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EAN : 9782081505070
Flammarion (08/01/2020)
3.45/5   19 notes
Résumé :
À 14 ans, dans une petite ville de France, la veille de partir en vacances, Sam rencontre une jeune Galloise. C’est l’émerveillement, le serment. Avant la séparation, déchirante, et le silence, mystérieux.
Des années plus tard, à la faveur de divers signes, la pensée de Deirdre revient hanter l’homme que Sam est devenu. Sans attaches, mais gouverné par cette singulière présence, il ira au bout d’un étonnant voyage.

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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
"Il y a quinze ans à peine
Il y a quinze ans déjà
Ma mémoire est incertaine
Mais mon coeur lui n'oublie pas..."
Un été de porcelaine. Mort Shuman


Pierre, 14 ans( ses amis disent Sam ) a rencontré une jeune Galloise, Deirdre, 14/15 ans. " Elle portait une robe à manches court bleu ciel. Ses cheveux tombaient en lourdes mèches cuivrées sur ses épaules. La clairière baignait dans un halo bleu. Deirdre a posé a posé sa tête sur mon épaule. J'ai fermé les yeux.


J'ai plongé dans son cou, sa nuque, ses mèches de cheveux.,. la serrant si fort que je percevais les battements de son coeur... Un sanglot m'a terrassé.
- Ne pleure plus jamais. Ce n'est pas mon dernier sourire. Ecris moi. Garde moi. On se reverra. Promis? " Souffle Deirdre.
Elle a quitté mes bras, tamponné mes larmes...


"Un coeur pour la première fois
Qui chavire et se déchaîne
Et balbutie ses premiers pas"
I have never forgotten
The one summer you were mine...


- "Je repars dans 10 jours, 10 jours pour me promener et manger des gaufres avec toi!." Elle a sorti un petit papier : son adresse au Pays de Galles, "Carlywin est une île. Il faut traverser un grand pont de fer au dessus d'un fleuve de mer."


"Un coeur pour la première fois
Qui chavire et se déchaîne
Et balbutie ses premiers pas"
I have never forgotten
The one summer you were mine...


Sam partait le lendemain, en vacances, chez sa grand-mère et ne put revoir Deirdre. Il lui écrivit des lettres passionnées pour ne recevoir qu'un seul courrier banal, "sans aucune allusion à leur promenade autour des douves, nos étreintes près du bassin, notre serment dans la clairière..."
Comme si tous ces moments n'avaient jamais existés...


"Des étés de porcelaine
J'en ai connus après toi
Sans que jamais ne revienne
Le goût que tu leur donnas."


Quatre ans plus tard, le père de Sam l'informe qu'une "fille à l'accent anglais avait téléphoné et laissé le numéro de l'hôtel de Froncy."...
Le Destin est parfois cruel. Sam est avec Charlotte...
Il se souvient de Deirdre!


Et Vous ? Vous souvenez vous de votre premier amour? Pierre, Paul ou Jacques, Béatrice ou Chantal?... Où sont-ils, que deviennent-ils ou elles?
Un beau roman sur la nostalgie, le souvenir qui s'estompe mais ne s'efface jamais et la Quête perpétuelle d'amour...
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À la recherche de la belle Galloise
Jean-Marc Parisis nous raconte avec autant de délicatesse que de fougue l'amour fou qui unit Sam et Deirdre. Ils ont quatorze ans et l'avenir – d'une émotion – leur tend les bras. Bouleversant et magnifique.

Commençons par rappeler que Camille Laurens publiait il y a 20 ans Dans ces bras-là et que ce roman avait obtenu les Prix Femina et Renaudot des lycéens. Mais, me direz-vous, quel rapport avec le court mais beau roman de Jean-Marc Parisis? Eh bien j'y arrive. La romancière y affirmait: «Le premier amour est éternel, le temps ne passe pas, c'est le principe amoureux.» L'histoire de Sam en apporte une brillante illustration.
Nous sommes dans les années 60 à Froncy, une ville située à une heure de voiture de Paris, au moment où les grandes vacances s'annoncent. Avant de partir à Lambrac, du côté de Brive, passer l'été chez ses grands-parents, Sam rejoint ses copains pour une dernière partie de foot. Quand son ballon atterrit dans le parc voisin le fautif n'a guère envie d'aller le récupérer. Après une bagarre, c'est finalement Sam qui s'acquitte de cette tâche. Ce faisant, il scelle son destin. À quelques minutes près, il aurait manqué Deirdre. Cette fille, qui a quatorze ans comme lui, est comme une apparition: «Je n'avais jamais vu un tel visage. Pas un visage, mais cent visages. Une mutinerie de traits. Un feu blanc où brillaient deux yeux pers, du gris, du bleu, du mauve. Je me suis laissé tomber sur la pierre du bassin asséché depuis des lustres.» C'est ce que l'on nomme sans doute un coup de foudre.
En quelques minutes à peine ils conviennent de se revoir dans la soirée. Main dans la main, il fera découvrir à cette galloise les secrets de son village et tombera éperdument amoureux. Mais il aura beau supplier ses parents pour pouvoir rester encore un peu avec eux à Froncy, rien n'y fera. Il prendra la direction du sud de la France avec un petit bout de papier précieux sur lequel figure l'adresse de Deirdre, qu'il n'a plus envie de quitter.
Dès qu'il arrive, il délaisse les sorties pour se plonger dans son dictionnaire français-anglais et va écrire tous les jours à sa belle amoureuse, faisant par la même occasion de gros progrès en anglais.
Mais ses efforts ne seront pas récompensés, car le seul courrier qui lui sera adressé en retour fait preuve d'une neutralité bienveillante, loin de la flamme espérée, le remerciant de prendre de ses nouvelles depuis la «lovely Dordogne».
Le temps passe. Sam poursuit ses études, retrouve des copains et les premiers flirts lui font oublier Deirdre. Pourtant la jeune fille reviendra à Froncy quelques années plus tard et demandera de ses nouvelles. Mais il n'y aura pas de retrouvailles, car Sam s'apprête à partir en vacances avec les copains et il ne veut pas manquer cette ultime virée avant de rejoindre le lycée parisien où il va préparer les concours pour les grandes écoles. Des études brillantes qui vont faire de lui un pilote d'avion et, en parcourant la planète, lui offrir quelques liaisons, notamment avec des hôtesses de l'air. Jusqu'à ce qu'il demande Gloria en mariage du côté de Singapour. Mais cette dernière «n'est pas celle qu'il croit» et ne veut pas s'engager. Sam repart pour Froncy nostalgique. Dans sa ville natale, il retrouve les copains de classe qui fêtent leurs quarante ans.
L'occasion pour lui de faire le bilan de sa vie, de se rendre compte que le souvenir de Deirdre est resté bien vivace. Qu'il aimerait bien savoir ce qu'elle est devenue.
Lui vient alors l'idée un peu saugrenue de se rendre à Carlywin, sur les traces de sa belle galloise. Un voyage dont je me garderais bien de vous dire quoi que ce soit.
En revanche, je terminerais cette chronique comme je l'ai commencée, avec
Camille Laurens. J'imagine que Jean-Marc Parisis ne trouvera rien à redire à cette seconde citation, en pensant « aux sentiments que donnent parfois les hommes de n'avoir pas dans le monde la place qui leur revient et d'en souffrir, comme si quelqu'un, animé de désirs hostiles ou tyranniques, les maintenait depuis l'enfance dans une faiblesse malheureuse qui, au coeur des plus brillantes carrières ou des plus beaux caractères, reparaîtrait soudain sous la forme inattendue d'un ratage inexplicable.»


Lien : https://collectiondelivres.w..
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« Je veux dédier ce poème
À toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
À celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais ».
Georges Brassens – Les passantes

Sam, à l'âge de 14 ans joue au foot avec ses copains quand le ballon atterrit dans un parc tout près du terrain. Au moment où il va le rechercher, il tombe immédiatement sous le charme de Deirdre, une jeune galloise de son âge en séjour linguistique dans son petit village. Ils vont se revoir le soir même. Trois heures en tout mais ce souvenir de Deirdre penchant sa tête contre son épaule, il va le garder toute sa vie. le lendemain, Sam part pour les deux mois de vacances d'été chez ses grands-parents. Nos jeunes tourtereaux se promettent de s'écrire et de se revoir… une adresse au Pays de Galles sur un bout de papier…
Ce court roman qui se lit d'une traite nous parle des émois de l'adolescence, de la nostalgie de l'enfance, de l'entrée dans l'âge adulte, du souvenir qui s'estompe mais ne s'efface pas, des chemins que l'on prend ou de ceux que l'on n'a pas pris et que l'on regrettera, des hasards de l'existence, de notre quête perpétuelle d'amour.

« Bien d'autres, sans doute,
Depuis, sont venues,
Oui, mais, entre tout's
Celles qu'on a connues,
Elle est la dernière
Que l'on oubliera,
La premièr' fill'
Qu'on a pris' dans ses bras »
Georges Brassens – La première fille qu'on a pris dans ses bras.

Challenge multi-défis 2022
Challenge riquiqui 2022

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Un très joli roman autour des souvenirs et plus particulièrement du souvenir du premier amour. Teinté de nostalgie, ce texte mélancolique et poétique, enchaîne les pages sur le temps qui passe, sur le mystère de l'autre, sur les occasions manquées. C'est plein de charme, délicat, fragile.
Malheureusement comme c'est un peu court, possible que le souvenir de ce texte s'évapore rapidement.
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L'été de ses 14 ans, Sam rencontre Deirdre, une jeune galloise. Leur rencontre va le bouleverser, faire naître en lui des sentiments jusqu'ici insoupçonnés. Mais au bout de trois heures, il faut se dire au revoir avec la promesse de s'écrire et de ne pas s'oublier.
Les années passent et ce souvenir s'estompe. La vie reprend son cours. La collège, le lycée, les amis, les petites amies et puis le départ de sa petite ville direction Paris. Sam n'y pense plus mais des années plus tard, après une rupture amoureuse quelque chose se passe. Sam va comprendre que de simples sentiments d'adolescents peuvent influencer une vie.

Ce roman se lit d'une traite. Nous tournons les pages pour découvrir la vie de Sam, de ses certitudes et de sa vie qui prennent l'eau. Mais aussi de son réveil et du constat sur sa vie à cause ou grâce à sa rencontre avec Deirdre. Une lecture plaisante.
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critiques presse (1)
Bibliobs
24 janvier 2020
Le romancier excelle à montrer comment les souvenirs dorment, grandissent, travaillent en nous, et pourquoi ils embellissent en vieillissant.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
J’ai poussé la grille du parc. Il était six heures du soir, quatre heures au soleil. Je voulais juste récupérer mon ballon. Il avait atterri dans cette zone enclose de marronniers que nous appelions «la clairière», roulé près d’un sac de toile blanche, qui devait appartenir à la fille qui lisait là, assise en tailleur sur la pelouse grêlée de fumeterres et de boutons d’or. Elle portait une robe à manches courtes bleu clair. Ses cheveux tombaient en lourdes mèches cuivrées sur ses épaules. Ses bras, ses jambes découvertes au-dessus du genou étaient d’un blanc unique, aveuglant. Un peintre se serait damné pour trouver ce blanc vivant. Je me suis approché. Elle a posé son livre, aperçu le ballon, s’est levée d’un bond et l’a fait rouler du pied dans ma direction. Une belle passe. Je n’avais jamais vu un tel visage. Pas un visage, mais cent visages. Une mutinerie de traits. Un feu blanc où brillaient deux yeux pers, du gris, du bleu, du mauve. Je me suis laissé tomber sur la pierre du bassin asséché depuis des lustres.
Elle s’appelait Deirdre. Nous avions le même âge, quatorze ans. Elle parlait français, avec un fort accent anglais, mais elle le parlait très correctement et le comprenait encore mieux. Elle habitait au pays de Galles. Pays qui ne m’évoquait qu’une équipe de rugby, un sport assez fruste où l’on avait le droit de prendre le ballon avec les mains. Elle effectuait un séjour linguistique à Froncy et logeait avec sa classe dans l’ancien monastère de La Roche, derrière le potager du château.
— Je repars dans dix jours. Dix jours pour me promener et manger des gaufres avec toi. Ici, les surveillantes sont plus sympas qu’à Carlywin, elles nous laissent sortir seules.
Des gaufres, j’en mangeais rarement, il n’y avait pas de marchand de gaufres à Froncy. Mais cet accord immédiat, cette confiance spontanée m’avaient ravi, sans vraiment m’étonner. Remis du choc de son apparition, il me semblait désormais nous connaître depuis longtemps, elle et moi. La tristesse de quitter les copains s’était dissipée, c’était Deirdre désormais dont je ne pourrais plus me séparer.
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INCIPIT
J’aimais cette parenthèse qui s’ouvrait après les conseils de classe de juin et se refermait avec les départs en vacances en juillet. Aux approches de l’été, la dissipation et l’indolence s’abattaient sur les bâtiments en «U» du vieux collège en pierre jaune de Froncy. Cette année-là, toute la bande passait haut la main en troisième, les jeux étaient faits, quoi qu’il arrive le verdict des professeurs ne changerait pas. On suivait encore en touristes les cours principaux (mathématiques, français, langues vivantes), les autres sautaient allègrement, en toute impunité. La fumisterie ambiante contaminait les profs, qui relâchaient leur attention, osaient des jeux de mots lamentables et s’en faisaient pardonner en oubliant de signaler les tire-au-flanc au secrétariat. La prof d’anglais, dont les jupes avaient pas mal raccourci depuis les vacances de Pâques, souffrait de son propre aveu de « pannes d’oreiller ». Elle arrivait en retard, et toujours dans la voiture du prof de maths, qui prétextait pour sa part un « coup de pompe saisonnier ».
Pour les copains, cette parenthèse qui s’ouvrait à la mi-juin n’était qu’un agréable prélude aux grandes vacances d’été et à leurs mirifiques activités balnéaires, exotiques: stages de voile, parapente, canyoning. Pour moi, c’était l’entrée dans un sas enchanté, où j’allais profiter pendant quinze ou vingt jours des douces puissances de Froncy avant la séparation de la bande et le rituel départ à la campagne, en Dordogne, chez mes grands-parents paternels.
La petite ville ne me paraissait jamais aussi attachante, affectueuse, que dans cette lumière d’été baignant son vieux bourg, ses pavillons coquets, ses villas de meulière, ses maisons en briquettes de style américain. Lumière qui semblait monter du sol, des longues avenues, des placettes en étoile, des courbes lentes aux lisières du Bois Murat. Lumière ascensionnelle, célébrante, qui ravivait, découpait les surfaces, grilles, façades, toitures, enseignes, rendant à chaque élément du décor son mystère, son apport singulier à l’harmonie générale. En prenant si bien le soleil, Froncy nous en protégeait, il ne faisait jamais chaud, il faisait toujours bon dans cette serre à ciel ouvert, embaumée par le gazon coupé, les roses, les anémones, les capucines, les campanules, les troènes, les orangers du Mexique. Ces parfums nous imprégnaient, nous euphorisaient, de la tête aux pieds. Les copains et moi, nous sentions toujours bon, même pas lavés. Toujours un brin d’herbe, une feuille, un pétale dans le cou, les cheveux, les chaussures. Les week-ends, les amateurs de barbecue s’envoyaient des signaux de fumée au-dessus des haies. Les tondeuses débattaient bruyamment dans les agoras gazonnées. Alanguies sur la rampe des garages, les voitures attendaient leur shampoing hebdomadaire, la caresse des éponges mousseuses sur leurs capots, le jet qui ferait rutiler leurs chromes. Dans les caniveaux ruisselait une eau si claire qu’on y buvait à la paille.
— Sam, descends ! On va faire un foot !
C’était l’appel des copains à vélo devant la maison collée au garage automobile de mon père, dans la longue avenue de Senlisse. On m’appelait Sam parce qu’il y avait déjà un Pierre dans la bande. Après avoir enrôlé d’autres joueurs en chemin, ballon coincé dans le guidon de course, maillots aux couleurs de l’Olympique de Marseille, du Real Madrid ou de Manchester United, on arrivait en peloton au stade du Donjon. Stade, c’était beaucoup dire pour ce terrain pelé, miné par les taupes, aux filets de buts troués, et le donjon ressemblait plutôt à un colombier. Mais l’endroit avoisinait un cadre illustre à la solennité tranquille, le parc et les douves du château de Froncy dont les premiers murs remontaient à la Renaissance.
Selon le nombre de joueurs, les équipes se formaient pour un match sur tout le terrain ou pour ce que nous appelions « un suisse », une partie se déroulant sur un seul but avec un goal neutre.
Ce jour-là, Éric avait envoyé le ballon au-dessus du mur en moellon, dans le parc. Et comme souvent il rechignait à aller le récupérer. Il était cuit, bouilli, il avait des crampes, la cheville ou le genou en compote, les excuses habituelles, assorties d’insultes quand on le pressait trop.
— Sam, tu me gaves. Après tout, c’est ton ballon. Alors va le chercher. Ou te faire foutre.
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Tu es le visage du temps, avais-je déclamé d'une voix plombée de gravité. Tu as sur moi un très fort pouvoir de synthèse, tu m'as rassemblé. Tenons les mots entre nous. Je t'attends depuis si longtemps. Je ferai plus que t'aimer...
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