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Magnifique biographie approfondie aussi bonne que celle de Talleyrand du même auteur
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Magnifique biographie approfondie aussi bonne que celle de Talleyrand du même auteur
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très gros livre dont je lis des passages, et ne pourrai pas faire de critique, évidemment., mais je lis quelques pages le soir, pour réfléchir. .
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une belle fresque sur cette aventure que fut la vie de Voltaire |
![]() | Jcequejelis 29 juin 2013
En juin 1778, quelques jours après la mort de son oncle (Voltaire), Mme Denis fit visite à Mme du Deffand... (qui) nota les paroles de l'héritière au sujet des livres et des papiers de Voltaire : "C'est en effet bien précieux, disait Mme Denis. Je vendrais tout mais je suis résolue à ne pas m'en défaire." C'est la première chose qu'elle vendit ! Il est vrai que l'acquéreur s'appelait Catherine II, impératrice de toutes les Russies. La bibliothèques de Ferney n'était pas très considérable, de 6 000 à 7 000 volumes, mais tous annotés, truffés de corrections, de réflexions les plus vives. Ce n'étaient pas des ouvrages de bibliophiles mais des instruments de travail et traités comme tels. Fort curieux à étudier, non pour eux-mêmes, mais pour celui qui les avait utilisés ; déchiquetés, refondus, Voltaire avait fait de ses livres des sortes de "digest". Il lisait avec des ciseaux et de la colle et réduisait un volume énorme à quinze, ou vingt ou cinquante pages essentielles qu'il faisait relier. Rabelais était ramené au dixième de son volume. La bibliothèque était une sorte de "Temple du Goût". Il griffonnait dans les marges et les interlignes ; parfois, il intercalait des feuillets avec du pain à cacheter. 880 - [Le Livre de poche n° 5377, p. 916] + Lire la suite |
![]() | thierrygibert 22 mars 2018
Qui oserait dire que Voltaire est mort? Il est de la nature du feu et de la lumière. Comme dans les armoiries prophétiques des Arouet, les flammes d'or du Saint-Esprit courent, volent, renaissent dans leur insaisissable et immortel mouvement, c'est un rayon inaltérable de l'Intelligence, un souffle de l'Esprit pénétrant tous les esprits épris de liberté et de justice. Il est la vie.
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En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.