sur ce livre

{* *}