Toute sa vie, Nerval a pensé au théâtre, écrivant pièces et livrets, fondant et dirigeant une revue dramatique, tenant la chronique théâtrale de journaux, fréquentant acteurs et actrices.
Parmi les oeuvres qu'il écrivit pour la scène, "Léo Buckart" apparaît avec "Cromwell", "Lorenzaccio", et le "Don Carlos" de Verdi, comme un des plus beaux témoignages de la réflexion romantique sur la politique et sur le pouvoir, et "L'imagier de Harlem", contemporain des drames Wagnériens, est, bien avant Claudel, une tentative de spectacle total, échappant à l'espace et au temps.
(quatrième de couverture de l'édition parue chez "Flammarion" en 1996)
Notre société admet les deux nuances d'opinion, qui reposent également sur le grand principe de l'unité germanique: la sainte fédération ou le saint empire. C'est une querelle à vider plus tard entre vainqueurs.
Poésie - Une femme est l'amour - Gérard de NERVAL