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Rosemary tome 2 sur 2

Iawa Tate Giuliani (Traducteur)
EAN : 9782290310649
252 pages
J'ai lu (30/11/-1)
2.64/5   58 notes
Résumé :
Novembre 1999.
Rosemary Woodhouse se réveille dans une clinique d'un coma long de 27 ans. Et se rend vite compte que ce monde inconnu qui se révèle à elle est en admiration idolâtre devant un jeune homme d'apparence christique, enfant chéri des médias, dont la parole bienveillante a converti des millions de fidèles. Andy, la chair de sa chair. Mère et fils se rencontrent enfin, apprennent à se connaître. Rosemary, rassurée, découvre que ce charismatique fils ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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L'auteur a pris son temps et attendu une trentaine d'années pour écrire la suite de Rosemary's baby.

Ce second opus marque une rupture de ton très inattendu et montre bien que l'auteur en a fini avec cette naïve ménagère américaine.

Si vous espérez revoir la même Rosemary à la fois intelligente mais manquant de perspicacité vous la retrouverez, aveuglée par son optimisme et son amour maternelle malgré ses crises de lucidité.

On se demande si l'auteur a voulu faire une suite ou écrire un roman totalement différent sans oser renier son chef-d'oeuvre. Bon l'histoire est sans plus, un peu de suspens, mais rien de très transcendant, ce qui malheureusement nous entraine vers un thriller dans la seconde partie, mais sans grande prétention.

Reste le final, évidemment qui est complètement inattendu et m'a complètement scotché. Et si Ira l'auteur n'avait pas cédé à la facilité, s'il avait vraiment prévu ce dénouement, car le doute est toujours possible, alors il est vraiment très malin parce que les dernières pages balaient toutes les invraisemblances et question en suspens !

Le succès relatif du Fils de Rosemary est sans nul doute dû au premier roman et au très réel talent de son auteur.

trait-rouge
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our qui a aimé Un bébé pour Rosemary, il faudra éviter de lire cette suite écrite en 1997 par l'auteur, à la veille de sa mort.
Déjà, ça commence mal : on se dit que l'idée de départ ne sonne pas très bien, pas très juste, mais on pense aussi que l'auteur place ses pions et qu'on va aller très vite de révélation en révélation. On se trompe. J'ai patienté jusqu'à la moitié du livre, à lire des fadeurs, des longueurs, des dialogues sans intérêt avec une Rosemary qui perd tout ce qui la rendait intéressante. Son caractère n'est pas le même. Cela pourrait se justifier par la situation de départ, mais c'est trop facile.
Après 27 ans d'un mystérieux coma, Rosemary se réveille à l'hôpital. Elle a presque la soixantaine. Elle se rend compte que les gens autour d'elle portent un badge "I love Andy". Cet Andy, c'est son fils, une sorte de Christ (physiquement et moralement), qui veut le bien de l'humanité.
Déjà, ce personnage, dès le début, ne m'intéresse pas : il est fadasse. Son projet? Faire allumer pour le passage à l'an 2000 des bougies par tous les êtres humains sur la terre. Vu que sa pupille brille encore parfois comme celle du diable, on se doute que le saint n'est pas si catholique. Mais rien n'arrive! Les personnages secondaires ne sont pas intéressants, on s'ennuie profondément, au point que même en feuilletant la fin du livre, je n'ai rien trouvé qui aurait pu justifier ces piétinements dans la narration.
Mieux vaut rester sur le goût agréable du livre Un bébé pour Rosemary, qu'on rehaussera encore avec le (re)visionnage du film. Dommage, il y aurait eu quelque chose de bien à faire, une suite immédiate, la réaction de Rosemary face au traître de mari, la description de cet enfant pas comme les autres, fils du diable. Eh non...
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C'est une lecture que j'ai abandonnée car je n'ai pas du tout accroché. C'est ennuyeux et laborieux au possible, il y a pas mal de longueurs pour un petit livre.

Il est trop question de politique, de religion et je ne retrouve pas l'atmosphère tant appréciée dans le tome précédent.

À aucun moment, je n'ai retrouvé le fantastique qu'il y avait dans le tome précédent. ( Sorcellerie, satanisme, etc)

Je n'aime pas du tout ce que l'autrice a fait de Rosemary, elle est devenue terriblement chiante et elle a l'air d'avoir un bâton... Là où on est pas censé en avoir un. Je trouve le personnage d'Andy, fade et prévisible au possible.

Les quelques petits mystères qu'on peut y trouver sont noyés dans des descriptions lassantes et inutiles.

J'aurais aimé que la suite ( à partir de la naissance d'Andy) soit plus approfondie.

Je dirais que cette "suite" à surtout un but commercial et non réellement la continuité du chef d'oeuvre qu'est et qu'à été "le bébé de Rosemary".

Pour conclure, je dirais à ceux qui ont vraiment apprécié le premier de s'arrêter là

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Le roman commence avec l'éveil de Rosemary, personnage principal du précédent roman d'Ira Levin Un bébé pour Rosemary»), dans un hopital et sans le moindre souvenir de la manière dont elle y est arrivée.. En réalité plusieurs années ont passé et son fils est désormais un jeune adulte..
Il vaut mieux avoir lu le précédent roman pour comprendre tous les aspects de l'histoire même si les éléments principaux sont rappelés au cours du récit. le rythme est très très lent, à l'opposé des autres romans de l'auteur qui nous avait habitué à plus de fluidité. Ici les situations s'enlisent, les personnages tournent en rond.. L'histoire est peu intéressante, et il n'y a que la fin qui vaille peut être le détour..
A lire pour les fans de Rosemary's baby mais sans attendre de miracles..(c'est le cas de le dire!)
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Novembre 1999.
Rosemary Woodhouse se réveille dans une clinique d'un coma long de 27 ans. Et se rend vite compte que ce monde inconnu qui se révèle à elle est en admiration idolâtre devant un jeune homme d'apparence christique, enfant chéri des médias, dont la parole bienveillante a converti des millions de fidèles. Andy, la chair de sa chair.

Autant j'avais beaucoup aimé un bébé pour Rosemary , ou le fantastique était de mise par la présence de la sorcellerie ou du diable. Alors que là le roman se tourne plutôt du coté du thriller.
Déçu par cette lecture
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Les effluves de Chanel n° 5 l’accompagnaient partout. Rosemary huma profondément et se souvint. Rien de tel qu’un parfum immortel pour faire bondir au cœur le sentiment réconfortant de la permanence des choses.
.../...
— Les pistes ne manquent pas : cartes de crédit, dossiers scolaires, carte grise, abonnements dans les clubs vidéo, les bibliothèques de prêt… Tout est informatisé, désormais, et les fichiers sont reliés les uns aux autres. Rien n’échappe au réseau. — Stupéfiant ! — Le phénomène a des aspects négatifs, répliqua Tara. Ainsi les gens se plaignent de ne plus avoir de vie privée, ils ont l’impression d’être sous surveillance constante.
.../...
Rosemary posa son café. Elle considéra son fils avec perplexité. — Ton attitude me déconcerte et me déçoit, je l’avoue. Vous travaillez sur un projet grandiose auquel participeront, en principe, tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté. N’est-ce rien que d’offrir, fût-ce pendant quelques instants, une vision convalescente du monde, d’apporter l’espoir d’une guérison ? Tu en parles avec un détachement mercantile, comme s’il s’agissait de lancer sur le marché une nouvelle marque de cigarettes ! Une œuvre d’art, c’est ainsi pour ma part, que je perçois l’illumination du 31 décembre. Jadis, nous avions beaucoup d’amis, comédiens, metteurs en scène, qui créaient ce que l’on appelait alors des happenings, des événements auxquels le public était invité à participer. Le but de ces manifestations organisées autour de thèmes mobilisateurs était toujours de favoriser l’expression de l’initiative individuelle au sein du groupe. Chacun, chacune, devait se sentir partie prenante d’une cause, d’une action. Cesse de réduire l’importance d’une aventure qui pourrait bien être le plus grand happening de tous les temps. Je sais ce dont je parle. Andy accueillit ce plaidoyer par un profond soupir. — Entendu, Rosemary. Nous œuvrons à une grande et belle chose. J’ai tort de prendre toute l’affaire à la légère.
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Vidéo de Ira Levin
Bande annonce (VO) de la série Rosemary's baby, adaptation du roman d'Ira Levin.
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