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EAN : 9782258115651
624 pages
Presses de la Cité (04/04/2019)
3.62/5   504 notes
Résumé :
À l'été 1862, un groupe de jeunes peintres proche des Préraphaélites, menés par le talentueux Edward Radcliffe, s'installe au Birchwood Manor, sur les rives de la Tamise. Là, inspiré par sa muse, la sulfureuse Lily avec qui il vit une passion ravageuse, Edward peint des toiles qui marqueront l'histoire de l'art. Mais à la fin de sa retraite, une femme a été tuée, une autre a disparu, un inestimable diamant a été dérobé, et la vie d'Edward Radcliffe est brisée.
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Critiques, Analyses et Avis (145) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 504 notes
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

C'est l'histoire d'un manoir ,dans la campagne, au bord de la Tamise qui sera achetée par un peintre dans les années 1860 . Dans ses murs se déroulera un drame , qui impactera tous les autres personnages, résidents ou simples visiteurs. Une femme et un bijou ont disparu, une autre a été tuée.
C'est l'histoire d'une petite fille ( Birdy) abandonnée, dans un Londres à la Dickens qui deviendra la muse de ce peintre et bien plus que ça.
Cette maison changera de propriétaire ...
Jusqu'au jour de 2017, où une jeune archiviste tombe sur une photographie de la maison et bingo... ça lui rappelle quelque chose de familier ...
Et ...coup de bol, pleins de bonnes petites fées l'aideront à retrouver la maison, l histoire de son propriétaire , ( histoire qui s'emboîtera pile poil dans l' histoire de sa famille )...et tout est merveilleux dans le plus beau des mondes ...
Bon, vous l'aurez compris, j'ai été agacée par le nombre de coïncidences qui tombent à pic... ( L'auteur nous prend vraiment pour des lapins de trois semaines ! )
Et "la Elodie" qui aimait "moyen" son fiancé, va tomber , sur un séduisant jeune homme qui bosse au manoir...Ben voyons...
J'avais remarqué ce roman pour sa somptueuse couverture, puis j'ai lu qu'on comparait l'auteure à Daphné du Maurier, mais on est loin, très loin du maître ...
Trop d'époques, trop de personnages dont certains n'apportent pas grand- chose à à la structure narrative . Il en résulte des portraits assez caricaturaux, l'auteur disposant de moins d'espace pour peaufiner leurs caractères.
Lucy n est ainsi que la petite soeur du peintre , moyennement jolie, mais très intelligente... Tout comme Ada, personnage qui ne sert à rien, sinon qu' à brouiller les pistes imaginées par la lectrice laquelle n'a plus qu'une seule obsession : mais qui est le fantôme féminin qui hante le manoir ! Et qu'est-il arrivé la nuit du drame ?
J'aurai aimé que Kate Morton s'en tienne à cela, c'est la seule partie captivante du roman.
J'ai eu beaucoup de mal avec la partie contemporaine , l'auteure enfilant les clichés comme des perles...
Beaucoup de longueurs , assez roboratif , quelques passages agréables et un fantôme assez sympathique . Mais rien d' original sous cette si jolie couverture !

Challenge Mauvais Genres.
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Élodie, archiviste très rigoureuse, est plongée dans la préparation de son mariage, avec un golden boy, sous l'oeil critique de sa future belle-mère qui veut lui imposer ses vues, allant jusqu'à exiger d'elle qu'elle retrouve les enregistrements des concerts de sa mère, une violoniste virtuose qui a perdu la vie dans un accident de voiture en compagnie d'un autre musicien. Elle découvre un carton poussiéreux contenant une sacoche en cuir qu'elle doit classer, enregistrer…

Comment relier une sacoche en cuir contenant un carnet de croquis, avec notamment le dessin d'une vieille demeure, la photo d'une belle femme, qui ne semble pas inconnue à Élodie, à une tragédie survenue en 1862 ? c'est tout l'art de Kate Morton !

Élodie se lance sur les traces de la personne à qui elle a appartenu et qui s'avère être Edward Radcliffe un peintre appartenant à la fraternité Magenta, qui a acheté une maison dans un méandre de la Tamise, pleine de charme, où il reçoit ses amis de la fraternité, chacun travaillant sur le sujet qui l'inspire. Edward, fiancé à une riche héritière est tombé sous le charme d'une jeune femme, Lily alias Birdie dont il fait son modèle, plutôt sa muse en fait. Il en tombe amoureux ce qui va avoir des conséquences funestes.

Un voleur se serait introduit dans la maison et aurait tirer sur la fiancée, la tuant, en même temps que disparaît un diamant appartenant à la famille. Ce drame, s'accompagne de la disparition mystérieuse de Lily va provoquer la descente aux enfers de Edward, qui selon la théorie policière du moment aurait été brisé par la mort de sa fiancée et aurait perdu toute inspiration.

Plus tard un jeune artiste viendra au manoir, dont a hérité Lucy, la jeune soeur du peintre, car il a obtenu une bourse et fera une thèse sur Edward Radcliffe.

Dans ce roman, Kate Morton choisit de donner la parole à un fantôme, un esprit comme on veut, en l'occurrence Lily, pour nous raconter plusieurs histoires se déroulant à des époques différentes, 1862, puis pendant les guerres, pour arriver à 2017 et toutes ont un lien entre elles, avec des personnages multiples, dont certains sont très attachants.

« Je regrette de ne plus avoir de visage. Ni de voix. Une vraie voix que tous pourraient entendre. On se sent bien seule parfois dans les limbes. »

Ce roman, un pavé de plus de 600 pages, m'a énormément plu, car l'écriture est belle, l'histoire qu'il nous raconte tient en haleine jusqu'au bout, et pour une fois les protagonistes de l'époque actuelle ne sont pas de pales figures par rapport aux personnages d'une époque plus ancienne.

Kate Morton pose aussi des questions sur le temps, la vérité, la beauté, l'art, mais aussi sur la mémoire, les souvenirs, le deuil, l'amour, la souffrance, la misère ou encore les trahisons. Elle aborde aussi les liens familiaux, notamment les fratries, et l'importance des lieux dans nos vies.

Il y a longtemps que je voulais découvrir cette auteure, mais je souffre d'un encombrement pathologique de ma PAL où j'accumule des titres de romans, impossible de résister à la moindre tentation… ceux qui me connaissent bien le savent depuis longtemps, il me faudra plusieurs vies pour en venir à bout !

Un grand merci à NetGalley et aux Presses de la Cité qui m'ont permis de découvrir et d'aimer ce roman.

#LaPrisonnièreDuTemps #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Quelle belle imagination chez cette autrice dont j'avais déjà apprécié les autres livres ! Vraiment un beau cadeau de Babelio et des Presse de la Cité, que je remercie !
Un pavé de six cents pages où l'on ne s'ennuie pas une minute.
Au centre, une demeure mystérieuse dans un méandre de la Tamise, et une voix spectrale qui nous parle de ses habitants successifs. Le récit se déploie entre 1862 ( et même avant) et 2017. A notre époque, une jeune archiviste découvre un carnet de croquis dans une vieille sacoche, ainsi que la photographie victorienne d'une magnifique jeune fille. Le croquis d'une maison à pignons lui semble étrangement familier. Cent cinquante ans avant, un groupe de jeunes peintres et leurs modèles passent un mois d'été dans une belle demeure. A la fin de leur séjour, un drame, la mort de la fiancée du jeune et très beau peintre Edward Radcliff, la disparition de sa muse, un diamant bleu évaporé...Les fils, très complexes mais brillamment tirés, se nouent entre les deux époques, puis passent par le XXème siècle. Différents personnages, tous intéressants, passent, se croisent, autour du manoir magique.
Influences gothiques des romancières anglaises, et romanciers (Wilkie Collins), passions, nostalgie, réflexions sur le temps, la beauté et l'art, passablement fines, ambiance mystérieuse, personnages bien dessinés, bien campés, tous différents, hautement romanesques mais pas mièvres, tout concourt faire de ce texte un passe-temps délectable. On voudrait bien en avoir encore, et que cela ne finisse pas. Je me suis laissée complètement emporter. C'est du pur divertissement, mais Dieu que c'est bon quand c'est bien fait ! Vivement le prochain Kate Morton ! Je l'attend comme j'attends ceux de Sarah Waters, autre reine du néo-victorianiste ! Faites tourner les tables, mettez vos crinolines, hantez les manoirs anglais jusqu'au XXIème siècle, myladies, nous vous attendons !
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Ca fait tellement de bien, de temps en temps, de lire une histoire, une vraie histoire, longue, très construite, écrite par quelqu'un dont l'ambition numéro un est bien de raconter une histoire ! La prisonnière du temps, c'est vraiment ça : une histoire qu'on pourrait dire complexe si on voulait la résumer rapidement, qu'on pourrait dire simple si on voulait juste résumer les événements de l'été 1862, ceux qui sont à l'origine de tout... mais elle n'est ni simple ni complexe : elle se déploie, avec la juste dose de détails nécessaires pour qu'on soit plongé dans un univers souvent semi-onirique, sans en mettre trop pour qu'on ait tout le temps envie de connaître la suite.

D'après wikipédia, Kate Morton est connue pour ses romans « gothiques », donc fantastiques. Et de fait, j'ai été un peu dérangée par la présence de l'esprit d'un personnage du passé, qui raconte les événements de son point de vue. Je ne suis pas du tout friande de surnaturel : dès lors, je ne suis pas du tout une spécialiste des romans gothiques et j'ignore s'ils ont tous le parti-pris de ne laisser aucun doute quant à l'existence d'un monde surnaturel. Mais dans le cas de Kate Morton, il me semble qu'on reste dans un entre-deux qui ménage tous les lecteurs : elle propose à la toute fin du livre une manière d'interpréter la présence de cet esprit, interprétation qui vaut bien l'hypothèse du surnaturel et me convient mieux.

Mais il est également remarquable que la présence de cet esprit ne m'a jamais empêchée d'être captivée par le livre, car c'est l'esprit de quelqu'un qui a vécu et était au coeur des événements de l'été 1862. On peut imaginer qu'il aurait pu les commenter juste après : de toute façon, il s'agit d'un roman choral et l'esprit est une voix parmi d'autres. Au final, le plus gros défaut de ce livre est plutôt qu'il rend asocial pendant quelques jours et quelques nuits. On s'attache aux très nombreux personnages, on vit avec eux et on a l'impression de dépasser leurs destins individuels car on comprend tout doucement quels liens les unissent par-delà les siècles... Vraiment, une très belle réussite. A lire absolument si vous voulez vous évader... et à éviter si vous avez un dossier à boucler pour le lendemain !

Merci à Babelio et à Romane des Presses de la cité pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique privilégiée.
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Une voix d'outre-tombe, qui sans aucun doute provient d'un autre siècle, habite cette maison singulièrement bâtie, aux escaliers inégaux et aux recoins multiples. Bienvenue à Birchwood Manor, nichée dans un méandre de la Tamise, son toit aux deux pignons qui se dressent au milieu des bois.

Un orage d'été 1862, un drame qui a surgi sans crier gare dans cette maison ensorcelante.

Londres, 2017. Dans son bureau au bord de la Tamise, Elodie se sent bien au milieu des archives, dans la correspondance et les objets d'un autre temps. Une sacoche tirée de l'oubli, toute poussiéreuse et à l'odeur de renfermé, exhale une histoire bien lointaine. le portrait d'une femme, un carnet de dessins, le croquis d'une demeure identique en tous points à celle gravée dans l'esprit d'Elodie, celle décrite par sa mère dans un conte qu'elle lui racontait et qui fascinait la fillette.

Avec la Tamise en toile de fond, Kate Morton tisse une histoire tortueuse, tantôt transparente, tantôt insondable, à l'image des méandres de ce fleuve.
Elle excelle à lier intimement lieux et temps à travers différents personnages dont elle explore passionnément les recoins de leurs existences et les liens qui les unissent. Les deuils qui ont fragilisé leurs vies nous sont sensiblement dévoilés jusqu'à la profonde nostalgie d'Elodie qui peine à avancer dans l'ombre de sa mère, sublime et talentueuse violoncelliste, tragiquement disparue.
De l'atmosphère poisseuse des quartiers pauvres du Londres d'antan, avec une incursion en Inde, l'auteure nous ramène inévitablement vers ce manoir qui aimante irrésistiblement les personnes sensibles à l‘attraction de ce lieu qui a tant à nous révéler. Elle distille au fil de l'eau les descriptions de cette demeure, les personnes et secrets que le temps a semés et scellés entre ses murs.
J'ai traversé les siècles, et me suis entièrement immergée dans cette ambiance vaporeuse de souvenirs exhumés du fin fond de cette demeure envoûtante. Conteuse hors pair, Kate Morton a réussi à me captiver sans jamais me perdre dans les méandres du temps.
L'espace du temps nécessaire à cette lecture, j'ai pu laisser de côté, sans aucune résistance ni aucune réticence, mes penchants rationnels. J'ai suivi docilement et avec beaucoup de plaisir le guide qui m'a ouvert des portes derrière lesquelles se cachaient des destins d'hommes, femmes et enfants traversant les siècles.

Merci aux éditions Presses de la Cité et à Babelio pour ce dernier roman parfaitement maîtrisé de cette auteure avec qui je partage l'amour de l'Angleterre et des secrets enfouis dans les vieilles pierres.
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critiques presse (1)
LaCroix
09 avril 2019
Dans son dernier livre, la romancière australienne nous entraîne dans une Angleterre victorienne baignée de rêves lumineux et de réalités étouffantes.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Citations et extraits (129) Voir plus Ajouter une citation
Lorsqu'il avait poussé la grille, il était resté un long moment pétrifié, fasciné par le spectacle qui s'offrait à lui : tant de perfection ! C'était trop beau pour être vrai.
Entre les dalles de l'allée et la maison, un jardin luxuriant prospérait : les digitales se balançaient, rouges et vives, dans la brise; les marguerites et les violettes conversaient de part et d'autre du chemin de pierre.
Le jasmin qui couvrait le mur d'enceinte s'étendait jusqu'à la façade, assiégeant les fenêtres à petits carreaux pour s'allier aux fleurs écarlates et voraces du chèvrefeuille qui poussait sous l'auvent du porche.
Le jardin vibrait de mille insectes, de mille oiseaux, et la maison, à l'arrière-plan, parut soudain aussi silencieuse, aussi immobile que le château de la Belle au bois dormant.
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L'être humain est un conservateur. Chacun, chacune prend soin de ses souvenirs préférés et les assemble afin de créer un récit susceptible de plaire. Certains évènements sont réparés et astiqués, pour qu'on puisse les mettre en vitrine ; d'autres, jugés sans valeur, sont laissés de côté et croupissent dans les profondeurs des entrepôts bordés de l'esprit. Avec un peu de chance, on les y oublie rapidement. Le procédé ne relève pas de la malhonnêteté : c'est la seule façon dont on peut vivre avec soi-même, avec le fardeau de ses expériences.
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La lumière...
J'ai pris l’habitude de la chercher dans les arbres au printemps, où elle magnifiait le vert des jeunes feuilles délicates.
Mais aussi dans les ombres qu'elle répandait sur les murs, les poussières d'étoile qu'elle jetait à la surface de l'eau, les filigranes qu'elle traçait sur le sol à l'ombre des grillages...
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— Les préparatifs du mariage ! Franchement, quelle époque compliquée ! De quoi a-t-on besoin pour un mariage, en dehors de deux personnes qui se disent qu'elles s'aiment et d'une troisième qui remplit le registre ? D'ailleurs, si vous voulez mon avis, même celle-là est de trop. Si je pouvais remonter le temps, je filerais en Toscane et j'accorderais ma main à mon Thomas bien-aimé sur le parapet de l'un de ces villages moyenâgeux perchés sur une colline, le visage baigné de soleil, une couronne de chèvrefeuille sur la tête. Et je déboucherais une bonne bouteille de chianti, dans la joie !
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L’être humain est un conservateur. Chacun, chacune prend soin de ses souvenirs préférés et les assemble afin de créer un récit susceptible de plaire. Certains évènements sont réparés et astiqués, pour qu’on puisse les mettre en vitrine ; d’autres, jugés sans valeur, sont laissés de côté et croupissent dans les profondeurs des entrepôts bondés de l’esprit. Avec un peu de chance, on les y oublie rapidement. Le procédé ne relève pas de la malhonnêteté : c’est la seule façon dont on peut vivre avec soi-même, avec le fardeau de ses expériences.
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Videos de Kate Morton (40) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Kate Morton
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